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 Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]

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Nymphadora Tonks
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeDim 4 Sep - 18:10




    … Elle allait gagner, elle allait gagner, elle allait gagner. Elle le voyait clairement dans son regard, le lisait sur son visage, dans son agissement. Elle le sentait craquer... A moins que c'était parce qu'elle aussi se sentait sensiblement craquer qu'elle le voyait si facilement chez lui ? Comme s'il était l'exact reflet d'elle-même en cet instant... En tous cas, elle sentait des sortes de petites secousses dans son estomac et une chaleur diffuse envahir de son estomac jusqu'à la moindre parcelle de ses membres en sentant sa main glisser et caresser chaque centimètre de sa peau déjà brûlante et ultra sensible au moindre contact sur sa peau. L'esprit en ébullition qui était le sien n'avait même plus lieu d'être et il était hors de question de rester sérieuse... comme elle le lui avait maintenu tout à l'heure. Tant pis, elle ne serait pas raisonnable. Elle en avait assez d'être raisonnable ! Et puis d'ailleurs, elle n'avait jamais été considérée comme étant très raisonnable, alors... Autant continuer dans la lignée de ce que les autres pensait de soi, surtout lorsqu'à côté vous étiez soumis à différentes vagues successives d'émotions. Alors elle ne serait pas raisonnable parce qu'elle n'avait aucune envie de l'être. Elle l'était bien suffisamment ! Et puis, comment pouvait-on ne pas craquer lorsque... Lorsqu'on vous couvrait de baisers brûlants et de caresses tout autant tendres et passionnés...

    Elle ne tiendrait pas... Se dit-elle Elle ne tiendrait pas... Si, il le fallait. Elle tiendrait. Elle se concentra et ferma les yeux, essayant de faire abstraction de chaque frissonnement dont son corps était saisi au contact de ses mains sur son ventre. Si, elle tiendrait ! Même si c'était de plus en plus difficile en sachant ses mains glisser si lentement et doucement ses doigts sur son ventre, faisant durer le plaisir. Elle avait montré le chemin en le guidant au début, mais il n'eut aucun mal à poursuivre seul à vrai dire... Il le faisait très bien tout seul, il suivait parfaitement le chemin... Comme s'il avait déjà fait cela au moins dans sa vie. D'ailleurs, peut-être était-ce exact ? Elle se demanda s'il avait déjà sortit avec d'autres femmes qu'elle ? Elle le voyait mal à vrai dire, surtout après avoir passé des mois et des mois à essayer de lui faire comprendre qu'il n'était pas quelqu'un que l'on méritait, qu'il n'était pas quelqu'un qui pouvait connaître une vie de couple normale... - d'un côté, avait-elle déjà dit qu'elle avait voulu une vie de couple dite « normale » ? - Non, elle le voulait lui... Personne d'autres. Pas une vie de couple normale, tranquille forcément... Elle le voulait lui.

    Il n'empêche que maintenant sa curiosité avait été réveillée à ce propos et elle chercha son regard pour le plonger dans le sien, ne pouvant s'empêcher de se demander si ce torse sur lequel elle avait passé ses mains aujourd'hui avait déjà été touché et exploré par d'autres que les siennes. Elle aimait l'idée qu'elle en soit seule privilégiée mais avant de la connaître, il avait eu une vie aussi... Après tout, elle ne voulait que son bonheur... Ses pensées furent interrompues lorsqu'elle ses sentit se mains se rapprocher et effleurer sa poitrine... Très près... Une nouvelle vague de chaleur l'engloutit et elle trouva vraiment son haut de trop. Si Remus n'avait pas décidé peu après de le lui ôter, sans doute n'aurait-elle plus tenu longtemps non plus. S'il ne s'était pas relevé pour le lui enlever, sans doute l'aurait-elle fait en l'envoyant voler à l'autre bout de la pièce. Taadaaaam, et les voici à égalité.

    D'un côté elle avait gagné ; c'était lui qui l'avait enlevé ! De l'autre, il avait également presque gagné, même si elle ne le dirait jamais... Elle aimait bien l'idée d'avoir une part de victoire aussi, comme quoi il n'était pas si fort que cela puisqu'il avait réussi à le faire succomber le premier ! Il s'empara à nouveau de ses lèvres et un soupir de contentement ne put l'empêcher de s'échapper d'entre ses lèvres tandis qu'elle l'amenait à se serrer plus proche d'elle. Ce que c'était vraiment superflu les vêtements, parfois ! Elle était beaucoup plus à l'aise sans, parfois... On état plus libres de ses mouvements... Et surtout, c'était plus gênant... Lorsqu'on voulait se sentir toujours au plus près de quelqu'un...

    A égalité. Un petit sourire s'esquissa à ses lèvres tandis qu'il lui murmurait ces quelques à l'oreille. La jeune femme se sentit frémir rien qu'à sentir son souffle près de son oreille... Son cœur manqua un battement lorsqu'elle sentit sa main glisser le long de son bras, allant jusqu'à sa main pour s'en saisir. Elle allait finir par défaillir, assurément, s'il continuait ainsi à couvrir à la fois son cou, son visage... Et la poitrine. Ses yeux se fermèrent et elle se contorsionna légèrement sous son souffle qu'elle sentait glisser sur sa peau, déposant le goût envoûtant de ses lèvres. Elle rouvrit les yeux. Elle avait chaud, très chaud … Et son désir transparaissait à fleur de peau. Toutes ces caresses et ces baisers étaient venus à bout de sa propre volonté et bien qu'elle ne voulait aller trop vite mais au contraire profiter de tous les instants, elle ne pouvait plus … Se retenir. Elle avait gagné une manche, il en avait gagné une aussi l'autre jour. Ils étaient à égalité tout comme ils étaient à égalité ici, sur ce lit, en s'étant débarrassé d'une partie de leurs vêtements... Il en restait toutefois une partie. Elle avait gagné une manche, ils étaient un partout... Ce n'était qu'un jeu cependant, et peu lui importait complètement qu'il gagne la manche suivante.

    L'écartant légèrement, elle se redressa sur les coudes et alors qu'elle l'observait du même regard espiègle, passionné, amoureux, elle se « se jeta » de nouveau sur lui avant de le basculer en arrière et de s'emparer de nouveau de ses lèvres, couvrant de ses mains chaque parcelle de lui qu'elle pouvait atteindre ; ses lèvres glissèrent avec passion de ses lèvres à ses épaules en passant par son cou, chaque baiser se faisant de plus en plus fiévreux. Passion, tendresse se dégageait de chacun de ses gestes et ses lèvres exploraient chaque parcelle de son corps avec une ardeur renouvelée et une fièvre inaccoutumée. - ce qu'elle pouvait atteindre du moins.

    Une fois partie, rien ni personne ne pourrait sans doute l'empêcher de continuer loin, très loin... La machine était en route. Elle était en pleine forme, très en forme même, le cœur battant à mille à l'heure dans sa poitrine et ses lèvres comme ses mains ne semblaient jamais suffisamment rassasiées puisqu'elles ne cessaient de couvrir chaque parcelle de son corps avec une ardeur et une passion jamais encore démontrée. Impossible de l'arrêter, impossible d'arrêter ses mains non plus dans ses caresses de plus en plus fiévreuses, se posant quelquefois su ses hanches remontant le long de sa taille ou se promenant aux abords de sa ceinture. Ses lèvres ne cessaient de l'embrasser, son corps de se presser contre le sien et ses mains de circuler librement, couvrant fiévreusement chaque parcelle de son corps sous ses baisers et son toucher enflammés... Elle ne réfléchissait plus, non plus du tout même. Elle ressentait uniquement et réagissait simplement aux impulsions de son propre corps seulement soumis à la passion des sentiments qu'elle ressentait pour lui. Sentiments envers ce seul homme. Hallucinant ce qu'une seule personne pouvait à ce point nous faire perdre la tête... Pourtant, c'était bien ça en quelques sortes... Et ce qu'elle ressentait, elle ne l'avait jamais ressenti avec autant de force... Avec personne d'autres.

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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeDim 4 Sep - 19:40



Remus savait, il sentait que Tonks était de plus en plus brûlante de désir, tout comme lui l’était aussi. Il suffisait de voir à quel point ils frissonnaient tous les deux sous les caresses de l’autre, à quel point leurs baisers étaient fiévreux pour comprendre toute la passion qui les animait.
N’importe quel étranger qui serait venu les voir dans cette cabane pourrait comprendre à quel point leur amour était fort, intense. Remus n’en pouvait plus, il ne pouvait plus se retenir de désirer encore et encore la femme avec laquelle il se trouvait à cet instant. Ses caresses étaient tantôt tendres, tantôt brûlantes de désir. Il voulait connaître la moindre de ses courbes par cœur. Elle l’avait guidé à travers les vagues sinueuses de son corps et il ne pouvait plus s’empêcher de parcourir la moindre de ses formes. Il ne pouvait s’empêcher de couvrir la moindre parcelle de sa peau de baisers fiévreux. Il lui appartenait entièrement à cet instant, et elle aurait pu faire exactement ce qu’elle voulait de lui. Jamais Remus n’avait connu telle passion, avec qui que ce soit. Il avait bien sûr eu quelques flirts, souvent des rendez-vous organisés par ce beau diable de Sirius, mais ces rendez-vous n’avaient jamais aboutis à quelque chose de concret. Jamais il ne s’était laissé approcher de si près par une femme dont il était réellement amoureux. Et c’était ce qui rendait l’acte encore plus délicat pour lui : il savait qu’il la reverrait. Il savait que le lendemain matin, il se réveillerait dans les bras de Tonks. Il savait que rien ni personne ne viendrait les séparer et que rien n’effraierait désormais cette femme incroyable avec qui il était en train de passer l’un des moments les plus intenses de sa vie.
Voldemort pouvait aller se rhabiller : rien ne valait au niveau de l’adrénaline un moment d’amour avec Tonks.

Oh oui elle avait gagné. Il avait ôté son haut, elle avait gagné. Elle avait gagné car en réalité, il ne supportait plus la présence de ce vêtement inutile qui ne faisait qu’entraver un peu plus la découverte de son corps. Il avait besoin d’avoir le champ libre pour vaquer tranquillement à ses occupations. Il voulait toucher chaque centimètre de sa peau, il voulait sentir chaque centimètre de sa peau, il voulait goûter à chaque centimètre de sa peau. Et elle le laisserait faire parce que dans le cas contraire, il serait de très mauvaise humeur. Mais pourquoi refuserait-elle après tout. Elle en avait autant envie que lui, il pouvait le lire dans son regard. Son regard, c’était d’ailleurs la première chose qui avait accroché le loup-garou.
Lorsqu’il avait rencontré Tonks pour la première fois, ce n’était pas ses cheveux de couleur changeante, ou encore son corps de déesse ou son sens de l’humour et de la maladresse, mais ses yeux qui avaient attirés son attention. Ils exprimaient tellement de choses incroyables, ils reflétaient réellement son âme.
Tout ce qu’elle ressentait, tout ce qu’elle désirait, tout la tristesse ou la joie qu’elle pouvait éprouver, il pouvait tout voir dans ses yeux. Certains pourraient penser qu’il s’agissait d’une faiblesse mais Remus avait toujours été sous le charme de ses yeux. Raison pour laquelle parfois, il s’en voulait tellement de lui refuser ce qu’elle désirait si ardemment : son amour. Parce qu’il voyait dans ses yeux qu’elle en souffrait. Mais à l’époque, il ne pouvait pas faire autrement. Aujourd’hui, les choses avaient changé et il voyait dans ses yeux qu’elle appréciait le changement. Qu’elle l’appréciait grandement.

Alors qu’il était en train de la couvrir à nouveau de baisers, il se sentit basculer sur le côté et c’est elle qui reprit l’avantage. Et cela ne le dérangeait pas du tout. Pas du tout. Tout ce qu’il ressentait en cet instant était intense, plein de fièvre, de bonheur… Il ne savait exactement comment décrire ce qu’il ressentait à l’intérieur de lui, mais c’était très intense.
Il se laissa complètement dominer par Tonks. Elle était de plus en plus torride, la situation était de plus en plus chaude et bientôt plus rien ne pourrait les arrêter. Il sentit les mains de la femme qu’il aimait glisser inexorablement vers ses hanches, remonter lentement avant de glisser à nouveau près de sa ceinture. C’était dingue, complètement dingue ! Qui aurait cru ça alors que la conversation avait démarré sur un « sors de cette chambre », ou presque.
Mais alors que la situation semblait on ne peut plus propice à un rapprochement intense, Remus eut une drôle de sensation. Dans son champ de vision, uniquement la belle Tonks, à moitié nue (ou presque), sur lui, à parcourir son torse de ses deux mains fines et douces.
Mais en tournant légèrement la tête, il se rendit vite compte que l’un d’entre eux perdait du sang, et il était quasiment certain qu’il ne s’agissait pas de Tonks.
Mais bon, cela ne pouvait pas être une blessure importante puisqu’il y avait peu de sang sur le matelas.
Cependant, il connaissait Tonks et il savait qu’elle q’inquiéterait pour pas grand-chose. Alors, il essaya discrètement de déplacer sa tête et de la placer sur la tâche de sang. Ainsi, avec un peu de chance, elle ne verrait rien et ils pourraient continuer les choses exactement comme elles se déroulaient.
Il posa ses mains sur les hanches de la jeune femme et les glissa lentement, très lentement sur ses fesses.
Remus s’empara à nouveau des lèvres de sa belle, comme si jamais plus il ne voulait les quitter. Le baiser fut intense, agréable, très langoureux. Un ballet de langues dans lequel les deux essayaient d’avoir le dessus sur l’autre tout en lui donnant une dose égale de plaisir. Et Tonks savait exactement comment s’y prendre. Comme si elle avait fait cela toute sa vie. Une question qu’il devrait lui poser quand ils seraient moins occupés.

Mais alors que les choses semblaient bien parties, cette fois ce fut un bruit qui vint troubler l’esprit de Remus. Un bruit qui venait de la pièce principale. La porte venait de s’ouvrir et de se reclaquer très brusquement. Il y eut des bruits de pas lourds et un bruit de tasse. Il y avait quelqu’un dans la cabane, quelqu’un qui connaissait les lieux et une démarche que Remus identifia comme celle de Kingsley. Mince… Le chef de l’Ordre du Phoenix qui s’était endormi en lui depuis de nombreuses minutes se réveilla, et malgré les caresses de Tonks, il se redressa légèrement, la regardant toujours dans le plus profond de ses yeux. Ses mains toujours posées sur ses hanches, la vue imprenable sur son décolleté toujours bien présente, il lui demanda, murmurant, presque dans un élan de supplication :

Dis-moi que je n’ai pas entendu quelqu’un rentrer ?

Si quelqu’un était entré, Kingsley comme il le craignait, cela signifiait qu’ils devaient faire moins de bruit. Pas nécessairement arrêter toute activité, chose qu’il ne souhaitait pas du tout, mais Kingsley ne devait pas les entendre. Oh bien sûr, cela amènerait une petite dose d’adrénaline en plus de faire l’amour en sachant qu’il y avait quelqu’un à quelques mètres d’eux, mais il comprendrait aussi que Tonks ne veuille pas prendre le risque.
Bizarrement, lui était plutôt tenté par l’aventure.
Mais bien sûr, ne souhaitant pas forcer la main à Tonks, il attendit un instant. Il voulait savoir ce qu’elle pensait. Mais lui ne pouvait pas attendre. Elle l’avait tant fait frissonner, elle lui avait donné du plaisir comme jamais il n’en avait eu et il n’avait pas l’intention que cela s’arrête comme ça.
Il glissa une main dans son dos, lentement, la fit glisser juste en dessous de sa bretelle de soutien-gorge, qui tomba sur son épaule et lui lança un petit sourire taquin.
Ils resteraient là le temps que Kingsley était dans le salon, c’était certain. Mais que pourraient-ils bien faire ensemble dans cette chambre vide ?
Il s’approcha lentement de son oreille, y déposa un doux baiser avant de lui murmurer :

Je te préviens : J’ai très envie de toi.

Pas le genre de mots que l’on aurait pu entendre dans la bouche de Remus Lupin habituellement. Mais rassurez-vous, il n’y a que dans le cadre de cette chambre, avec cette personne précise que cela arrivera. En temps normal, même quand ils seront hors d’état de nuire, même quand Voldemort sera mort, Lupin ne se comportera jamais comme ça en public avec Tonks. Tout dans la retenue. Mais voila, ici ils étaient seuls, et il pouvait lui dire exactement ce qu’il voulait, ce qu’il pensait.
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeLun 5 Sep - 0:33




    … Là, c'était certain mais partie comme elle l'était, Tonks se laissait totalement aller. Un frisson glacé la saisit lorsque ses mains glissèrent sur ses hanches, allant se poser sur ses fesses. Elle n'avait même pas conscience de l’inquiétude soudain de Remus pour quelques tâches de sang qu'il avait senti couler à sa tête – parce que si elle en avait été consciente, vous pouvez être certaine qu'elle aurait reprit directement son sérieux et également ses soins, mais lorsqu'il y eut du bruit à côté, dans la pièce, elle ne s'en rendit pas non plus compte immédiatement... Ce ne fut que lorsqu'elle sentit le lycan l'écarter puis se redresser doucement qu'elle commença à se dire que quelque chose n'allait pas... « Remus ? » demanda t-elle, soudain inquiète alors qu'elle avait roulé sur le côté et qu'elle se redressait sur les bras, tandis qu'elle posait un regard surprit sur lui. Son regard semblait dirigé vers quelque part en direction de la porte et suivant ses yeux, elle posa elle-même les yeux sur la porte. La température de la pièce semblait avoir chuté d'au moins trente degrés... Du moins, ce fut son impression.

    Il ne semblait pas même avoir entendu son interpellation, concentrée sur cette porte au-delà de laquelle elle commença en effet à entendre quelques... Bruits. Quelqu'un venait-il d’entrer ? Cela faisait-il longtemps... Qu'il était là ? La jeune ressentit un frisson d'appréhension au fond d'elle. Avait-il entendu ?! Qui était-ce ? C'était forcément quelqu'un de l'Ordre en tous cas, forcément... Et puis de toutes façons, pourquoi s'inquiétait-elle soudain qu'on les ait entendus ? Cela n'avait guère d'importance, ils... Heu, après tout ils s'adonnaient à des pratiques sportives que des personnes amoureuses pratiquaient souvent... La jeune femme s'était pourtant figée elle aussi et elle écoutait attentivement, retenant même son souffle qui avait reprit une allure un peu plus régulière et normale. Cela devait-il se terminer ainsi ? Devaient-ils se rhabiller ? Ou... Enfin, ils pouvaient aussi juste s'allonger l'un à côté de l'autre et se reposer. Tonks était capable de rester allongée, sans bouger – Exploit ! - tant qu'elle l'était aux côtés de Remus. Rien ne pouvait l'en faire bouger. Simplement le fait d'être allongé près de lui, contre lui, fermer les yeux en se sentant enfermée dans ses bras lui procurerait le réconfort et tout ce dont elle avait besoin. Simplement sentir la chaleur de son corps contre le sien, son étreinte autour d'elle. Elle sentit ensuite son regard s'enfoncer dans le sien et les mains toujours sur les hanches, il lui demanda de la rassurer sur le fait qu'elle n'avait pas entendu … Quelqu'un entrer. Elle n'avait rien répondu, mais son regard s'était tourné vers la porte et elle avait même esquissa un geste pour se lever. Elle changea cependant d'avis. Elle n'avait pas envie de sortir de la chambre.... La chambre où il faisait si chaud y vivre. Peut-être qu'il l'individu qui était là n'allait pas rester longtemps... En attendant, ils devraient rester silencieux. Silencieux... Ce qui indiquait... Plus de galipettes sur le lit !

    Quoique ce serait amusant... Mais non, reste sérieuse Tonks, il y a quelqu'un juste à côté... Juste à côté ! Alors mets-la en veilleuse, le temps qu'il s'en aille... Et s'il avait l'intention de rester ?! Non, il n'allait sans doute pas rester toute la journée durant. Il avait certainement bien d'autres choses à faire. En ce qui la concernait, elle n'avait rien... Elle était en fin de semaine, donc en vacances. En petites vacances. Elle ne travaillait pas aujourd'hui, et... Peut-être que celui à côté aussi ? Il pouvait ainsi rester dans la maison de longues heures... Ils allaient être condamnés à dormir... Remarque, tant qu'il s'agissait de dormir à côté de Remus, elle était partante. Tant qu'il était là, elle pouvait tout accepter. Elle était partante pour ce qui la concernait de rester le plus silencieusement du monde, allongée l'un à côté de l'autre, profitant juste de la présence de l'un comme de l'autre...

    Ce n'était de toute évidence pas l'avis de Remus qui semblait aimer le goût du risque... Et elle devait avouer qu'il ne faudrait pas grand-chose pour accepter elle aussi le goût du risque, le danger de se faire prendre. A genoux sur le lit à présent, elle était toujours immobile. Elle avait tourné le regard vers la porte et le gardait dessus, s'attendant presque à la voir s'ouvrir d'un moment à l'autre. Elle se retenait toujours à peine de respirer... Elle sentit une main se glisser dans son dos mais sur le moment, elle ne soupçonna aucune arnaque ! Elle était loin de penser à ce que pensait actuellement Remus... Après tout, cela ne lui ressemblait absolument pas ! Elle sursauta presque alors lorsqu'elle sentit sa bretelle de soutien-gorge glisser... Sur son épaule. D'instinct elle la retint d'une main et la remit en place. Réflexe. Ne comprenant pas immédiatement, elle crut qu'il avait glissé toute seule... Chose qui serait quand même étrange. Mais tournant légèrement la tête, elle surprit l'expression de Remus qui n'avait rien d'innocent, mais alors rien du tout. Un léger sourire amusé flotta sur ses lèvres mais elle n'eut pas le temps d'ajouter encore quelque chose qu'il s'était rapproché d'elle et de son oreille pour lui murmurer quelques mots, après un doux baiser posé dessus...

    Ces mots la déconcerta au plus haut point et la laissèrent sans voix, même si elle ne put s'empêcher de rire. Se souvenant qu'il y avait quelqu'un à côté, elle s'interrompit et se mit une main sur la bouche pour s'empêcher le moindre bruit. Le silence s'installa de nouveau autour d'eux et elle n'osa parler. Dans la pièce d'à-côté, elle n'entendait rien non plus et elle craignit sur le moment qu'on l'ait entendu s'esclaffer légèrement... Et si elle, ou il, avait décidé de venir s'il y avait quelqu'un à l'étage ?! S'il fouillait les chambres... Et s'ils trouvaient le chef de l'Ordre et l'une des membres à moitié nus sur le lit, en train d'essayer de se faire le plus petit possible pour ne pas se faire entendre. Ça avait... A vrai dire, elle trouvait cela particulièrement amusant. La tête qu'il ferait en les voyant !

    Cependant, ces mots avaient créé aussi un autre sentiment au fond d'elle et malgré l'incrédulité qu'elle en ressentait, elle ne pouvait s'empêcher d'en être emplie de joie. En elle, les mots avaient créé un drôle d'effet. Elle n'avait pu empêcher un long frisson de la parcourir... Ces petits mots murmurés, semblait emprunts de cette magie unique qui s'appelait amour, chacun de ces mots la firent frissonner lorsque murmurés à son oreille. Il la désirait... Même en sachant qu'il y avait quelqu'un à côté et qu'ils pouvaient se faire entendre à n'importe quel moment, il était prêt à prendre le risque ?! Mais où était donc Remus Lupin ?! Qu'en avait-elle fait... ?!

    Un sourire mutin s'accrocha à ses lèvres tandis qu'elle se rapprochait, elle fit glisser ses lèvres dans son cou et remonta jusqu'à son oreille pour y laisser échapper les mots suivants … « Alors viens donc l'enlever toi-même... Si tu l'oses... » Elle égara ses doigts le long de ses hanches avant de s'écarter doucement. Il en avait fait glissé une bretelle, elle était tombée sur son épaules, alors qu'il vienne enlever les deux en même temps, non ? Tout en sachant qu'il y avait quelqu'un à côté... Elle saurait bientôt s'il en allait avoir le cran, le cran de continuer ! Un léger sourire s'étira sur ses lèvres, le mettant presque au défi de venir, d'approcher... Elle verrait bien si le Remus Lupin qu'elle connaissait normalement allait reprendre le dessus, ou si au contraire il avait laissé cet autre au placard, pour aujourd'hui en tous cas. Cela ne devrait durer que quelques secondes et durant ces quelques secondes, elle resta les yeux fixés sur lui, sans ciller, à attendre qu'il vienne, un léger sourire de défi sur les lèvres... Allait-il vraiment l'oser, allait-il aller jusqu'au bout de ce qu'il semblait vouloir ?! En tous les cas, il la surprenait de plus en plus aujourd'hui...
    Pour le moment, elle n'avait encore rien vu de l'étrange tâche de sang présente sur le matelas... Va savoir si cela allait durer...
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeLun 5 Sep - 8:47



Elle n’avait même pas entendu les bruits, beaucoup trop concentrée dans ce qu’ils étaient en train de faire. Même les bruits de tasse, de pas ne l’avaient pas déconcentrée. C’était son expression à lui qui l’avait troublée. Remus était inquiet. Le chef qui était en lui était remonté à la surface et il s’inquiétait. Il s’inquiétait d’entendre des bruits de pas dans l’escalier, il s’inquiétait d’entendre quelqu’un entrer dans les chambres pour finalement tomber sur eux, à moitié nus, dans la chambre.
Mais la personne qui se trouvait dans la cabane ne semblait pas vouloir monter à l’étage, ce qui était une très bonne chose pour eux. Mais malheureusement, l’inquiétude que Remus avait montré s’était reflétée sur son visage et Tonks l’avait très bien remarqué. Elle l’avait interpellé mais il n’avait pas répondu, trop concentré sur la porte de la chambre. Il avait peur que quelqu’un entre et les surprenne dans une position pas très confortable. Pour cette personne en tous cas, parce que lui trouvait la position très confortable.
Beaucoup de membres de l’Ordre appartenaient au ministère de la magie ou avaient été envoyés par Remus lui-même en mission. Il savait précisément qui pouvait être susceptible de rentrer, et la seule personne qu’il voyait, c’était Kingsley. Ou alors un des Weasley. Sauf Ron. Donc c’était sans doute l’un d’entre eux. Mais ils ne tarderaient pas, ils avaient tous quelque chose à faire, de bien plus important que de se trouver dans la cabane à cet instant.

Remus était en train de jouer avec les bretelles de soutien-gorge de la jeune femme. Mais elle était bien trop occupée à garder le regard posé sur la porte. Il continuait. À faire glisser sa bretelle doucement sur son épaule.
Mais elle ne voyait toujours rien, elle la remettait systématiquement. Mais alors qu’elle tourna les yeux vers lui, elle se rendit vite compte que le geste était tout à fait délibéré. Il avait un petit regard amusé sur le visage et elle commençait à sourire aussi. Il lui avait murmuré à l’oreille qu’il avait envie d’elle et elle ne put s’empêcher d’étouffer un rire. Tonks semblait vraiment avoir peur qu’on les entende, mais pas lui.
Il ne voulait plus attendre et d’ailleurs, ça se voyait de plus en plus sur son visage. Remus avait une très grande envie qui grandissait encore et encore au fond de lui. Il avait l’impression que ça allait être très amusant de faire en sorte de ne pas être entendus.
Il lui lança un petit clin d’œil et continua de caresser la moindre partie de son corps alors qu’elle tentait de ne faire aucun bruit. Lupin trouvait la situation très amusante. Habituellement, Tonks aurait été celle qui aurait le plus cherché Remus mais dans cette situation précise, c’était le contraire. Il voulait la chercher et pour ça, il utiliserait tous les moyens mis à sa disposition. Il avait très envie d’elle et pour le lui prouver, il avait bien l’intention d’utiliser toutes les tactiques. Et ce même si Kingsley ou n’importe quel Weasley se trouvait dans la pièce juste en dessous de la leur.

A nouveau, ses mains se baladèrent dans son dos, sur son ventre, le long de ses bras, avant de faire glisser lentement ses doigts sous les bretelles pour les laisser tomber sur ses épaules.
Mais elle était toujours à genoux et ça ne plaisait pas beaucoup à Remus, elle n’était pas assez proche.
Une petite pression sur sa taille fine et elle glissa un peu plus sur lui, posée sur son torse. Beaucoup mieux, il pourrait profiter de chaque geste.
Doucement, il passa sa main dans les alentours de l’attache de son soutien-gorge et il le dégrafa. Il eut un petit regard amusé, un sourire s’afficha sur son visage et il la retourna ensuite. C’était maintenant elle qui se trouvait allongée sur le matelas. Et ben oui, il en avait marre lui aussi d’être celui qui était allongé. Le seul problème auquel il n’avait pas pensé, c’était cette fichue tache de sang. Tache qui était maintenant beaucoup plus visible pour Tonks, il suffisait qu’elle tourne légèrement la tête.
Mais cela n’avait à cet instant aucune importance. Mais il était hors de question que les choses se passent aussi facilement. Il avait envie de la faire patienter encore un peu. Il laissa le morceau de dentelle dégrafé posé sur sa peau, mais il ne tenait plus à rien. Il posa de doux baisers sur son ventre, autour de sa poitrine, tendrement. Mais Remus continuait à la chercher, petit jeu qu’il finissait par trouver très amusant.
Il se rapprocha d’elle, l’embrassa dans le creux du cou et lui murmura :

Moi j’ose… Mais toi ?

Il déposa un autre baiser dans son cou puis redescendit lentement, très lentement, vers sa poitrine. Il voulait la faire craquer. Lui avait déjà craqué deux fois aujourd’hui, il ne craquerait pas une troisième fois.
Il se recula lentement, déposa ses mains sur la taille de Tonks et entendit à nouveau un bruit venant d’en-bas. La porte venait de claquer à nouveau mais aucun bruit de pas n’avait suivi. Ce qui signifiait deux choses : soit la personne qui venait d’entrer portait des pantoufles (ce qui était absolument impossible), soit la personne venait de sortir et non d’entrer. Ce qui se révélerait être une très bonne chose pour eux. Ils pourraient enfin reprendre leurs activités sans se soucier d’être bruyant ou non. Et c’est exactement ce qu’il se passa.
Remus se rendit compte qu’il n’y avait plus personne à part eux dans la cachette, et qu’ils pouvaient donc se laisser aller à toutes sortes d’activités aussi bruyantes qu’ils le désiraient. Et il comptait bien la faire crier.
Il caressa le visage de Tonks, y déposa un puis deux baisers pendant que son autre main remontait doucement le long de son bras. Puis il se rapprocha à nouveau de son oreille :

Je crois qu’on est à nouveau seuls.

Il eut un petit sourire taquin puis repris ses activités. Mais une chose continuait de l’inquiéter : si jamais Tonks, d’une manière ou d’une autre, arrivait à voir cette tache de sang située juste à côté de sa tête. Elle allait hurler. Non pas de peur, mais elle allait se demander d’abord si cela venait d’elle, et ensuite pourquoi Remus était-il en train de perdre du sang. Il ne savait pas d’où cela provenait mais il pensait sincèrement que cela venait de sa nuque, ou de l’arrière de sa tête. Il avait dû se cogner quelque part au cours de la nuit mais il ne sentait rien. Il n’y avait pas tant de sang que cela et il n’avait pas mal, ce qui indiquait que la blessure n’était pas grave.
Mais il suffirait que Tonks voit la tache pour qu’elle cesse toute activité complémentaire avec lui, et il en serait fini de leur petit jeu. C’est pourquoi il essayait de se faire le plus discret possible, et de continuer à vaquer à leurs occupations. S’il arrivait à la garder occupée, s’il continuait à la déshabiller de la sorte, elle ne tournerait peut-être pas la tête et donc ne se soucierait pas de cette tache.
Mais ce fichu morceau de dentelle lui entravait toujours le chemin. S’il s’en débarrassait lui-même, elle aurait encore gagné mais aujourd’hui il s’en fichait. Il avait déjà gagné une fois, il pouvait la laisser gagner maintenant pas vrai ?

Je crois aussi que je suis bien trop impatient.

A nouveau, il fit glisser encore un peu son soutien-gorge pour enfin avoir une vue dégagée sur l’objet de son désir. Il déposa de tendres baisers dans son cou, et il descendit très lentement vers sa poitrine. Il savait pertinemment qu’elle ne tiendrait plus très longtemps.
Il savait qu’elle en avait envie autant que lui et il savait que la jeune femme frissonnait dans tous ses membres.
Il sentait chaque frisson, il sentait chaque tressaillement de Tonks. Parfois même, elle fermait les yeux pour profiter chaque fois un peu plus de ses caresses. Et de ses baisers qui se faisaient de plus en plus insistants.
Un frisson, sur sa peau aussi, lui fit comprendre que jamais il n’avait pris autant de plaisir qu’aujourd’hui. Jamais.
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeLun 5 Sep - 14:38



    De toute évidence, il n'avait pas l'intention de cesser toute activité, même en la présence de Kingsley. Elle ne le reconnaissait vraiment pas qui, sous son influence (!) avait changé du tout au tout, enfin... Evidemment que dès l'instant où ils seraient en-dehors de cette pièce, le vrai, celui d'avant comme celui de maintenant. Elle aimait les deux... L'un aussi discret que réservé, l'autre aussi... Comment dire... Entreprenant, et passionné. Et il avait certainement raison, elle allait finir par craquer. Mais n'avait-elle pas déjà craquer à vrai dire ? N'avait-elle déjà pas commencé à craquer avant que Kingsley n'arrive... Et qu'ils ne soient interrompus. Vraiment, si Kingsley n'était pas venu, elle ne savait pas jusqu'où elle serait allée, mais elle se sentait partir... Irrémédiablement. La visite de Kingsley avait soudain refroidie l'atmosphère et tout avait paru se figer. Et maintenant... Maintenant... Ils attendaient ? Elle, en tous cas, elle attendait... Parce qu'il avait l'air d'avoir trouvé un jeu bien marrant pour sa part et bien qu'elle la remontait à chaque fois, il continuait sans cesse de lui descendre sa bretelle... Quel gamin ! Etant donné qu'elle avait commencé à douter au bout de la troisième que cela ne pouvait se faire tout seul, elle avait tourné la tête et alors son expression ne lui avait pas échappée. Il avait un air trop innocent pour que cela soit … Vrai.

    Elle était toujours plus ou moins inquiète qu'on les entende. Pas forcément pour elle – elle, elle s'en fichait un peu qu'on la voit nue... Enfin, elle n'avait pas honte de son corps quoi... - C'était pour Remus plutôt qu'elle s'inquiétait parce qu'elle savait qu'il était très pudique, en public – parce que par Merlin, là, il ne semblait pas du tout pudique -, elle espérait donc rester dans le calme et ne pas bouger d'aucune sortes, et même de retenir son souffle, jusqu'à ce qu'elle se dise que ce n'était certainement pas ce qu'avait prévu Remus... Ses mains se faisaient de plus en plus insistantes sur elle et à n'en pas douter, même si Kingsley restait là pendant une heure, il avait bien l'intention de continuer leur « jeu »... S'il le faisait exprès pour la faire craquer, il était sur une bonne voie en tous cas. Elle devait se retenir énormément en elle-même pour ne lui sauter dessus sans égard pour l'individu se trouvant à côté. Et zut pour Kingsley !

    Il ne pouvait pas rester longtemps de toutes façons... Il allait forcément partir. Qu'y avait-il à faire ? Si c'était Kingsley, il ne venait d'ailleurs guère souvent en visite de courtoisie en-dehors des réunions... Elle ne l'y avait jamais vu en tous cas... Sauf en cas d'urgence. Elle avait bon espoir qu'il s'en aille sous peu de temps... Elle était d'accord pour attendre un peu, simplement rester allongé côte-à-côte, le temps qu'il s'en aille... Vraisemblablement, Remus avait d'autres projets. Cela ne faisait aucun doute quand elle le voyait jouer avec ses mains de cette manière si particulière... Manière si particulière d'ailleurs qui avait pour effet de ne jamais la laisser insensible. Il la cherchait, il n'y avait aucun doute ! Lui, d'habitude si réservé... Etait le premier à venir la chercher ! Mais il ne faudrait pas non plus trop la tenter, de nouveau... Qu'il y ait Kingsley ou pas.

    Clairement, pour répondre à la réponse qu'elle lui avait murmuré, il osait. Il osait même beaucoup d'ailleurs... A sa question il ne répondit rien du tout mais le clin d'oeil qu'il lui envoya fut plus efficace que n'importe quelle parole. Sans plus s'occuper de l'invité surprise qui se trouvait à côté dans la pièce et de nouveau la température de la pièce lui sembla presque d'une chaleur insoutenable... Si sa pensée précédente était pour son inquiétude vis-à-vis de quelqu'un à côté, cette dernière pensée s'effaça très bientôt pour ne laisser place qu'au plaisir ressenti chaque fois ses mains glissaient sur son corps. D'une petite pression sur son corps et celui-ci, très obéissant, se courba pour venir reposer contre lui... Oh mais il n'avait toujours pas fini ! D'ailleurs, une fois qu'il était partit lui aussi, ne pouvait vraisemblablement plus s'arrêter, et tant pis s'il y avait du monde à côté... Cette fois, c'est elle qui se retrouva allongée et à essayer de... Résister aux caresses de plus en plus insistantes qui essayaient de la faire craquer... D'ailleurs, pourquoi donc y résister ?

    Ne pas craquer, ne pas craquer, faire durer... Le plus longtemps possible... C'était vraiment insupportable, de sentir ainsi ses lèvres et ses mains incessamment glisser le long de son corps, caresser tout entier chaque parcelle de ce qu'il pouvait atteindre... Heureusement qu'il avait jugé bon de dégager un peu le sous-vêtement dissimulant encore à ses yeux sa poitrine. D'ailleurs, s'il continuait ses caresses sur cette partie ultra sensible, c'est elle qui n'allait plus pouvoir se retenir... D'un côté, son intention était évidente. C'était exactement ce qu'il cherchait : la faire craquer. La jeune métamorphomage espérait simplement que les soupirs de contentement qui ne pouvaient parfois s'empêcher de passer le barrage de ses lèvres, ne parvenaient pas à passer au-delà de la porte.

    Si elle osait ?! Elle se souvenait encore de ce qu'il lui avait soufflé à l'oreille ! Ah, mais il la prenait pour qui ? Pour une petite nature ?! Il ne fallait pas la tenter de trop ! Qu'il y ait quelqu'un ou personne dans la pièce d’à-côté, cela n'avait guère d'importance, guère d'importance du tout mais... Pour le moment... Elle était bien incapable de parvenir … A dire quoique ce soit, parce que... Parce que... A croire qu'il avait ça toute sa vie ! Mais Tonks se sentait littéralement fondre sous son seul contact... Elle ne savait pas vraiment ce qu'elle ressentait, tout était tellement mêlé et surtout si fort qu'elle était bien en peine de pouvoir donner un nom ou adjectif à chacune des choses qu'elle ressentait en elle ; était-il d'ailleurs possible de ressentir tant de choses tout à la fois ? Elle n'en avait encore jamais encore expérimenté de tel...

    Quelque chose dans mon cœur me parle de ma vie,
    comme un grand mystère qui commence...
    Quelque chose dans mon cœur fait craquer ma vie.
    Une drôle d'envie, une impatience...

    Des voix me chuchotent tout bas...
    Une histoire qui n'est rien qu'à moi...


    … Mais il y eut une nouvelle interruption lorsqu'elle sentit que les baisers de Remus avaient cessé. Quelqu'un d'autres venait-il d'entrer ? Y allait-il avoir TOUT l'Ordre qui allait venir expressément aujourd'hui ?? C'était pas mardi gras ! D'un côté, au moins... Ils pourraient leur annoncer tous en même temps qu'ils sont définitivement ensembles... ! Super ! Les mains toujours sur sa taille, il s'était cependant reculé. Tonks se releva sur un coude, essayant elle aussi d'écouter au-delà de la porte. Il n'y avait plus aucun bruits... Il avait dû repartir. Il y avait eu comme un claquement de porte – il ne pouvait pas refermer dans le silence non ?! Non mais une porte ça se ferme quoi, ça ne claque PAS ! Il allait l'entendre parler tiens le lendemain... Ah... Ben non sinon, il saurait qu'elle avait été là aujourd'hui... Et il se serait demandé pourquoi elle n'était pas venu lui parler si elle avait été là, et... Et, enfin il faudrait du coup tout expliquer... Et... Trop gênant ! Même si Tonks ne ressentait aucune honte évidemment, pas sur ça, mais... C'était privé.

    Et il recommençait... Enfin, il continuait. Et cette fois ils étaient de nouveau seuls. Sans nul doute que rien n'allait le faire changer d'avis. Tonks sentit un nouveau son corps tout entier tressaillir lorsqu'il recommença à poser les mains sur sa peau et à en caresser tout ce qu'il pouvait. Elle ne s'était même pas rendu que soutien-gorge (tiens oui au fait, pourquoi c'est « gorge » après tout?! Ça soutient pas la gorge que je sache !) n'était même pas complètement tombé, mais étant donné de son inutilité actuelle à cacher ce qu'il cachait, autant l'ôter entièrement ; ce dont il se chargea... Enfin, vu qu'à présent comme il était il ne servait plus vraiment à rien, Tonks s'en débarrassa définitivement en l'envoyant à l'autre bout du lit.

    Remus, impatient ? Ce n'était pas du tout ce à quoi elle était habitué... Une nouvelle fois. Totalement dans un monde à part, dans une autre dimension, Tonks n'avait pas eu aperçu la tâche sur le matelas... Et Remus avait intérêt à espérer qu'elle ne finisse pas par le voir...

    Impatient, d'ailleurs, il venait de dire qu'il l'était... Tonks ne pouvait sincèrement le blâmer d'ailleurs. Elle n'était pas mieux. Si elle tressaillait à chaque toucher, à chaque caresse, elle sentait le corps de Remus vibrer au même rythme qu'elle... A l'unisson. Son corps se tendant et frissonnant sous lui, c'est alors qu'elle tourna la tête un peu sur le côté, ne semblant pas voir immédiatement ce que vraisemblablement il voulait lui cacher, … Elle ne fut même pas certaine de bien voir sur le moment, mais soudain elle ouvrit grands les yeux et observa avec des yeux interloqués ce qui se trouvait à côté. Elle se sentit frémir... A moins que ce soit dû encore aux baisers et caresses qu'elle sentait appliquées sur sa poitrine, son ventre ou dans son cou. Un frisson glacé la traversé.... Etait-ce lui qui avait un peu saigné ? Une blessure s'était-elle réouverte ? Oh par Merlin, et s'ils avaient manqué de sérieux... Elle le savait, elle le savait, ce n'était pas... Sérieux ! Elle lui avait dit... Elle ne parvint cependant à finir sa pensée parce son corps sembla se contorsionner légèrement sous la caresse de ses lèvres sur la peau qui continuait de l'explorer, sans égards pour ce dont elle venait de se rendre compte. Peut-être qu'il n'avait pas remarqué ce qu'elle avait remarqué ? Sinon il le lui aurait dit, … Non ? Il était toujours si raisonnable...

    « Remus... Attends... » parvint-elle enfin à prononcer, à la fois dans un murmure inquiet. N'ayant semblé l'entendre la première fois, elle dut réitérer une seconde fois avant qu'elle ne parvienne à se faire entendre. D'un œil attentif, les deux mains appuyées sur son torse, voilà qu'elle s'était relevée légèrement et qu'elle l'observait avec soin chacune de ses blessures qu'elle avait nettoyé puis penser, en se demandant d'un seul coup laquelle avait laissé couler un peu de sang et si c'était grave ou pas.... Elle serait bien mauvaise infirmière si elle avait négligé de ne pas vérifier ses bandages une nouvelle fois... Surtout avec ce qu'elle avait vu sur le matelas...

    … Elle fronça les sourcils, ayant examiné à l'aide de ses mains chacun de ses bandages. Elle ne voyait rien... Mais sans doute que de savoir si l'une de ses blessures avait laissé échappé un peu de sang était bien loin d'être dans les premières préoccupations de Remus...

    « … Ça m'inquiète... » murmura t-elle alors qu'elle observait toujours, une expression anxieuse brillant dans le regard. Elle jeta un nouveau coup d'oeil sur le lit, à la tâche de sang. C'était sans compter que Remus qui de toute évidences auraient sans doute bien d'autres occupations en tête plutôt que de s’inquiéter d'une de ces blessures … « Rem... » commença t-elle avant de pouvoir continuer sur sa lancée...
    A voir dans la suite ce que Remus a décidé de faire...

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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeMar 6 Sep - 18:20



Malgré que Lupin ait toujours très envie de s’amuser, même avec la présence de Kingsley, ou de qui que ce soit d’autre, Tonks semblait beaucoup plus calme tout d’un coup. Elle semblait s’être complètement refermée, l’ambiance était beaucoup plus froide, plus distante. Comme si le fait de savoir que quelqu’un se trouvait non loin d’eux avait ôté tout désir chez la jeune femme. Il savait qu’il suffisait de pas grand-chose pour relancer Tonks mais il voulait d’abord qu’elle se calme, qu’elle se rassure.
Mais par merlin, comment voulez-vous rester calme alors qu’il y a auprès de vous une véritable tentatrice au corps de déesse ? Remus ne pouvait humainement pas rester de marbre. Et oui, parfois il aurait voulu que cette fichue partie humaine chez lui se calme un peu et laisse place à l’animal. Bien que l’animal n’était peut-être pas une bonne idée non plus. Cela risquait d’être encore plus bestial, encore plus viril et peut-être même brutal. L’animal qui était en lui était très attiré par la chair et il se laisserait certainement aller à des considérations tout à fait… sensuelles.

Et puis zut, il avait donné du travail à chacun, y compris à Tonks mais parfois il était bien content qu’elle n’aille pas travailler. Kingsley avait beaucoup de travail, tout comme les autres membres de l’Ordre alors il ne devrait pas rester très longtemps. Et lui n’avait pas envie de rester à ne rien faire. Il continuait ses petits jeux de caresses alors que Tonks essayait de conserver le calme qui ne la caractérisait pourtant pas.
Mais elle semblait effectivement effrayée à l’idée que Kingsley les entende. Peut-être n’avait-elle pas envie d’être vue à moitié nue ? Ou alors elle n’avait pas envie que leur relation soit réellement officielle aux yeux de tous les membres de l’Ordre ? Pour le moment, il se fichait de la raison qui l’animait, il s’en fichait parce que de toute façon, Kingsley ne traînerait sans doute pas longtemps dans les environs.

Les baisers de Remus s’interrompirent quelques secondes, des secondes qui parurent une éternité mais il avait de nouveau entendu un bruit. Un bruit de porte qui claque violemment. Etaient-ils donc incapables de fermer cette porte doucement, comme toute personne normalement constituée le ferait ? Il leva les yeux au ciel mais reprit rapidement l’activité qui était en train de l’occuper. Ils étaient maintenant à nouveau seuls et ils pouvaient s’adonner à leurs occupations sans se soucier de qui que ce soit. Il pouvait maintenant la faire grimper au rideau – au propre comme au figuré si elle le souhaitait – à sa guise. Et il avait hâte de s’adonner à cette charmante expérience. Elle semblait craquer complètement sous ses caresses de plus en plus insistantes. Et il était évidemment ravi de l’avoir enfin fait craquer.
Il eut un petit sourire satisfait lorsqu’il s’aperçut que finalement, elle s’était débarrassée elle-même de l’encombrant soutien-gorge qui prenait beaucoup trop de place à son goût. Effectivement, pourquoi un si petit morceau de dentelle était-il vraiment indispensable ? Après tout, il aurait voulu la voir à chaque instant sans cela. Elle n’en avait pas besoin. Et la vue qui s’offrait à lui valait toutes les vues, tous les levers ou couchers de soleil, tous les corps de femmes du monde. Parce qu’un seul valait vraiment la peine d’être vu. Et c’était celui de la femme qui partageait sa vie.
Il avait toujours autant de difficultés à voir pourquoi Tonks voulait réellement être avec lui. Mais lui savait exactement pourquoi il voulait être avec elle. Et il voyait aussi aujourd’hui ce qu’il avait manqué au cours des dernières années. Il aurait pu être heureux bien plus tôt, mais il avait fallu qu’il attende. Pour de bonnes raisons, du moins dans son esprit, certes, mais tout ce qu’il savait, c’est que jamais plus il ne pourrait se passer de ce corps de déesse qui s’offrait à lui aujourd’hui matin.

Mais alors que ses lèvres parcouraient toujours le corps de Tonks, il se rendit compte qu’elle s’était aperçue qu’une tache de sang s’était formée sur l’oreiller qui se trouvait à côté d’elle. Evidemment qu’elle s’en était rendue compte. D’ailleurs, il se demandait même comment il avait pu y échapper aussi longtemps… Tonks était toujours si prudente avec lui, alors c’était évident que leur instant de plaisir se ternissait peu à peu. Une supplication, puis une seconde. Il devait s’arrêter, il le savait, mais il avait envie d’achever ce qu’il avait commencé. Lentement, ses lèvres remontèrent de sa poitrine vers ses lèvres. Il scella leurs lèvres dans un dernier baiser, long et langoureux, puis finit par se reculer légèrement. Elle avait pris appui sur son torse pour le regarder dans les yeux. Remus pouvait lire l’inquiétude dans le regard de la femme qu’il aimait.
Il savait, il savait que leur relation serait toujours ainsi, ponctuée par les crises d’inquiétude de la jeune Métamorphage, qui s’inquiéterait de l’état de santé de son loup-garou. Mais il ne voulait pas que leur relation soit uniquement basée là-dessus. Il savait que cela ne marcherait pas, parce qu’il ne voulait pas d’une infirmière dans sa vie, il ne voulait pas d’une amie. Il voulait une femme, il voulait qu’elle soit sa femme.
Idée qui avait fait son petit chemin dans sa tête mais il n’y avait jamais songé aussi sérieusement. C’était dans ce genre de moment qu’il se rendait compte à quel point il tenait à elle, et à quel point elle tenait à lui. Surtout, il se rendait compte à quel point il ne voulait plus passer un instant loin d’elle.
Mais il fallait aussi qu’elle comprenne qu’il n’était pas seulement une pauvre victime d’un monstre qui avait grandit en lui.

Pas grave…


Elle était maintenant en train d’analyser chacune de ses blessures, chacun de ses bandages, pour s’assurer que le sang ne provenait d’aucune de ses blessures. Et il la laissait évidemment faire, parce qu’il l’aimait mais aussi parce qu’il avait envie de savoir s’il s’agissait réellement de l’une des blessures de son dos.
Mais il en doutait sincèrement. Il croyait qu’il s’agissait d’une blessure qu’il avait dû se faire à la tête, mais il n’avait pas vraiment envie qu’elle vérifie. Si elle vérifiait, il pouvait être certain que tout était fini pour aujourd’hui… A moins que…
Il plongea à nouveau son regard dans celui de la jeune femme et vit une lueur d’inquiétude qui brillait au fond de ses yeux. Il fallait qu’elle puisse vérifier, au moins pour qu’elle soit rassurée.
A contrecœur, il se redressa et lui tourna le dos, afin qu’elle puisse passer une main dans ses cheveux et voir si la blessure était grave. Il en doutait évidemment, mais elle pas. Elle semblait vraiment inquiète.
Mais avant de se laisser palper dans tous les sens, et même s’il adorait ça, il se tourna rapidement et déposa un baiser tendre, amoureux, sur les lèvres de sa belle. Il posa une main sur sa cuisse, remonta lentement et fini par coopérer.
Mais il boudait hein ! Il n’avait vraiment pas envie mais bon…

Vas-y, regarde. Je crois que c’est à l’arrière de ma tête.

Lupin eut une vague idée. Et si elle vérifiait en échange d’une promesse ? Le genre de promesse qu’elle ne pourrait de toute façon pas trahir. Sauf si elle avait envie qu’il quitte la chambre…

Mais t’as intérêt à être… coopérative après ça…


Il eut un petit sourire taquin sur le visage mais resta calme. Il n’oubliait pas qu’il avait une femme à moitié nue juste derrière lui, la poitrine plaquée contre son torse, et qu’elle avait actuellement les mains qui lui tiraient les cheveux pour chercher une blessure qui ne devait certainement pas être très grave. Par Merlin, il s’en voulait d’avoir cédé à ses inquiétudes… Cette femme avait quand même un effet incroyable sur lui !
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeMar 6 Sep - 21:33



    Pas grave ?! Pas pour elle ! Pendant quelques secondes, Tonks le considéra un instant perplexe, comme si elle n'avait pas saisi ce qu'il avait dit. Pas grave ? Il se fichait qu'une de ces blessures ne soit réouverte ? Cela ne durerait que quelques minutes de toutes façons, pas davantage… Et puis, elle aimait bien jouer l'infirmière... Qu'il le veuille ou non. Elle aimait bien parce cela lui donnait une excellente excuse pour passer ses mains sur lui autant qu'elle le voulait. Quand bien même elle pouvait le faire quand elle le voulait de toutes façons – et surtout aujourd'hui, mais cela donnait quelque chose... De plus... Exaltant.

    … De toute évidence, il ne voulait pas vraiment se faire ausculter. Apparemment, il y voyait des inconvénients... Tandis que de son côté, Tonks n'y voyait que des avantages. Je sais ce que vous allez dire, vous allez dire, oh la vilaine !... Non, pas du tout... Elle profitait juste un peu... De son statut d'infirmière qu'elle n'échangerait avec personne d'autres. En tous les cas, s'il n'avait semblé d'accord au premier abord, il lui laissait examiné ses bandages comme elle le voulait – elle pouvait presque sentir sa peau frissonner sous ses doigts... Alors qu'il aille lui dire qu'il n'aimait pas qu'elle vérifie ses blessures, et elle ne le croirait pas ! Quoiqu'il en soit, elle prenait bien son temps... Faisait-elle exprès de traîner un peu ? Peut-être mais... Elle voulait bien vérifier que tout allait bien. C'était important pour elle. Elle ne voulait pas négliger son état de santé... Même s'il lui avait répété qu'il allait bien, voire même plus bien que jamais. Elle le croyait. Elle le croyait lorsqu'elle le regardait dans les yeux... Elle le voyait, et elle savait qu'elle était pour beaucoup dans cela.

    Il se retourna ensuite, presque à contrecoeur afin qu'elle puisse vérifier si cela ne venait pas de sa tête. Avant d’obtempérer cependant, il emporta un dernier baiser, tendre, amoureux en laissant sa main remonter le long de sa cuisse. Avec un petit sourire, il se laissa ensuite faire. C'est qu'il devenait obéissant le petit Remus... songea t-elle, amusé. Il n'aimait pas beaucoup lorsqu'elle lui passait une main dans les cheveux, lorsqu'elle le « décoiffait » , ; elle le savait, elle le voyait... Mais là, elle avait une bonne raison de le faire, et elle n'allait pas s'en priver... Elle avait bien pris le temps de glisser les mains sur tous les bandages et toutes les parties de son corps (ah non pas toutes en fait, mais ce qu'elle pouvait avoir d'accessible quoi...) et cela ne pouvait venir que de sa tête. Elle espérait que ce ne soit pas trop grave... Parce qu'elle ne voulait pas quand même compromettre leur journée.

    « Coopérative ? » répéta t-elle, amusée. « … Et si je le suis pas, tu me fais quoi ? » même si elle n'avait de toutes façons aucune envie de ne pas être coopérative, mais elle aimait bien le faire marcher...

    Avec un petit sourire en coin, elle se demanda ce qu'il devait penser, ou comment il devait être en la sentant dans son dos mais sans pouvoir se retourner ? Contrarié sans doute... Très perturbé aussi peut-être par ses caresses « involontaires ». Elle se mit sur les genoux pour être à bonne hauteur – parce que même assise il la dépassait sans nul doute – et continua de passer les mains dans ses cheveux. Infirmière très appliquée, elle ne laissa rien au hasard. D'ailleurs, infirmière ou pas, elle était vraiment très proche... Quasiment collée contre son dos. M'étonnerait pas non plus qu'elle le fasse exprès !

    Fort heureusement, elle ne trouva rien de grave et elle fut rassurée. Ce n'était sûrement pas grand-chose et il préférait cela. Elle ne s'éloigner toutefois pas tout de suite et continua quand même, une dernière fois, de l'examine. Conscience professionnelle que voulez-vous ! « Ça ne dura plus longtemps... » lui souffla t-elle à l'oreille – décidément, cette infirmière se sentait vraiment très proche de son patient. « …. Juste encore quelques... Vérifications » acheva t-elle sa phrase alors qu'elle posait ses mains sur son dos pour les faire glisser, et là encore, explorer chaque parcelle de sa peau, glissant d'une cicatrice à l'autre qui zébrait dos. Comme si elle tenait encore à les apprendre par cœur. Comme pour se faire pardonner d'être aussi longue, elle approcha un peu plus le visage pour y venir déposer les lèvres qu'elle fit glisser le long de son dos, près de ses épaules, jusque dans son cou. Sous le contact de ses lèvres et également de ses mains, elle était quasiment sûre de sentir sa peau frissonner. Alors, il boudait toujours ? Et elle avait tout son temps... Jamais elle ne se lasserait d'ainsi parcourir son corps... Elle en avait besoin, elle avait besoin de le sentir, de pouvoir le toucher. Elle aimerait tant pouvoir guérir faire disparaître ses cicatrices, juste par ses baisers. Néanmoins, c'était impossible... Alors elle leur apportait un peu de douceur. Tout le monde en avait besoin...
    Lorsqu'elle en eut fini et qu'elle fut satisfaite – même si ses lèvres ne semblaient jamais suffisamment rassasiées – elle se rapprocha un peu plus et se colla à lui avant de passer ses bras de lui et de poser la tête sur son épaule. Elle resta un instant ainsi, sans parler, juste à profiter de la chaleur de son corps contre elle, ou des frissons involontaires qui s'en échappait …

    « Voilà... C'est tout vérifié, et... Le bilan de santé est plutôt positif...  » murmura t-elle en se rapprochant de son oreille. Elle déposa un autre baiser sur son épaule puis un autre près de son oreille avant de continuer... «  Mais vous devrez quand même faire un peu plus attention à vous dorénavant... Votre infirmière personnelle y veillera... »


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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeMer 7 Sep - 14:47



Ooooh la vilaine, elle était en train de prendre tout son temps pour l’analyser sous la moindre couture. Elle était vraiment incroyable… Elle arrivait à le rendre complètement fou alors même qu’elle était en train de faire quelque chose qu’il détestait. Elle était là, en train de chipoter dans ses cheveux, passant une main de manière lente, délicate.
Dos à elle, il sentait les regards appuyés de la jeune femme, il sentait ses mains qui parcouraient la moindre parcelle de son dos, remonter dans ses cheveux et il devait bien avouer que même s’il détestait qu’elle le décoiffe, il ne voulait pas briser cet instant.
Alors ainsi elle continuait à le chercher. Que ferait-il si elle n’était pas coopérative ? Il avait un certain nombre assez impressionnant de choses qui lui traversèrent l’esprit. Il avait beaucoup d’idées en fait. Il voyait parfaitement ce qu’il avait envie de lui faire si jamais elle ne se montrait pas coopérative.
Il glissa ses mains vers l’arrière et les posa sur ses cuisses, remontant très lentement jusqu’à sa taille. Cela n’était évidemment qu’un avant-goût. Il comptait bien lui montrer l’étendue de ses capacités, de son désir et de son amour pour elle dès qu’elle en aurait fini avec ses attouchements honteux.
Il mourrait d’envie de l’embrasser, il mourrait d’envie de cesser d’être analysé et de pouvoir se comporter en personne normale.
Il tourna la tête vers elle et, avec un petit sourire amusé, lui répondit tendrement :

Tu sais très bien que je peux te faire un nombre incalculable de choses…

Il lui lança un petit clin d’œil puis tourna à nouveau la tête. Il regardait droit devant lui, vers un meuble qui se trouvait à l’entrée de la pièce. Il était en train d’imaginer ce que pouvait être sa vie avec Tonks. Imaginer à quoi pourrait ressembler leur maison, leurs meubles, leur jardin, leurs enfants. En train d’imaginer ce que sera leur vie un jour, lorsque la guerre sera terminée, lorsqu’ils pourront se laisser aller à s’aimer en public. Simplement lorsqu’ils pourront être eux-mêmes. Il avait tellement envie que ce jour arrive bientôt, envie de demander Tonks en mariage. Ils avaient déjà tellement attendus. Il avait tellement attendu avant de pouvoir enfin lui dire qu’il l’aimait. Peut-être avait-il voulu trop la protéger, peut-être avait-il trop attendu, trop perdu de temps.
Mais ce qu’il savait aujourd’hui, c’était qu’il passerait le restant de ses jours avec elle. Dans la santé et la maladie, jusqu’à ce que seule la mort les sépare.
Tout ce qu’il souhaitait, c’était que ce jour arrive le plus tard possible, afin de profiter des baisers de sa femme.
Un simple meuble qui pouvait évoquer tant de belles choses, tant de projets magnifiques. Mais il n’imaginait pas sa vie avec Tonks autrement que magnifique.

Alors qu’il était persuadé qu’elle en avait enfin fini avec ses examens médicaux, il se rendit compte que ses mains se baladaient toujours dans son dos. Elle avait toujours la poitrine plaquée contre lui et elle s’approcha de son oreille pour lui murmurer quelques mots.
Elle voulait encore effectuer quelques vérifications. Elle était incroyable. Il n’y avait clairement plus rien à vérifier, elle avait déjà passé la moindre parcelle de peau sous le bout de ses doigts. Mais il ne se lasserait jamais de sentir ce contact délicat.

Des vérifications hein ?

Il avait un petit sourire amusé. Elle savait exactement comment lui parler. Elle parcourait chaque cicatrice de ses doigts fins, déposant ensuite des baisers le long de son dos, remontant vers sa nuque. Remus avait les yeux fermés, profitant de cet instant. Un instant furtif mais ô combien agréable et tendre.

Fais toutes les vérifications que tu voudras.

Il lui sourit mais garda le regard plongé sur le meuble à l’entrée de la chambre. Lorsqu’il sentit ses bras s’enrouler autour de sa taille et sa tête se poser contre son épaule, il prit l’une de ses mains dans la sienne et resta ainsi, sans parler, sans bouger. Ce n’était pourtant pas son genre, ni à lui ni à elle. Il détestait rester à ne rien faire mais pour le coup, il devait bien avouer que la perspective de rester immobile avec la jeune femme serrée tout contre lui avait quelque chose de très agréable. Ils restèrent silencieux un long moment avant qu’elle ne brise finalement le silence de la chambre.

Elle avait terminé ses vérifications et trouvait le bilan de santé plutôt bon. Cependant, elle recommandait une analyse régulière des blessures. Remus eut un sourire. Il connaissait justement une jeune infirmière qui se ferait un plaisir de surveiller ses blessures. Une jeune femme qui prenait d’ailleurs toujours beaucoup de plaisir à s’occuper de ses patients. Une certaine Nymphadora Tonks, une véritable beauté dans son genre. Il resta encore un instant silencieux, avant de lui répondre sur un ton amusé :

Et je sais que mon infirmière s’occupera de moi avec beaucoup d’attention.

Il se retourna finalement vers elle, les mains toujours entrelacées avec les siennes. Il se mit à genoux lui aussi sur le lit, s’approcha d’elle et la plaqua sur le matelas. Ils allaient enfin pouvoir reprendre lerus activités. Et cette fois-ci, hors de questions qu’ils soient interrompus par quoi que ce soit.
Remus avait bien l’intention d’arriver au bout de ce qu’il avait prévu avec Tonks, et rien ni personne ne pourrait venir contrecarrer ses plans. Il se pencha sur elle et s’empara à nouveau de ses lèvres fines et délicates. Il ne pouvait s’empêcher de sentir un long frisson parcourir sa colonne vertébrale, parcourir la longueur de ses bras. Il voyait ses poils se hérisser sur ses bras, ses jambes, son torse. A aucun moment elle n’avait cessé de le rendre complètement dingue. A chaque instant, même lorsqu’elle caressait ses cicatrices, même quand elle ne faisait rien d’autre que de reposer sa tête sur son épaule, il sentait sa peau frémir.
Tonks était en train de faire de lui un homme faible, mais il n’éprouvait aucune difficulté à l’admettre.
Doucement, ses mains lâchèrent les siennes pour venir caresser ses bras, son ventre et sa nuque. Il déposait de subtils baisers sur son ventre et remonta très lentement vers sa bouche. Il voulait qu’elle puisse ressentir ses baisers sur la moindre parcelle de son corps.

Il lui semblait de toute façon impossible que le moindre événement puisse venir les déranger dorénavant. La jeune femme semblait parfaitement consentante et il avait la douce impression qu’il n’allait pas être le seul à profiter de la situation. Après tout, Lupin n’avait pas du tout envie d’être le seul à effectuer tout le boulot. Elle pouvait bien travailler un peu elle aussi… C’était tellement plus marrant de se faire tripoter.
Lentement, il s ‘approcha de son oreille, y déposa un baiser avant de lui dire :

Tu sais… Mon infirmière est vraiment très douée. Elle a un don avec ses mains…

Il déposa un autre baiser près de son oreille puis descendit vers son cou en la couvrant de baiser. Après chaque baiser, il rajoutait une partie du corps avec laquelle Tonks était douée.

Ses lèvres… Ses pieds aussi d’ailleurs.

Oh oui, chaque partie de son corps avait une vertu…
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeMer 7 Sep - 17:41



    Ils ne bougèrent pendant un moment. Lorsqu'elle eut passé ses bras autour de sa taille et posé la tête sur son épaule, elle ne voulait plus bouger. Elle aurait pu rester pour l'éternité ainsi, tout contre lui, enfouissant par moment son visage dans son cou et humant tout simplement son odeur. Elle se prit à fermer les yeux et resta ainsi le temps qu'il fallut. Ils avaient tout leur temps de toutes façons aujourd'hui. Par ailleurs, ce n'était pas elle qui allait l'écourter. Il faudrait qu'il y ait quelque chose de vraiment urgent, pour qu'elle se laisse convaincre de se lever. Pour le moment, elle était comme sur un nuage. Elle rêvait... Se laissait envahir d'images tout aussi plaisantes les unes que les autres... Depuis qu'ils étaient vraiment ensembles, elle rêvait beaucoup... Trop ? Une chose dont elle était de toutes façons certaine, c'était qu'elle n'imaginait pas un seul de ses rêves sans lui.

    Lui aussi semblait dans ses pensées, penser à beaucoup de choses... Apparemment, il avait les yeux fixés sur un meuble... Là-bas. Elle ne voyait pas réellement ce que ce meuble avait de particulier, mais elle avait appris à ne pas trop s'interroger sur les bizarreries que pouvait faire Remus parfois ! Cela n'en amoindrissait pas moins ses charmes... Qu'il avait nombreux, quand bien même ce qu'il pensait de lui-même ! En tous les cas, Tonks lui en voyait d'innombrables.... Ses yeux. Ces yeux qui disaient tout, cette couleur brune qu'elle aimait tant et dans laquelle elle ne cessait jamais de s'y plonger. Sa voix, grave et en même temps si douce, ses manières prévenantes, ses mains, elle adorait ses mains... Surtout lorsqu'elle les sentaient glisser sur elle, vous en conviendrez. Mais pas seulement évidemment... Elle aimait juste qu'il lui tienne la main, comme en ce moment. Elle se sentait si bien, si agréable. Comble de tout, elle n'avait même pas envie de parler ! Fait étrange pour quelqu'un qui avait la parole facile...

    Elle détestait rester ainsi normalement, à ne rien faire, mais quand elle était près de lui elle se sentait capable de tout supporter. Même simplement attendre en silence... Lorsqu'elle lui avait dit qu'elle recommandait cependant qu'une infirmière lui fasse cependant des visites médicales assez fréquentes, elle laissa échapper sans pour autant s'éloigner de lui... «  … Et j'espère bien que tu n'en a qu'une ! De toutes façons, je me prends tout le crédit... » Elle n'eut pas le temps d'ajouter quoique ce soit d'autres car il venait de se retourner, sans avoir lâcher ses mains. Il se mit à genoux devant elle, Tonks fut totalement incapable de bouger, comme chaque fois captivée par l'intensité, la profondeur de son regard.

    C'est à peine sans surprises qu'elle se laissa de nouveau allonger sur le lit et qu'elle frissonna de nouveau sous la caresses de ses lèvres ou de ses mains, échauffant sa peau de nouveau, portant à ébullition chaque parcelle d'elle-même – interne ou externe. Son souffle s'altéra, se hâtait chaque fois que sous ses doigts sa peau s'enflammait. Elle était portée à ses extrêmes... Elle se demandait même comment qu'elle n'avait pas encore craqué... Des nuées de chaleur se répandait par vague dans ses veines et un flot diverse recommença de se diffuser dans son corps parmi lesquelles se trouvèrent mêlées désir, envie et il ne semblait pas vouloir arrêter. Mais elle non plus. C'est comme si qu'à chaque fois que ses lèvres se détachaient d'un endroit, l'endroit sur lequel elles venaient de se poser les réclamaient déjà, comme si ce simple contact provoquait une soif insatiable chez elle.

    … Elle l'entendit lui vanter les bienfaits que chaque partie de ses corps avait sur lui. La jeune femme retint un sourire... Se croyait-il le seul ? Ses mains à lui aussi lui procuraient tout les bienfaits possibles et imaginables, même après leur passage sa peau lui brûlait encore du contact de ses lèvres, … Alors, comme ça, ses pieds avait une vertu ? Fait exprès elle se remit à jouer avec, jouant à venir les frotter le long de ses jambes... Sauf qu'il restait encore une barrière, chose qui l'énervait ! Parce qu'elle n'en avait pas le contact direct. Et ce vêtement commençait à lui être vraiment de trop.

    Ses joues étaient rosies, ses cheveux roses n'avaient jamais semblé être aussi éclatant non plus que ses yeux n'étaient jamais aussi brillants d'éclat que lorsqu'elle les posait sur son visage ou s'enfonçait dans son regard. Elle accrocha un petit sourire à ses lèvres avant de se relever sur un bras et d'exercer une pression sur son torse du plat de ma main pour l'inciter à se laisser aller sur le côté avant de ramper pour s'asseoir à califourchon au niveau de sa taille.

    « Je peux t'assurer que c'est dans les deux sens... »

    Toujours ce même sourire aux lèvres, elle se pencha doucement pour venir rechercher ses lèvres qu'elle glissa ensuite dans son cou en continuant d'y déposer ces baisers doux et sucrés sous lesquels elle sentait presque sa peau frémir... Elle se rapprocha tout doucement de son oreille, lui glissant en un murmure...

    « Je me disais... Il reste encore des vêtements bien superflus dont je me débarrasserais bien... Pas trop à l'étroit j'espère ? » Parce que s'il voulait se mettre totalement à son aise, qu'il ne se gène pas hein... Sa voix respirait l'envie, l'impatience, la passion... Elle n'avait guère envie de s'arrêter là, ses lèvres respiraient le désir qu'elle avait de lui, de son corps, de se sentir toujours plus proche... Elle laissa ses mains glisser sensuellement le long de sa taille, sur ses hanches pour venir poser sa main au niveau de sa ceinture tandis qu'elle reprenait possession de ses lèvres. Jamais assez... Elles n'en avaient jamais assez...


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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeMer 7 Sep - 19:35



Ce pourtant court instant qu’ils avaient partagés, silencieux, simplement l’un contre l’autre, avait quelque chose de réellement magique. Cela pouvait sembler étrange de la part d’un sorcier, mais c’était dans ce genre de moment qu’il ressentait réellement la magie de son monde. Remus ressentait tout ce qu’il y avait de plus magique en eux, mais aussi tout ce qu’il y avait de plus humain en lui. Il savait que la veille, il n’aurait jamais pu partager un tel instant avec Tonks, simplement parce qu’il en aurait été incapable physiquement et psychologiquement. Mais aujourd’hui, plus les heures avançaient et mieux il se sentait.
Il se savait faible et il savait que Tonks le ressentait aussi, mais il ne pouvait pourtant pas se sentir plus en forme.
Il avait l’impression que rien ne pouvait venir entraver leur sérénité. Ils étaient tous les deux enfermés dans cette chambre, l’un contre l’autre, les bras de la jeune femme enroulés autour de sa taille, comme si elle voulait le retenir de s’en aller. Mais il n’avait pas l’intention d’aller où que ce soit. Il voulait rester ici, pour l’éternité si cela avait été possible. Il savait que cela n’était qu’un doux rêve, mais il préférait rester dans ce doux rêve pour le moment.

Mais alors que la belle aux cheveux roses recommençait à parler, en lui disant qu’elle espérait bien qu’il n’avait qu’une seule infirmière, il se tourna à nouveau vers elle et l’allongea sur le lit pour reprendre les activités abandonnées quelques minutes plus tôt. Enfin, pouvait-on réellement affirmer que les activités avaient été abandonnées ? Pas vraiment non. Ils avaient continué mais d’une manière sensiblement différente. Il lui sourit et glissa ses mains sur son corps, sur sa poitrine dont il ne pouvait cacher l’envie grandissante. Il avait sourit à sa remarque. C’était tellement digne d’elle. Ses lèvres glissèrent à nouveau vers son oreille avant de glisser doucement :

Le crédit de quoi ?

Remus posa finalement ses lèvres sur celles de Tonks. Parce qu’au fond, c’était l’endroit de son corps qu’il préférait embrasser. Il l’aimait plus que tout au monde, il aimait chaque parcelle d’elle mais ses lèvres étaient tellement… gourmandes, tendres, brûlantes, incroyables… Elles étaient parfaites aux yeux de Lupin.
Mais la jeune femme semblait ne plus vouloir se contenter de ses lèvres, de son torse, de ses mains et du reste. Tonks laissait glisser ses pieds le long de ses jambes. Oh, il devait bien avouer qu’il trouvait cela très excitant, mais il y avait tout de même quelque chose qui le gênait profondément.
Serait-ce ces quelques vêtements qui continuaient à gâcher leur plaisir ? Enfin non, soyons bien clairs, ça ne gâchait rien du tout pour la simple et bonne raison qu’il prenait un plaisir fou avec Tonks. Mais il y avait tout de même d’autres étapes qu’il prendrait un malin plaisir à exercer.
La jeune femme avait les cheveux plus roses que jamais. Il ne l’avait d’ailleurs plus vue comme ça depuis très longtemps. Effectivement, ces derniers temps, ses cheveux étaient devenus ternes, sans réelle coloration. Il s’agissait sans doute de ses inquiétudes pour elle, pour lui, pour la guerre, qui se reflétaient de la sorte. Il pouvait voir la moindre de ses émotions grâce à ses cheveux.
Et il voyait aujourd’hui à quel point elle prenait du plaisir avec lui. Elle finit par appliquer une pression sur son torse et à le pousser sur le côté, alors qu’elle se mettait à califourchon sur son torse.
Cette fois, il était le seul à ne pas pouvoir bouger. Ca allait dans les deux sens… Vraiment ?
Elle était clairement en train de lui prouver qu’elle pouvait elle aussi faire exactement ce qu’elle voulait de lui. Physiquement cette fois.

Ah oui ? Je dois bien avouer que je fais plus attention à tes dons qu’aux miens.

Il eut un petit sourire taquin. Dans son regard, on pouvait voir une étincelle. Voire même plusieurs. Ces étincelles, elles représentaient probablement toutes les attentes qu’il avait. Et il en avait beaucoup. Il savait exactement ce qu’il voulait. Le baiser qu’elle lui donna ensuite avait quelque chose d’intense, de magique.
Elle pouvait maintenant faire tout ce qu’elle voulait, lui n’avait plus vraiment la possibilité de le faire. La seule chose qu’il pouvait faire de son côté, et il en profitait vraiment, c’était de promener ses mains lentement sur ses cuisses, dans son dos, sur ses fesses. Toutes les parties auxquelles il avait accès.
Remus sentit les lèvres de Tonks se rapprocher de son oreille. Elle lui dit quelque chose. Elle lui glissa quelques mots qui provoquèrent chez lui comme un frisson le long de son échine.
Alors comme ça elle trouvait ses vêtements superflus. Lui ressentait la même chose, mais il ne fallait tout de même pas rêver. Il n’enlèverait pas ses vêtements en premier.
Il voulait d’abord que ce soit elle. Il glissa les mains sur ses cuisses, la rapprocha un peu de lui mais il ne ferait rien. Non, non, non… Trop facile.

Oh tu trouves ? Moi je suis à l’aise comme ça…

Il la laissa s’emparer à nouveau de ses lèvres et caresser les parties de son corps auxquelles elle avait accès. Mais elle avait raison, il y avait encore des barrières qu’ils devraient rapidement laisser tomber. Et puis, elle aussi portait un pantalon après tout. Et il avait une réelle envie de s’en débarrasser rapidement. Alors lui aussi glissa lentement ses mains vers le bouton du jeans qu’elle portait.
Il ne fit que le déboutonner mais ne fit rien de plus, attendant un signe de sa part. mais sans doute voudrait-elle se débarrasser du sien d’abord…

Enfin… On peut s’arranger…

Il glissa ses mains sur sa taille, tourna autour du bouton de son pantalon et ses doigts le démangeaient beaucoup. A vrai dire, il avait très envie de lui ôter ce pantalon qui était beaucoup trop encombrant à son goût.
Il eut un petit sourire en sentant les lèvres de Tonks se balader un peu partout, alors que ses pieds continuaient leur danse effrénée.

Tu as raison, en plus il fait trop chaud ici.

Oh oui, beaucoup trop chaud. Le thermomètre venait encore de grimper de plusieurs dizaines de degrés et bientôt, il ne pourrait plus que brûler, fondre. Fondre d’amour pour elle. Si ce n’était pas une preuve d’amour indiscutable ça…
Il sentait la moindre parcelle de son corps qui brûlait sous le toucher du bout des doigts de Dora. Mais il avait une satisfaction lui aussi: elle semblait complètement fondre sous ses caresses elle aussi.
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeMer 7 Sep - 22:15

HJ : Désolée, mais j'ai carrément pété un cable là sur la fin je crois... Harry Potter RPG Harry Potter RPG Harry Potter RPG C'est l'effet Remus Harry Potter RPG

    … Jamais assez. Jamais assez, elles en voulaient toujours plus. Elles n'étaient jamais lasse d'embrasser ses lèvres nommées Désir, de se poser et de glisser sur son torse, de vouloir guérir chaque cicatrice qu'elles rencontraient... Elles ne pouvaient s'empêcher de rentrer en contact avec tout ce qu'elles aimaient tant. D'ailleurs, non rassasiées qu'elles étaient, elle revenaient très souvent s'emparer de ses lèvres pour de nouveau l'embrasser plus passionnément que jamais. Ses lèvres nommées Désir. Ses lèvres continuaient de lui brûler et il semblait que le seul remède pour faire diminuer cette brûlure était de l'embrasser encore et encore, jusqu'à ce qu'elle n'ait plus de souffle, jusqu'à ce qu'elle en oublie de respirer... D'ailleurs, elle en oubliait même jusqu'à respirer. Ses mains la brûlait elles aussi de son contact et en elle l'incendie qui la réchauffait ne semblait plus vouloir s'arrêter. Plus s'arrêter, plus s'arrêter... Elle ne voulait plus s'arrêter... Chacun de ses gestes la faisaient frissonner, la faisait toujours un peu plus prendre conscience de l'ampleur de ce qu'elle ressentait, l'intensité du désir qu'elle éprouvait en cet instant pour l'homme qu'elle embrassait et dont ses mains parcourait le torse et glissait sur ses hanches. Elle voulait le couvrir d'amour, qu'il se sente aimé comme jamais il ne l'avait été. C'était ce que chacun de ses baisers disaient. Elle le couvrait d'amour, elle voulait qu'il le comprenne et elle espérait qu'il le comprenne. Il était un homme, comme n'importe qui, elle voulait qu'il se sente normal, qu'il oublie tout le reste ; elle voulait juste qu'il se sache aimé.

    « Le contraire m'aurait étonnée...  » répondit-elle sans ayant arrêter de jouer avec ses mains... Ses mains souffraient chaque fois qu'elles n'étaient plus en contact avec lui. Il fallait bien les contenter... Sauf qu'elles pourraient l'être encore plus.

    Quel malin, ah ah ! Evidemment qu'il faisait plus attention à ses gestes à elle qu'aux siens. Il aurait dit le contraire, elle s'en serait trouvé très vexée... Son regard semblait briller de plusieurs émotions à la fois. Son regard semblait promesse ; il semblait transporter tant de promesses en même temps... Des promesses qui combleraient son cœur, elle en était certaine, et également out son être. Son regard c'était ce qu'elle préférait chez lui, parce qu'il était si profond, il était magnifique... Tout en lui était magnifique. Ses yeux, son sourire qu'elle aimait tant voir apparaître sur son visage, ses mains, son étreinte lorsqu'elle se refermait sur elle, son étreinte qui la faisait sentir vraiment chez elle, vraiment en sécurité... Il était magnifique. Son âme était magnifique et toutes ces émotions qu'elle voyait en cet instant se refléter dans ses yeux. Elle les voyait oui, et elle en était comblée... Oui, vous avez bien lu, elle trouvait l'homme devant elle magnifique. Il ne comprendrait sans doute jamais pourquoi elle le trouvait magnifique, ni ce qu'il avait de magnifique mais l'amour, ça ne s'expliquait pas non ? Même elle ne pourrait se l'expliquer. Enfin si, elle lui décrirait par des mots – elle essaierait, de lui dire tout ce qu'elle trouvait de magnifique chez lui... Elle le lui dirait, elle lui chuchoterait au creux de l'oreille, autant de fois qu'il le voudrait, autant de fois qu'il en aurait besoin. Elle ne s'en lasserait pas. Jamais.

    C'est avec un petit sourire qu'elle sentit ses mains glisser sur sa taille et chercher à l'enlever. Elle sentit la pression du bouton s'en aller et elle se sentit un peu plus libre... Mais pas encore. Elle pensait qu'il allait le lui faire glisser de lui-même, mais cela ne semblait pas être dans sa priorité. Il attendait peut-être qu'elle le fasse elle-même ? Parce que vu comment son pantalon commençait vraiment à devenir gênant, en plus qu'il ne servait plus à rien étant donné qu'il était déboutonné, et bien autant le retirer entièrement... Et elle ne pouvait plus attendre de le faire... Elle brûlait d'impatience.

    Il trouvait qu'il faisait trop chaud ? Ah, elle était contente qu'elle ne soit pas la seule à avoir cette impression. Cela signifiait donc qu'elle ne l'imaginait pas. Parce qu'en effet, elle trouvait aussi. Vraiment trop chaud, et il faudrait peut-être songer à se débarrasser de ce qui était superflu... Il semblait de se avis. Parce que pour sa part, elle avait du mal à encore tolérer ce qui lui restait de vêtements. A elle comme à lui. Il lui devenait atrocement gênant. Quel était l'imbécile qui avait inventé les vêtements hein ? Parce qu'on pouvait bien ne plus s'en préoccuper, ne plus en mettre et être tout aussi heureux sans. Il suffisait de vivre dans une seule chambre, d'avoir un lit, d'avoir à ses côtés l'élu de son cœur, quelqu'un qui nous faisait tourner la tête et nous rendait tellement fou qu'on ne savait même plus ce qu'on disait, ce qu'on pensait ou qu'on se mettait à raconter des bêtises... Comme là avec le coup des vêtements ? Enfin, d'un sens, c'était cohérent. Les vêtements, ces machins qu'on se mettait sur le corps lui était vraiment insupportables à garder sur elle. Elle sentait ses mains glisser sur ses cuisses... Mais ce foutu pantalon était vraiment un obstacle ridicule. Elle voulait qu'il puisse la toucher sans qu'il n'y ait rien à se mettre entres eux. Elle voulait également pouvoir le toucher sans que plus rien ne se mette en travers du chemin... Elle voulait pouvoir ressentir ces longs frissons lui traversant l'échine en encore plus fort, plus intense...

    « Trop chaud oui... Il faut donc se séparer du superflu... Ce dont je me ferai un honneur de me séparer... » répondit-elle en plongeant de nouveau sur ses lèvres, glissant une main dans ses cheveux et caressant distraitement sa nuque, tandis qu'elle essayait – maladroitement de faire glisser son pantalon. Chose ardue à dire vrai... Ne pouvait-il pas l'y aider ? Finalement elle fut obligée de lâcher ses lèvres un peu et de se redresser pour parvenir à le faire glisser sur ses jambes. Plus simple ainsi. Se laissant glisser à côté de lui, elle finit de l'ôter avant de le balancer d'un côté. A quatre pattes sur le lit, elle revint vers lui, jouant presque au chat qui revenait se frotter à son maître parce qu'il était en manque de câlins. Elle sentait le désir hérisser sa peau.

    S'allongeant à côté de lui, elle se rapprocha pour revenir l'embrasser tandis que ses mains continuaient de se balader, redescendant jusqu'à ses hanches et se débrouillant comme elles le pouvaient pour déboutonner lui aussi son pantalon et d'en ouvrir la braguette. Et bien, ce n'était plus très utile maintenant qu'il le garde ? Autant l'enlever aussi ! Les mains baladeuses – c'est le moins que l'on puisse dire... purent se faufiler à présent un peu au-delà de la ceinture pour caresser son bas-ventre, là où elle n'avait pas encore été. Quelle main baladeuse je vous jure... Elle se glissa sur le côté de sa taille, toujours explorant, comme si elle voulait lui enlever lui-même ce vêtement qu'elle trouvait superflu... Mais il y avait le temps. N'y allons pas trop vite... Laissons le temps aux mains baladeuses d'explorer où bon leur semble... Pendant que Tonks elle-même frissonnait à chaque fois qu'elle sentait les doigts de Remus courir sur son dos, sur ses cuisses à présent nues, les sensations n'en étant que plus vivifiantes encore...

    Se rapprochant de son oreille, elle murmura doucement.... «  Je crois que le bébé a besoin de respirer et de sortir. » avant qu'elle ne se penche vers son cou pour déposer de petits baisers enflammés puis de remonter pour venir reprendre ses lèvres...

    Non, non, ne l'écoutez pas elle a trop bu !!! Vous avez mal entendu ! Elle n'a jamais dit ce qu'elle vient de dire, vous l'avez imaginé ! … Enfin … Peut-être que si en fin de compte... Mais... Elle a des excuses ! Elle n'est pas saine d'esprit ! Son esprit est, en ce moment même et depuis quelques temps déjà, très perturbé ! Complètement fou... Fou de désir pour le corps qu'elle explore de ses mains, pour les lèvres qu'elle embrasse, complètement fou de désir pour l'homme qu'elle aimait et il n'en pouvait plus d'attendre. Enfin, elle ne sait plus ce qu'elle dit … Ça, c'est moi qui le dit parce que si vous le lui demandiez, elle vous dirait qu'elle sait exactement ce qu'elle dit, et même qu'elle n'a jamais été plus consciente de ses paroles...


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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeVen 9 Sep - 21:04



Elle le cherchait vraiment, mais du genre vraiment. Sentir ses doigts se balader de plus ne plus bas sur son corps alors que lui venait de déboutonner tranquillement ; l’air de rien, son pantalon, il n’en pouvait plus. Il devenait complètement fou.
Il savait, il ressentait le désir monter de plus en plus haut, alors que les mains et les lèvres de Tonks exploraient, plus curieuses que jamais, le corps tout entier du loup-garou. Ou du moins tout ce à quoi elle avait accès. Car il fallait bien avouer que leur marge de manœuvre devenait très limitée. Remus avait à peine la possibilité de caresser son visage, ses bras, son ventre, mais rien de plus. Et le désir qui grimpait en lui réclamait plus, beaucoup plus.
Raison pour laquelle il avait d’ailleurs déboutonner son pantalon.
Mais elle semblait ne pas s’en contenter, allez savoir pourquoi…
Doucement, en prenant tout son temps, comme pour le faire languir, elle avait finalement ôté son pantalon elle-même. Remus avait observé les manœuvres de la jeune femme pour ôter ce vêtement on ne peut plus encombrant. Oh oui, elle était sexy à en mourir. Incroyablement belle et sexy. Elle l’aguichait comme une étudiante mais il aimait avoir cette place, la place du mentor avec qui la jeune étudiante couche. Il pourrait s’y faire, assez facilement d’ailleurs.

Oh oui, il faisait particulièrement chaud. Comment ne pas avoir chaud face à une jeune bombe comme elle ? Il avait observé son manège avec un regard brillant. Il ne savait pas de quelle manière il la regardait, il ne savait pas de quoi il devait avoir l’air en cet instant, mais ce qu’il savait, c’était qu’il se sentait très attiré par elle en cet instant, plus que jamais.
Elle balança le pantalon à l’autre bout de la pièce avant de revenir vers lui, à quatre pattes, telle un chat venant se blottir contre le torse de son maître. Remus ne supportait plus cette chaleur étouffante, et comme elle venait de le faire si bien remarquer, les vêtements étaient superflus. Et elle voulait bien s’en occuper en plus… Dans ce cas-là…

Oh vraiment ?

Il la sentit plonger sur ses lèvres pour les embraser d’un baiser plus brûlant, plus fougueux que jamais. Il y avait dans ce baiser une forme de violence. Pas une violence brutale, mais le genre de violence que l’on pouvait avoir envers quelqu’un pour qui on éprouve une véritable passion. Le genre de passion qui vous enflamme tout entier. C’était exactement ce qu’il ressentait à chaque fois qu’elle s’emparait de ses lèvres…
Et encore plus maintenant alors qu’il sentait les mains baladeuses de la jeune femme qui descendaient de plus en plus bas, pour finalement franchir du bout des doigts la limite qui s’imposait à elle. Il sentit ses doigts traverser sa ceinture, passer en dessous pour caresser son bas-ventre.
Cette fois-ci, il était fini. Il en était fini de Remus Lupin, l’homme le plus sage, le plus calme et le plus sérieux du monde sorcier.
Terminé… Aujourd’hui, il avait été complètement compromis par une jeune femme aux cheveux roses du nom de Nymphadora Tonks. Rien que ce nom éveillait en lui de sensations inexplicables…

Sa ceinture était desserrée et pourtant, son pantalon restait fermement ancré sur ses jambes. Mais pourquoi donc ? N’avait-elle pas envie ou bien voulait-elle simplement prendre son temps ?
Un indice dans ses yeux : il voyait très bien qu’elle avait envie de jouer, de laisser durer le plaisir. Mais d’un autre côté, elle s’était débarrassée de son propre pantalon alors peut-être pourrait-il en faire autant ? Oui, peut-être…

Lentement, les mains de Remus caressèrent les cuisses nues, fines et légèrement dorées de la jeune femme, déposant des baisers enflammés dans son cou, caressant de l’autre main sa nuque. Il n’en pouvait plus, il avait vraiment envie d’elle… Remus Lupin, envie d’une femme comme elle… C’était le monde à l’envers, mais il n’en voulait pas d’autre…

Mais alors qu’il s’apprêtait à l’aider à se débarrasser de ce vêtement superflu, elle s’approcha de son oreille pour lui murmurer quelques mots. Lupin ne put s’empêcher d’éclater de rire… Venait-elle vraiment de donner un surnom idiot à ses… parties intimes ? Non mais sérieusement ?
OK, mais Remus ne pouvait honnêtement pas rester sérieux après ça. Il sourit avant de basculer la jeune femme sur le côté et de l’embrasser. Puis, ne pouvant s’en empêcher, il approcha de son oreille et lui murmura :

Tu fais tout ce que tu veux, mais t’évites les surnoms.

Elle n’était décidément pas très douée pour donner des surnoms et il n’avait pas l’intention qu’elle le fasse à nouveau. Cela risquait de lui couper toute envie… enfin, ça l’aurait fait, si seulement Tonks n’était pas aussi sexy, allongée sur ce lit, avec ce simple vêtement qui recouvrait ce dont il avait le plus envie…
Doucement, il s’approcha à nouveau de son oreille et murmura :

Tu sais que tu pourrais presque me couper toute envie ?

Mais comment pouvait-il avoir envie de tout arrêter alors qu’elle continuait à déposer de petits baisers enflammés dans son cou ? Elle était en train de balader ses mains partout, partout où elle avait accès.
Et elle n’avait pas encore suffisamment d’accès selon lui. Lentement, il se redressa, fit glisser son pantalon sur ses jambes et tenta de s’en débarrasser rapidement. Mais bon, il fallait bien avouer que la démarche était loin d’être simple et qu’il comprenait enfin les difficultés éprouvées par la jeune femme quelques minutes pus tôt.
Cependant, assez rapidement, le pantalon se retrouva au pied du lit et Tonks eut tout le loisir de balader ses mains sur le corps tout entier de Lupin, sans se soucier de ce pantalon qui lui obstruait la voie. Comme lui quelques instants auparavant, elle pouvait maintenant profiter de chaque parcelle de sa peau.
Et Remus devait bien avouer qu’il en était plus que ravi…
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeSam 10 Sep - 18:26



    Un léger sourire se dessina sur les lèvres de la jeune Métamorphomage. Oh vraiment ? Il n'aimait pas les surnoms ? Oh mais qu'il ne s'inquiète pas ! Elle pouvait lui en trouver pleins de surnoms, si c'était que celui-là qu'il n'aimait pas. Quelque chose lui disait que c'était tous les surnoms qu'il n'aimait pas, et pas que celui-là, mais cela l'amusait... Considérablement même. Elle se contenta de laisser flotter sur ses lèvres un léger sourire avant de poser ses lèvres sur les siennes comme pour le faire taire au lieu de dire des bêtises ! Même si pour le coup, c'était elle qu'il faudrait faire taire sinon on pouvait lui faire confiance pour lui trouver tous les surnoms les plus … Originaux ! Parfait alors... Elle ne ferait l'usage de surnoms que lorsqu'elle serait donc en colère contre lui! En sachant qu'elle ne le serait jamais très longtemps. Mais pour le moment, elle acceptait le compromis...

    Surtout que... Elle retint un sourire et redressa la tête pour l'observer attentivement et son regard en disait long. Son regard en disait toujours long, surtout quand elle l'observait en-dehors du fait qu'il brillait toujours de ces petites étoiles qu'elle lui réservait toujours à lui seul. Tout ce qu'elle voulait ? Vraiment ? Elle pouvait faire tout ce qu'elle voulait si elle évitait les surnoms ? Peut-être alors que... Dans ce cas, elle allait peut-être éviter de lui donner n'importe quel surnoms... Quoique ce serait amusant de lui donner un surnom aussi bizarre qu'original, juste pour voir quel serait son expression en l'entendant. Bon, elle nota dans sa tête de n'user de surnoms simplement lorsqu'elle serait en colère contre lui, ou qu'il la contredirait ! Alors, il ne lui restait qu'à faire en sorte de ne pas la contrarier s'il ne voulait pas qu'elle utilise de surnoms... Surnoms qu'elle trouvait adorable au passage, mais Nymphadora Tonks ayant souvent été considérée comme étant une personne aux goûts toujours très particuliers, il n'était pas étonnant qu'elle trouve des surnoms « adorables » quand lui les trouvait stupides n'est-ce pas ? Oh... Non, elle ne voulait pas qu'il la trouve stupide ! Parce que dans un sens, s'il trouvait ses surnoms stupides, alors c'était à elle qu'il disait involontairement et indirectement qu'elle était stupide... Tonks n'était pas stupide... Il n'y avait pas de mal hein à appeler quelqu'un bébé ? Bon d'accord, … En même temps, elle ne se voyait pas l'appeler ainsi en public; surtout que cela le mettrait extrêmement mal à l'aise et d'un côté, elle ne s'était même pas entendue dire ce qu'elle avait dit... C'était sortit... Tout seul, comme beaucoup de choses qu'elle faisait, elle le faisait … Tout seul, impulsivement, juste parce qu'elle en avait envie... Mais c'était affectif. Il ne lui en voudrait pas pour si peu hein ?
    Sweetheart encore, c'était charmant !

    « D'accord... Puisque tel est ton désir » en esquissant un sourire amusé.

    Elle retint une exclamation de surprise et se figea lorsqu'elle entendit lui dire qu'elle lui avait presque couper toute envie et durant quelques secondes, elle se prit à adopter son petit regard de chien battu pour lequel personne ne résistait jamais... Elle crut réellement que cela lui avait coupé toute envie lorsqu'elle le vit se redresser... Elle eut peur et sa réaction instinctive de sauter sur ses pieds pour essayer de le rattraper de n'importe quelle manière que ce soit, quitte à s'accrocher à ses jambes. (Vous savez comme dans la pub là « Prête-la-moi ! ») . Néanmoins, ce fut pour le voir se débarrasser de son pantalon. Elle l'observa faire, un petit sourire accroché aux lèvres, les mains posées sous le menton et observant intensivement d'un regard brûlant sans rien toucher toutefois. Elle était soulagée ! Si toute envie l'avait tout quitté, alors il ne serait pas en train de se débarrasser de son pantalon à l'instant présent pour l'envoyer valser elle ne savait où, parce qu'elle ne suivit pas sa trajectoire à dire vrai... Ses yeux étaient seuls occupés à profiter de la vue qui lui était offerte et un seul désir irradiait de sa personne, pouvoir de nouveau le toucher de ses mains et se laisser envahir de nouveau de cette impression d'être invincible dès qu'il la reprendrait contre lui ou dès qu'ils scelleront de nouveau leurs lèvres. Pour le moment, elle semblait même un malin plaisir à l'observer s se débarrasser de son vêtement et ses yeux ne cessaient de glisser sur lui, affamés, affamés par désir et la passion qui traversait la jeune femme de part et d'autres de son corps.

    Les siennes semblaient de nouveau si impatientes de son simple contact et ses mains furent de nouveau comblées lorsqu'elles se posèrent sur son torse alors qu'il revint près d'elle. Son corps étaient lui-même en peine de son contact et elle le sentit frissonner dès que ce manque fut comblé et qu'elle put de nouveau l'embrasser au gré de son désir et caresser chaque parcelle de sa peau, emmêlant ses jambes aux siennes... Il n'y avait plus rien cette fois qui faisait barrière. Leurs jambes étaient en réel contact et rien que ce fait la faisait frissonner.

    Pendant quelques instants elle resta immobile, allongée tout contre lui et les yeux plongés dans les siens, tandis que ses doigts dessinait le contour des cicatrices, doucement, sur son corps, pour la centième fois au moins. Un regard si riche en émotions, un toucher si riches en sensations et significations. Elle n'avait pas peur. Elle n'avait pas peur de lui, elle n'avait pas peur de ses cicatrices, elle n'avait pas peur de son corps meurtri et blessé par elle ne savait combien de transformations ; des frissons d'angoisse la saisissait chaque fois qu'elle pensait à tout ce qu'il traversait durant ces nuit-là... Mais en ce moment, avec elle, il ne souffrait pas. Elle le savait. Elle le savait, elle le voyait ; elle le lisait dans ses yeux et elle était heureuse qu'elle lui offre un peu d'apaisement après la nuit qu'il avait dû passer. Oh, il n'y avait évidemment pas que cela qu'elle voyait briller dans ses yeux. Il n'y avait pas de l'apaisement bien entendu. Elle voyait qu'il l'aimait … Elle voyait de la douceur, de la tendresse, de la passion, du désir... Plus cette même tristesse qui l'avait interrogée au début lorsqu'elle l'avait connue.

    « Je t'aime Remus Lupin, ne l'oublie jamais... »
    Elle se rapprocha avant de poser ses lèvres doucement sur les siennes avant de continuer. « J'aime tout ce que tu es... » Elle posa ses lèvres sur son torse avant d'y déposer une myriade de baisers aussi doux que la rosée du matin se posant sur l'herbe verte fraîche. « … Avec ou sans cicatrices... Parce que ça reste toi, et que c'est toi que j'aime. » Pas un autre, mais lui. Elle déposa de nouveau une nouvelle myriade de baisers sur son torse avant de lever de nouveau vers lui et de le regarder de nouveau, et tant d'amour et de douceur transparaissaient au travers de ses yeux qu'il ne pas les voir. Magnifique. Elle le trouvait tout simplement magnifique... « Et jamais je ne te laisserai tomber, jamais. » finit-elle presque à mi-voix mais toujours sans lâcher son regard dans lequel elle demeurait ancrée sans pouvoir s'en exhorter. « Ne l'oublie jamais... » termina t-elle en se rapprochant tout doucement avant de sceller de nouveau leurs lèvres. Ne l'oublie jamais, et les mots qui étaient sous-entendus, qui n'avaient pas besoin d'être dits car ils étaient évidents... Ne m'oublie jamais. Ne me laisse pas seule, était tout à fait possible, aussi... « Jamais... » répéta t-elle, comme une prière, une promesse, qu'elle lui glissa dans un murmure en rapprochant quelques secondes ses lèvres de son oreille.

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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeDim 11 Sep - 11:11



C’était tellement étrange d’entendre quelqu’un lui donner un surnom. Le seul surnom qu’il n’ait jamais connu avait été celui de « Lunard », le surnom qu’il portait lorsqu’il appartenait aux Maraudeurs. Aujourd’hui, il était le dernier Maraudeur vivant, à part Peter mais qui n’appartenait plus à leur ancien groupe d’amis depuis bien longtemps, et donc il n’y avait plus personne pour le nommer ainsi. Il avait oublié ce que cela faisait de donner un surnom à quelqu’un. Bien sûr, elle ne lui avait pas donné un surnom à lui mais seulement à une partie de lui.
Donc effectivement, il préférait qu’elle arrête ça, parce que ça le gênait beaucoup. Mais elle en jouait énormément, il pouvait le voir dans son regard. Il voyait que ça l’amusait de lui donner ce surnom ridicule et surtout, de voir son expression faciale quand elle osait l’appeler ainsi.
Il eut un sourire, il ne pouvait pas s’en empêcher, et finit par déposer un nouveau baiser sur ses lèvres. Comment pouvait-il en être autrement ? Il n’allait tout de même pas lui en vouloir pour si peu. Et puis, comment résister à ce regard enjôleur quand elle voulait le réconforter, ou s’excuser de l’avoir nommé ainsi ? Il sourit à son expression amusée et caressa son dos d’un geste distrait.

C’est mon désir oui.


Il ne put s’empêcher de sourire à nouveau lorsqu’il vit l’expression de son visage changer alors qu’il lui avouait qu’elle aurait pu lui couper toute envie. Avait-on idée de donner des surnoms aussi idiots à un homme ?
Et lorsqu’il se débarrassa de son pantalon, il vit dans son regard une lueur, une lueur de désir intense, comme si tout le désir qu’elle pouvait éprouver pour lui se libérait à cet instant précis. Il voyait cette lueur d’envie dans ses yeux, mais il comptait bien faire durer le plaisir et l’attente interminable que cela représentait pour elle. Il voyait qu’elle avait très envie d’aller plus loin, de toucher chaque parcelle de sa peau. Mais elle devrait se montrer patiente. Et non, elle n’avait pas encore réussi à lui couper toute envie, elle n’avait pas réussi à couper l’envie grandissante qui traversait tout son être.
Quoi qu’il puisse arriver, cela lui semblait de toute façon difficile d’éliminer d’un mot ou d’un geste le désir qu’il éprouvait en cet instant pour elle. Non, il n’y avait rien qu’elle puisse faire pour l’empêcher de l’aimer et d’avoir envie d’elle.
Lorsqu’il s’allongea à nouveau auprès d’elle, il sentit ses mains venir se frotter à nouveau contre son torse. Il ferma les yeux un instant. Il avait l’impression que ses mains demandaient un contact avec le corps de Remus. Comme si c’était une drogue, une drogue dont elle ne pouvait se passer. Une drogue qui la rendait complètement folle et tellement calme à la fois. Elle avait besoin de ce contact physique, tout comme lui en avait besoin aussi.
Il avait besoin de voir ce regard aimant, amoureux, de sentir ses mains sur sa peau.
Pour lui, c’état un moyen de voir à quel point elle tenait à lui, un moyen de voir à quel point elle l’aimait, à quel point elle n’avait pas peur de lui. Et c’était quelque chose de réellement important pour lui. Il avait besoin de savoir qu’elle ne le trouvait pas effrayant.

Il sentait ses doigts dessiner à nouveau le contour de ses cicatrices, comme si elle voulait lui faire comprendre qu’elle s’en fichait, comme si elle voulait apprendre par cœur chaque courbe, chaque trait dessiné sur son corps.
Lupin avait l’impression qu’elle voulait graver dans sa mémoire l’image de son corps nu. Et il ne savait pas encore si cela lui faisait peur ou bien s’il aimait la sensation de ses doigts qui se baladaient allègrement sur son torse. Entendons-nous bien, Lupin adorait cela. Mais il avait peur qu’elle ne soit inquiète de ce qu’il se passait lorsqu’il se transformait.
Evidemment qu’elle avait peur, parce qu’elle l’aimait, mais il ne voulait pas que cet aspect de sa personnalité ne prenne le dessus.
Mais il devrait s’y faire, parce que Tonks ne le lâcherait pas de si tôt.

Alors que ses mains interrompaient leur douce balade sur le torse de l’homme qu’elle aimait, Tonks se redressa quelque peu et lui dit qu’elle l’aimait, avant de poser ses lèvres sur celles de Remus. Il sourit en entendant cette déclaration d’amour à laquelle il ne s’attendait pas.
Il avait toujours été fasciné par cette facilité qu’elle avait à juste lui dire ce qu’elle pensait, ce qu’elle ressentait. Lui n’avait pas ce pouvoir. Il n’arrivait pas à parler, il n’arrivait pas à lui dire ce qu’il ressentait, même pour elle.
Il avait réussi à le faire, à une ou deux reprises, mais c’était toujours extrêmement difficile. Même s’il le pensait réellement, même s’il ne faisait que dire ce qu’il avait au plus profond de lui, il n’aimait pas se livrer complètement, parce que les Mangemorts et d’autres encore pourraient s’en servir bien trop facilement.
Entre chaque mot, entre chaque déclaration, elle déposait une floppée de baisers sur son torse, comme pour éliminer la douleur, comme pour calmer la chaleur qui se dégageait de sa poitrine.

Remus eut un léger sourire quand elle se redressa pour plonger son regard dans le sien. Elle voulait garder un contact visuel, elle voulait le regarder lorsqu’elle lui disait ces mots. Mais alors qu’il ne s’y attendait pas du tout, il sentit des larmes grimper dans ses yeux. Elles tentaient de s’insinuer au bord de ses yeux, mais Remus ferait tout pour les retenir loin d’eux. Il n’était pas du genre à pleurer, alors il ne pleurerait pas.
Les lèvres de la jeune Métamorphage vinrent à nouveau se sceller aux siennes dans un baiser des plus tendres. Remus posa deux doigts sur sa joue et la caressa doucement, comme s’il avait peur de lui faire mal.
Il devait dire quelque chose, ou plutôt il avait envie de lui répondre quelque chose, mais comment pouvait-il lui dire tout ce qu’il ressentait pour elle ? Il y avait tellement de sentiments qui se bousculaient dans sa tête… Jamais il ne s’était senti aussi bien, aussi amoureux, et tout ce qu’il espérait, c’était qu’elle le ressentait à travers ses gestes.
Parce que c’était probablement tout ce qu’elle ne pourrait jamais avoir de sa part. Il n’était pas un beau parleur, il n’était pas très bavard mais il était capable de montrer beaucoup de choses par ses gestes.

Je t’aime aussi.

Ces mots, il les disait comme une supplication. Il l’aimait tellement mais rien que d’imaginer qu’il pourrait lui arriver quelque chose un jour, il souffrait. Il avait l’impression qu’on lui arrachait le cœur à chaque fois qu’il y pensait.
Il ne devait plus y penser, il ne lui arriverait rien, parce qu’il ferait tout ce qui serait en son pouvoir pour la protéger. Il la protégerait de tout, toujours…

Je sais…

Il ne pouvait rien dire d’autre. Il savait qu’elle l’aimait malgré tout, malgré ce qu’il était. Il savait qu’elle serait toujours là pour lui, mais il ne pouvait s’empêcher d’avoir peur, d’éprouver cette crainte au fond de lui. S’il la perdait, à quoi serait-il bon ? S’il survivait aujourd’hui, c’était grâce à elle, et à personne d’autre…

Mais j’ai peur.


Il aurait voulu être capable de lui cacher ses craintes, mais elle était avec lui maintenant. Il voulait qu’elle sache ce qu’il ressentait, même si ce n’était pas bon.
Il passa ses deux bras autour de la taille de la jeune femme et la serra contre lui. Comme un trésor précieux, le genre de trésor que l’on refusait de prêter à qui que ce soit. Il voulait la garder pour lui, il voulait que juste quelques instants, ils aient besoin l’un de l’autre.
Il voulait la garder contre lui, tout simplement. Il songeait, songeait à une solution. Existait-il un moyen d’être sûr qu’elle resterait auprès de lui pour toujours ? Non… Ou presque…
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeDim 11 Sep - 17:00



    … Dommage... Enfin, si tel était son désir après tout, Tonks s'y soumettait... Elle eut cependant un sourire. Oh, elle n'abandonnait pas. Ce serait bien mal la connaître de penser ainsi, surtout si on prenait en compte le temps qu'elle avait mi à patienter pour qu'enfin Remus fasse un seul pas – même minuscule vers elle, pour qu'il se mette à commencer à accepter qu'il pouvait être aimé pour ce qu'il était, et non pour ce que les autres le le blâmait d'être. Les autres avaient tords ; leur préjugés et leur peur les aveuglaient. Elle, elle savait qui était le vrai Remus... Celui à qui elle parlait à cet instant, celui contre qui elle se trouvait, celui à qui elle venait de chuchoter combien elle l'aimait... Et son cœur se soulevait sur le fait qu'elle était même peut-être ma seule à avoir jamais découvert qui était le « vrai » Remus... Même s'il avait été très proche des autres Maraudeurs évidemment. Mais c'était pas la même chose ! Elle n'était pas jalouse... Pas de ça... Et en plus, si elle avait été jalouse au début parce qu'ils avaient été les seuls à être entré dans la partie de vie que Remus refusait de lui montrer, aujourd'hui il l'y avait laissé entrer en quelques sortes. Elle n'était pas folle au point de vouloir rester avec lui « pendant » les nuits de pleine lune – elle savait qu'elle n'aurait aucune chance contre le loup-garou qui se montrait durant ces nuits-là, mais il l'avait laissée d'une certaine manière entrer dans cette partie de là... En lui permettant de la laisser l'aider à panser et nettoyer ses blessures. Il ne savait pas combien cela la remplissait littéralement de joie... Il ne pouvait pas le savoir ! Mais la joie qu'elle ressentait était sans limites.

    « Je peux t'appeler Lunard alors ? » lui demanda t-elle, amusée, avant de reprendre,k après un petit silence. « Non, rassure-toi, je m'en fiche au final. Je ne cherche pas à prendre la place de tes amis... » Mais une place bien plus importante d'une certaine manière... Bien plus importante. Elle lui adressa un sourire et bien qu'elle n'eut pas terminé sa pensée, c'était ce que ce sourire lui faisait comprendre. « Et puis, pas de surnoms. », ajouta t-elle, une lueur déterminée dans les yeux, comme pour le persuadée qu'elle n’en userait plus... Ou presque plus.

    Pas de surnoms, d'accord... Pas de surnoms... Elle n'abandonnait cependant pas ; elle arrivera bien à en placer quelques-uns, même les plus stupides et originaux, juste pour l'embêter, le titiller. C'était son passe-temps favori elle devait bien l'admettre... Elle en userait quand elle serait juste en colère contre lui ou qu'elle voudrait un peu l'embêter... Le problème restait s'il voulait la punir... Et si son châtiment était de la priver de câlins, de baisers ? Elle savait qu'il était capable de tenir plus longtemps qu'elle ! Il l'avait prouvé ! Bon alors... d'accord, pour le moment, elle allait se passer de surnoms ! Après tout, que ne pourrait-elle faire rien que pour le combler ? C'était aussi aimer quelqu'un.... Faire des concessions ! Et puis elle n'allait pas chipoter pour quelques surnoms !

    … Pour le moment, après sa déclaration, après ses mots qui finalement lui étaient sortis avec autant de naturel que possible, n'ayant jamais éprouvé aucune hésitation ou embarras quant à avouer qu'elle aimait ou appréciait quelqu'un, aucun embarras tout court à exprimer ses émotions ou ses pensées ; après ses mots donc, elle avait juste laissé reposer ensuite sa tête contre lui, contre son épaule, ses bras le maintenant son corps étroitement enlacé contre elle. Elle était juste restée ainsi, à écouter, contre son oreille, chaque battement de son cœur qu'elle entendait distinctement. Elle s'amusait à les compter... Enfin, à essayer de les compter parce qu'elle trouvait qu'il allait vite... C'était étrange. Elle était persuadée, avoir entr'aperçu l’espace d'un instant, ses yeux s'humidifier comme s'il avait failli se mettre à pleurer... Elle n'avait rien dit et fait comme si elle n'avait rien vu, ne voulant pas le mettre dans l'embarras, mais elle l'avait senti ému. Il restait cependant Remus Lupin et ne montrait pas souvent ses émotions... Pourquoi pourtant avoir honte de ce qu'on ressentait ? Mais elle réussirait... Elle réussirait à le faire ne plus avoir honte de ses propres émotions, ne plus avoir peur de ses propres sentiments, ne pas avoir peur de les exprimer. Ce n'était pas si difficile... ce n'était que des mots, après tout. Elle avait déjà réussi à lui faire dire «qu'il l'aimait à deux reprises, même si ce n'était pas très naturel encore, elle réussirait – elle se le promettait. Ils avaient le temps... Du moins, elle l'espérait. Enfin, ce n'était en effet que des mots. Quand bien même ce n'était pas encore très naturel pour lui, elle le savait sincère ; c'était le plus important.

    Ses gestes, ses regards plus que ses mots, parvenaient à parler mieux que toutes autres choses... Evidemment qu'elle le ressentait. Il suffisait qu'elle sente sa main se poser sur sa joue et la caresser doucement, pour qu'elle le voit, il suffisait qu'elle sente son regard s'ancrer au sien pour qu'elle soit capable de le comprendre...
    Tout cela, elle le savait dès l'instant où elle avait posé les yeux sur lui... Elle avait toujours su au fond que ce ne serait pas aussi facile... Elle se sentait cependant le courage et la patience de dix, pour lui.
    Tout ce qui importait également c'était qu'il savait qu'elle l'aimait au-delà de tout, qu'il en garderait la connaissance pouce toujours... Elle avait toujours ressenti le désir d'exprimer ce qu'elle ressentait sans barrages ni rien pour lui faire barrage, elle en ressentait dix mille fois plus la nécessité depuis qu'elle le connaissait...

    « Je sais... » murmura t-elle, tandis qu'elle sentait son étreinte se resserrer autour d'elle. Elle ferma les yeux pendant un moment, se laissant simplement bercée par la chaleur de ses bras et de son corps qu'elle sentait pressé contre le sien. Elle ne voulais plus bouger, elle espérait pouvoir rester toujours là...
    Elle savait, elle aussi avait peur... Mais cela lui donnait une raison supplémentaire de l'aimer encore plus fort si tel était possible, de profiter tant qu'il était encore temps, cela lui donnait une raison supplémentaire de lui montrer combien il avait pu être aimé, tant qu'ils étaient encore là, ensembles, dans cette petite chambre, en sécurité...

    Elle savait combien les mots qu'elle se mit à penser allait lui être arrachée, elle savait quelle douleur elle aurait de les prononcer, mais elle le devait... Il devait savoir, il devait s'en souvenir... Même si elle n'espérait que ce moment se retarderait le plus tard possible, même si elle espérait pouvoir goûter encore de longues années à ses bras qui la serrait, à ses baisers embrasés, à la sécurité sécurisante qui se dégageait à la fois de son regard et de son étreinte... Elle savait que ce qu'elle dirait allait lui provoquer une douleur irrationnelle, mais elle avait presque besoin de les dire d'un certain côté, de les lui dire, mais de les dire également pour elle... Elle avait besoin de leur donner réalité, pas seulement une réalité dans sa tête. Elle savait qu'il n'allait pas les aimer, qu'il lui dirait de ne pas dire de bêtises, mais était-ce vraiment une bêtise ? Ce pourrait être la réalité, une possible réalité future. Elle avait besoin de leur donner réalité, elle avait besoin de dire ces mots...

    « Je serais toujours là tu sais... Même si la guerre vient à nous séparer... » reprit-elle. Au dernier moment, elle n'avait pas pu prononcer le mot … Mort. Elle avait alors dit « guerre », en remplacement ; elle ne pouvait dire « mort », elle ne pouvait pas, mais le sens de sa phrase était le même. « Je serais toujours là... » Elle insista sensiblement sur le mot « toujours » en appuyant un peu plus la paume de sa main sur sa poitrine, à l'emplacement où elle sentait son cœur battre sous ses doigts, à l'emplacement où précédemment elle avait posé sa tête contre. « … Ici. Pour toujours, je serais là... Je serai toujours là, même si je ne le suis plus. » Elle ne le quitterait pas, jamais ; elle resterait là où il lui importe le plus de rester. Elle releva les yeux et plongea de nouveau son regard dans le sien, lui faisant comprendre qu'elle était réellement lucide de ce qu'elle disait, qu'elle savait ce qu'elle disait, qu'elle connaissait les risques, tous les risques mais que si la guerre venait à les séparer, il y a une seule chose qu'elle ne pourra jamais supprimer... : Ce qu'elle ressentait pour lui. Rien ne pourrait jamais l'ôter ou l'altérer...

    « Je voulais juste que tu le saches... », ajouta t-elle dans un murmure. Juste qu'il comprenne qu'elle ne l'abandonnerai jamais, même si la m... Même si la guerre venait à les séparait ; juste qu'il comprenne qu'elle ne pourrait pas tout emporter. « … Pendant que nous en avons encore le temps... même si j'espère en avoir encore beaucoup... »

    Peut-être avait-ils encore du temps devant eux, peut-être... Mais ils avaient assez perdu de temps et elle ne voulait pas que ce temps les prenne de court, alors elle tenait à le dire là, maintenant, pendant qu'ils n'étaient que tous les deux, tranquilles, ensembles... Elle en avait besoin, même si elle espérait rester le plus longtemps possible avec lui, même si elle espérait que le plus tard serait la fin, même si elle espérait pouvoir ne jamais pouvoir le quitter.
    Elle sentait ses yeux s'humidifier, mais elle ne pleura pas. Elle essayait de rester maîtresse d'elle-même, de ne pas flancher et laisser l'émotion envahir on visage, mais elle sentait sa gorge serrée et maîtriser à grand-peine les larmes qu'elle sentait monter dans sa gorge. Pourquoi est-ce qu'elle avait plus de difficultés à pouvoir cacher son émotion... Il lui fallait faire des efforts beaucoup plus intense pour réussir à cacher le plus possible ce qu'elle ressentait... Elle essaya de rester digne, maîtresse d'elle-même. Il ne fallait pas montrer qu'on avait peur de la mort, qu'on tremblait rien qu'à son énonciation... Même si elle n'avait pas peur de la mort en elle-même, mais simplement d'être séparé de lui...
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeDim 11 Sep - 18:10



Lunard… Elle osait continuer à le chercher. Mais Remus avait un moyen on ne peut plus radical pour la faire taire. Un moyen qui la ferait taire et qui en plus lui plairait beaucoup. Il lui sourit et plongea vers son visage pour sceller leurs lèvres, à nouveau. Elle avait vraiment envie de le torturer et lui avait tendance à trouver la chose très drôle. Elle savait comment elle pouvait l’embêter, et Remus avait la vague impression que cela lui donnait un outil idéal pour les soirs de dispute, les jours où il n’aurait pas envie de lui parler, les jours où ils se feraient la tête. Parce qu’il n’était pas idiot, Remus savait parfaitement que certains jours, il ne supporterait pas de l’avoir derrière lui tout le temps, qu’en rentrant les matins de pleine lune, il serait tellement énervé, tellement agacé qu’il ne voudrait pas l’avoir auprès de lui. Et elle insisterait, parce que si elle ne le faisait pas, elle ne serait pas Tonks.
Elle ne serait pas la femme qu’il aime. Et c’était dans ces instants-là qu’il se disait que s’ils étaient mariés, il n’y aurait plus autant de problèmes, parce qu’elle saurait que malgré tout, malgré les difficultés, malgré les transformations, malgré ses craintes, Remus aimait Tonks.
Si on se mariait avec quelqu’un, c’est parce qu’on l’aimait de tout son être. C’était ce qu’il ressentait. Et même s’il n’arrivait pas à mettre des mots sur ses sentiments, se marier avec Tonks lui prouverait une bonne fois pour toutes qu’il voulait passer le restant de ses jours avec cette femme incroyable.

Tu sais quoi ? Appelle-moi comme tu veux.

Il déposa un baiser doux et tendre sur ses lèvres avant de la serrer à nouveau contre lui.
Elle avait posé sa tête tout près de son cœur, sur sa poitrine. Elle pouvait sentir le moindre des battements de son cœur, elle pouvait sentir à quel point il se sentait… nerveux. Pourquoi était-il nerveux ? Pourquoi avait-il l’impression que son cœur battait à une vitesse alarmante ?
Mais elle l’apaisait, à nouveau, comme toujours. Sentir sa tête tout contre lui, sentir son corps caressant tendrement le sien avant quelque chose de très apaisant.
Elle avait tellement plus de facilités que lui à exprimer ce qu’elle ressentait, à mettre des mots sur ses sentiments. Elle devait trouver cela tellement facile, alors pourquoi lui n’y arrivait pas ? Il l’aimait depuis tellement longtemps, il avait caché son amour pour elle depuis tellement longtemps, alors pourquoi n’arrivait-il pas simplement, naturellement, à lui dire qu’il l’aimait, à lui dire qu’elle était la femme de sa vie, à lui dire simplement qu’elle était tout pour lui ?

Il avait peur, et elle le savait, pour la simple et bonne raison que tout le monde avait peur, elle y comprit. Il savait bien que tout le monde avait peur mais pour la première fois depuis longtemps, il avouait les craintes qu’il pouvait avoir.
Il était persuadé qu’ils avaient tous peur mais Tonks et lui devraient se soutenir dorénavant. Parce qu’ils étaient là l’un pour l’autre. Mais entendre Tonks lui dire qu’elle serait toujours là, même si la mort venait les séparer, ça rendait les choses encore plus réalistes. Bien sûr qu’il savait que cela pouvait arriver, bien sûr qu’il savait que l’un comme l’autre, ils pouvaient mourir au cours de cette guerre, mais il savait aussi qu’il ne voulait pas être séparé d’elle.
Jamais. A aucun instant de leur vie. Et entendre ces mots sortir de la bouche de Tonks avait quelque chose d’effrayant. Elle était tout à fait consciente de ce qui pouvait arriver.
C’était une sorcière brillante, ça il le savait depuis bien longtemps, mais plus qu’une sorcière brillante, elle était la femme qu’il aimait. Cela comptait plus que tout le reste.

Elle appuyait la paume de sa main sur sa poitrine, elle posait une main sur son cœur en disant qu’elle serait toujours là pour lui. Il le savait évidemment, tout comme lui serait toujours là pour elle. Mais il espérait, il priait tous les Dieux en espérant que le jour de leur séparation n’arrive jamais. Il ne voulait pas qu’elle s’en aille, il ne voulait pas partir non plus.

Rien ne nous séparera. Jamais.

Il promena deux doigts le long de son bras droit, remonta jusque sur sa joue et remit en place une mèche de cheveux gênante. Il déposa un baiser sur le sommet de sa tête, comme pour la réconforter, comme pour tenter de chasser les idées noires qui obscurcissaient son esprit. Il ne souhaitait pas penser à tout cela maintenant, parce qu’ils étaient enfermés dans cette petite chambre chaude, parce qu’ils étaient seuls au monde et parce qu’ils partageaient un moment qu’ils ne connaitraient peut-être plus avant un long moment.

Mais quoi qu’il arrive, je serai toujours là aussi.


Il caressa tendrement sa poitrine avant de déposer un baiser sur sa joue. Il devait ouvrir les yeux, il ne pouvait pas continuer à se dire que rien ne les séparerait. C’était faux. La guerre pouvait très bien les séparer, mais lui ne voulait pas l’entendre.
Il serra la jeune femme un peu plus fort contre lui. Elle voulait qu’il sache.
Oh mais il savait, la seule chose, c’est qu’il aurait voulu ne pas avoir à penser à cela. Il aurait voulu lui avouer ses sentiments avant, quand il n’y avait pas encore de risques qu’ils meurent tous. Il aurait voulu oser plus tôt. Et il s’en voulait beaucoup, il s’en voulait atrocement.

J’aurais dû t’avouer tout ça plus tôt. Ca nous aurait évité beaucoup de problèmes…


Il ne s’était pas rendu compte tout de suite qu’il avait prononcé ces mots tout haut. Mais, après avoir fermé les yeux quelques instants, il les avait ouvert et avait pris conscience de cela. Il avait avoué ses craintes, ses frustrations à voix haute. Il baissa les yeux vers elle et caressa à nouveau sa joue. C’était un geste très simple, très idiot, mais finalement, c’était un geste qui le calmait instantanément.
Cela le calmait lui, et il avait la sensation que cela la calmait elle aussi. Mais Lupin remarqua rapidement que la jeune femme avait les larmes aux yeux. Elle ne voulait pas lui montrer ses yeux, elle voulait tenter de rester calme, de reste maîtresse d’elle-même, mais elle était moins douée que lui à ce petit jeu. Lui avait fait en sorte que les larmes qui avaient grimpés dans ses yeux ne coulent pas.
Il détestait cela, il détestait cette sensation d’être faible, d’être incapable de contrôler ses émotions. Mais là, il n’avait pas envie d’être la personne qui gère tout, d’être le robot inhumain qu’il tentait d’être depuis des années.
Il voulait lui prouver qu’il existait des solutions. Il existait des solutions pour qu’ils soient heureux ensemble, et que peu importe ce qu’il leur arrive, ils sachent que l’un tenait à l’autre plus que tout. Même s’ils le savaient déjà.

Il y a quelque chose… Quelque chose que l’on pourrait faire. Quelque chose à quoi je tiens.


Il caressa son front à l’aide de son pouce. Comme une berceuse. Il ne savait pas s’il devait lui révéler ce à quoi il pensait depuis qu’il lui avait avoué ses sentiments. Parce que même s’il ne lui avait avoué ses sentiments pour elle que depuis quelques jours, il l’aimait depuis tellement longtemps qu’il avait parfois l’impression qu’ils étaient ensemble depuis des années.
C’était étrange… Elle aurait pu lui reprocher souvent de ne pas être sincère avec elle, elle aurait pu lui en vouloir de ne se dévoiler que maintenant seulement, et elle aurait eu raison, mais il avait toujours eu l’impression qu’il ne la valait pas.
Et aujourd’hui, il ne pouvait imaginer sa vie sans elle. Mais lui poser cette question, ça avait quelque chose de vraiment officiel, trop peut-être pour elle. Trop et trop vite.

Non… Oublie… C’est trop.

Il caressa doucement son dos, suivant la ligne dessinée par sa colonne vertébrale, puis déposa un baiser fébrile sur ses lèvres. Mais peut-être en avait-il déjà trop dit…
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeDim 11 Sep - 20:02



    … Rien ne les séparerait... Rien. Ce mot, décrivant le néant, signifiât pourtant d'un seul coup beaucoup plus pour elle. Ce petit mot, ce petit mot qui ne représentait rien, avait des tendances rassurantes. Sans doute avait-elle juste voulu se rassurer en lui disant cela, qu'au moins si l'un deux – et à choisir, elle préférait que ce soit elle... - venait à « partir » (parce qu'il lui était impossible de prononcer ce mot horrible qui lui coupait le souffle rien qu'à y penser), et bien elle saurait qu'elle le lui aurait dit, au moins une fois... A savoir qu'elle serait toujours là, dans son cœur, qu'importe ce qu'il arriverait. Elle resterait ainsi avec lui, elle ne pouvait même imaginer qu'il en fut autrement. Elle savait ce qu'elle ressentait et elle savait qu'il lui survivrait, qu'ils seraient plus forts que toutes choses.

    L'entendre dire que jamais rien ne les séparera avait quelque chose de réconfortant auquel elle s'accrocha, comme si c'était là sa seule intention, comme si elle avait espéré qu'il la rassure ; comme si sa parole était vérité, réalité, comme si le dire simplement suffirait à être certain que jamais rien ne viendrait se mettre entre eux deux, entre leur amour... Elle laissa ses yeux se fermer, bercée par ses paroles, s'y raccrochant comme un enfant à qui l'on venait dire des paroles réconfortantes après qu'il eut fait un affreux cauchemar et qu'il ne pouvait se rendormir. Tonks se sentait comme cet enfant, avec le même besoin de se rassurer. Entendre raisonner sa voix dans son esprit était suffisant à la faire avoir confiance en ces mots, à savoir que jamais rien ne les séparerait.

    Elle sentit ses doigts remettre en place une mèche derrière son oreille et ses doigts se promener sur sa joue. Elle ne se concentra sur sur ces sensations qui dans son corps se disputaient simplement à ce doux contact... Contact qui la faisait se sentir tellement vivante. Une douce sensation réconfortante envahit son esprit et tout son corps qui craignait de ressentir cette froideur soudaine que l'on ressentait quand on était... Mort. Un doux réconforter se dissémina en elle-même, éloignant ses pensées noires progressivement, mes faisant paraître plus lointaines. Elles étaient là... Elles étaient toujours présentes, mais elles lui paraissaient moins dangereuses. Peu à peu, sa gorge se desserra, et cette soudaine envie de pleurer s'apaisa. Son tourment s'apaisa lui aussi... Elle était vivante, et lui aussi. Elle ne voulait penser à rien d'autres... Rien d'autres qu'aux autres mots qu'il prononça ensuite en lui disant qu'il serait toujours là aussi, indiquant d'un geste de la main l'endroit en question d'où il ne partirait étant donné qu'il avait posé sa main sur sa poitrine, avant de la remonter sur sa joue...

    … Ses mots suivants la firent instinctivement rouvrir les yeux et elle l'observa, intriguée, attendant qu'il continue. Avouer quelque chose ? Que devait-il lui avouer encore qu'elle ne savait pas ? Son secret le plus lourd à porter n'était-il pas sa lycanthropie... ? Ah... Sur le moment, son cœur s'était mis à s'accélérer encore et encore, prenant peur. Elle avait eu peur qu'il ait encore quelque chose à lui avouer, quelque chose qu'elle ne savait pas... Mais il parlait simplement du fait qu'il aurait dû lui avouer ses sentiments plus tôt ! C'est tout ? Oh mais Tonks ne lui en voulait pas. Pourquoi lui en voudrait-elle ? C'est sûr que sur le moment, elle lui en avait voulu et s'était sentie assez vexée qu'il continue de la repousser ainsi alors même qu'elle avait commencé à comprendre que ses sentiments n'allaient pas qu'à sens unique – encore ça aurait été plus simple s'ils avaient été à sens unique – mais au bout d'un moment, enfin du moins maintenant, aujourd'hui qu'elle avait mûri et vieilli un peu, elle comprenait qu'il avait toujours voulu agir pour son bien. Ce qu'il avait pensé être pour son bien ! Même s'il avait fait le mauvais choix étant donné que cela n'avait fait que la rendre encore plus malheureuse.

    Lentement, elle esquissa un sourire qu'elle voulut rassurant et elle posa une main sur son bras. Il avait l'air de s'en vouloir et elle voulait le rassurer... Et elle venait également de comprendre qu'il ne s'était pas rendu compte avoir prononcé ces mots à voix haute. Pourtant il l'avait fait ! Et c'était tant mieux... Elle pouvait le rassurer. Enfin, essayer ! Cela n'avait plus d'importance, ce qu'il avait fait ! Il n'avait voulu agir que pour son bien, comme toujours, en faisant passer son propre bonheur après celui des autres... Comme toujours. Elle ne pouvait pas lui en vouloir. Du moins, avec du recul, elle avait compris. Aujourd'hui, c'était aujourd'hui. Aujourd'hui, il fallait juste avancer, et ne penser qu'au présent -enfin, aussi au futur – et le présent elle le voyait près de lui, avec lui. Quant au futur, elle ne pouvait qu'espérer qu'ils en aient... Sur du long terme. En fin de compte, elle n'avait peut-être pas fait partir toute l'émotion présente dans ses yeux car il semblait s'en être rendu compte... Il n'en fit cependant aucune mention et elle ne pouvait en être sûre. Elle préféra penser qu'il n'avait rien vu...

    Ce qu'il lui dit ensuite l'interpella ensuite. Quelque chose qu'il voulait qu'ils fassent ? Et qui lui tenait à cœur ? Elle attendait qu'il poursuive. Il continuait cependant de lui caresser le front à l'aide de son pouce et rien que ce contact la faisait frissonner... Elle attendait qu'il poursuive mais il ne disait toujours rien. Il n'était peut-être certain que cela lui plairait ? Pourquoi pourrait-il penser cela ? Elle était sûre d'aimer tout ce qui venait de lui... Enfin, s'il avait décidé de mettre fin à leur histoire, mais bon elle n'y croyait pas du tout. Elle ne pouvait pas y croire. A la fois ses gestes et aussi ses mots allaient au contraire.. Tout le contraire. Et puis il ne lui aurait pas dit « quelque chose qu'il aimerait qu'ils fassent », s'il voulait qu'ils arrêtent tout. Non, le mot « on » incluait le « ensembles »...
    Qu'est-ce qui était trop ?! … Il venait de lui lâcher ces cinq mots alors qu'il lui avait dit qu'il aurait aimé faire quelque chose avec elle ! C'était trop facile de revenir sur sa décision comme ça... Il l'avait intriguée et elle ne lâcherait pas tant qu'elle ne saurait pas... Il voulait qu'ils partent quelque part, sur une île, rien que tous les deux, loin de tout ? Elle disait oui de suite ! Et au diable la guerre !

    … Non, au fond elle savait pertinemment qu'aucun des deux ne pourrait juste partir. Au fond d'elle, quelque chose se mit à battre plus fort, comme si ce quelque chose avait une petite idée de ce qu'il voulait lui demander... A moins que la raison pour laquelle son cœur s'était accéléré était simplement dû au fait qu'il scella ses lèvres d'un baiser fébrile. Ah mais s'il comptait l'acheter avec un baiser et cette main qu'il laissait glisser dans son dos, elle ne marchait pas ainsi ! (ou presque pas) Se redressant lentement et prenant appui sur son torse avec ses deux mains, elle le regarda droit dans les yeux et lui dit de but en blanc.

    « Je te préviens, si tu comptes t'en sortir avec un 'On oublie c'est trop', tu peux toujours rêver ! » A moins qu'il n'espérait même pas s'en sortir... ? Peut-être qu'il ne pensait pas du tout à ce qu'elle le laisse sortir aussi facilement ?

    Elle se rapprocha doucement avant de laisser ses lèvres effleurer les siennes et elle laissa ses doigts dessiner les contours de sa mâchoire puis se glisser dans son cou. « Alors je n'aurai qu'une question... » Elle déposa de nouveau un baiser sur ses lèvres... « Qu'est-ce que tu aimerais qu'on fasse ? A quoi tiens-tu ? » Elle se redressa un peu plus afin d'être plus confortable et se déplaça sur ses genoux avant de passer ses deux bras autour de son cou et elle attendit qu'il réponde à sa simple question, tout en continuant de l'observer sans sourciller. Elle était prête à attendre, peu importe le temps qu'il mettrait à décoincer enfin ! Pour une fois, qu'il dise les choses comme il voulait les dire, sans passer par des détours.

    « Je te préviens, je ne bouge pas de là où je suis. Pas avant que tu ais enfin dit ce que tu voulais me dire. »
    ajouta t-elle avec un demi-sourire accroché aux lèvres.
    Bon d'accord, il ne lui serait pas difficile de la faire basculer et de se libérer d'elle, mais bon, faisons comme s'il ne pouvait pas la déplacer si facilement... On peut toujours espérer, n'est-ce pas ? C'était toujours ce qu'elle n'avait eu de cesse de faire et avec lui, cela avait fini par porter ses fruits. Et maintenant, voilà où ils en étaient ! Allongés l'un contre l'autre, presque entièrement nus, à profiter d'une journée presque normale, de baisers à la fois tendres et fiévreux ou juste de la chaleur de leurs deux corps...
    En vie, ils ne pouvaient plus être autant en vie qu'en ce moment. Tonks sentait son coeur battre avec frénésie.

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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeDim 11 Sep - 20:40



Remus en avait trop dit, une fois n’est pas coutume. On ne pouvait pas vraiment dire que le loup-garou était du genre bavard, mais pour le coup, il ressentait cette pression, cette nervosité qui lui faisaient dire qu’il avait trop parlé. Il avait développé en lui un rêve, doux rêve, rêve qu’il avait depuis l’enfance, depuis qu’il était devenu un loup-garou. Il avait promis à sa mère que lui aussi serait capable d’avoir une vie exactement comme celle des autres. Il irait à l’école, aurait des amis, fréquenterait des filles, rencontreraient la bonne, son âme sœur, la femme avec qui il voudrait passer le restant de ses jours, se marierait et aurait des enfants. Malheureusement, il n’avait pas été capable de remplir son contrat, parce qu’en grandissant, il s’était rendu compte qu’il ne voulait pas imposer son mode de vie, à qui que ce soit.
Sirius et James avaient choisi de se rapprocher suffisamment de lui que pour devenir des amis, Tonks n’avait pas réellement choisi de tomber amoureuse de lui mais elle avait persévéré, jusqu’à ce qu’il ne puisse plus résister à son amour pour elle. Mais de là à se marier et avoir des enfants, il ne pouvait l’accepter. Et pourtant, l’idée du mariage faisait de plus en plus son trou dans l’esprit de Lupin. Après tout, s’ils formaient un couple aujourd’hui, tout les deux, Cela ne changerait pas grand-chose qu’ils soient mariés. Le seul changement notable serait pour eux, car ils prouveraient au monde entier que leur amour était plus fort que tout, qu’il pouvait déplacer de montagnes et qu’ensemble, ils étaient plus forts.
Longtemps il s’était dit que jamais il ne pourrait mener une vie normale, mais Tonks était en train de lui prouver le contraire. Et il aurait tellement voulu que sa mère puisse voir que son fils pouvait être heureux avec une femme qui le comblait.
Avoir un enfant, c’était encore quelque chose de totalement différent. C’était quelque chose qui provoquerait encore beaucoup de problèmes, et il avait peur, tellement peur que cet être fragile et innocent n’hérite de la condition de son père. Il ne voulait pas de ça, et il savait qu’un jour ou l’autre, cela serait un sujet de discorde entre Tonks et lui.

Alors qu’il avait essayé de dériver le sujet de la conversation, il savait que Tonks ne laisserait pas tomber. D’ailleurs, finis caresses et autres baisers, elle s‘était redressée, s’était assise sur ses genoux et avait passé ses bras autour de sa nuque pour pouvoir le regarder dans les yeux. Il savait que la suite allait se révéler compliquée pour lui. Il n’avait pas la moindre idée de la façon dont il allait formuler les choses, mais tout ce qu’il savait, c’est qu’elle ne le lâcherait pas avant qu’il lui ait dit ce qu’il avait en tête.

Je me disais bien que ça ne serait pas aussi simple.

Lentement, il détourna les yeux. Il n’arrivait pas à la regarder dans les yeux. Il s’en voulait, il s’en voulait parce qu’il n’avait pas réfléchi avant de parler, il s’en voulait parce que ses mots avaient dépassé la limite de ses lèvres beaucoup trop vite. Et maintenant, il n’avait aucune façon de revenir en arrière. Bien sûr, il pourrait lui sortir n’importe quelle chose qui lui passait par la tête et qui ferait l’affaire, mais Tonks le connaissait. Elle savait quand il mentait mieux que personne. Elle connaissait ses émotions, elle connaissait ses regards et elle connaissait son cœur, comme un livre que l’on lit encore et encore, jusqu’à en connaître la moindre réplique. Tonks connaissait son cœur de cette manière. Il ne pouvait donc pas lui mentir. Il devrait lui dire la vérité, de toute manière. Alors autant la lui dire tout de suite.

Je ne sais pas si c’est une bonne idée de t’en parler…

Il avait un petit sourire amusé sur le visage parce qu’il savait très bien qu’elle trépignait d’impatience à l’idée de savoir de quoi il voulait lui parler. Lui hésitait toujours autant, mais il était tellement persuadé d’aimer cette femme plus que sa vie et de vouloir passer le restant de ses jours avec elle, alors à quoi bon attendre ?
Une main caressait doucement le creux de ses reins, alors qu’elle avait passé ses bras autour de son cou. Elle était pratiquement nue, il ne pouvait s’empêcher de poser ses yeux sur chaque partie de son divin corps (quel pervers !). Il observait ainsi la femme qu’il aimait, impatiente de savoir ce qu’il avait voulu dire quelques secondes auparavant. Il ne savait pas s’il avait raison, il ne savait pas si elle allait trouver ça trop rapide ou trop effrayant, mais s’il ne lui demandait pas, il ne le saurait jamais.

Mais alors qu’il s’apprêtait à tout révéler, elle lui sortit une dernière réplique. Oh, elle croyait vraiment que ça lui posait un quelconque problème qu’elle soit là, assise sur ses genoux, les bras autour de son cou, à attendre une réponse de sa part ? Si c’était ce qu’elle croyait, elle le connaissait finalement bien mal. Il ne connaissait pas pire moyen de pression. Il n’avait qu’une envie : faire durer le suspense le plus longtemps possible histoire qu’elle reste dans cette position très sensuelle aussi longtemps que possible. Mais il savait que toutes les bonnes choses avaient une fin.

Raison de plus pour ne rien te révéler donc.

Il lui sourit et attrapa ses lèvres dans un baiser fougueux. Il voulait sentir la douceur fruitée de ses lèvres avant de plonger vers l’inconnu. Mais il avait envie de connaître son opinion sur la chose qui lui occupait l’esprit. Tout était prévu, sauf le moment idéal. Il avait même acheté une bague qu’il cachait soigneusement dans un tiroir. Oh évidemment, il n’avait pas beaucoup de moyens et la bague était rudimentaire, mais il ne souhaitait pas l’offrir de suite. Il préférait attendre. Il préférait tâter le terrain.
Lupin leva les yeux au ciel et fini par se lancer, d’une manière un peu maladroite certes, mais terriblement adorable… J’espère.

Bon d’accord… Je me demandais si éventuellement… Tu avais déjà pensé à la possibilité d’accepter la demande en mariage d’un pauvre fou…

Il fit mine de réfléchir, ne sachant trop comment il pouvait tourner les choses. Il avait déjà pensé à des manières diverses et variées de faire sa demande, ou en tous cas de voir si elle serait intéressée par une éventuelle union…
Et là, il avait probablement choisi la pire…

Pauvre fou maladroit, pas très riche, plus vieux que toi mais très amoureux.


Il n’osait pas trop affronter son regard. Il fallait dire qu’il venait probablement de réduire tous les efforts faits cette dernière semaine en environs trois secondes. Tout ce qu’il espérait, c’est qu’il n’allait pas se prendre une gifle ou pire, qu’elle n’allait pas se rhabiller, descendre et ne plus jamais mettre les pieds ici. Alors oui, il valait mieux qu’il évite de croiser son regard jusqu’à ce qu’elle prenne une décision sur la punition à appliquer. Il se sentait horriblement mal, comme si une personne de cent kilos s’amusait à broyer sa poitrine.
Au moins il avait essayé, et peu importe l’issue de cette discussion, il saurait qu’il était capable d’avouer ses sentiments à quelqu’un. Il s’y était pris de manière très maladroite, mais Tonks savait probablement qu’en tombant amoureuse de lui, elle se confrontait au handicapé sentimental qu’il était…
Le mariage pouvait sembler précipité, c’est vrai, mais il était amoureux de Tonks depuis tellement longtemps qu’il avait l’impression qu’ils avaient toujours vécu ensemble. Il la connaissait par cœur, il connaissait ses joies et ses peines, il connaissait ses craintes, il connaissait ses envies et maintenant il connaissait son corps.
Il avait envie d’officialiser, même s’ils devaient se montrer prudents, il avait envie que leurs amis et leurs familles puissent partager avec eux leur amour. Il avait envie de hurler à leurs proches son amour pour elle… au sens figuré bien sûr ! Mais serait-elle du même avis ?
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeDim 11 Sep - 23:12



    … Il se disait bien que cela ne serait pas aussi simple. Elle était ravie qu'il en ait pris conscience lui-même. Non mais elle lui avait déjà suffisamment montrer de persévérance durant les dernières années pour qu'il sache de toutes façons, ce dont elle était capable pour attendre qu'il lui dise ce qu'il voulait et cela ne pouvait être que quelque chose d'une importance capitale pour lui ! Il ne prenait tout qu'avec une importance capitale par ailleurs et elle était certaine que le sujet « d'eux deux » » faisait partie des sujets qu'il jugeait d'une importance capitale... Elle le lisait dans ses yeux, quand bien même parfois il lui paraissait si invisible, elle le voyait également dans ses mots et également ses gestes... Mais elle dût s'avouer extrêmement inquiète lorsqu'elle détourna les yeux.... Plus qu'inquiète. Elle sentit comme une sueur froide lui traverser le dos et elle avala sa salive avec difficultés.

    « … Remus ? » murmura t-elle d'une voix mi-suppliante, mi-angoissée. Regarde-moi, s'il te plaît, furent les mots qu'elle ne prononça pas...

    Sans doute n'avait-il parlé que trop vite et qu'il ne pensait pas ce qu'il voulait lui demander ? Quand on détournait les yeux, c'était qu'on avait honte de nos pensées... Le temps qu'il mit à garder son regard loin du sien, et à le temps qu'il passa à demeurer silencieux, lui parut un véritable supplice pour elle... Son cœur ne cessait de vouloir battre à en sortir de sa poitrine et elle attendait, commençait même à appréhender... Que voulait-il lui demander de si important pour lui mais qui lui créait cette gène soudaine ?! Elle commençait vraiment à avoir peur et se demandait si finalement elle voulait vraiment savoir ce qu'il voulait lui dire... Comme si son cœur tout seul savait, au fond, il ne cessait de cogner avec véhémence contre les parois de sa cage thoracique... Elle aurait voulu qu'il tourne de nouveau la tête, qu'il la regarde au moins, juste pour la rassurer...

    Elle aurait voulu l'obliger à la regarder même, poser une main sur sa joue et le forcer à retourner son regard sur elle. Elle ne savait pas ce qui la mettait le plus à mal. Le fait qu'il ne veuille pas croiser son regard ? Ou alors le silence ? Sans doute le fait qu'il avait détourné son regard du sien et qu'elle ne pouvait ainsi rien voir de ce qui y passait... Maintenant il lui disait que peut-être ce n'était pas une bonne idée de lui en parler... Il lui faisait quoi là ?! Elle était en train d'angoisser à fond, de s'inquiéter et maintenant il doutait et ne savait plus s'il devait lui dire ou pas ce qu'il voulait lui dire... Ça crevait les yeux, il voulait le dire, mais toujours, il avait peur. Et la réponse n'était pas à chercher loin... Dès l'instant où elle l’avait connue, sa plus grande peur était qu'il se fasse rejeter par les rares personnes qui l'appréciait ; c'était également la raison pour laquelle il l'avait en quelques sortes repoussée pendant si longtemps... Il avait peur de souffrir, peur sans doute qu'elle se rendre compte qu'elle allait se rendre compte de l'erreur monumentale qu'elle était en train de faire et qu'elle allait ainsi le « rejeter »... En cet instant il avait peur aussi. Cela crevait les yeux. Elle aurait voulu le rassurer mais pour le moment, elle ne pouvait rien dire... Elle ne pouvait qu'attendre qu'il se décide enfin à lui parler.

    Et elle, elle était en train de s'angoisser, et qu'est-ce qu'elle voyait là?! Etait-ce vraiment un sourire « amusé » qu'elle voyait apparaître sur son visage ?! Non mais il allait la rendre folle, mais totalement folle cet homme. Si elle trépignait d’impatience ? Evidemment ! Et elle s'inquiétait aussi par la même occasion ! S'il ne lui disait pas immédiatement ce qu'il voulait lui dire, elle allait finir par lui sauter dessus... Ou non, mieux, elle allait le priver de câlins et le bouder jusqu’à ce qu'il lâche enfin le morceau ! Non mais en plus elle avait la légère qu'il se foutait d'elle et que non seulement il prenait tout son temps pour lui dire ce qu'il voulait mais qu'il en profitait également pour dévorer des yeux chaque partie d'elle qui lui était visible. Tiens rien que pour le frustrer, il mériterait qu'elle se rhabille tiens ! Ça lui apprendrait à jouer avec ses sentiments ! Elle en était cependant juste incapable... Ne serait-ce que de sentir son regard glisser sur son corps lui procurait des frissons incontrôlables et une chaleur diffuse se développait dans ses veines... Elle restait silencieuse, le suppliant pour ainsi dire du regard de mettre enfin fin à son supplice...

    Quoi ?! Comment ça raison de plus de ne rien lui révéler ?! … Elle faillit s'offusquer mais n'eut pas le temps de réagir. Pourquoi ? Parce que monsieur, non seulement il aimait jouer avec ses nerfs et ses émotions, mais il avait repris d'assaut ses lèvres et d'ailleurs... En fait il avait raison. C'était sa faiblesse. Il savait exactement comment lui faire tout lui oublier, et elle en oublia presque d'être offusquée contre lui. Elle l'avait rarement vu mettre autant d'ardeur et de fougue dans ce baiser mais ses lèvres ne pensèrent plus à rien d'autres que de lui ce baiser avec la même ardeur et passion, en oubliant totalement ce qu'elle avait voulu dire auparavant. A n'en pas douter, il savait où la toucher pour lui faire tout oublier... Elle ne savait pas encore ce qu'il voulait lui demander ou lui dire mais une chose était sûre, elle oubliait toutes ses interrogations lorsqu'il embrassait ainsi, lorsqu'il l'embrassait tout court d'ailleurs. Même si l'instant d'avant elle lui en voulait de la faire languir dans son impatience. Elle ferma les yeux, se laissant porter par des vagues d'émotions et sensations qui ne cessaient de se déverser en elle... Elle ne les rouvrit que lorsqu'il se remit à parler. Il avait de nouveau levé les yeux au ciel – enfin, au plafond, comme s'il avait peur de son regard, comme s'il avait peur de lire la réponse dans ses yeux...

    Son ton était hésitant... Visiblement il n'était pas sûr de ce qu'il fallait dire ou alors de comment il fallait dire... En même temps il ne devait pas avoir eu beaucoup l'occasion de le dire dans sa vie ! Il n'empêche qu'elle son cœur se gonfler automatiquement d'un bonheur son nom et son cœur se mit à battre avec une une frénésie encore plus vibrante. Un sourire vint éclairer son visage tandis qu'elle ne croyait qu'à peine... Ce qu'il lui disait... Tandis qu'un flot d'émotions se déversaient dans son cœur et qu'elle peinait à toutes les contenir à l'intérieur sans immédiatement les laisser éclater, Remus continuait de regard partout ailleurs sauf vers elle. S'il l'avait fait, il aurait sans doute toute de suite été rassuré dès en voyant le sourire qui était venu éclairer son visage. Malgré l'émotion qui lui enserrait la gorge, elle ne put s'empêcher de laisser échapper un rire en l'entendant se qualifier de pauvre fou maladroit, pas très riche (c'était le dernier de ses soucis ça !) plus vieux qu'elle (... Si peu !) et.. Surtout très amoureux. Ces derniers mots lui firent bondir le cœur dans la poitrine.

    Comment lui dire ? Comment lui dire qu'il se trompait sur toute la ligne ? Comment pouvait-il penser et s'inquiéter sur le fait qu'elle pourrait le repousser et refuser tout simplement sa demande faite si maladroitement mais qu'elle trouva très adorable... Il l'avait toujours trouvé très adorable quand il était gêné. Et voilà que maintenant elle se mettait vraiment à pleurer, mais de joie... Satanées émotions ! Mais quelles émotions aussi venait-elle d'avoir ! Il était impossible pour elle de ne pas les exprimer soudain...
    Il n'osait toujours pas affronter son regard... Elle aurait juste aimer qu'il la regarde, qu'il voit les émotions mêlées qui se trouvaient à présent affichés, de même que l'émotion qu'elle ne cherchait même pas à cacher... Elle ferma les yeux quelques instants, tentant de se reprendre, tentant de calmer l'euphorie soudaine qu'elle sentait dans ses veines. Elle ne put cependant faire grand-chose contre son cœur qui continuait de battre de cette allure démesurée...

    « Remus, regarde-moi... » dit-elle doucement alors qu'elle levait une main lentement pour la poser sur sa joue. Elle le força elle-même à la regarder cette fois. Le fait qu'il ne la regarde même pas, lui donnait davantage l'impression qu'il se forçait à la demander en mariage.... Qu'il ne le voulait pas vraiment, qu'il en avait presque honte... Il n'avait pas honte n'est-ce pas ? Elle voulait qu'il la regarde dans les yeux, qu'il lui refasse sa demande sans détourner les yeux. Elle voulait être sûre qu'il le voulait vraiment, parce que c'était bien ce qu'il venait de lui dire n'est-ce pas ? Il venait de lui demander si elle n'avait pas déjà envisagé le mariage, avec lui. Sincère, elle savait qu'il l'était. Elle savait qu'il avait juste peur...

    La réponse était forcément 'oui'. Elle s'imposa d'office à son esprit, d'office à son cœur comme si elle n'avait jamais attendu que cela, comme si elle n'avait jamais tendu qu'à cela. Elle voulait devenir sa femme, plus que tout au monde, elle voulait lui être liée encore qu'ils ne l'étaient pour le moment, elle voulait porter son nom, elle voulait pouvoir dire à tout le monde qu'elle était mariée avec lui, elle voulait... Elle le voulait. Ne serait-elle pas plutôt folle de refuser alors que c'était tout le contraire que chaque fibre de son corps hurlait ? Ne serait-elle pas folle de dire 'non' alors qu'elle avait la chance aujourd'hui qu'il lui demande si elle le voulait vraiment ? Ne serait-elle pas folle alors qu'elle l'avait attendu avec impatience pendant si longtemps, depuis le moment où ses sentiments pour lui avaient commencé de se développer ? Ne serait-elle pas folle de rompre le rêve soudain qui lui semblait sur le point de se réaliser ? … Ne serait-elle pas folle de briser son cœur en refusant alors qu'elle l'avait à présent gagné, si durement d'ailleurs ? Pourquoi se serait-elle arrêter là, pourquoi aurait-elle tout simplement tout gâché ?

    « Remus... Tu penses sérieusement que la réponse peut être non quand j'ai attendu, espéré pendant des mois, des années que tu daignes m'accepter dans ta vie ? Tu crois que la réponse peut être 'non' quand j'ai espéré chaque jour de ma vie et depuis que je te connais qu'arrive ce jour ? Tu crois que je peux tout simplement te... Rejeter, quand j'ai passé de longs mois à justement faire tout pour me faire accepter dans ta vie, près de toi ? … La réponse que tu lis dans mes yeux ne te suffit-elle donc pas ? L'émotion sur mon visage n'efface donc t-elle pas l’inquiétude que tu peux ressentir à ce sujet ?... Si ce n'est pas nécessaire, alors je me dois d'être plus clair ; car je ne l'ai apparemment été assez jusque là...  »
    Elle ôta la main de sa joue pour aller cher sa main et lier ses doigts aux siens. Mais attention, s'il détournait de nouveau les yeux, hors de question qu'elle le laisse faire. Elle voulait qu'il voit, de ses yeux, le bonheur soudainement brillant dans ses yeux, qu'il sente son cœur battre à l'idée qu'elle devienne...

    « Nymphadora Lupin... C'est ton désir n'est-ce pas ? Tu le veux vraiment ? Pauvre fou que tu es ! »
    Mais un sourire ne put s'empêcher de venir éclairer son visage. «  … Pauvre fou que tu es de penser que je peux dire 'non'. Nymphadora Lupin... Bien sûr que la réponse est 'oui', bien sûr que je veux épouser un pauvre fou maladroit, pas très riche mais l'argent ne fait pas le bonheur j'ai toujours pensé, passons sur la différence qui n'est pas un obstacle pour moi... Bien sûr que je le veux, bien sûr que je veux tout ça.  Je te veux, toi, pas un autre... Quand bien même des dizaines d'autres se précipiteraient à ma porte. C'est toi que j'aime, c'est avec toi que je veux passer ma vie, et je serais fière de devenir plus encore qu'aujourd'hui. Celle qui partage ta vie, avec tout ce que ça inclut... » Elle porta sa main qu'elle posa sur son cœur, juste pour le lui faire sentir. « Sent comme il bats. Sent comme il bâts à l'idée d'être lié officiellement au tien, sent comme il s'affole, comme il est fébrile, comme il attends ce jour depuis si longtemps... » Elle s'approcha de nouveau, lentement pour venir effleurer ses lèvres des siennes avant de continuer jusqu'à son oreille et de souffler... « Pauvre fou que tu es... » Elle s'écarta de nouveau un peu, juste pour pouvoir le regarder dans les yeux, en disant ce qu'elle dire. « Le jour où je porterais ton nom, sera le plus beau jour de ma vie. » Ça avait toujours été si simple chez elle de dire les choses, d'exprimer ses émotions... Disons qu'elle le faisait pour deux, qu'elle les exprimait pour deux. Dans ses yeux, à ces derniers mots, brillait toute l'émotion qu'elle ressentait à l'idée de porter son nom, de devenir sa femme... Sa gorge se remit à se serrer d'émotion alors qu'elle pensait ces mots.

    … Il avait comprit, ou alors fallait-il qu'elle se fasse plus claire encore ?
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeLun 12 Sep - 7:50



Il n’y arrivait pas, il n’arrivait pas à la regarder dans les yeux. Il ne pouvait pas la regarder dans les yeux alors qu’il était en train de lui demander de l’épouser. Tout de suite ? Oh oui, s’il pouvait, il le ferait là, maintenant, tout de suite. Sans attendre il appellerait un prêtre, mais il ne pouvait évidemment pas. Il voulait que cela se fasse devant leurs proches. Et puis pour le coup, ça serait certainement un peu précipité.
Lupin ignorait comment présenter les choses et ça ne l’amusait pas du tout. Il se demandait comment c’était possible qu’il soit aussi maladroit, aussi incapable d’exprimer ce qu’il voulait exactement. Mais Tonks l’était elle. Elle avait ce don que lui aurait voulu posséder, celui de pouvoir exprimer ses sentiments les plus profonds. Cela ne lui demandait aucun effort. Rien, juste de dire. Et elle le disait particulièrement bien.
Lorsqu’il avait prononcé ces mots, à l’instant même où il parlait, il se demandait s’il n’était pas en train de commettre une énorme erreur. Et si elle n’avait jamais songé au mariage avec lui ? Et si elle ne se sentait pas prête pour ça ? Après tout, elle était encore jeune. Peut-être qu’elle ne voulait pas se marier. Il savait qu’elle l’aimait, ça il en avait eu la preuve à plusieurs reprises, mais si elle ne souhaitait juste pas s’engager ?
Lorsqu’il eut terminé, il y eut un moment de calme, un moment de silence lourd. Il n’osait toujours pas affronter son regard mais ensuite, comme dans une supplication, elle lui demanda de la regarder, de tourner la tête vers elle. Il ne pouvait pas, pas maintenant. Mais elle posa la main sur sa joue et il n’eut plus d’autre choix. Si elle le guidait, c’était plus facile, beaucoup plus facile. Il tourna la tête vers elle et plongea ses yeux dans les siens. Tout était toujours plus facile ainsi, avec elle.

Tonks se lança alors dans une longue tirade, l’une de celles où le seul résultat possible était de le forcer à pleurer. Etait-ce l’objectif de Tonks ? Il n’y croyait pas, mais ce fut pourtant le résultat provoqué. Les larmes qu’il avait déjà eu tant de peine à contenir quelques instants auparavant coulèrent le long de ses joues. Mais cela n’avait plus aucune importance en cet instant, parce que les mots prononcés par la jeune femme avaient plus d’importance que le monde entier.
Il avait l’impression que son cœur allait sortir de sa poitrine à chaque fois qu’elle disait quelque chose.
Elle l’avait tellement attendu, il l’avait tellement fait attendre, c’était vrai. Longtemps il avait cru que leur histoire n’avait pas d’avenir, que cela ne valait même pas la peine d’essayer de s’y engager. Mais il avait eu tort, tellement tort. Et aujourd’hui, il voyait dans les yeux de cette femme superbe tout l’amour qu’elle lui portait. Au bout de quelques secondes, elle lâcha sa joue pour aller lier ses doigts aux siens, et il eut le réflexe de baisser à nouveau les yeux sous tant d’émotions. Mais c’était évidemment sans compter Tonks, qui le força à nouveau à la regarder.
Il avait envie de la laisser fini, avant de lui dire tout ce qu’il pensait, tout ce qu’il ressentait en cet instant.

Elle avait pris sa main, l’avait posée sur son cœur pour lui faire comprendre à quel point ce moment l’emplissait de joie. Son corps battait à une vitesse affolante mais c’était le plus beau son qu’il ait entendu depuis longtemps.
Lentement, il caressa de son pouce cette partie de son corps, ne pouvant plus s’empêcher de fixer le regard plein d’émotion de la jeune femme. Elle était tellement belle. Il y avait tant de choses qu’il voulait lui dire maintenant, mais il éprouvait toujours la même difficulté à formuler les choses. Nymphadora Lupin… Oui, il voulait définitivement qu’elle porte son nom, c’était son souhait le plus cher. Une larme coulait toujours le long de sa joue lorsqu’il commença à lui répondre.

J’avais peur que tu trouves ça précipité. Mais j’ai bien réfléchi, tu sais que je réfléchis toujours beaucoup.

Il lui lança un petit sourire amusé et un clin d’œil.

Je t’ai rejetée pendant tellement longtemps, mais maintenant je ne peux plus m’imaginer sans toi. Je veux qu’on soit là l’un pour l’autre, je veux officialiser notre relation et je veux que tout le monde sache à quel point je t’aime.


Ces mots, ils avaient été difficiles à prononcer, non pas parce qu’il ne les pensait pas mais parce qu’ils représentaient beaucoup à ses yeux. Ces mots représentaient une page entière de sa vie qui allait se tourner. Et il en était évidemment fou de joie. Mais ça n’était jamais facile de tourner une page, parce que cela impliquait laisser derrière soi une partie de son histoire.
Mais son histoire maintenant, il voulait la construire avec elle.

Je veux que tu portes mon nom, je n’ai plus envie d’avoir… peur qu’il nous arrive quelque chose. Je veux vivre avec toi, pleinement, avec tout ce que cela implique.

Enfin, presque tout, mais il n’allait pas gâcher un si beau moment avec des complications pas vrai ?

On a assez attendu. J’en ai marre d’attendre.

Il n’avait pas lâcher son regard d’un centimètre pendant qu’il lui avait dit toutes ces choses. Il ne pouvait plus le lâcher de toute façon, puisque dès qu’il détournait le regard, elle le ramenait systématiquement vers elle. Il n’avait pas eu peur, il avait pris sa main dans la sienne et il la caressait tendrement pendant qu’il lui parlait. Sans doute cela avait-il la faculté de le calmer…
Lentement, il porta la main de Tonks à ses lèvres et y déposa un tendre baiser. La matinée avait décidément été très riche en émotions. Mais il y avait encore une chose qu’il voulait faire. Une chose qui allait sceller leur discussion pour toujours.
Mais pour ça, il fallait qu’il se lève de ce grand lit, il fallait qu’il se dégage de son étreinte et cela n’allait pas être chose aisée.
Mais finalement, il déposa un baiser sur ses lèvres et la posa délicatement sur le lit. Il se leva, récupéra son pantalon et devant le regard inquisiteur de la jeune femme, il eut un sourire amusé et lui dit doucement :

J’ai quelque chose à faire mais je préfère faire ça avec un pantalon.

Une demande en mariage ne se fait certainement jamais en caleçon. Mais il n’allait pas le lui dire, c’était ridicule.
Il enfila rapidement son pantalon, passa par la table de chevet pour récupérer la petite boite noire et retourna près du lit. Il posa un genou par terre, au pied du lit, fit signe à Tonks de se rapprocher et prit sa main dans la sienne.

Je ne vais pas rester des heures comme ça, je te rappelle que je suis vieux et très … blessé.

Il lui fit un clin d’œil, sortit la petite boite noire de la poche de son pantalon et, avec un sourire, posa la question fatidique, celle qu’elle attendait, celle qu’il voulait lui poser depuis tellement longtemps.

Nymphadora Tonks… Tonks… Veux-tu me faire l’honneur de devenir ma femme ?


Bon, la question semblait un peu inutile mais il voulait faire les choses correctement. Il voulait faire les choses comme les gens normaux les faisaient. Bon, il fallait bien admettre que souvent, les gens normaux ne demandaient pas leur copine en mariage au bout d’une semaine de relation, ni même un lendemain de pleine lune après avoir été transformé en loup-garou, mais leur relation n’avait rien de normal.
Et il n’avait aucune envie que leur relation soit normale. Elle était exceptionnelle, tout comme Tonks l’était.
Remus avait un petit sourire planté sur le visage. Même avec toutes les belles paroles prononcées par Tonks quelques instants auparavant, il avait toujours peur qu’elle lui réponde non. Allez savoir pourquoi…
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeLun 12 Sep - 10:13



    Elle n'avait pas voulu telle réaction, elle n'avait attendu à ce qu'il réagisse ainsi, et surtout pas qu'il se mette à pleurer – au pire qu'il l'aurait prit dans ses bras et qu'il l'aurait serré jusqu’à l'étouffer... Enfin, pas trop quand même, parce qu'elle comptait survivre jusqu'à leur mariage ! Mais pendant un instant, elle fut déconcertée au plus haut point. Etait-ce réellement des larmes qu'elle voyait couler le long de ses joues, ou était-ce son imagination qui l'imaginait ? Ses mots.... Elle n'avait pas été les chercher loin, ou plutôt si, au plus profond d'elle-même, au plus profond de son cœur, mais son objectif n'était pas de le faire pleurer... Bien que le voir pleurer, la toucha profondément. Certaines personnes avaient du mal à exprimer ce qu'il ressentait exactement au fond d'eux, du plus profond de leur cœur, cela n'empêchait pas que leurs sentiments n'étaient pas sincères bien au contraire... C'était la nature de chacun, chacun avait ses propres difficultés – si Tonks ne semblait pas en avoir à priori, évidemment qu'elle en avait aussi mais c'était un tout autre genre. Et du moins, elle le dissimulait sous la joie habituelle et le sourire rayonnant qu'elle montrait souvent, et tout particulièrement en cet instant.

    Elle voulait qu'il sente lui-même les battements de son cœur à l'idée de devenir sienne, d'être unie par les liens du mariage... Pour le meilleur et pour le pire. Enfin, mariage ou pas, elle l'était quand même ; elle serait toujours là, avec lui, pour le meilleur comme pour le pire, jusqu'à ce que... Jusqu'à ce que la mort les séparer, en espérant que même celle-ci ne puisse jamais les séparer. Mais elle n'avait pas envie de s'assombrir les idées de nouveau en pensant encore à cela! Non, elle ne voulait pas gâcher la joie immense qu'elle ressentait en ce moment présent ; une joie que rien ne pourrait jamais altérer, que jamais rien ne pourra gâcher, un bonheur sans limites... Une larme se remit à couler le long de sa joue sans qu'elle puisse l'en empêcher alors qu'elle écoutait parler. C'était l'émotion, uniquement le contrecoup de l'émotion... C'était une larme de joie... La joie qu'elle ressentait était tout bonnement inexprimable. Même pour elle. Indescriptible avec des mots. Il n'avait pas parlé autant qu'elle, mais ces mots l'atteignirent tout autant que les siens l'avait atteint.

    Il en avait assez d'attendre... La jeune femme esquissa un sourire amusé. C'était lui qui lui disait qu'il en avait marre d'attendre... Où était passée sa grande patience ? Elle n'allait cependant pas s'en plaindre. Oh pas du tout même ; elle en était même ravie, plus que ravie même ; comblée. Elle le serait encore plus lorsqu'ils seraient vraiment mariés, lorsqu'elle portera son nom, voire même son enfant... Mais ne nous encombrons pas l'esprit pour le moment avec des questions qu'il faudra inévitablement aborder plus tard ! Parce qu'il ne pouvait pas ne pas penser qu'elle n'y pensait pas non ? Même si elle ne le disait pas... Elle avait longtemps enfoui son rêve ultime au fond d'elle, ne voulant pas se faire trop d'espoirs pour rien mais sa demande en mariage l'avait à la fois prise au dépourvue et également fait renaître son fol espoir de pouvoir un jour porter son enfant...

    Elle se demanda sur ce qu'il était en train de faire lorsqu'après avoir déposé un baiser sur sa main puis ses lèvres, il se dégagea et la déposa à côté. Où allait-il donc ? Il allait partie ? S'était-elle encore faite avoir et comptait-il juste la laisser ainsi, partir sans rien dire ? Soudain son cœur se mit à battre de telle sorte qu'il lui en fit mal. Mais non, ce n'était pas possible, se raisonna t-elle. Il avait sans doute une raison. Il ne partirait pas. Pas maintenant. Plus aujourd'hui. Elle avait confiance. Et en effet, il ne partit pas. Il lui dit simplement qu'il avait quelque chose à faire mais qu'il désirait le faire, avec un pantalon. Tonks ne put s'empêcher de sourire, amusée... Peut-être par la tournure de sa phrase ou son ton ou n'importe quoi d'autres, peu importe, ce n'était pas important.
    Elle le regarda se revêtir, puis se tourner vers elle ; elle fronça les sourcils et essaya de voir ce qu'il était allé chercher dans … La table de nuit ? Non... Il n'avait pas... Son cœur ne put s'empêcher de se mettre à battre encore plus vite, comme s'il savait, lui, déjà...
    Lorsqu'il revint vers elle et qu'il s'agenouilla devant le lit, elle se rapprocha un peu sous sa demande et il lui prit la main. Elle avait complètement oublié qu'en ce même moment elle était quasiment nue. Elle n'y pensait même pas et la pensée de se rhabiller pour être habillée un peu plus décemment, lui était encore plus loin de son esprit. Et puis d'ailleurs, elle n'était pas du tout gênée là comme ça... Elle était même parfaitement à son aise. Elle resta silencieuse, comme suspendue à ses lèvres.
    Se premiers mots la firent sourire et elle faillit lui répliquer aussitôt... Tu n'es pas trop vieux pour moi et ne le sera jamais... !

    Elle ne dit pourtant rien. En fait, elle n'osait pas briser le silence, pour une fois. Son cœur avait redoublé comme en prévision de l'émotion à venir qu'il ressentait déjà et ses mots se perdirent avant qu'elle puisse le dire. Pour une fois qu'elle ne lui dirait rien, mais vraiment rien, sur le fait d'avoir employé son nom en entier, ce serait probablement la seule et unique fois qu'elle ne lui enverrait même pas de regard qui en disait long sur la question. L'émotion lui nouait la gorge. Elle ferma les yeux quelques secondes, peut-être pour retenir les larmes qui lui venaient à nouveau ; en tous les cas elle les ferma quelques secondes le temps que chacun des mots de sa question viennent se poser puis s'ancrer dans son esprit. Elle voulait immortaliser cette seconde, ce moment qui concrétisait réellement toutes ses aspirations. Elle voulait s'en souvenir jusqu'à la fin des temps, elle voulait faire durer cette seconde, elle voulait mettre l'écoulement du temps sur pause et simplement rester ancrée sur cette seconde.

    … Elle voulait cependant aussi remettre le temps en route, tourner la page et commencer cette nouvelle vie avec lui, en marchant sur les mêmes traces ! A côté de lui. Elle voulait porter son nom, porter même ses enfants.... Heu, enfin bon ça on verra hein... Après... Enfin, plus tard... Il ne faudrait pas refroidir l'atmosphère mais elle gardait cet espoir fou au fond d'elle dans son esprit. Elle voulait tellement. Elle le voulait tant... Il ne pourrait pas refuser n'est-ce pas ? … Elle n'avait cependant pas envie de s'embêter avec des questions. Pas aujourd'hui. Elle voulait laisser cette simple phrase s'ancrer dans son esprit et ne penser qu'aux implications de cela. Elle voulait déjà l'annoncer à tout le monde, elle voulait déjà l'annoncer à sa mère... Elle se demandait comment son père s'était déclarée à elle d'ailleurs ? Elle ne lui avait jamais demandé... Etait-ce à demi habillé, à genoux devant un lit et elle, assise nue sur ce dernier ? Ou alors ailleurs et en d'autres circonstances ? Il faudrait qu'elle le lui demande... D'un côté, elle espérait que ces circonstances soient exceptionnelles, et uniques.
    Elle allait répondre, elle allait répondre... Mais en ouvrant les yeux, elle dit à la place, en esquissant un léger sourire...

    « … Est-ce trop indécent que je réponde à la question ainsi, ou faut-il que je me rhabille pour y répondre ? » demanda t-elle avec un petit sourire, juste pour faire durer le suspens, pour rester bloquée quelques secondes de plus sur ce moment qui se voulait magique. Pour elle, il l'était.
    Non pas qu'elle n'avait pas de compassion pour ses pauvres genoux, mais c'était juste cette seconde qu'elle semblait vouloir éterniser. Éterniser l'instant d'avant la réponse.
    … Et puis zut. Elle n'avait pas envie d'attendre, et elle avait considérablement la flemme de se rhabiller, sans compter qu'elle n'en avait aucune envie. Elle reprit, la voix légèrement fébrile. Fébrile d'émotions, mais décidée. Elle sentit son cœur battre à tout rompre dans sa poitrine tandis qu'elle sentait les mots naître sur ses lèvres, puis se former...

    « Oui... Mille fois oui, je le veux. Ici ou ailleurs, aujourd'hui ou demain... Je le veux. »

    Une fois, deux fois, trois fois... Mille, ou dix mille fois, ce serait toujours la même réponse, ce serait toujours « oui ». Qu'elle ait à le redire devant tout le monde, devant sa famille, devant ses amis, elle voulait que tous voient combien elle était heureux, combien ils étaient heureux... De nouveau, d'émotions, ses yeux se remirent à se remplir...



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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeLun 12 Sep - 11:57



Remus était ravi, ravi parce qu’il voyait dans les yeux de la belle Tonks tout le bonheur qu’elle éprouvait en cet instant. Jamais il n’aurait imaginé qu’un jour, il demanderait Tonks en mariage. D’ailleurs, il n’avait jamais imaginé qu’un jour, il puisse demander qui que ce soit en mariage. Mais c’était tellement naturel, tellement logique qu’il finisse par faire cette démarche envers elle. A ses yeux, la jeune femme était tellement parfaite, et il était tellement heureux à ses côtés qu’il ne pouvait imaginer une autre issue à leur histoire. Non, pas issue. Il ne voulait pas utiliser ce mot. Une issue, cela impliquait qu’il y ait une fin à leur histoire, et il n’y en avait pas. Il n’y en aurait jamais.
Remus n’avait jamais souhaité une demande en mariage normale, commune, parce que la jeune femme qu’il demandait en mariage n’avait rien de commun aux autres. Mais de là à faire sa demande en mariage en caleçon, il y avait un monde de différence. Il voulait faire cela dans les règles. Mais évidemment, cela ne lui posait absolument aucun problème qu’elle soit presque entièrement nue. C’était d’ailleurs plus facile, allez savoir pourquoi.
Et Remus ne fut pas surpris le moins du monde lorsqu’il se rendit compte que la jeune femme ne pouvait s’empêcher de plaisanter, même dans des situations aussi sérieuses que celle qui les occupait. Mais pour Lupin, c’était sans doute mieux de cette façon. Ainsi, il pouvait se relaxer un peu. Elle le faisait rire. Il n’avait plus ri autant depuis une éternité, depuis Poudlard d’ailleurs. Depuis qu’il était avec Tonks, jamais il n’avait autant plaisanté, jamais il n’avait autant sourit. Et encore une fois, un sourire amusé apparut sur le visage du loup-garou.

Oh non, je t’en prie, reste donc ainsi.

Il s’approcha d’elle, frôla ses lèvres avant de glisser vers son oreille. Non non, il ne l’embrasserait pas tout de suite. Il voulait la laisser patienter un peu. Et puis, la chose qu’il avait à lui dire était de la plus grande importance. Il avait souri en voyant le visage de la jeune femme changer lorsqu’il avait enfilé son pantalon à nouveau.
Elle devait probablement s’inquiéter de ce qu’il allait faire. Allait-il fuir en courant juste avant de faire sa demande officielle ?
Bien sûr que non, il voulait rester là, auprès d’elle. Il ne voulait plus aller nulle part, il voulait juste rester avec elle, dans ses bras.
Toujours les lèvres posées près de son oreille, il lui murmura finalement :

De toute façon, je me serais très vite débarrassé de tout ça, encore.

Non, cela ne devait pas l’arrêter qu’elle soit presque nue. Il voulait entendre sa réponse. Il avait l’impression que les battements de son cœur avaient cessés. Comme si le temps s’était suspendu l’espace de quelques secondes. Il était suspendu à ses lèvres, il ne voulait définitivement plus attendre.
Remus serrait la main de la jeune femme dans la sienne, la peur au ventre. Oh évidemment, il savait pertinemment que Tonks ne lui répondrait pas par la négative, parce que ce moment elle l’avait désiré bien avant lui.
Elle avait voulu bien avant lui se marier, elle avait voulu bien avant lui être en couple avec l’animal qu’il était, elle avait voulu bien avant lui fonder une vie de famille avec l’homme qu’elle aimait.
Et tout cela il le savait. Mais grâce au sourire qui s’affichait sur son visage, il comprit rapidement que la jeune femme répondrait oui, qu’elle l’aimait suffisamment pour mener une vie normale avec lui. Doucement, son cœur reprit le rythme de ses battements. Elle avait vraiment le don de le rendre complètement fou.
Elle n’avait vraiment pas de pitié, ni pour son pauvre cœur, ni pour ses pauvres genoux qui allaient flancher sous le coup de l’émotion.
Mais elle prononça enfin le « oui », le « oui » qu’il attendait tellement. Il sentit sa voix chevrotante sous l’émotion, mais il ne devait pas être dans un état beaucoup plus florissant.
Il lui sourit, se redressa enfin et posa ses lèvres sur celles de Tonks pour sceller la bonne nouvelle. Il n’y croyait pas, il ne pouvait pas y croire.
Il avait déjà beaucoup de mal à imaginer qu’elle voulait bien de lui dans sa vie, mais de là à imaginer qu’elle veuille de lui comme époux, c’était au-delà de tous ses espoirs.

Je t’aime.

Il posa son front contre celui de la jeune femme, entrelaçant toujours ses doigts avec les siens. Aucun homme dans le monde magique ne pouvait être plus heureux qu’il ne l’était en cet instant.
Il passa doucement deux doigts dans ses cheveux, plus roses que jamais. Il ne se souvenait pas avoir un jour vu Tonks aussi heureuse, aussi rayonnante, aussi souriante. Oh bien sûr, elle était très souvent souriante, souvent enjouée, souvent maladroite et adorable, mais aujourd’hui, elle était bien plus que cela.
Il se redressa, à contrecoeur, et prit la bague qu’il venait de lui présenter. Il s’agissait évidemment d’une bague très simple, en or avec quelques brillants. Rien de très cher, rien de très extravagant, mais elle représentait exactement qui il était, qui ils étaient tous les deux. Il n’aurait pu rêver plus belle bague pour elle et il espérait qu’elle lui plairait. Parce que l’inconvénient de ne pas avoir beaucoup d’argent, c’était qu’il ne pourrait rien lui payer de mieux pour le moment.
Il prit sa main dans la sienne et glissa lentement la bague autour de son doigt, pour bien profiter du moment. C’était un moment unique. C’était la première et la dernière fois qu’il passait une bague au doigt d’une femme. Même s’il était amené, pour une raison ou une autre, à devoir fréquenter une autre femme, il ne se marierait plus jamais.
Tonks était la seule, l’unique, et elle serait à jamais celle qui compterait le plus à ses yeux.
Il se décala un peu pour observer la bague qui trônait maintenant autour de son doigt.

Tu sais que ça te va très bien ?

Il lui sourit et se pencha à nouveau vers elle pour l’embrasser. Mais il observa rapidement qu’il y avait de nouveau un problème d’équilibre entre eux. Elle était parfaitement, ou presque parfaitement nue, et lui-même portait son pantalon. Mais il n’avait pas envie de s’en défaire tout de suite. Il allongea Tonks sur le lit et déposa de tendres baisers dans son cou, sur son visage, partout où il avait accès.
Il était fou de joie, de bonheur, de gaieté, et il comptait bien le lui prouver de mille manières possibles. Il prit appui sur son coude et se plaça à coté d’elle. Il avait envie de la regarder, il avait envie de poser son regard sur chaque partie de son corps. Il n’avait plus envie de bouger d’ici. Juste de rester auprès d’elle. Parce qu’il l’aimait, tout simplement.

Il n’imaginait pas ce qu’il était en train de se passer… Il avait du mal à se dire qu’il allait réellement se marier, qu’il allait réellement sceller sa vie à celle d’une autre personne. Il en avait longtemps rêvé et maintenant son rêve s’exauçait.
Il passa une main sur la joue de Tonks, tendrement, avant de lâcher dans un soupire.

Tu te rends compte de ce que tu as réussi à me faire faire ?

Il ne pensait pas être capable de demander Tonks en mariage, il l’avait fait sur un coup de tête. Mais cela n’avait plus aucune importance maintenant. Il l’aimait, et elle allait devenir sa femme, tout simplement…
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeLun 12 Sep - 17:47



    Elle attendait, le souffle suspendu. Elle entendait ses propres résonner dans son esprit... Mille fois oui, ici ou ailleurs, aujourd'hui ou demain.. Elle ne changerait pas d'avis ; elle était décidée, décidée d'aller jusqu'au bout avec lui, de l'accompagner partout où il irait – enfin, presque – elle était déterminée à rester avec lui, tout le temps qu'il le voudrait, elle ne changerait pas d'avis. Non, ce n'était pas une décision prise hâtivement. Elle le voulait, elle le voulait pour toujours. Ce n'était pas une décision hâtive, elle avait l'impression qu'il y avait longtemps, très longtemps, qu'elle avait prise cette décision. Avant même qu'il soit ensembles, elle avait continué d'espérer, elle avait continué à le voir comme étant le seul homme au monde avec qui elle imaginait un avenir, avec qui elle voulait se marier. Personne d'autres, lui. Il ne lui semblait même plus voir personne d'autres autres que lui... Tout le monde lui semblait tellement insignifiant. Il ne comprendrait sans doute jamais pourquoi et ce qui l'avait vraiment attiré chez lui, elle ne pourrait l'expliquer vraiment. C'était tout un tas de petites choses qu'elle aimait chez lui et qui venait former un tout. Sa douceur, son sourire, ses regards et la tristesse dissimulée dans ceux-ci, la profondeur de ses yeux, ses bras dans lesquels elle se sentait si confiante, si sécurisé, même ses cicatrices qui retraçaient toute son histoire, elle aimait cette mèche de cheveux qui lui tombait sur le front et avec laquelle elle aimait jouer – à son grand dam. Elle aimait... tout.

    Elle venait de dire « oui », elle venait de dire « oui » à l'homme qu'elle voulait épouser, à celui auprès de qui elle voulait passer le restant de sa vie – elle en était sûre et certaine ; elle le voulait. Que ce soit aujourd'hui ou demain, dans dix jours ou dans quinze ans – en espérant qu'il soit encore là, elle voudrait encore de lui, son amour restera inchangée, inaltérable par le temps qui passe. Elle le savait, elle le sentait. Il avait résisté à quelques années, durant lesquels il s'obstinait à repousser ses avances en lui rabâchant toujours les mêmes excuses – excuses qu'elle était capable de démonter les unes après les autres, et il n'avait jamais eu principalement que trois minuscules excuses. Trop vieux, trop pauvre, trop dangereux. C'est tout. Elle pouvait les démonter les unes après les autres. Ses sentiments avaient résisté à tout cela, à tout ce qu'il lui avait opposé comme résistances – cela n'avait même pas pu les empêcher de forcir encore. Plus il la repoussait, plus elle avait sentir ses sentiments grandir, prendre de l'ampleur... Elle l'admirait de loin. Pourtant, malgré tout ce qu'ils avaient traversé, elle avait gagné. Aujourd'hui, c'était la récompense de tous ses efforts et elle ne risquait pas d'oublier ce jour-là.

    Aujourd'hui il venait de lui demander de l'épouser. Ils étaient officiellement ensembles et d'ici peu ils seraient vraiment ensembles, elle deviendrait Nymphadora Lupin. Lupin... Depuis le temps qu'elle désirait porter ce nom, ce serait bientôt chose faîte. Il avait fait d'elle aujourd'hui la femme la plus heureuse du monde. Personne d'autres ne pouvait l'être autant qu'elle, elle ne pouvait pas le croire ! Son cœur se mettait à redoubler à cette pensée enivrante... Elle serait liée à lui, par le nom. Elle porterait son nom... Plus rien ne pourra se mettre en travers de leur chemin ; ils resteraient ensembles et liés pour toujours, même si la guerre venait à les séparer. Elle venait de lui dire oui. Rien ne pourrait venir entacher sa joie aujourd'hui, et pour les jours suivants. Si on lui avait dit, au début de la journée ce qui se passerait, elle lui aurait sans doute rit au nez. Non elle ne lui aurait pas rit au en en fait, puisqu'elle aurait été véritablement vexé que l'on puisse jouer sur tel sujet, tel sujet qu'elle prenait autant à cœur. Elle ne plaisanterait jamais de ce sujet parce qu'il lui important tant. Enfin, si, maintenant, elle pouvait en rire, maintenant qu'elle savait que ce n'était plus qu'un espoir sans lendemain. Au contraire, aujourd'hui, il avait plus de lendemain que jamais... Elle était encore en plein sous le coup de l'émotion. C'était encore si nouveau pour elle... Elle avait presque peur qu'en se réveillant au lendemain matin, elle n'ait tout rêvé. Elle aimerait presque qu'il la rassure...

    « Je t'aime » furent ses mots ensuite avant qu'il ne posa son front contre le sien et qu'ils restèrent ainsi pendant de longues minutes. Elle ne pourrait jamais se lasser de les entendre, tout comme elle ne pourrait jamais se lasser de plonger dans ce regard qu'elle aimait tant et qui lui faisait tout oublier, tout comme elle ne pourrait se lasser d'entrelacer leurs doigts et de rester simplement ainsi, attendant que le temps passe... Elle ne pourrait également pas se lasser de ses doigts qui glissaient dans ses cheveux, lui créant des frissons involontaires sur la tête et descendant le long de sa colonne vertébrale. Ou qu'il ne passe pas. Suspendu qu'il semblait, et à son plus pur plaisir. Elle n'avait pas besoin de glace pour savoir que ses cheveux resplendissait d'un rose éclatant, parfait, elle n'en avait pas besoin ; elle savait qu'il était ainsi.
    Il était étrange qu'elle n'ait depuis pas mal de temps maintenant, fait preuve de sa maladresse habituelle ? Mais à dire vrai, les possibilités étaient réduites – étant donné qu'elle restait assise sur le lit, ou allongée... C'était sur pieds qu'elle était le plus d'une maladresse infinie.

    Il s'éloigna ensuite d'elle et toujours sans dire un mot – c'était vraiment exceptionnel décidément mais l'émotion dont elle était saisie lui ôtait tous mots – elle le regarda faire. En apercevant la bague qui brillait dans sa main, elle releva un regard incrédule vers lui. Une bague ? Il avait prévu déjà... Une bague ? Depuis combien de temps voulait-il – ou hésitait-il à lui demander de l'épouser ? Depuis combien de temps ? Elle nota pour elle-même de satisfaire plus tard sa curiosité et reporta son attention sur ladite bague qu'il était sur le point de lui glisser au doigt. La jeune femme sentit son pouls s'accélérer.

    Elle était simple, mais Tonks ne demandait pas l'extravagant... Elle connaissait ses moyens, et elle n'était pas forcément de celle qui aimait à dépenser tout leur argent. Elle avait beau être originale et sortant de l'ordinaire, comme certaines diraient, mais elle se satisfaisait de ce qui était simple et puis, elle la trouvait juste magnifique cette bague. Porteuse de tant se significations ; c'était Remus qui était en train de la lui passer au doigt... Remus. Elle baissa les yeux vers son doigt une fois que la bague l'ornait. Elle la trouva encore plus joli. Quelques diamants y brillait, sinon elle était très modeste... Elle se demanda cependant – et s’inquiéta – si elle ne lui avait pas coûté trop cher. Mais demander le prix d'un cadeau, cela ne se faisait pas. D'ailleurs, elle la garderait. Elle la garderait nuit et jour... Elle la montrerait à tous ; elle la mettrait en évidence afin que tout puissent voir qu'elle était fiancée, et fiancée à qui. De toutes façons, ce serait forcément à Remus. Personne n'ignorait qu'elle en était profondément amoureuse... Et ce depuis très longtemps.

    Ne lui laissant pas le temps de répondre quoique ce soir d'autres, elle sentit ses lèvres venir se sceller aux siennes, concluant ainsi la demande qu'il venait de lui faire. Tonks ne pensa plus à rien d'autres autre qu'à répondre au baiser de tout son cœur... Elle avait même oublié ce « petit problème d'équilibre » qu'il semblait y avoir entre eux ; elle ne pensait plus à rien d'autres. Elle se laissa allonger de nouveau sur le lit, et le vit prendre place à côté d'elle, appuyé sur un coude. Elle pourrait restée pour toujours sur ce lit et ne plus penser à rien d'autres qu'à eux, qu'à la bague qu'elle portait au doigt... D'ailleurs, allongée sur le dos, elle leva la main devant elle qui la portait et l'observa longuement, avec des diamants dans les yeux...

    C'était le plus beau cadeau qu'on lui ait jamais offerte, simplement parce que c'était Remus qui la lui avait passé au doigt, et puis aussi, elle l'aimait bien. Elle l'adorait déjà la porter à son doigt. Lorsqu'il lui dit qu'elle lui allait très bien, la jeu,e femme releva la tête vers lui, un sourire rayonnant aux lèvres. On aurait dit une enfant à qui l'on venait d'offrir le plus présent qu'on aurait jamais pu offrir. Et, dans un certain sens, Tonks était toujours restée assez enfantine, toujours avec cette petite touche qui faisait qu'elle riait souvent pour toutes choses, cette innocence qui restait toujours sur ses traits, ou dans son regard... Sauf qu'elle n'était plus une enfant, non. Elle avait beau avoir vingt-six ans, mais ce n'était plus une enfant qui était devant lui. Elle sentit ses yeux s'humidifier de nouveau. Elle ne parvenait même pas à dire combien elle était heureuse à cet instant précis. Pour une fois, les mots lui manquaient. Pour une fois, elle ne savait plus quoi. Il avait le trouver le moyen de la faire taire... L'émotion lui enserrant la gorge, elle n'arrivait même pas à parler. Elle n'osait pas encore imaginer qu'elle lui était vraiment fiancée...

    Elle détourna son attention de sa bague, « sa » bague - elle pouvait l'appeler ainsi maintenant, sa bague de fiançailles... Elle en avait un sanglot dans la gorge rien qu'à y penser. Elle ferma les yeux quelques secondes en sentant le contact de ses doigts caressant sa joue. Elle se sentait tellement heureuse et n'arrivait qu'à peine à croire à son bonheur qu'elle se pensait sur le point de fondre en larmes toutes les dix secondes... Elle eut un rire nerveux en l'entendant parler. Oui, elle commençait tout juste à en prendre conscience, mais elle s'en rendait compte. Oh oui, elle s'en rendait compte de tous les efforts qu'il faisait et qu'il avait fait jusque là... Pour toutes réponses, elle se rapprocha avant de caler tout contre lui, de fermer les yeux avant de murmurer... « Oh oui, je m'en rends compte...  Je me rends compte... » répéta t-elle, prononçant presque chaque avec une adoration complète, presque une tendresse, juste pour lui faire comprendre qu'elle comprenait tous les efforts qu'il avait pu fournir depuis le début, depuis le tout début.... Comme si elle ne l'avait pas encore regardée suffisamment, elle leva sa main et la leva devant elle... Puis, un petit sourire sous-entendu se dessinant sur les lèvres elle ajouta en posant les yeux sur lui...

    « … Remus Lupin, retiens cela... Je finis toujours par obtenir ce que je veux... ». Elle rapprocha avant de venir effleurer ses lèvres aux siennes pour finalement les sceller dans un baiser tendre, récoltant sur ses lèvres le nectar sucré des siennes. Puis elle s'éloigna légèrement et eut un regard très « désapprobateur »...
    Elle se redressa sur un coude et le regarda, un léger sourire amusé flottant sur les lèvres. « … Tu ne crois pas qu'il y a un léger petit problème... de vêtements, là ? » Pourquoi est-ce qu'elle était sûre qu'il allait lui répondre que non... ?! Mais c'était pas juste ! Il avait toute opportunité de l'observer sous toutes les coutures sans qu'il n'y ait rien qui s'y oppose, et lui il avait son pantalon ! Juste pour montrer qu'elle n'était pas d'accord, elle ramena les bras sur sa poitrine et les y croisa. Voilà, au moins elle se cachait... A moitié !

    « … Avoue, tu as bien profité de la situation.. » ne put-elle s'empêcher de murmurer, un léger sourire aux lèvres.
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeLun 12 Sep - 20:03



Remus était surpris que tout se soit passé aussi facilement entre eux. Il pensait que cela prendrait des semaines, voire même des mois avant qu’il ose lui dire qu’il l’aimait, alors la demander en mariage, il y avait un monde de différence. Et pourtant, cela s’était fait très naturellement, comme s’ils avaient toujours été ensemble, comme si leur relation coulait de source. Mais elle ne coulait pas de source, rien ne coulait de source entre. Ils avaient eu toutes les peines du monde à être réunis. Un jour ils s’aimaient, le lendemain ils se déchiraient, et il avait fallu longtemps avant que Remus ne se rende compte que c’était justement cela qui faisait d’eux un couple sain. Mais ça, il ne pouvait pas s’en rendre compte avant, puisqu’il ne les voyait pas comme un couple.
Ce moment qu’ils avaient partagé dans cette chambre était unique. Cela pouvait paraître étrange qu’il ait déjà prévu une bague alors qu’il n’était même pas sûr de ses sentiments, pas sûr que la jeune femme accepterait une demande en mariage. Mais il avait acheté la bague de nombreuses semaines plus tôt, dans la prévision de cet instant magique.
Il avait tout prévu, mais il avait peur de tout, de chaque moment, de chaque étape de leur relation. Il avait eu peur tout le temps, d’ailleurs il continuait d’avoir peur, parce qu’il s’engageait dans l’inconnu le plus total. Il s’engageait dans quelque chose sur lequel il n’avait aucune maîtrise et il trouvait cela à la fois effrayant et intriguant.

Mais il ne put se sentir que chaque instant plus heureux en voyant le visage rayonnant de la jeune femme. Elle ne pouvait pas dévier le regard de la bague qu’il venait de lui passer au doigt. Il semblait que la bague avait soudainement pris plus d’importance que lui, que ses sentiments ou que ce qu’ils étaient en train de faire avant que le pauvre fou qu’il était ne lui pose cette question incroyable.
Il leva les yeux au ciel en attendant qu’elle veuille bien détacher son regard de ce petit bijou. Remus s’allongea sur le lit, tentant de retrouver un rythme cardiaque normal. Il fallait dire que ce genre d’émotions ne devait pas être particulièrement conseillé pour les lycanthropes rentrant justement d’une nuit de pleine lune. Soudainement, il ressentit le poids de la fatigue, mais il ne voulait pas le montrer à la jeune femme.
Il ne voulait pas lui montrer qu’il se sentait fatigué, physiquement et émotionnellement. Il resterait calme, pour un temps.

Elle finit enfin par lâcher sa bague des yeux pour venir se blottir contre lui et lui sourire. C’était tout ce qui comptait à ses yeux. Elle était heureuse, il le voyait, et au fond, rien ne pouvait lui faire plus plaisir. Ca arrivait même à lui faire oublier qu’il était épuisé et qu’il n’avait qu’une envie : récupérer d’une nuit passée à courir dans la forêt en repoussant le monstre qui était en lui.
Elle avait ce don unique : celui de lui faire repousser ses limites physiques. Mais cela ne lui semblait même pas difficile quand il était avec elle.
Oh oui, il était capable de faire des choses incroyables pour elle, pour son amour. Tout ça parce qu’il l’aimait comme un fou. Et elle se rendait parfaitement compte des efforts faits pour la conquérir, pour lui prouver son amour. Elle était intelligente, elle savait.
Il caressa son visage, caressa son dos, passa une main dans ses cheveux et déposa un baiser sur le sommet de sa tête.

T’as intérêt à t’en rendre compte…

Il eut un petit sourire et déposa un autre baiser, sur son front cette fois. Mais l’adoration qu’elle ressentait envers lui à cet instant fut de nouveau transmise vers cette fichue bague. Il auait mieux fait d’éviter de lui donner, ça lui aurait éviter ça.
Il leva les yeux au ciel, légèrement boudeur. Elle n’avait plus d’yeux que pour cette bague, et pas pour lui. Etait-il jaloux ? D’un vulgaire bijou ? Oui, il devait bien s’avouer vaincu.
Mais alors qu’il s’apprêtait à se retourner pour bouder comme un gamin de sept ans, elle leva à nouveau les yeux vers lui en lui glissant qu’elle obtenait toujours ce qu’elle voulait. Toujours ? Il la trouvait bien présomptueuse. Remus ne se laisserait plus avoir par ses subterfuges, pas même par le baiser tendre, délicat qu’elle lui glissa quelques instants plus tard.
Non, ça ne marchait plus avec lui. Il allait falloir qu’elle se montre bien plus convaincante.

Ah oui ? Toujours ? Je te trouve bien sûre de toi.

Lentement, elle s’était reculée pour se redresser. Son regard avait encore changé. Mais qu’est-ce qu’elle avait encore ? Ou pire, qu’avait-il bien pu faire ? Remus rigola quand il se rendit compte de la situation. Et oui, il avait enfilé son pantalon pour lui faire sa demande en mariage. Il voulait bien comprendre que leur couple n’avait rien de traditionnel, mais il y avait des choses qui se devaient d’être faites dans les règles. Et on ne faisait certainement pas une demande en mariage en caleçon ! Alors, pour s’assurer du bon déroulement des choses, il avait remis son pantalon.
Il se tourna légèrement sur le côté, posant fébrilement sa tête sur l’oreiller, et se contenta de regarder le visage de la belle Métamorphage. Et oui, il y avait clairement un problème d’équilibre. Mais la question était : avait-il réellement envie d’ôter à nouveau ce pantalon qui semblait la gêner ?

Un problème ? Je ne vois pas lequel ?

Il lui sourit et promena lentement ses doigts le long de son flanc. Il connaissait un tas de petits trucs pour la faire craquer, mais cette fois il n’enlèverait pas son pantalon lui-même. Si elle le voulait, elle n’avait qu’à le prendre elle-même. Il sourit légèrement alors qu’il promenait ses doigts le long de l’échine de la jeune femme.
Puis, doucement, il se rapprocha d’elle, glissa sa main sur ses cuisses et posa ses lèvres dans son cou, juste près de son oreille. Il murmura, amusé :

Si tu le veux, tu le prends.

Ce petit jeu l’amusait beaucoup au fond. Il n’avait jamais été du genre à s’amuser ainsi, mais il finissait par y prendre goût. Quand on trouvait un partenaire de jeu qui en valait la peine, on ne pouvait qu’aimer s’amuser, pas vrai ?
Mais à vrai dire, il préférait le moment de tendresse qu’ils partageaient maintenant. Rester allongé, l’un contre l’autre, sa main caressant son dos, son regard plongé dans le sien, ses lèvres frôlant celles, délicieuses, de la femme qu’il venait de demander en mariage. C’était ainsi qu’il préférait passer son temps avec elle. De cette manière simple, romantique… certains pourraient vous dire que cela ressemblait déjà à l’habitude d’un vieux couple, mais il était prêt à l’assumer.
Pour lui, le simple plaisir de se trouver aux côtés de celle qu’il aimait représentait tout.
Mais la jeune femme avait trouvé une torture encore plus intense qu’il ne pouvait l’imaginer. Lentement, elle avait croisé les bras pour cacher sa poitrine. Quoi ? Mais c’était de la triche, elle n’avait pas le droit de faire ça ! Qu’elle lui enlève son pantalon !

C’est pas juste. Enlève-le, dépêche-toi.

Non mais… et puis il allait vraiment faire la tête si elle continuait à se cacher comme ça. Il avait besoin de voir cette poitrine qu’il avait tant convoitée.
Il se sentait de plus en plus fatigué, même si rien ne pouvait encore transparaître sur son visage. Mais voir celui radieux de la jeune femme lui redonnait de l’énergie. C’était sans doute ça de tomber amoureux de quelqu’un de plus jeune.
Il eut un petit sourire amusé en voyant le regard taquin de Tonks. Il l’aimait définitivement beaucoup trop.

A moins que tu n’oses pas…


Il eut un autre sourire amusé. Il aimait la taquiner. Et il savait qu’elle réagirait…
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MessageSujet: Re: Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D]   Quand une têtue rencontre un têtu... [Très olé olé :D] - Page 2 Icon_minitimeLun 12 Sep - 21:42



    Un sourire amusé se glissa sur ses lèvres alors qu'elle continuait de le regarder, de le dévorer des yeux serait le terme plus exact. Bien évidemment qu'elle obtenait toujours ce qu'elle voulait ; avec de la persévérance, elle obtenait tout. Elle avait réussi à l'avoir rien que pour elle, et c'était le plus important. Elle avait réussi à franchir chacune des barrières qu'il lui avait opposé. N'était-ce pas déjà quelque chose ? Elle était ravie des progrès qu'ils avaient fait. Quelques semaines auparavant, ils s'étaient mis ensembles... Après des années, et aujourd'hui, il n'en pouvait plus d'attendre et il l'avait demandé en mariage ! N'était-ce pas ce qu'elle n'avait eu de cesse d'espérer depuis le début, sans arrêter d’espérer qu'un jour elle parviendrait à lui faire comprendre qu'elle voulait être à ses côtés, non comme un simple amie, mais comme une petite amie et une épouse ? Enfin, déjà, ne serait-ce qu'être avec lui lui suffisait amplement. Juste le simple d'être. Elle se sentait vivre, elle se sentait vivante, elle se sentait aimée... Qui se sentait aimée, se sentait vivante, dans sa logique. Sa logique était parfois curieuse mais elle pensait que sa phrase avait des accents de vérité.

    Elle ne visait pas si haut directement parce qu'elle savait qu'elle se devait d'être patiente avec lui... Elle le savait. Elle avait toujours su que ce ne serait pas facile. Pourtant, ils étaient là aujourd'hui... Alors, elle souriait. Elle souriait comme elle ne l'avait jamais fait, et elle plaisantait. Elle s'enorgueillait peut-être un peu aussi je vous l'admets mais elle était tellement heureuse en ce jour que rien ne pouvait venir entacher sa joie... Rien du tout, pas même ses petites taquineries qu'il lui lançait juste pour justement la faire réagir... Il n'empêchait qu'elle réagissait cependant quand même, et instinctivement.

    Il s'était tourné légèrement sur le côté, avait posé sa tête sur l'oreiller... Tonks se demanda s'il n'était pas un peu fatigué, s'il n'avait pas sous-estimer de ses forces... Après tout, il ne fallait pas oublier qu'on était le lendemain de la pleine lune et qu'il avait connu une nuit difficile – en y repensant, elle non plus n'avait pas dormir, mais là encore, bien que cela ne lui importait guère pour être avec lui, il n'en restait pas moins qu'il était plus vieux qu'elle et sans doute qu'ajouté à la nuit passée, les émotions qui s'était enchaînées ensuite avait dû davantage le fatiguer... Tonks s'inquiéta aussitôt... Elle, elle n'était pas encore fatiguée. Enfin,... Non, pas du tout, elle se sentait bel et bien en forme mais elle ne voulait certainement pas le fatiguer de trop. Elle sembla hésiter pendant un moment... Quelques secondes... Quelques secondes de réflexion qui furent interrompus par ce qu'il disait ensuite. Lui enlever elle-même ? Il était fainéant le Remus ! Ou alors, il était vraiment fatigué et il la pensait pour sa bonniche ! Non évidemment, c'est avec amusement qu'elle pensait cela... Un sourire naquit sur ses lèvres alors que des frissons la saisissait soudain en sentant sa main glisser sur son flanc... Elle sentit son souffle dans son cou alors qu'elle entendait ce qu'il disait... Lorsqu'il fit descendre sa main sur sa cuisse, elle sembla achevée.... Ses caresses la faisait fondre, et il le savait... Il ne devait pas être tant fatiguer, si ? Parce que sinon elle pouvait comprendre... Et elle pouvait tout aussi bien rester tranquille, allongée à côté de lui, et dormir... Mais ses caresses semblèrent l'achever...

    Visiblement il n'avait pas du tout apprécié le fait qu'elle se cache ainsi et lorsqu'il lui « ordonna » de retirer ses bras de sa poitrine qui la cachait, son sourire s'agrandit. Elle avait bien espéré qu'il réagisse de cette manière... Juste pour l'embêter, elle conserva les bras noués autour de sa poitrine, lui ôtant une partie d'elle de la vue.. D'un côté, elle semblait comblée. Cela montrait beaucoup de choses... beaucoup de choses, le fait qu'il ne vouait pas qu'elle se cache de sa vue, qu'il s'en sente presque offusqué... Elle ne pouvait s'empêcher d'en ressentir beaucoup d'amusement, mais qu'il se rassure, elle ne tiendrait pas longtemps loin de lui... Comme si elle avait besoin de ses caresses comme si elle avait besoin que son regard la réchauffe rien qu'en la parcourant des yeux. Même si ses mains ne se promenait pas sur son corps, elle avait l'impression que son regard le faisait aussi bien. Elle avait l'impression de sentir sur sa peau la caresse de ses regards presque comme étant physiques, et elle ne pouvait s'empêcher de se laisser frissonner. Elle ne tiendrait pourtant pas longtemps... Elle ressentait juste comme la nécessité vitale de sentir ses mains sur son corps.

    … Sa dernière réplique la fit sourire. Il était peut-être fatigué mais cela ne l'empêchait pas de la chercher... C'était clairement son intention ! Si elle n'osait pas ?! Comment ça qu'elle n'osait pas ?! Nymphadora Tonks, ne pas … Oser ? Il avait trouvé le bon moyen de la faire cesser de bouder – faussement bouder – et elle... Tombait chaque fois dans le panneau évidemment.... Mais après tout, il lui avait bien dit « Si tu le veux, prends-le »... Pourquoi se gêner ? Il le lui avait demandé, il lui donnait même l'autorisation. Elle haussa un sourcil …

    « Ne pas oser ? » répéta t-elle lentement, comme si elle avait voulu s'assurer de ce qu'il avait bien dit. « Moi ? » Ses bras étaient immédiatement retombés de chaque côté de son corps et elle se mit à « ramper » pour se rapprocher de lui, très lentement jusqu'à arrêter son visage juste devant le sien, le fixant droit dans les yeux, les lèvres à quelques millimètres des siennes, mais sans les toucher... « … Je te préviens que si je le prends... Je le garde... » ajouta t-elle doucement avant d'embrasser ses lèvres pour les laisser glisser jusqu'à cou...

    Elle les laissa ensuite effleurer et glisser sur ses épaules, avec gourmandise... Ses mains vinrent effleurer ses hanches avant de se poser – encore- au niveau de sa ceinture et, non sans difficultés, elle réussi à déboutonner le bouton... L'étape suivante serait plus difficile parce qu'elle n'avait pas envie d'arrêter d'embrasser chaque parcelle de sa peau, mais il le faudrait bien si elle voulait « l'aider » à se débarrasser de son pantalon... Elle n'avait pas envie d'arrêter ses baisers, elle n'avait pas envie... Grrr, jamais rien n'avait résisté à Nymphadora Tonks, alors ce ne serait certainement pas un... Pantalon ! Manquerait plus que ça !
    Continuant de l'embrasser de ses lèvres gourmandes elle glissa sur sa taille, tentant désespérément de le faire glisser sans cesser pour autant de l'embrasser... Bon finalement, ce serait bien un pantalon qui viendrait à bout de Tonks en fin de compte, contrairement à ce qu'elle avait toujours pensé. Elle perdit patience et se décollant à regrets de ses lèvres dont elle avait reprit possession, elle se releva avant d'aller elle-même « à la chasse au pantalon ». Il allait voir lui. Il allait voir de quel bois se chauffait une Tonks, une Tonks au sang Black !

    Avec des gestes fébriles, et impatients, elle parvint à le faire glisser de sa taille puis le long de ses jambes et envoya valser le vêtement – très loin ! Il l'avait assez exaspéré ! D'ailleurs elle lui envoya un regard noir tellement il l'avait contrarié... Elle n'aurait jamais pensé qu'un vêtement puisse venir à bout d'elle mais c'était la vérité... Elle en avait eu assez d'attendre. Il était venu à bout de sa patience. Lorsqu'elle reporta de nouveau son regard sur Remus, celui-ci semblait... Amusé ? Quoi ? Elle avait quelque chose sur le visage c'est ça... ? Ou alors il se fichait d'elle parce qu'elle avait perdu contre un pantalon.... ! A quatre pattes elle s'avança de nouveau, avançant les bras posés de chaque côté de lui, un regard de félin au visage et ne le quittant pas des yeux... Pour un peu, on l'aurait entendu dire « Miaaooow » que ça n'aurait étonné personne… Enfin, venant d'elle, il ne fallait pas s'étonner de grand-chose ! C'était bien aussi d'avoir l'impression d'être en position de force par par-dessus lui ! Ah ah, et pourquoi ce serait toujours les hommes hein ? En plus, vu comme cela, il avait une excellente vue sur elle… Donc de quoi allait-il se plaindre hein ? Elle voulait juste... S'amuser un peu.
    Arrivant près de son visage, elle se pencha ensuite sur ses lèvres pour s'en emparer avant de les glisser près de son oreille...

    « ... Au fait, depuis combien de temps as-tu acheté... Cette bague ? » Elle s'écarta légèrement pour le regarder, une légère lueur amusée au fond des yeux. Non, elle n'avait toujours oublié ce qu'elle avait voulu lui demander tout l'heure ; elle l'avait mis dans un coin de sa tête pour le lui demander au bon moment...
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