Ferme les yeux et écoute (Fe)

Erwan & Rakel

Nulle cause n’est perdue... s’il y a encore un pauvre fou prêt à se battre pour elle.

Quelle merveilleuse journée, aujourd'hui, nous étions en week-end, et même si les cours ne faisaient que reprendre, c'était dingue ce que j'appréciais ces délicieux instants de tranquilité, surtout qu'il fallait être honnête, je n'avais pas eut beaucoup de temps pour profiter de mes vacances. L'automne n'était pas encore là, et j'en profitais aussi, aujourd'hui, j'avais enfilé une robe bleue, plutôt courte d'ailleurs, avec des bottes noires et une veste assortie. Une fois maquillée, et coiffée, je m'échappais de cette prison que représentait parfois l'école, bien que j'adorais ce lieu pour prendre la direction du Pré au Lard. Je marchais d'un pas léger observant les personnes autour de moi, lorsqu'un sifflement retentit. Je me retournais, cherchant l'origine de ce bruit, et découvrant un élève médiocre, au physique discracieux me lorgner, aussitôt je le snobais dans une grimace avant de reprendre ma route. Ne perdant pas plus de temps, je pris la direction du petit village qui se trouvait tout prêt de Poudlard, j'aimais bien cet endroit, et même si j'aurais préféré la tranquilité de Londres, je m'en contenterais pour une fois, même si j'aurais très vite pu m'enfuir loin grâce au transplanage, mais je n'avais nul envie d'avoir le droit à de nouvelles leçons de moral de la part de mes parents, particulièrement mon père qui semblait plutôt pressée de m'éloigner du "mauvais chemin" selon lui. Il essayait régulièrement de me convaincre, mais je n'écoutais pas, je choisierais mon chemin en temps et en heure, ce n'était pas la peine de m'envoyer un tas de personne pour me faire changer d'avis.

D'ailleurs en parlant de ça je vis au loin Erwan, marcher dans les ruelles du Pré au Lard, il faut dire que même de dos, c'était simple de le reconnaitre, de tous les amis de mon père c'était sans doute le plus craquant, et ce n'était pas la différence d'âge qui me faisait peur. Passant outre la mission que mon père lui avait sans doute confié pour une raison que j'ignorais, parfois je me demandais si mon paternel n'était pas au courant mon pouvoir, il était une personne agréable et qui m'attirait beaucoup. Bon d'accord il était beaucoup plus vieux que moi, mais et alors? Il parait que les hommes aiment les jolies jeunes femmes, et sans vouloir me vanter, je rentrais dans ces deux catégories, il suffisait de me regarder, un corps parfait, une beauté à faire palir de jalousie la plus part des filles de Poudlard, mais il fallait aussi le talent et la grâce, que demander de plus? N'allez pas vous fourvoyer, il ne s'agissait en rien d'amour, le seul amour que j'étais capable d'avouer et qui ne me semblait pas être une totale faiblesse était celui que je portais à mon père, mais soyons clair, à son bras je me sentais bien, je criais au monde de me regarder moi et ma réussite, et ajoutons à cela son petit accent français si craquant, comment résister? Ce qui m'allait beaucoup moins c'était que lui ne semblait pas être du genre à craquer sur moi, dommage, mais bon ce n'était pas ça qui allait gâcher ma bonne humeur du moment.

Je m'approchais d'un pas léger, facilement cachée par la foule environnante et le glissant dans son dos sur la pointe des pieds je lui cachais les yeux. En soit un geste plutôt inconscient quand on savait à quel point la plus part des personnes étaient tendues avec les temps actuels, mais à vrai dire sur le coup je n'y avais pas pensé, je trouvais ça trop idiot de vivre dans la crainte d'une personne comme Voldemort, si la mort devait me trouver, et bien soit, ce n'était pas ce qui me faisait le plus peur. Mais en cette belle journée inutile d'avoir de si triste pensée, je me contentais donc de lancer avec toute ma bonne humeur :

"Devine qui c'est !"

Invité

Erwan de Rosnarho, Domaine de Coët Candec

Cela fait maintenant sept mois, sept long mois, qui furent les plus long de ma vie. Prendre en main le domaine après la mort de mes parents le 7 Mars dernier ne fus pas une mince affaire. Déjà débordé par le combats contre les Mangemorts, la surveillence des quatre Mangemorrts prisonniers dans les sous sols du Château en plus de cela, j'ai je reçois une lettre d'un de mes amis de l'Ordre du Phénix :

Erwan, je sait qu'elle perte tu a eu dernièrement et j'ai parfaitement conscience de la tâche que je te demande. Je ne t'en voudrait pas si tu la refuse, mais sache qu'elle est importante pour moi. Et tu est le plus apte a cette tâche.

Tu sait que ma fille t'apprecie plus que quiconque, pour ton illustre sang et pour ton admirable caractère. Aussi c'est vers que que je me tourne en premier pour te demander de la garder à l'oeil. et seul toi pourrais la ramener à la raison, pour qu'elle ne suive pas la trace des Mangemort.

Adam Peleonor

J'ai longuement réfléchis, décidément Adam a le don de me demander les chose au pire moment. Enfin de compte je lui répondis :

Encore une fois tu a su trouver les mots Adam. Cela me changera les idée. J'accepte donc la mission que tu me confie... a la seul condition que tu me devra un service en echange.

Erwan de Rosnarho

Erwan de Rosnarho et Rakel Paleonor, Pré au Lard

Le jour prévu, je confia le domaine à mon amis Mechtar le Korrigan. Je commençais par appeller mon balais, un éclaire de feu flambant neuf "Accio éclaire de feu" Puis je sorti du château et m'envolait vers le norde. Une fois sorti du domaine j'aterris et je transplanais vers Près au Lard.

Prés au Lard, que de bon souvenir, je me souvient d'un duel contre un Serpentard içi même, où je suis apparu... le pauvre, il n'avais pas fait long feu... Soudain je sentis de main se plaquer contre mais yeux et une dit :

Rakel-Devine qui sait !

Bien sur je reconnu Rakel, elle avant grandis en beauté durant l'été, la dernière fois que je l'avais vu c'tétait au Poudlard, à l'enterrement d'Albus. Enfin je lui dit :

Erwan-Ah Rakel, Rakel, tu n'a pas changé depuis l'été dernier.

La regardant dans les yeux j'ajouta :

Erwan-Tu sait bien que j'ai horreur de sa Rakel,... mais je suis heureux de te revoir. Tu semble en forme !

Erwan & Rakel

Nulle cause n’est perdue... s’il y a encore un pauvre fou prêt à se battre pour elle.

Je fus un peu déçue d'être si rapidement découverte mais ce n'était pas si étonnant que ça, il n'y avait guère de temps que nous nous étions vu. A cette pensée, mon coeur se serra, c'était lors de l'enterrement de Dumbledore, l'une des rares occasions où beaucoup on pu me voir pleurer à chaudes larmes, et surtout des larmes sincères. Je respectais beaucoup ce vieil homme contrairement à la plus part des Serpentards, et ce fut sans doute l'un des événements qui me poussait à m'éloigner légèrement des chemins des mangemorts, préférant pour le moment de suivre mon propre chemin, et servir mes intérêts, rien d'autre. Egoïste, certe, mais au moins je ne risquais pas d'être déçue, contrairement à ce que je montrais, je souffrais sans doute plus de la situation actuelle que l'on pouvait l'imaginer, mais personne ne me comprenait, c'était peut être ce qui me poussait à une certaine solitude particulièrement cet été. Mon air triste qui était apparu sur mon visage à l'évocation du début de l'été disparu rapidement pour laisser place à un sourire radieux, un sourire de façade, car mon coeur était encore serré, je préférais de loin tenir mes pensées loin de ce triste événement.

"Ca ne fait que quelques mois normal, toi non plus d'ailleurs, toujours ce charmant accent."

Je souris doucement en plissant le nez, une de mes nombreuses mimiques, souriant de plus belle à sa remarque. Il n'aimait pas ça, oui en faite pas grand monde aimait être prit par surprise ainsi, mais moi j'aimais beaucoup. J'aimais me faufiler sans bruit derrière les gens, jusqu'à ce que je puisse les surprendre, chose qui serait sans doute encore plus simple sous ma forme de loup, du moins que je maîtriserais correctement ce pouvoir, en attendant hors de question de me montrer, surtout si cette foutue queue continuait à accepter de prendre sa place qu'une fois sur deux. Je savais que c'était un problème de concentration, mais c'était parfois difficile de faire le vide, nous avions tous nos problèmes, moi y compris. J'attrapais le bras d'Erwan avant de me grandir sur la pointe des pieds pour m'approcher de son visage, bien qu'il était toujours plus grand que moi, puis après l'avoir fixé plus plusieurs longues secondes dans les yeux.

"La prochaine fois, je te saute sur le dos et je te croque alors."

Je fis claquer ma mâchoire avant de rire doucement, retrouvant ma taille habituelle, c'était bien moins fatiguant et une position plus agréable. Certe mon comportement était plus ou moins acceptable, surtout si on partait du principe qu'Erwan était un ami de mon père, mais ce n'était pas comme si il était aussi vieux que mon paternel, et puis je l'appréciais, c'était pour ça que je me permettais ce genre de petit jeux, chose plutôt rare, surtout en prenant en compte son passé de Gryffondor.

"Et comment je suis en pleine forme, plus ma mère sur le dos, je peux profiter de mon lit et sortir comme je veux, sans parler qu'elle n'est pas sur mon dos pour me dire que ma robe est trop courte, le pied. Je ne quitte plus Poudlard jusqu'au prochaine vacances d'été, ça c'est la liberté ou presque..."

Je ne disais rien, mais je savais très bien qu'en ce moment, c'était la grosse gueguerre entre mes parents pour savoir qui gagnerait, et réussirait à me faire plier dans son camps. Ou peut être n'était ce que ma façon de voir les choses, mais ça ne me plaisait pas vraiment.

"Dis moi, ne me dit pas que tu es venu faire du tourisme dans mon beau pays qu'est l'Angleterre, surtout en ce moment, je ne te croirais pas. Encore moins si tu me raconte que tu fais du shopping."

J'étais curieuse, oui je l'avouais, même si cette rencontre tombait plutôt bien, j'étais partie dans l'optique d'être seule, mais je préférais de loin d'être en bonne compagnie.

Invité

Tous en écoutan la jeune fille, je l'observait. Je remarqua une chose qui m'avais échappé ou qui venais d'apparaitre, une chose qui me rappel un vyage dans les Pyrénné, où je me suis retrouvé seul face à un loup. Quelque chose dans le regard de Rakel me rapella le regard du loup. Quand elle parla de me croquer tout cru, je fis un lien. Cela me parus absurde. Les animgus son rare.

Néammoin, je décidait de dire une partie de la vérité, tous en envoyant une petite indication que j'espérait qu'elle fîme le lien.... Ma rencontre avec Rakel, risque en effet d'écarter de mes pensé mes soucis du moment.

Erwan-"Oh, en effet, je ne suis pas là pour faire du shopping, ni pour visiter l'Angleterre, mon pays regorge de suffisament de merveille sans que j'aille en touriste ailleur. Quand à me manger, je crain que même un loup en aurais du mal."

Un autre point un peut plus personnel et qui concerne directement Rakel, est le fait qu'avec l'accord de son père, j'avais résolus d'invité l'élève de Serpentard a passer certaine vacances dans mon domaine, voici le service qu'il me doit.

Erwan-"Il y a d'autre raison, je pense que certaine tu peut les deviner, d'autres je n'en dirais rien. Puisque tu est là, et que mon Hiboux n'est certainnement pas arrivé, ... Mais bon, puisque tu est résolus a rester tpute l'année, je vois qu'il ne me sers à rien de te proposer de venir passer certaine vacances chez moi."

Sur ce, je fit mine de m'en aller.

Erwan & Rakel

Nulle cause n’est perdue... s’il y a encore un pauvre fou prêt à se battre pour elle.

Une drôle de lueur passa dans les yeux d'Erwan, et si ça m'intriguait, j'essayais de ne pas le montrer, surtout vu le sujet actuel, je n'avais pas la moindre envie de dévoiler mon secret à qui que se soit, pas que je n'ai pas confiance en Erwan, en l'ordre et tous ces trucs, mais je n'avais pas envie d'être un jouet, même si l'envie de me vanter de cette prouesse ne manquait pas. Mais disons que la peine qui me serait infligée si ce secret était révélé au ministère tenait mon égaux en laisse pour une fois. Une fois de plus je fronçais doucement les sourcils, mais je me faisais sans doute des idées, aussi je finis simplement par sourire.

"Ne sous estime pas le pouvoir de mes canines, et puis j'ai plus d'un tour dans mon sac, je suis sans doute l'une des élèves les plus douées de Poudlard, si ce n'est la meilleure, alors tu devrais te méfier."

Je plissais une fois de plus le nez en souriant, il faut dire que si j'avais un sacré défaut, c'était celui de ne pas être modeste, ce n'était pas mon truc, j'étais douée et j'en étais fière, logique, non? D'ailleurs le petit jeu de mes parents ne faisait qu'accentuer ce vilain défaut. J'envoyais une petite tape sur le bras :

"Et puis ne dénigre pas l'Angleterre, non mais ! Il y a de jolies choses à voir, même si tout le monde est pétrifié de peur."

J'aimais mon pays, il faut dire que je n'avais jamais réellement eu la chance de quitter la Grande Bretagne, j'aurais aimé pouvoir le faire, mais je n'avais jamais réellement eu l'occasion. En tout cas la balade avait eut son petit effet, il y avait longtemps que je ne m'étais pas amusée à ce point là. Bien sûr, je n'obtins aucune réponse, mais c'était prévisible, mon père lui même ne me disait rien de ce genre de chose, et étrangement je me demandais si le faite que nous étions croisé ici était réellement un hasard, mais il ne fallait jamais trop se poser de questions, sinon on n'en finissait pas. Mais si quelque chose devait me surprendre, ce fut bien la nouvelle que venait de m'annoncer Erwan, je ne m'attendais pas du tout à ça ! Il faut dire que je passais mes vacances chez ma mère ou mieux à Poudlard depuis ma 5ème année et la reformation de l'ordre, mon père étant trop occupé pour prendre le temps de s'occuper de sa fille. Même si la cause était bonne, j'avais du mal à l'accepter. En tout cas l'invitation d'Erwan me laissait sans voix, et lorsqu'il fit mine de s'en aller je lui attrapais la main avant de lui sauter dans les bras.

"Sans rire tu m'invite en France? Ca serait vraiment troop génial. Hou j'ai trop hâte !"

Toute excitée par cette annonce, je finis tout de même par déserrer mon étreinte et déposais un baiser sur la joue d'Erwan.

"Tu es un amour."

Mes parents, je m'en fichais pas mal, ils n'avaient pas réellement le choix, même si ils refusaient, je ne me gênerais pas pour transplaner et rejoindre la France, en tout cas je n'avais pas lâchée le bras d'Erwan, mon sourire figée sur mon visage, visiblement heureuse comme tout.

Invité

A la première réplique de Rakel, je souris, mes doutes s'échappèrent pour un temps. Bref, sur le coup je la trouvais prétentieuse à l'extrème... Enfin, bon il s'agit de Rakel tous de même. Dans un premier temps je répond :

Erwan-"Pas que je sous estime tes canines, mais n'oublie pas que tu a affaire à l'un des sorciers les puissants... J'ai beaucoup appris à Poudlard,... et ailleur."

L'Angleterre est un beau pays je l'admet volontier, mais le mal y est partout. La Bretagne a à elle seul plus de chose interressante pour les gens comme moi.

Erwan-"Oh, mais l'Angleterre est un beau pays, dans son ensemble. Mais le mien est plus interressant, car il est beau partout, avec des endroit qui resorte.

En revanche, je ne m'attendait pas a une telle démonstration de bonheur à l'annonce de passer les vacances chez moi. J'ai déjà l'accord de son père, et puis sa me permettrai de la garder a l'oeil tout en la faisant oeuvrer dans mlon domaine. Un plan naquis dans ma tête... Mes amis les Korrigan y sont au coeur.

Erwan-"Comme tu dis, Rakel, je t'invite pendant des vacances, ... mais ce ne seras pas focément de tout repos... Hum, tu sait bien que je n'aime pas que l'on dise que mon domaine est en France, il est en Bretagne... décidément, qu'on soit Moldus ou Sorciers, le chauvinisme est là."

Cela, je le tient de mon sang, certainnement. Descendant des Roi-Sorciers de Bretagne du premier millénaire, je peu que peu apprècier le Pouvoir central de France. J'ajoutais :

Erwan-"Viens donc au Trois Balais, que je t'offre un verre. En attendant ta réponse définitive."

Erwan & Rakel

Nulle cause n’est perdue... s’il y a encore un pauvre fou prêt à se battre pour elle.

Il était clair que je ne faisais pas le poids face à Erwan, simplement parce qu'il avait beaucoup plus d'expérience et que ses connaissances n'étaient plus en grande partie théorique contrairement au mienne, mais avec l'effet de surprise, et pas mal de chance, j'aurais peut être une chance. Mais en fin, je pense que nous n'avions pas tout à fait la même image lorsque je parlais de le croquer, enfin cette petite joute verbale me plaisait, chacun essayant de mettre en avant ses capacités, moi la première même si j'étais sans doute celle qui avait le moins les moyens de me vanter. Enfin quoi qu'il en soit, pour quelqu'un de mon âge, je n'avais pas à me plaindre, je connaissais et maitrisais beaucoup de chose, même si il me restait encore beaucoup à apprendre si je voulais espérer être à la hauteur du sorcier qu'avait été Dumbledore, ou encore Voldemort. Un peu comme ce dernier, la rechercher du pouvoir pourrait sans doute être la plus grande de mes pertes, car si contrairement au seigneur noir je ne chercherais pas à éliminer les moldus, je pourrais facilement me laisser entrer dans une colère noire, qui mêlée à une puissance accumulée au cours des années pourraient se révéler dévastatrice. Mais je n'étais pas encore là, et si ça se trouve je n'y serais jamais, tous ignoraient leur destinée, et je n'échappais pas à cette règle.

"Oh mais je sais, j'aurais encore l'avantage de la surprise, avec un peu de chance j'aurais l'occasion de croquer un morceau de tes fesses avant que tu réagisse."

Je lui tirais la langue, amusée, et cherchant à tout prix la provocation, c'était simplement comme ça que j'aimais me démarquer, sortir du lot, de façon à ce que personne ne puisse rester insensible face à ma personne, soit on m'adorait, soit on me haïssait, il n'y avait guère de demi-mesure.

"J'adore Poudlard, mais j'ai hâte de partir à l'aventure d'en apprendre plus, mais au moins ici je suis au pleins coeur de l'action, la guerre est partout, il finira bien un moment ou mes parents ne me tiendront plus à l'écart sous prétexte que je suis trop jeune, quelle idiotie, l'âge ne fait pas tout."

Je fis une moue toujours aussi vexée, ma mère ne me trouvait pas assez mure pour rejoindre les rangs des mangemorts, chose que je n'étais pas sûre de vouloir faire, je n'étais pas faite pour une vie de servitude. Et de l'autre côté mon père n'avait pas plus confiance en moi, c'était si frustrant.

"Je confirmerais bien tes dires mais je ne connais que mon pays, alors je ne peux que te croire sur parole."

En tout cas la perspective de ne pas passer mes vacances qu'à Poudlard ou chez ma mère à m'ennuyer comme un rat mort, chose qui m'agaçait au plus au point, surtout quand ma génitrice ne trouvait mieux à faire que mettre son nez dans mes affaires, comme si j'avais besoin de ça. Encore une fois je souris amusée.

"Crois moi Poudlard est un vrai centre de vacances après l'été que j'ai passé, alors ce n'est pas ça qui me faire peur, surtout si c'est pour travailler la magie. Je ne suis pas toujours aussi flemmarde que j'en ai l'air."

Oui il existait des élèves qui restaient à Poudlard autant qu'ils le pouvaient pour réviser, ce n'était pas mon truc, et surtout je n'en avais pas besoin, j'avais un talent naturel pour la magie, autant s'en réjouir. Erwan recommençait avec ces histoire de Bretagne, chose qui m'amusait beaucoup, mais il avait beau parler pour moi la Bretagne faisait partie de la France, et je devais l'avouer je prenais un malin plaisir à l'embêter.

"Et la Bretagne se trouve en France que tu le veille ou non. Mais si ça peut te rassurer, c'est plutôt un compliment, la France est le pays du bon goût."

D'ailleurs de ce que j'en connaissais les français étaient plutôt à mon goût, et je pense que mon avis étaient partagés par les élèves de Poudlard qui avaient connus les demoiselles de Beaubâtons.

"Avec plaisir pour le verre, mais dis moi il faut que je fasse quoi pour que tu comprenne que mon oui est déjà définitif, que je te demande en mariage? Sincèrement je doute que ça serait une mauvaise idée..."

Je pris l'air songeuse, avant de reprendre avec un grand sérieux.

"Ca finirait en règlement de compte, ma mère essayerait de te tuer, mon père de la tuer, imagine le bordel..."

J'eus du mal à tenir mon sérieux plus longtemps, je finis simplement par éclater de rire. Nous primes la direction du pub que j'avais tant l'habitude de fréquenter, sans doute l'un de mes endroits favoris.

"Tu as prévu quelque chose de spéciale pour ma visite dans ton domaine? Sans rire je suis trop pressée maintenant c'est malin ! Promis tu m'abandonneras pas pour aller faire je ne sais quoi? Sinon je ne savais pas ce que je vais faire, si encore c'était Paris, mais si je ne m'abuse la Bretagne est plutôt un coin tranquille. Oh et tu as des chevaux? J'aimerais essayer d'en monter un, ça doit être amusant."

J'avais un débit assez impressionnant de parole lors que je m'y mettais.

"Et je parle trop, mais tu as bien l'habitude..."

Invité

Après une courte marche silencieuse, nous arrivâme au "Trois Balais". J'ouvris la porte et laissait entrer Rakel en premier. Le puib était bondé. Eleves et professeurs de Poudlard... J'en reconnus certain, ainsi que le Garde Chasse de l'Epoque... souhaitant le bonjour a chacuns, je dégotais une table vide assez proche du comptoir.

Bref, Rakel me surprendra toujours... une Serpentard parfaite, qui mérite peut-être une bonne leçon... Je ravallais mes pensé et dit :

Erwan-"Humpf, ne sous estime pas mes réflexs, petite louve...

Enfin bon, malgré son caractère qu'elle tiens de sa mère, je pense, j'éprouve une certaine sympatie pour elle.

Erwan-"Ah, l'âge ne fait pas tous, nous somme d'accord. D'ailleur n'en suis-je pas la preuve vivante ?

L'âge ne fait pas tous, mais tous se fait avec le temps. En pensant cela je pensait avoir raison

Erwan-Oh, tuverra en temps voulus, la forêt de Brocéliande où est enterré Merlin, les landes, les collines des Monts d'Arré,... que de merveilles Mais tu as raison, que je le veuille ou non et contre ma volonté la Bretagne fait partie de la France.".

Du cheval, Rakel veut faire du cheval. Une activité moldu que souhaite pratiquer une Serpentard, du jamais vu ! Mais oui, j'ai prévu pas mal de chose.

Erwan-"Bien sur que j'ai prévus plusieurs choses interressante, tu verra ! Il n'y aura pas que du loisir. Mais je doit te pré venir, baissant le ton,mon domaine est un repaire de ceux qui luttent contre les mangemorts, qu'ils soit de l'Ordre où de l'Armée de l'Ombre. Quoi qu'il en soit, il y a la bas des force que tu n'imagine pas, il y a des maitre d'occlumancies, de cela, tu a beaucoup a apprendre, de la volonté de ton père."

Sur ce, je commandais de l'hydromel pour nous deux. Pour moi du Chouchen de Bretagne, pour Rakel, de l'hydromel du coin.

Erwan & Rakel

Nulle cause n’est perdue... s’il y a encore un pauvre fou prêt à se battre pour elle.

J'affichais toujours ce même sourire satisfaite, je m'amusais comme une petite folle, ça me changeait drôlement de l'ennuie de la routine quotidienne à Poudlard, et je m'en réjouissais, surtout que rapidement la routine reviendrait, il me faudrait faire mes devoirs, quelle perte de temps ! J'espérais pouvoir voler un peu demain, le bonheur de chevaucher mon éclair de feu. J'aimais assez ma solitude, même si je ne perdais généralement pas une occasion de faire des conneries, ou dans le pire des cas durant mes heures de colles. Le pub était comme à son habitude surcharger, mais ça n'avait rien d'étonnant, ce qui ne nous empêchait pas de trouver une table libre. A vrais dire je trouvais toujours une table, même si il fallait pour ça terroriser des élèves plus jeune ou simplement d'une autre maison, mais je ne ferais pas une telle chose devant Erwan, je n'avais pas spécialement envie de me manger une leçon, encore une... Il faut dire que c'était idiot de ne pas profiter du privilège que nous apportait notre maison, et mon ascendances. Peu de gens savaient réellement de quoi j'étais capable, et j'en jouais fortement.

"Oh mais raison de plus avec ton grand âge tu dois commencer à perdre tes réflexes, j'ai l'avantage de la jeunesse."

La tête posée sur mes mains, je me penchais sur la table pour m'approcher un peu d'Erwan qui se trouvait devant moi, le nez toujours plissé dans un sourire. Oui d'accord, là j'abusais peut être un peu, mais après tout il était vrai qu'à côté de moi, il était "vieux" c'était d'ailleurs pour ça que la plus part du temps tous les regards se posaient sur nous lorsque je marchais à son bras. A vrai dire je trouvais ça un peu ridicule, 10 ans c'était si peu et en même temps tant. Difficile de pouvoir imaginer tout ce qu'il avait vécu durant ces 10 ans, mais il avait tout à fait raison, l'âge ne faisait pas tout. J'étais peut être jeune, mais contrairement à ce que beaucoup semblaient penser j'étais aussi plus intelligente et plus mûre que la moyenne, mais lié à mon mauvais caractère ça ne faisait pas forcément bon ménage. Je détestais être utilisé comme un vulgaire toutou, c'était pour ça en grande partie que je m'étais forgée cette carapace.

"Ce n'est pas gentil de jouer avec les nerfs, maintenant il me faut attendre, et sans rire les cours ne viennent que de commencer, j'en ai pour des semaines..."

Je me reculais sur ma chaise, une petite mine boudeuse. Ma personnalité était plutôt complexe, capable passer du rire aux larmes, de l'amour à la haine très rapidement. Je partais du principe que très peu de personnes pouvaient me comprendre, voir même personne. C'était une raison de plus pour ne jamais trop s'attacher. Je devais avouer que ma curiosité et mon impatience me mettaient réellement à rude épreuve. Je fus par contre surprise de la révélation d'Erwan, depuis quand les membres de l'ordre me faisaient confiance? Immédiatement, je fronçais les sourcils, visiblement méfiante, chose qui empira lorsqu'il fut fais mention de mon père. Je croisais les bras, soudainement beaucoup plus froide, observant Erwan qui commanda deux hydromel, personnellement je préférais la bièrraubeurre mais sans dire le moindre mot, ce ne fut qu'une fois le serveur partit que je sortis de mon mutisme.

"Ah je vois, j'aurais du m'en douter, il est derrière tout ça, il veut que le bon toutou rentre à la maison. Qu'est ce que je peux être stupide des fois, depuis quand des gens comme toi et mon père font confiance à quelqu'un de mon espèce?"

La colère montait en moi, et si pour le moment je restais assise, il était clair que j'avais de plus en plus de mal à me contrôler, d'ailleurs, la loupiote qui se trouvait au dessus de moi vacillait doucement, preuve que je commençais à ne plus maîtrise totalement ma colère et mes pouvoirs. Le regard fixé sur la table, la mâchoire serrée, je ne disais plus un mot, visiblement vexée.

Invité

Je ne relevait pas les premiérs commentaires, je pensais qu'il était important de mettre Rakel au courant de la situation.

L'Odre est au bord de la ruine, le tabou sur le nom de Lord Voldemort fait tomber ses membres un a un. Mes pouvoirs ont beau être grand, je maitise peut-être une autre forme de magie que les autres Sorciers. S' il y a une chose dont je suis sur c'est mon domaine est bien protègé, tant par les Korrigans, l'Ordre, l'Armée de l'Ombre où encor les Auror français.

Les tabous n'ont pas effet sur les pouvoir des Korrigans, comme ceux des autres créature magiques. C'est ainsi que, grâce aux pouvoirs que j'ai appris des Korigans, qu'aujourd'hui, j'ai pleinement confiance en Rakel. Par sécurité, je tissais discrètement autour de moi un sortilège de protection d'origine Korrigane et en langue korrigane.

Je bu mon verre cul-sec, la première chose que je fis ensuite fut de lancer un "Assurdiato" dans la salle.

Erwan-"Voilà, nous pouvons parler librement. Ton père n'a fait que me donner un pretexe pour te voir. Alors écoute moi, et ensuite agis comme tu l'entend.

Il y a de cela 11 ans, l''été entre ma 4e et la 5e année à Poudlard, je fus enlevé par les Korrigans comme mon père avant moi, et mon grand-père avant lui et ainsi de suite jusqu'a l'époque des Roi-Sorciers breton, qui étaient favorable aux Korrigans. Des Korrigan nous avons apris pas mal de chos que seul un Korrigan peu apprendre un sorcier. Parmis ce que j'ai appris, il y a le don de savoir en qui je puis avoir confiance et en qui je ne peut pas, j'ai appris une forme plus efficace d'oclumancie et aussi de légilimancie.

Fait confiance en mon jugement, je savais que tu réagirait ainsi a la mention de ton père. Et cela m'a donné la dernière preuve que je cherchais. J'ai lu dans tes yeux ton envie de te transformer en louve. Maintenant que je sais, mes incertitudes sont balayé.

Maintenant je vais te dire, je suis contre le recensement des Animagis. C'est une des raisons pour laquelle je te propose de venir chez moi pendant les vacances. Je te propose de te faire former par les Korrigans a la maitrise de l'animagie, a la maitrise de toi. Attention, cela demande une chose, une seul petite chose de magie noir, que je considère pas comme tel.

Tu peux accepté de venir sans suivre la formation que je te propose, comme tu peux ne pas venir, tu peux aussi accepter l'ensemble. mais je te préviens, un entrainement chez les Korrigan est autant magique que physique.

Durant mon long monologues je réfléchissait aux conséquences de mes dires. Je savais que j'en avait trop dit et je m'en voulais sur le coup. Dans le cas où elle n'acceptais pas, j'userais du sortilège d'oubli sur elle. Au fond de moi, j'espèrait qu'elle accepte. En tout cas, je remarquais que la loupiote au dessus de la table avait cessé de trembler.

C'était peut-être le calme avant le tempête. En tous cas, j'ai d'abord parlé avec un ton abbatus, puis je pris confiance, mais je dit la fin sur un ton sans équivoque.

Invité

Je ne relevait pas les premiérs commentaires, je pensais qu'il était important de mettre Rakel au courant de la situation.

L'Odre est au bord de la ruine, le tabou sur le nom de Lord Voldemort fait tomber ses membres un a un. Mes pouvoirs ont beau être grand, je maitise peut-être une autre forme de magie que les autres Sorciers. S' il y a une chose dont je suis sur c'est mon domaine est bien protègé, tant par les Korrigans, l'Ordre, l'Armée de l'Ombre où encor les Auror français.

Les tabous n'ont pas effet sur les pouvoir des Korrigans, comme ceux des autres créature magiques. C'est ainsi que, grâce aux pouvoirs que j'ai appris des Korigans, qu'aujourd'hui, j'ai pleinement confiance en Rakel. Par sécurité, je tissais discrètement autour de moi un sortilège de protection d'origine Korrigane et en langue korrigane.

Je bu mon verre cul-sec, la première chose que je fis ensuite fut de lancer un "Assurdiato" dans la salle.

Erwan-"Voilà, nous pouvons parler librement. Ton père n'a fait que me donner un pretexe pour te voir. Alors écoute moi, et ensuite agis comme tu l'entend.

Il y a de cela 11 ans, l''été entre ma 4e et la 5e année à Poudlard, je fus enlevé par les Korrigans comme mon père avant moi, et mon grand-père avant lui et ainsi de suite jusqu'a l'époque des Roi-Sorciers breton, qui étaient favorable aux Korrigans. Des Korrigan nous avons apris pas mal de chos que seul un Korrigan peu apprendre un sorcier. Parmis ce que j'ai appris, il y a le don de savoir en qui je puis avoir confiance et en qui je ne peut pas, j'ai appris une forme plus efficace d'oclumancie et aussi de légilimancie.

Fait confiance en mon jugement, je savais que tu réagirait ainsi a la mention de ton père. Et cela m'a donné la dernière preuve que je cherchais. J'ai lu dans tes yeux ton envie de te transformer en louve. Maintenant que je sais, mes incertitudes sont balayé.

Maintenant je vais te dire, je suis contre le recensement des Animagis. C'est une des raisons pour laquelle je te propose de venir chez moi pendant les vacances. Je te propose de te faire former par les Korrigans a la maitrise de l'animagie, a la maitrise de toi. Attention, cela demande une chose, une seul petite chose de magie noir, que je considère pas comme tel.

Tu peux accepté de venir sans suivre la formation que je te propose, comme tu peux ne pas venir, tu peux aussi accepter l'ensemble. mais je te préviens, un entrainement chez les Korrigan est autant magique que physique.

Durant mon long monologues je réfléchissait aux conséquences de mes dires. Je savais que j'en avait trop dit et je m'en voulais sur le coup. Dans le cas où elle n'acceptais pas, j'userais du sortilège d'oubli sur elle. Au fond de moi, j'espèrait qu'elle accepte. En tout cas, je remarquais que la loupiote au dessus de la table avait cessé de trembler.

Mais peut-être était-ce le calme avant la tempête.

Erwan & Rakel

Nulle cause n’est perdue... s’il y a encore un pauvre fou prêt à se battre pour elle.

Le verre venait d'arriver sur la table, je le regardais fixement, résistant à l'envie de l'envoyer valser au travers du bar, ça ne serait sans le moindre intérêt, contre productif, mais si agréable, je mourrais d'envie de le faire, c'était si tentant, juste céder à une pulsion, se sentir libéré, avoir le choix, simplement. Nous étions totalement ancré dans une société, mis aux fers par ses règles, il n'y aurait qu'à voir le résultat si j'aurais mis mon envie à exécution. J'aurais sans doute mieux fait de partir, d'être réaliste, ce n'était absolument pas sain de jouer à ce petit jeu, être la baballe que se renvoyait deux camps... Je faisais bien attention de ne pas porter mon regard sur Erwan, fixant le verre, et ne prêtant même pas attention à la loupiote qui se balançant. Je me demandais l'intérêt que j'avais encore à rester là, après tout pourquoi voudrais-je être le toutou de quelqu'un? J'avais de l'ambition, le talent, et la détermination nécessaire. Ce ne fut que le bruit du verre sur la table qui détourna mon attention de mes sombres pensées. Mon regard gris se posa sur Erwan, il était difficile de savoir pourquoi mais je décidais de l'écouter.

Je ne me permettrais pas de remettre en doute les paroles d'Erwan d'ailleurs j'écoutais avec attention ses paroles, mais je ne pouvais m'empêcher d'avoir une certaine rancoeur, je ne pensais pas que lui aurait été comme les autres, ne cherchant pas à me mener en bateau, se contentant d'être honnête. C'était peut être le cas, mais à partir du moment où il avait mentionné mon père, j'eus du mal à le croire, et pourtant j'étais silencieuse, chose plutôt étonnante, il était connu que lorsque quelque chose ne me plaisait pas, je le faisais savoir, et pas d'une façon discrète. Je ne l'interrompis pas, à vrai dire je ne savais pas trop que répondre, même si il faudrait bien à un moment trouver les mots et faire un choix. C'était si facile de réclamer ma confiance, mais ça ne fonctionnait pas, le loup n'avait pas été choisit au hasard, j'avais tout d'un animal sauvage, je n'offrais pas ma confiance, elle se gagnait et généralement c'était une chose difficile et surtout elle se perdait très rapidement.

Pourtant même si j'essayais, je n'arrivais pas à lui en vouloir, je détestais les rares personnes qui avaient ce genre de pouvoir sur moi. Le genre de personne qu'il était plus simple de haïr que d'aimer, simplement pour éviter de souffrir, car la sensation de trahison qui coulait dans mes veines me faisaient souffrir même si je ne le montrais pas, j'avais le talent de cacher mes véritables sentiments. Je glissais doucement ma main vers ma poche où se trouvait ma baguette, ma décision n'était pas encore prise, mais je savais que si je n'allais pas dans le sens de l'ordre, il était très peu probable que je m'en sorte en connaissant toutes ces informations, Erwan n'était pas totalement suicidaire. Au final, je finis par retrouver ma langue, ce qui n'était pas trop tôt.

"Pourquoi faire au final? Devenir un de vos chiens de garde? Pour vous donner des informations sur mes amis? Oui je suis une Serpentard, je suis dans les petits papiers de certaines personnes qui pourraient se révéler être des monstres, mais je ne suis pas une traitre. Quel intérêt aurais-je d'être l'une des votres quoi de plus que l'autre clan?"

Je n'avais pas peur de prononcer le nom du seigneur des ténèbres, il s'agissait d'une provocation à l'égard de ma mère, qui chérissait cet être, qui était devenu une habitude avec le temps, y compris par ces temps troublés mais mon père m'avait donné de bonne raison pour éviter de le prononcer actuellement.

"Tu veux que je fasse quoi? Que j'accepte en trahissant tous mes amis pour quoi? La reconnaissance de mon père? Désolé mais ça ne me suffit pas, perdre tous mes amis pour avoir l'impression de faire le bien, être seule, ça ne me parait pas être une vie. Si ça fait partie des conditions de ta proposition, j'aime autant m'en passer, crois moi, rares sont les choses qui pourraient me faire changer d'avis..."

Je n'en voyais qu'une, et encore, rares étaient les décisions que je prenais en fonction des autres.

"Les vacances risques de ne pas suffirent pour ton projet, et qui te dit que les Korrigan accepteront, ils n'ont aucun intérêt à partager leur magie avec moi."

Invité

Je savais qu'il serait difficile a quicquonque de me croire. Je connaissais suffisamment Rakel pour savoir que cela serais dur, difficilme même. je me dit que s'il y avait uenseul chose qui pourrais lui faire croire se que je dit, alors se serait de lui montrer mes souvenir, ou du moins de le lui proposer.

Erwan-"Ah Rakel, je te comprend, j'aurais été a ta place j'aurais certeinnement dis la même chose. Nous avons encore un peu de temps aujourd'hui, si tu veux la preuve de ma bonne foix, alors il te faut me suivre dans un transplanage d'escorte chez moi. Si non, je m'en vais tous de suite, et je reviendrait le prochain week-end de sortie à Prés au Lard.

Quant aux Korrigans, j'ai déjà leurs accords, sinon je ne te le proposerait pas."

Erwan & Rakel

Nulle cause n’est perdue... s’il y a encore un pauvre fou prêt à se battre pour elle.

Difficile de croire Erwan, oui, mais je ne remettrais pas pour autant ses paroles en doute, simplement parce que j'avais confiance en lui, je savais qu'il ne me voulait que du bien, mais bien des erreurs pouvaient être faites en partant de bonnes intentions. Au final j'étais donc plutôt perplexe. Pourquoi vouloir m'apprendre toute cette magie si ce n'était pas pour que je serve l'ordre? Et d'ailleurs pour l'instant ce n'était pas ce que je voulais, même si j'avais beaucoup évoluée depuis ma première année à Poudlard, je n'en restais pas moins attirée par Drago, et choisir l'ordre, c'était devoir l'oublier. Je n'étais peut être plus aussi folle de lui qu'à notre rencontre, et encore ça restait à prouver, mais il n'en était pas moins quelqu'un que j'appréciais beaucoup et à qui je devrais renoncer à sa compagnie pour l'ordre. Tout comme je devrais renoncer à Erwan si je choisissais le camps des mangemorts. Pourquoi le temps de l'innocence était-il si loin à présent? C'était tellement simple lorsque la seule chose que l'on vous demandait c'était de rester le nez loin des affaires des adultes.

Les paroles d'Erwan me surprirent il faut dire que j'étais loin de m'attendre à une telle proposition, simplement parce qu'elle ne faisait pas réellement partie des chose acceptable pour les grands habitués du respect des lois. Déjà que mon père ne manquait pas de me faire la morale lorsque je faisais un tour à Londres alors que j'étais sensée me trouver au Pré-au-lard, mais une ballade improviser en France sans en avertir personne, je savais déjà que mon père ne cautionnait pas, ou du moins qu'il n'était pas au courant. Même si je parais toujours du principe que ce qu'il ignorait ne pouvait pas lui faire de mal, je ne pensais pas qu'Erwan était d'accord avec moi. Les sourcils levés, je l'observais, comme à si je cherchais une sorte de piège, j'étais méfiante de nature, même envers les personnes que j'appréciais.

"Dis moi tu veux réellement que mon père fasse une crise cardiaque? Il me fait un scandale à chaque fois que je m'éloigne de Poudlard, alors la France..."

En même temps bien que je semblais jouer la petite fille parfaite, mon sourire ne trompait personne, cette idée était plus que plaisante.

"Et tu dis avoir leur accord, oui je m'en doute bien, mais pourquoi moi? Il est connu que les Korrigans, gardent leurs secrets jalousement."

Je me posais de nombreuses questions qui étaient sans réponses et je n'aimais pas ça, faire confiance n'était pas si facile, surtout quand il y avait tant de secrets. Je finis par me lever, essayant d'oublier ma mauvaise humeur Attrapant la main d'Erwan.

"Bon alors allons y."

Invité

Je fut assez étonné de la réponse de Rakel, je le reconnait. Pourquoi elle ? Je me le demande ? Elle ne connait pas toutes la vérité sur son père... et sur sa mère.

Dès qu'elle me dit dit allez, je transplanais vers le Château. Nous somme réaparus non loin du village sur le flanc de la colline., de là au Château, en marchant. je lui expliquais ceci :

Erwan-[color=red]"Pourquoi toi ? Et bien, t'est tu demandé pourquoi j'avais des relation très amical avec ton père ? De cette réponse, tu seras pourquoi je t'ai choisis. Veux-tu l'entendre ?"

Je réfléchis... tros tard, j'ai lancé le processus de vérité. Le père de Rakel est née il y a 47 ans de mon grand-père et d'une sorcière nommé Favélia. Favélia a obtenus la garde de l'enfant. Mais jamais mon père n'a céssé de le suivre. Bien sur, mon demi-oncle connait la vérité de sa naissance.

Erwan & Rakel

Nulle cause n’est perdue... s’il y a encore un pauvre fou prêt à se battre pour elle.

Toute vérité n'était sans doute pas bonne à dire, ni même à entendre mais je m'en fichais, c'était le genre de chose qui ne m'atteignait pas. De toute façon, heureusement pour moi, sinon je me serais sans doute déjà tapé la tête contre les murs, entre les mots que ma mère avait et les vérités de mon père. En faite je partais toujours du principe que quoi qu'il arrive, je pouvais compter sur moi et sur moi uniquement, au moins je ne risquais pas d'être déçue. Alors que je tenais sa main, Erwan transplana sans réellement prévenir, une sensation très désagréable, déjà je n'aimais pas ce genre de transport, ce n'était pas comme si je ne savais pas transplaner moi même, j'avais l'impression d'être une enfant, mais je n'avais pas réellement le choix étant donné que je ne savais pas où nous allions du moins pas exactement.

J'observais le petit village au loin, une sensation plutôt étrange, je n'avais pas réellement l'impression d'avoir quitté l'Angleterre, tout était si semblable, c'était presque déprimant. Je tenais toujours la main d'Erwan, observant le château. Il allait falloir marcher, mais ça ne me dérangeait pas plus que ça même si un trajet en balais me plairait forcément plus, mais c'était tout de même moins pratique pour profiter de la charmante personne qui m'accompagnait. J'écoutais les mots d'Erwan qui me paraissaient étrange, pourquoi être ami avec mon père? Je l'ignorais, sans doute cette proximité avec l'ordre ou une autre rencontre, en faite je m'en fichais en soit, mais en même temps la façon de parler d'Erwan me faisait un peu peur. Je relevais le regard vers Erwan quelque peu déboussolée.

"Bien sûr, sinon je l'aurais pas demandé. Qu'est ce que tu attends."

Continuant à marcher, j'attrapais le bras Erwan, me rapprochant un peu de lui tout en observant le paysage.

Invité

J'avou que j'ai quelque scrpules a dire la vérité a se sujet. Son père est le fils de mon Grand-père. Sa ma fait un choc quand je l'ai appris de mon père, il y a deux ans. Enfin, puisque je suis lançé, autant aller jusqu'au bout.

Erwan-[color:8bb5=red"Et bien... (hésitation)... et bien, ton père est le deuxième fils de mon Grand-Père. je lui ai proposé de suivre la formation des Korrigans, mais il a préféré que se soit toi, la plus jeune sang pure de la famille, sans pour cela me le demander, je l'ai simplement deviné.

Je sais que tu est a Serpentard, et que tu est bien partie pour suivre la voie des Mangemorts, je sais que tu aime ou que tu a aimé Drago Malefoy Mais tu est en droit de suivre la formation des Korrigans ... soupir de soulagement... Ce n'est pas une obligation, mais une demande. Quelque soit lta réponse, il y a des contrainttes, mais abandonner tes amis n'en est pas une que je t'imposerais, car se n'est pas parce que tu suis cette formation magique que tu appartient a l'Ordre du Phénix, le dernier choix te revient.

Mais avant, prend se bocal.

Je donnais à Rakel un bocal assez grand. Ensuite je plaquais ma baguette sur ma tempe et en sortis les souvenirs de ma formation des Korrigans.

Erwan & Rakel

Nulle cause n’est perdue... s’il y a encore un pauvre fou prêt à se battre pour elle.

J'étais perplexe, je ne voyais pas ce qui pouvait gêner à ce point Erwan, pendant quelques secondes, je me posais des questions qui me fit me sentir mal. Je connaissais mon père, il n'aurait quand même pas eu une relation avec un homme sans que je le sache, je n'étais pas intolérante, et ça expliquerait son énervement lorsque je m'approchais un peu trop d'Erwan, mais ça ne lui ressemblait pas. Enfin tout le monde cache des choses, mais pourtant je ne voyais pas Erwan agir comme ça, ou je ne voulais pas le voir, après tout il était attirant au possible. Autant dire que plus le temps passait, plus je me faisais des idées qui ne me plaisaient pas du tout, j'aurais aimé qu'Erwan fasse cesser cette attente. Enfin très vite, j'aurais préféré qu'il se taise. Sur le coup, je ne réagis même pas, tenant toujours le bras d'Erwan je le regardais perplexe, une grimace sur le visage. Bouchée bée, je le laissais finir, tenant même le bocal, visiblement n'arrivant pas à réagir.

Il me fallut plusieurs secondes pour enfin reprendre mes esprits, et la première chose qui subit ma colère, se fut le pauvre bocal. Je le jetais de toutes mes forces contre le mur le plus proche. Ma respiration était difficile, à vrai dire je retenais ma colère, chose très très mauvaise. Je n'arrivais pas à croire comment l'on pouvait me mentir à ce point, à présent beaucoup de chose s'expliquait, la réaction de mon père, celle d'Erwan qui n'avait jamais réagit face à mes avance plutôt explicite. Comment ne pas être dégoûtée?

"C'est parfaitement DEGEULASSE ! Tu veux dire que tu es mon cousin ou une connerie de ce genre? Tu attendais quoi pour me le dire que jt'embrasse? Urk. Et c'est comme ça que vous voulez me convaincre toi et ta connerie d'ordre? Tu pourras dire qu'à mon idiot de père que la prochaine fois qu'il m'envoie l'un de ses toutous pour me surveiller il le regrettera!"

La colère qui se lisait dans mes yeux avait quelque chose d'effrayante, il était clair qu'à cet instant, j'avais tout de la parfaite mangemorte, froide, prête à céder à ma colère, d'ailleurs inconsciemment j'avais attrapé ma baguette, pointée vers le sol, et mon bras tremblait.

"Je ne poursuivrais pas l'œuvre de TA famille."

Pendant quelques secondes, mon désarrois et ma panique se lut sur mon visage avant que je me reprenne, et surtout je retournais sur mes pas, avant de partir en courant une fois la porte franchit, essayant surtout de ne pas pleurer mais autant dire que sur le coup ce n'était pas simple.

Invité

Bon, bien sur, je ne m'attendais pas a un sourire après de telle révélation. Je devait faire vite avant qu'elle ne tente de transplaner, elle y risquerais sa vie, car le domaine est entouré comme Poudlard d'un sortilège anti-transplanage. Je m'arrêtais de marcher, qu'est-ce qui j'y pouvait moi si son père m'a fait faire un serment inviolable, qui est maintenant levé depuis une dizaine de jours. Ensuite je lançais un "reparo" vers le bocal qui se remis en un seul morceau, puis je lançais un "Wingardium Leviosa" vers mes souvenirs et les dirigeaient vers le bocal.

En fin de compte, j'appelais mon "éclaire de feu" qui arriva peu de temps après ("Accio éclaire de feu"), je lançais un sortilège de localisation et suivis Rakel a la trace. Elle ne connais pas les danger dans le coin. L'ayant rattrapé je dit, tristement :

Erwan-"A Rakel, je suis vraiment obliger de tout te dire pour que tu comprenne. Le jour même où ton père m'a révélé ton existence, il y a quatre ou cinq ans, il m'avais fait faire le serment inviolable, pour que je ne te révèle rien, tous sa, c'est dans mes souvenirs.
je vois que j'aurais du me taire et attendre que tu les consultes.

A ce moment, j'entendis un fouillis de pas. Les Korrigans réagissaient a la pénétration dans leur térritoire. Rakel courrait vite, elle était sortis du domaine, et les Korrigans içi n'était pas tous mes alliés, ni des ennemis.

Erwan & Rakel

Nulle cause n’est perdue... s’il y a encore un pauvre fou prêt à se battre pour elle.

Je détestais courir, mais j'avais l'avantage d'avoir un sacré entrainement, il faut dire que je n'avais pas grand choix, à moins de vouloir passer ma vie en colle pour les conneries que je faisais dans le château, le problème était que j'étais parfaitement dépassée par tout ce qui arrivait. Ma respiration se faisait saccadée, et je finis par m'arrêter. Contemplant le paysage sans jamais me retourner, même lorsqu'Erwan me rattrapa. J'étais dans une colère noire, celle qui pourrait me pousser à faire des conneries, impulsive, il était toujours difficile de prévoir mes gestes sous l'impulsion de la colère. Il me fallut plusieurs secondes avant que j'accepte de me retourner, le regard noir.

"Ca aurait changé quoi? Le résultat est le même, je commence même à croire que les Gryffondors qui ne cessent de répéter que la consanguinité des sang purs leur a bousiller le cerveau ont raison."

Je ne comprenais pas, et réagissais à cette trahison par une haine presque incompréhensive à partir du moment où l'on ne se trouvait pas dans ma tête. Je ne prêtais attention à rien de se qui se passait autour de nous fixant Erwan toujours en colère.

"Tu ne comprends pas je crois... Je ..."

C'était difficile à dire et mon père devrait subir ma colère la prochaine fois que je le verrais, il avait juste de la chance que logiquement ça ne serait pas avant l'été prochain. L'idée d'une beuglante me plaisait assez aussi, mais pour le moment je n'étais pas en état de mettre en oeuvre ma menace. Je pris une respiration, repoussant mes cheveux en arrière, j'essayais sincèrement de me calmer mais ce n'était pas simple, surtout moi qui prenait toujours un peu trop à coeur les choses.

"Je t'aime beaucoup... Et...Et c'est juste dégueulasse! Ce n'était quand même pas un secret d'état, je ne je je..."

Je finis par ne plus trouver les mots, et plongeais ma tête dans mes mains, pour me calmer. Rare étaient les fois où je montrais à ce point mes sentiments, et je comprenais pourquoi, c'était une horreur, mon coeur se serrait, ma tête me faisait mal, une expérience que je tenterais d'éviter par la suite.

Invité

Apparemment Rakel, qui semble très en colère, n'a pas entendus les Korrigans arrivé. Dans un premier temps ceux-ci restèrent dans l'ombre, puis l'un deux s'avança. C'était Kor-Dagard, un des seigneurs des Korrigans. Il parle assez bien le français et l'anglais, aussi parla-t-il en français.

Kor-Dagard-"Erwan de Rosnarho, il fait encore jour, vous avez de la chance, mais je sent de la colère içi qui viens de la fille qui vous accompagne."

Décidément, ce Korrigan serait plus du genre a rejoindre les Mangemorts que l'Ordre du Phénix. Je dit à Rakel :

Erwan-"Laisse ta colère envers moi de coté, et tu ferais mieux de ranger ta baguette. Malheureusement je ne contrôle pas tous les Korrigans, et ceux font partie de ceux là. A deux nous ne sommes pas assez nombreux pour les combattre.

Içi, les Korrigans sont chez eux, dans la lande, ceux qui vivent dans le secteur sont dangereux. Je dit a Kor-Dagard (en Korrigami) :

Erwan-"Laisse nous partir, Kor-Dagard, ma cousine c'est égaré, elle est désolé de vous avoir dérangé. Je vous demande pardon de mon coté.

A Rakel :

Erwan-"Je vois que tu ne comprend pas tous, mais le mariage entre "cousin" en Bretagne ne se fait pas parmis les sorciers a moins de 7 générations. N'en veux pas a ton père, il ne fait que te protéger.

Par politesse Kor-Dagard ne dit rien avant de voir que ce que je disait était a son terme Il dit, en anglais :

Kor-Dagard-"Soit ! Retournez d'où vous venez, Mais tu me devra un servie, humain !

Sur ce, les Korrigans partirent et je fis signe à Rakel de me suivre.

Erwan-"Rakel, tu m'a mis dans le pétrin, heureusement que tu as contenue ta colère. Fait ce que tu veux maintenant, retourne à Prés au Lard où suis moi.

Erwan & Rakel

Nulle cause n’est perdue... s’il y a encore un pauvre fou prêt à se battre pour elle.

Je ne voulais pas retourner à Poudlard, pas dans cet état, mais où aller alors? Je voyais mille et une idées, toutes plus tentante les unes que les autres, dont une particulière qui ferait plaisir à ma génitrice. Je ne supportais pas les mensonges pas quand ils étaient plus gros que les personnes qui les avaient créés. Un petit être sortit des hautes herbes, et si mon regard se posa sur lui ce ne fut que quelques instants avant de redresser le regard. Je n'avais pas peur, je n'en avais aucune raison, même si il parlait français et que je ne comprenais pas un mot, il faut dire que je n'avais pas la moindre intention de les attaquer, et si ils cherchaient la bagarre, je me serais contenter de transplaner. Les paroles de mon cousine, oui c'était ce qu'il était même si ça me dégouttais au plus haut point me semblaient dénuée de sens.

"Les combattres? Pourquoi voudrais-je les combattre?"

La grimace sur mon visage exprimait sans doute ma perplexité face à cette annonce, après tout nous ne les avions pas attaqué, ni menacé quoi que se soit, d'ailleurs je ne vois pas pourquoi nous le ferions. Croisant les bras, j'observais ce petit manège qui se déroulait devant mes yeux dans des langues que je ne comprenais pas. C'était un pays de fou, voilà tout, je voulais retourner en Angleterre, tient le chemin de traverse, voir du monde des personnes qui ne raconte pas des mensonges, ou du moins pas à moi. Un bon verre de wisky pur feu aussi, j'en avais besoin et ça ne serait pas à Poudlard que je pourrais trouver ça.

"Genre y'a besoin d'un mariage pour forniqué, dis ça à mes parents, au moins il se serait passé de cette connerie... Tiens si ça se trouve eux aussi sont cousin ça expliquerait beaucoup de chose sur ma propre connerie."

Le mariage n'était qu'une idiotie parmi d'autre pour moi, l'amour ne durait pas, il ne durait jamais et pour personne, ce n'était qu'un sentiment passager, une faiblesse. De mauvaise humeur je suivis Erwan, les mains sur les hanches sans sortir le moindre mot jusqu'à ce qu'il me donne un choix.

"Pré au lard ? Pourquoi pour finir mes études et faire la fierté de cette famille? Au final ça me fait mal de l'avouer, mais ma mère au moins elle ne me ment pas! Je veux pas faire partit de cette famille, je te laisse juste imaginer ce que j'ai vécu, tu es en train de me dire que mes grands parents, ceux qui sont mort durant la première guerre ceux qui sont sur les photos de mon album ne sont pas réellement mes grands parents ! Ne me dit pas le contraire, ils étaient anglais, leur domaine était en Angleterre et ils n'avaient soit disant qu'un fils, tu parle visiblement ils n'en avaient même pas. Je ne m'appelle donc sans doute même pas Peleonor, vu que c'était leur nom à eux, et ne viens pas me dire que c'est le genre de sacrifice nécessaire lorsque l'on fait partit de l'ordre..."

Mes jambes tremblaient et au final je me laissais tomber dans l'herbe, essayant de retrouver mes esprits, mais là c'était toute ma vie qui était chamboulée et je ne voyais que les mensonges de mon père.

Invité

Ah, nous voici arrivé au but. Bien sur, Rakel ne me croirait peut-être pas au début, mais sa mère est au courant depuis longtemps, d'après mon oncle. C'est certainement par peur que sa fille ne rejoigne l'Ordre qu'elle ne lui a rien révélé. Mais bon, je ne sait comment, mais mon oncle réussis a contournée le serment inviolable, peut-être en forçant la mère de Rakel a le levé ?

Enfin tous sa ne me dit rien qui vaille.

Erwan-"Oh, mais ta mère sait tous. Cela je le tiens de ton père."

Erwan & Rakel

Nulle cause n’est perdue... s’il y a encore un pauvre fou prêt à se battre pour elle.

Je n'étais pas étonnée qu'Erwan affirme que ma mère était au courant de ce qui se passait mais je connaissais ma mère, elle n'était pas du genre à garder un secret surtout si elle était capable de faire en sorte que je n'ai plus la moindre confiance en lui.

"Tu ne connais pas ma mère, elle n'aime personne à part elle et son maître, alors elle m'aurait balancé la vérité à la gueule. Et franchement si mon père aurait raconté ça à une mangemorte c'est qu'il est réellement con. N'essaye pas de rejeter la faute de ta famille sur les autres."

Je soupirais, me laissant tomber sur le dos, observant le ciel bleu, sans pour autant réagir, décidément j'aurais mieux fait de rester au lit ce matin, ou simplement avec mes amis, ça m'aurait évité pas mal de soucis.

"Je pense qu'il va me falloir du temps, je crois que la meilleure chose à faire c'est de passer mes vacances à Poudlard. Si seulement Albus était là..."

Si il y avait une personne à qui je pouvais me confier et qui avait toujours su m'écouter, c'était bien le vieux professeur. A ce triste souvenir, les larmes me montèrent aux yeux sans même que je cherche à les retenir, tout aurait été différent si il n'avait pas été assassiné.

Invité

Je ramenais donc Rakel a Prés au Lard. Il lui faudra du temps, comme elle l'a si bien dit. A Prés au Lard je lui dit :

Erwan-"Je sais que tu ne me crois pas, comme preuve, voilà le flacons de ce souvenir de ton père prend aussi le bocale. Mais promet moi de ne révéler ton ascendance à personne... Crois tu que Lord Vol... Tu-sait-qui t'aurais laissé vivre s'il savait que tu était née de l'Ordre et des Mangemort ?"

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