Un refuge de très mauvais goût...

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Un samedi de libre pour faire du Shopping voila ce qui n'était pas arrivé depuis quelques semaines déjà a notre petite princesse de Poufsouffle. Mais elle avait prévue cette sortie entre fille depuis plusieurs mois déjà elle avait tous prévue ou presque... Eh oui elle avait prévue ce qu'elles iraient faire ou elles iraient faire du shopping, les magasins qu'il ne fallait absolument pas louper, mais ce qu'elle n'avait pas prévue... C'est que ses amies annuleraient la journée fille pour rentrée chez elle pour une, pour l'autre resté au chaud dans le château dans les bras de son tendre amour et une autre encore qui était malade et qui ne pouvait pas s'en aller à plus de 100 mètres des toilettes au risque de vomir partout. Certes Elena était dessus mais elle ne laissait rien transparaître tant pis, elle irait fait son shopping toute seule et pis s'était tout. Enfilant son manteau couvrant ainsi ses vêtements de moldus qu'elle avait mis sur elle spécialement pour l'occasion lui permettant ainsi de se fondre plus facilement dans la population de Londres. Elle prit tout de même son écharpe au couleur de sa maison qu'elle enroula autour de son coup jusqu’à son petit bout de nez pour qu'il soit bien au chaud. Une fois prête elle emprunta le chemin qui menait à l'extérieur de Poudlard.

Arrivée a Pré au lard elle croisa bon nombres d'élèves de Poudlard, pour la plus part d'entre eux ils étaient en groupes et riait joyeusement, lui rappelant avec tristesse que ses propres amies l'avait laisser tombé. Rentrant un peut plus son visage dans son écharpe elle poursuivit son chemin jusqu'à chez Zonko ou elle fit le plein de friandises afin de pouvoir noyer sa tristesse dedans qu'en elle en éprouverait le besoin, ou bien les partagés avec ses amis dans la salle commune au coin du feu un soir ou ils n'auront pas envi de dormir... Une fois les friandises confortablement coincé dans son sac à dos la jeune femme ressortie de la boutique. Qu'en elle regarda l'ensemble des boutiques qui se trouvaient dans la rue principale de Pré au Lard la jeune femme remarqua de l'autre côté de la rue, une silhouette familière... Une grande tante du côté de sa mère était de l'autre côté de la rue et la jeune Elena espérait qu'une choses, qu'elle ne l'est pas vue... Il y a des personnes dans les familles, qu'on a du mal a supporté, un peut trop chiant, un peut trop extravaguent, un peut trop colérique, un peut trop fourbe... Et bien la Grande tante de Elena était le tout réunit dans une seule et même personne.

De plus elle avait une affreuse manie qu'en elle voyait, Elena elle ne pouvait pas s'empêcher de lui pincé les deux joues en lui rappelant qu'elle était toujours aussi mignonne. la jeune jaune et noir posa sa main ganté sur sa joue gauche a se souvenir et avant que sa grande-tante n'est fait le moindre signe dans sa direction la jeune femme bifurqua sur sa gauche et prit l'une des ruelle adjacente a la rue principal afin de furent cette grande tante infernal. Trop tard elle l'avait remarqué dans la foule et l’appelait déjà a grand cris. Ça ne se faisait pas, La jeune jaune et noir le savait mais au lieux de s'arrêter elle se mit a courir fuyant a grande enjambé. La pancarte de la tête de sanglier grinçait sous le faible vent qui régnait dans la rue et s'en perdre une minutes la jeune femme se rua dans le bar, et referma délicatement la porte derrière elle regardant par la petite fenêtre ce que sa grande tante allait faire. Elle croisait les doigts dans l'espoir qu'elle ne l'aurait pas vue entrée dans ce lieu... Apparemment la jeune femme avait de la chance sa grande tante ne l'avait pas vue rentrée dans se lieux et poursuivit son chemin... Soulager la jeune femme se mit le dos a la porte une main sur la poitrine et émit un grand souffle de soulagement d'être débarrasser de cette vielle harpie.

Qu'en elle rouvrit les yeux elle remarqua que certain client la dévisageait et que surtout le patron derrière le bar attendait de savoir pour qu'elle raison, elle avait fait une rentrée aussi spectaculaire dans son bar... Elena se mit a rire nerveusement puis tout en retirant ses gants et son écharpe, elle s'approcha du comptoir et demanda une bière au beurre. Le Bar-man lui servit dans un verre opaque, elle ne savait pas si s'était du a la saleté ou par autre choses, mais bon elle ne chipota pas elle prit le verre et déposa l'argent a la place. Elle se tourna et s'installa à une table vide près de la fenêtre. Elle n'avait pas vraiment regardé toute les personnes qui se trouvait dans la pièce mais qu'en elle entendit un grattement de gorge sur sa gauche... Elle regretta de ne pas avoir balayé la salle avait de s'installé dans ce lieu. La jeune Poufsouffle releva lentement la tête et croisa le regard de William Laurens, un jeune homme infernal... Son pire cauchemar ou presque !! Elle regrettait déjà sa grande-tante... (Eh oui a se point !!). Sur un ton désagréable la jeune femme lui dit :

_ Vous avez vraiment rien foutre de la journée !!

A chaque fois qu'elle le voyait il ne faisait rien de bien intéressant a par glandé à droite comme à gauche... Et venir la faire chier devait être son seule travail de la journée ! Elle n'avait jamais comprit comme le jeune homme faisait toujours pour savoir ou elle se trouvait ni même qu'en elle était seule...

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La journée était froide mais j'avais tout de même décidé d'aller faire un tour à la Tête de Sanglier. Je pris tout d'abord mon déjeuner à la maison, en compagnie d'Elle, ma tendre compagne. Nous déjeunâmes en silence comme bien souvent. En effet, même si elle était la femme que j'aimais, ma nature revenait au grand galop. Je n'aimai pas m'étendre sur des sujets futiles, non pas qu'Elle parlât de choses inutiles mais il y avait peu de sujets de conversation qui m'intéressaient réellement. Le seul qui me tenait en haleine était la politique ou bien notre activité de Mangemorts. Mais à ce moment là nous n'avions pas vraiment de missions à accomplir pour le Maître, il les confiait plus à ses proches et je devais bien avouer que nous n'en faisions pas encore partie. Nous étions fort jeunes, 19 ans, à peine sortis de Poudlard. Oh ! Nous avions déjà fait nos preuves sinon nous n'aurions pas la marque sur le bras et nous étions souvent conviés à des réceptions chez les Malefoy en l'honneur du Maître. Quoi qu'il en soit, ce jour là, je pouvais vaquer à mes occupations favorites.

Une fois le déjeuner fini, j'allai prendre ma cape la plus chaude. J'embrassai Elle et la laissait à sa lecture dans notre petit salon. Je sortis donc dans la rue en complet veston et une cape par dessus tout ça. Je transplanai de notre rue à celle de la Tête de Sanglier avec sous le bras des journaux sorciers et moldus. Oui, j'aimais lire la presse moldue afin d'être au fait de tous les accidents qui leur arrivaient en ces temps troublés. Mes journaux sous le bras, je marchai jusqu'à la porte du pub et entrai. Tout de suite la chaleur du lieu me remplit les poumons même si certaines odeurs étaient fort désagréables, j'aimais y venir depuis que j'avais l'âge de sortir de Poudlard. On y rencontrai parfois des gens intéressants, le plus souvent de simples malfrâts mais en général j'étais au moins tranquille pour lire et ça me sortait un peu de notre quotidien confiné dans notre villa londonienne.
Je choisis donc une table un peu éloignée de la porte pour ne pas trop sentir le froid à chaque fois que celle-ci s'ouvrirait.

Je commendai un whisky on the rocks qu'on ne tarda pas à m'apporter. Je devais faire tâche dans ce décor. En effet, j'était bien coiffé, je portai des vêtements de luxe... Mais tout cela m'amusait beaucoup. Je dépliai alors l'un de mes journaux et en commençai la lecture. J'eus à peine le temps de me concentrer sur ce que je lisai que la porte s'ouvrit avec fracas. Je fus dérangé aussi levai-je la tête. Je reconnus immédiatement la jeune fille qui venait d'entrer. Il s'agissait de la fille d'un Auror qui m'avait fait du tort par le passé. Aussi, à chaque fois que je la croisai, je me rappelai au bon souvenir de son père en lui faisant subir des humiliations, parfois un doloris lorsque nous étions seuls et que cela ne présentait pas de risque. Je remarquai donc qu'un sourire s'était dessiné sur mon visage. Je portai mon verre de whisky à mes lèvres et me râclai la gorge. La jeune fille avait pris place à trois tables de moi et je crois que ce fut à ce moment-là qu'elle me reconnut car elle eut un haut le corps.

Je pris mes journaux, ma cape que j'avais déposée sur la chaise à côté de moi et me dirigeai vers la table à laquelle Miss Harkness était assise. Je lui souhaitai le bonjour et m'octroyai le droit de lui tenir compagnie. Je vis bien que ça ne lui faisait vraiment pas plaisir puis elle commença à me repousser avec ses mots inutiles. Je souris à nouveau et me penchai en avant pour caresser une de ses boucles brunes. Oh ! Elle était jolie mais je n'en n'avais cure, elle aurait pu être la plus triste laideur des environs, elle était surtout la fille d'un vieil ennemi dont je pris d'ailleurs des nouvelles.

Alors, comment va votre père ? Toujours Auror ou le Ministère s'est enfin débarassé de lui ?

Je sortis ma baguette sous la table et posai le bout de celle-ci sur le genou de la jeune fille. Il lui était donc impossible de s'enfuir sinon je lui aurais envoyé un discret sortilège d'entrave. Voilà qu'elle était prise au piège et j'avais hâte de lui faire subire mon courroux. Quand Elle saurait que j'avais vu la petite Harkness, elle voudrait tout savoir sur ce que je lui avais fait et je comptais bien lui narrer quelque chose d'amusant.

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Elena se maudit, de ne pas être resté dans le froid hivernal, de la ruelle et de ne pas être tombé nez à nez avec sa grande-tante, même elle lui aurait paru une simple amie... Le jeune homme ne s'était pas seulement montré polie a son égare il avait décidé de venir s'installer en sa compagnie à la table. La jeune jaune et noir toucha machinalement le contour supérieur du vers sous son doigt n'étant pas du cristal celui-ci ne pouvait sifflé mais la jeune demoiselle aimait le faire tout de même cela lui permettait de contenir sa colère... Une Poufsouffle avait certes des qualités de jeune femme loyal et patiente à toute épreuve mais cette homme lui sortait terriblement par le nez et ce n'était que très peut dire...

Assit en face d'elle, il amorça un geste et saisit entre ses doigts, l'un des mèches de cheveux de la jeune femme. Elena le fusilla du regard et de sa main droite, lui frappa vigoureusement la main pour qu'il cesse, immédiatement son petit manège... Ce n'est pas qu'en général la jeune demoiselle n'aurait pas aimé qu'on lui touche les cheveux mais rien que de savoir que la main de cette homme qui ne se gênait pas à lui lancer un des trois sort impardonnable des qu'il se retrouvait seul, la répugnait. Le silence s'était installer entre les deux individus, elle le regardait avec un regard d’usure mais fusilleur, et lui la regardait avec un visage souriant et plein de plaisir. Rien qui ne pouvait rassurer notre petite brunette, prête a tout de cette homme pour qu'il puisse s'amusé, avec elle... Après plusieurs minutes de contemplation il finit par brisé le silence...

_ Alors, comment va votre père ? Toujours Auror ou le ministère s'est enfin débarrassé de lui ?

Avant même que la jeune femme n'eu le temps de lui répondre elle senti le bout d'une baguette magique se posé sur son genou, elle voulu faire un mouvement pour se reculé mais elle comprit, que ce n'était même pas en rêve... Alors elle prit son verre qu'elle porta délicatement a ses lèvres et en but un petit gorgé le temps de reprendre tranquillement ses esprit et ne pas laissé transparaître son malaise vis à vis de cette homme. Il était hors de question pour Elena de paraître fragile et touché par le geste du jeune homme qui se trouvait devant elle. Une fois la gorgé but elle reposa délicatement le verre sur la table et après avoir balayé de son regard l'ensemble de la salle de son regard bleu océan elle les reposa sur l'homme assit en face d'elle et de sa voix douce, presque aimable elle lui répondit :

_ Il va très bien... Eh oui, il est toujours Auror, et croyez-moi, il ne vous a pas oubliez...

Lui dit-elle avec un petit sourire au coin des lèvres. Elle jouait la carte de la provocation, bon ou pas bon pour elle, elle ne savait pas, mais qui ne tente rien n'a rien on le dit souvent alors elle verrait. Elle reprit une seconde rasade de bière au beurre avant de nouveau de reposé son verre et de faire de nouveau tourné son doigt sur le bord du verre comme si ele était seule a sa table...

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Je n'aurais pas pensé que mon après-midi pourrait être aussi divertissante. Qui plus est, elle allait divertir Elle quand je rentrerai et nous allions rire de cette rencontre inopinée. Elena était la fille d'un Auror qui nous avait traqués pendant de longs mois sans obtenir une seule preuve de notre allégeance à Qui-vous-savez. Nous nous étions tout de même affrontés en duel plus d'une fois et une seule fois, une seule, j'avais réussi à lui faire supporter le doloris. Il s'était tortillé dans tous les sens mais je n'avais pas cédé. Ce la me faisait trop plaisir de le torturer après les nombreuses fois où il nous avait pris en chasse. J'avais aimé ses cris de douleur et de le voir se débattre pour retrouver un semblant de dignité. Pourtant c'était moi qui avais décidé du début et de la fin de son châtiment. Depuis nous ne nous étions jamais revus et je le regrettai car j'aurais bien aimé recommencer l'opération qui m'avait tant fait rire. Alors à présent que j'avais repéré qui était sa fille, dès que je la croisais je m'en prenais à elle, pauvre âme sans défense et je lui faisais subit les mêmes traitements qu'à son père. Cette fois n'allait pas manquer à la règle.

Elle s'amusait avec son verre pour se donner une contenance mais je voyais bien qu'elle était morte de peur et c'était cela qui était le plus jouissif, sentir ma supériorité. Oh ! Bien sûr, elle tenta la provocation en me disant que son père se rappelait de moi et je ne pus me retenir de lui expliquer pourquoi. Je me penchai donc sur la table à moitié propre, sans la toucher, de ma main libre je lui saisis le menton et pressai ma baguette sur son genou de l'autre. Cela lui intimait l'ordre de se laisser faire. Doucement, comme si je lui parlait à l'oreille, je lui fis part de notre dernière entrevue :

Tu sais pourquoi ton père se souvient à ce point de moi ? Non...évidemment, il n'a pas voulu t'inquiéter. Mais moi je vais te le dire car je crois que l'honnêteté est bien la meilleure façon de se protéger de nos jours.

Je pris une bouffée d'air et recommençai mon petit jeu.

S'il se souvient autant de moi c'est que la dernière fois où nous nous sommes vus, il a crié que dis-je, hurlé pour que je le laisse tranquille, ou plutôt le laisse en vie. Alors je crois effectivement qu'il a arrêté de me pourchasser car il a peur de ce que ma femme et moi pouvons lui faire.

Je partis dans un grand rire qui ne m'était pas coutumier, c'était un rire proche de la folie. J'était pourtant plutôt taciturne et peu enclin à m'amuser mais la torture me faisait toujours cet effet là. J'expliquai alors à Elena qu'elle allait aller payer sa consommation et me suivre bien gentiment jusqu'à l'endroit que je nous avais choisi. Elle s'exécuta, sachant très bien qu'un seul geste de ma part et elle se retrouvait sans vie. Je me levai alors et payait à mon tour ce que j'avais consommé. Je pris les journaux qui ne m'avaient pas quitté, je glissai ma baguette dessous et attrapai Elena par le bras pour qu'elle fasse ce que j'allais lui demander. Nous sortîmes de la taverne dans un bel ensemble et je nous dirigeai vers une ruelle déserte pour enfin terminer notre marche en face d'une échoppe désertée. Ce qui était bien avec la guerre qui se préparait c'est que beaucoup de marchands avaient déserté les lieux. J'entrai donc à l'intérieur, suivi par la jeune Poufsouffle.

Je la pris par les cheveux et la lançai dans un coin de la pièce. Je pris soin de lancer un sort pour qu'on n'entende pas ses cris. Je m'approchai ensuite d'elle, ma baguette toujours devant moi, un sourire froid sur les lèvres. Je jetai mes journaux au sol et ôtai ma cape. Je la voyais trembler même si elle tentait de le dissimuler.

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