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 A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]

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MessageSujet: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeLun 22 Aoû - 20:49

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Une brise légère, agréable mais presque piquante soufflait sur le visage du loup-garou. Ses cheveux remuaient dans tous les sens et Remus se sentait presque au paradis. Une brise de paradis au milieu de cette guerre des nerfs au cours de laquelle seuls les plus forts s’en sortiraient vivants. Doucement, l’homme relevait la tête, observant au loin l’horizon qui devenait de plus en plus rouge, comme si la violence et le sang qui coulait sur le sol se reflétaient dans le ciel. Et Remus savait que cela ne ferait que s’aggraver, et ça lui faisait peur. Par le passé, il avait déjà tant perdu : des amis, des proches, et même des membres de sa famille. Il était hors de question que cela se produise à nouveau, parce qu’il avait encore plus à perdre. Certes, il avait perdu James, Lily, Sirius, des gens auxquels il avait tenu plus que tout au monde, mais aujourd’hui, il y avait cette petite étincelle qui brillait en lui. Cette étincelle était celle qui représentait Tonks. Si un jour il était amené à la perdre, il ne le supporterait pas. Pourquoi ? Il n’en savait rien du tout. Après tout, il avait toujours refusé qu’il se passe quoi que ce soit entre la jeune femme fatale et lui, simplement parce qu’il était loin de représenter l’homme idéal. Il était bien plus vieux qu’elle, toujours fatigué, toujours en danger en tant que chef de l’Ordre et surtout, il était dangereux. Dangereux parce qu’il était un loup-garou et que, si jamais il lui arrivait d’être confronté à elle lors d’une de ses transformations, il n’hésiterait pas à s’en prendre à elle. Il ne la reconnaîtrait pas, il lui ferait du mal, et ça il ne pouvait pas l’accepter.
Il avait déjà connu ce cas de figure avec Harry, alors qu’il voulait le protéger. Mais il en avait été incapable et ça lui avait coûté son poste à Poudlard. Mais il ne regrettait pas : au fond, il pouvait maintenant s’occuper de l’Ordre à plein temps.

La brise continuait à caresser la peau pourtant couverte du loup-garou. Il rentra dans la vieille cabane qui abritait l’Ordre du Phoenix pour le moment et referma délicatement la porte. Il commençait à faire froid et pourtant, on était seulement au mois de septembre. Lupin était toujours surpris de voir comme en Angleterre, le temps pouvait varier rapidement. En passant devant un miroir, il observa un instant son visage. Il avait l’air épuisé, les cicatrices de ses derniers combats transperçaient son visage et il portait encore des cernes très noirs. Son visage paraissait très serein, et pourtant il ressentait une nervosité à toute épreuve. Un éclair de tristesse traversa son regard avant qu’il ne se libère de la vue de son reflet. Il n’avait jamais supporté de se voir dans un miroir, mais il le supportait encore moins aujourd’hui.
S’installant à table, il sortit sa baguette magique et en quelques coups et tours de poignet, il prépara une tasse de café. Mais, après réflexion, n’importe qui pouvait arriver ici. Il avait envoyé certains membres de l’Ordre en mission, en particulier des jeunes qui rêvaient de se rendre utiles pour la communauté magique, chose que le loup appréciait grandement. Ils avaient tous besoin de la motivation des sorciers et les jeunes étaient très motivés. Donc, il refit un peu de café et prit une tasse entre ses mains. La tasse chaude le réchauffait. Il ne manquait plus qu’un feu de bois et l’ambiance serait parfaite, comme si rien ne se passait au-dehors. Mais il ne fallait pas se mentir. Les choses allaient encore se compliquer et rien de ce qu’il se passait dehors n’allait être plus simple. Il devait se faire à cette idée.

Devant la fenêtre, Remus observait le temps qui changeait à nouveau. Il avait cette drôle d’impression, celle que Sirius avait connu deux ou trois ans plus tôt. L’impression que rien ne serait plus jamais comme avant. Sirius avait déjà raison à l’époque, alors qu’il n’y avait pas encore eu de véritable bataille, de deuxième bataille. Mais il savait déjà que ça serait bien plus grave, son vieil ami.
Mais alors que son regard semblait perdu au loin, Remus aperçut une silhouette qui s’approchait doucement de la cabane, la cape volettant dans tous les sens à la suite de la personne.
Plus cette silhouette se rapprochait et plus elle lui faisait penser à une femme. Il ne savait pas encore de qui il s’agissait, puisque la jeune femme portait un capuchon sur la tête.
Cette personne s’approcha de la porte, frappa trois grands coups et entra dans la cabane.
Remus déposa sa tasse de café sur la table, sortit sa baguette magique et attendit que la personne soit dans la cabane. Quand ce fut le cas, elle abaissa son capuchon et il vit enfin le visage de Tonks. Mais il devait être certain que c’était bien elle. Il n’osa même pas placer sa baguette entre les côtes de Tonks, comme il le ferait avec n’importe qui.
Il la regarda dans les yeux et lui demanda :

Ma date de naissance ?

Une question simple, idiote, mais elle seule pouvait connaître ce détail. Elle et Sirius, mais Sirius étant mort, il était certain que Dora était la seule au courant. Il attendit sa réponse, observant le regard de la jeune femme.
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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeLun 22 Aoû - 23:07



    Rose, violet... Rose, violet... Rose violet... Rose avec des mèches violettes, puis violettes avec des mèches roses.... Vert... Beurk ! Ah non, certainement pas ! Que c'était moche. Décidément, elle n'aimait vraiment pas le vert, pas seulement parce que c'était la couleur de Serpentard... Mais cela ne lui allait pas du tout sur elle ! … De toutes façons, ce n'était pas la couleur que Remus aimait voir sur elle, elle le savait ! Et... Heu ? Oulà... Tonks, regroupe ton esprit ! Arrête d'y penser ! Non, non, non, … Elle y pensait déjà suffisamment ainsi ! … C'était instinctif. Chaque fois qu'elle disait ou pensait quelque chose, il fallait qu'elle arrive à faire la relation avec Remus... Remus par-ci, Remus par-là... Non, il fallait arrêter là ! Même quand il n'était pas là. Cela allait finir par en devenir une obsession à ce rythme... A moins que cela l'était déjà ? Hm... bonne question...

    Devant sa glace, Tonks faisait donc des essais. Elle était revenue plus tôt du ministère. Aujourd'hui, ils n'avaient pas eu beaucoup de travail à dire vrai et après avoir terminé de recopier et corriger le rapport qu'elle tapait sur leur dernière mission – qui soit dit en passant s'était terminée en fiasco total à cause de ce Spencer Finder qui ne savait même pas tenir sa baguette correctement ! - et bien, Tonks était rentrée chez elle. En colère ? Oui, un peu. Non mais elle, elle était maladroite certes d'accord, mais lui, alors là elle se demandait comment il avait pu devenir Auror ! C'est à peine s'il parvenait à tenir sa baguette dans sa main et à lancer un « Alohomora ».... Si elle exagérait ? Un tout petit peu alors, mais vraiment un tout petit peu. Enfin, tout le monde n'avait pas eu Maugrey, le grand Maugrey Fol œil comme mentor après tout ! … Ah non, elle ne se vante pas évidemment ! Mais enfin bon, s'il avait eu Maugrey en formateur, là, il n'aurait certainement pas obtenu son diplôme... Pas avant qu'il soit efficace en tant qu'Auror en tous cas. Et là, il aurait bossé comme un taré ! Il aurait vu ce qu'était le vrai travail, ce qu'était la persévérance ! Ah... Il ferait bien de finir sa carrière à faire de la paperasses au bureau tiens! Et Tonks serait particulièrement ravie de lui apporter elle-même les documents à classer et à ranger. Il l'avait suffisamment embêtée comme cela au début chaque fois qu'elle renversait quelque chose – alors c'était le juste retour des choses après tout...

    … C'est alors qu'elle décida de quitter un peu la monotonie de son appartement londonien pour se rendre au quartier général actuel de l'Ordre, situé aussi à Londres. A seulement quelques rues de là en fait. Ce n'était pas si loin que cela à pieds. Et en transplanage, encore moins évidemment ; mais ce soir elle avait envie de marcher, de sentir la douce brise caresser son visage, de marcher sous les derniers rayons de soleil qui chauffait Londres en ce mois de Septembre... Surtout que cela semblait s'être dégagé après avoir plu pendant quatre heures d'affilées. Oui, elle comptait le temps qu'il pleuvait... Quand on avait rien d'autres à faire que de rester enfermé chez soi, il fallait bien s'occuper ! Elle attrapa son petit foulard qu'elle noua autour de son cou – ça lui était venu tout seul ; ces temps-ci, elle aimait bien se mettre toujours un foulard autour du coup pour sortir... - Et comme Nymphadora n'avait jamais résister à l'une de ses impulsions subites, alors cela faisait voilà deux semaines maintenant qu'elle se promenait avec ce foulard. - En l'ayant lavé entre-temps évidemment -. Enfilant sa cape, elle sortit de son appartement et dégringola les escaliers.... Manquant au passage la dernière marche et manquant s'étaler par conséquent au sol. Ses réflexes furent toutefois bons ; elle se rattrapa au bord de la rambarde et permit ainsi de se stabiliser, échappant au pire. Nymphadora éclata de rire. Cela lui apprendrait à se précipiter ! Surtout qu'en plus elle n'avait aucun rendez-vous ce soir-là, donc... Ben, elle voulait juste passer au quartier général. Peut-être y verrait-elle quelques membres de l'Ordre avec qui elle pourrait discuter le reste de la soirée et puis lorsque la fatigue la prendrait, alors elle rejoindrait son appartement pour se glisser dans son lit, seule.

    Ramenant la capuche de sa cape sur la tête pour se couper du vent, elle se mit alors à marcher tranquillement… Manque de pot pour elle qui avait décidé de se rendre à pieds ce soir-là, le ciel s'emplit de nouveau et quelques gouttes commençèrent à tomber. Et zut... C'est ça que de vivre en Angleterre ! Le temps était tellement incertain, tellement changeant... Tout comme la guerre. En y songeant, la météo était une « jolie » métaphore de la guerre qui régnait dans le monde, à l'insu pourtant du monde moldu – monde moldu qui avait lui-même ses propres ennuis d'ailleurs. Tonks s'informait sur les dernières nouvelles moldus, et oui ! Quoiqu'il en soit, elle dû écourter sa balade dans Londres pour transplaner directement devant la maison de l'Ordre. C'était cela, ou alors c'était se tremper et rentrer illico presto chez elle pour se changer, et fini la conversation avec un membre de l'Ordre... Enfin, elle n'était même pas certaine qu'il allait y avoir quelqu'un d'ailleurs. Elle allait un peu au petit bonheur la chance. A moins que c'était son cœur qui l'y poussait.... ? Qui sait, le cœur sait parfois des choses que l'on ignore nous-mêmes...

    La pluie s’accentua. En une seconde. Elle se félicita d'avoir transplaner devant la maison à temps. En marchant rapidement, elle traversa la route et s'arrêta devant la porte d'entrée de la maison. Frappant trois coups au battant - pour prévenir ceux qui éventuellement pouvaient se trouver déjà à l'intérieur – et elle se hâta d'y entrer elle-même. Elle laissa sa capuche tomber et révéler ainsi son identité – c'est alors qu'elle sursauta en entendant parler. Son cœur partit en vrille mais reconnut la personne à laquelle appartenait la voix la seconde d'après... Il n'empêche que la jeune femme sursauta vivement pour se tourner face... A une baguette et un regard qui se fixa dans le sien. Un instant surprise, elle se souvint que la manière de s'assurer qu'ils avaient à faire à un membre de l'Ordre et non à un mangemort était de lui poser une question. Une question que lui seul serait au courant. Cela lui était sortit de l'esprit durant un instant ! C'était de sa faute aussi, il n'avait qu'à pas la regarder dans les yeux... Cela avait tendance à lui faire tout oublier !

    « 10 Mars 1960. » récita t-elle immédiatement comme si elle l'avait appris par cœur... (Qui sait, c'était peut-être vrai !) Elle ôta ensuite sa veste qui avait eu le temps de se tremper. C'est fou ce que la pluie Anglaise pouvait nous tremper en juste deux secondes... « Honnêtement, faudrait changer de questions parfois ! Je la connais par cœur cette réponse ! » ajouta t-elle en riant.

    … Enfin, oui mais justement Tonks, c'est ça le but. Que tu saches la réponse pour pouvoir savoir si c'est réellement toi. Il voulait aussi procéder à une fouille au corps pour vérifier si c'était bien elle ? Non parce que cela ne la dérangeait pas hein... ! Ah non, zut, il ne l'avait jamais vu ... Sans rien sur elle ! Ah oh, si cela ne tenait qu'à ce détail, ben on pouvait s'arranger hein... Elle n'était pas gênée ! Hm... Bon d'accord je sors...

    « ... Et si un mangemort s'était avant tout renseigné sur cette information hein, avant de prendre ma place, qu'est-ce que tu aurais fait hein ?  »
    l'interrogea t-elle avec amusement, et aussi beaucoup de curiosité. « Tu aurais eu l'air malin ! »

    Ben quoi... Il fallait envisager toutes les hypothèses n'est-ce pas ? C'était ce que Maugrey lui avait apprit... Et en ces temps-ci, elle avait tendance à devenir aussi méfiant que lui, à l'extérieur de l'Ordre en tous les cas ! Fol Oeil avait donc fait du bon travail avec elle.

    « … Et il faut aussi que je te pose une question ou ça ira ? Après tout, tu n'es peut-être pas celui que je semble voir là ! »
    ajouta t-elle très sérieusement en faisant un pas en avant vers lui, sans le quitter des yeux, avant d'éclater de rire quelques secondes plus tard. Qui sait, c'était peut-être son expression soudaine qui l'avait fait rire... En tous cas, cela l'avait convaincue que c'était le bon Remus... Maintenant allez savoir comment elle l'avait deviné, ah ah !
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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeMar 23 Aoû - 7:44



Le regard de Dora était profond, et Remus ne pouvait s’empêcher de garder ses yeux plongés dans ceux de la jeune femme. Il connaissait les sentiments de cette jeune personne à son égard, et elle savait très bien elle aussi qu’elle ne le laissait pas indifférent. Mais il n’avait jamais compris ce qu’elle pouvait bien lui trouver. Elle était bien plus jeune que lui, incroyablement belle et elle pouvait probablement avoir tous les hommes qu’elle voulait. Alors pourquoi s’intéresser à un homme plus vieux qu’elle, qui portait les blessures de la vie plus que quiconque, et qui était un loup-garou de surcroît ?
Et au fond, Remus savait qu’il n’en faudrait pas beaucoup plus pour qu’il succombe aux charmes de la jeune Métamorphage. Elle était belle et surtout, elle n’hésitait pas à jouer de sa maladresse pour lui faire comprendre qu’il lui plaisait beaucoup.
Lorsqu’elle lui donna sa date de naissance, comme si elle la connaissait depuis toujours, Remus haussa un sourcil et se retint de sourire. Parfois il avait l’impression qu’elle dormait avec un dossier le concernant sous son oreiller. Il l’imaginait déjà en train de lire ce dossier contenant la moindre petite information à son sujet tous les soirs avant de se coucher. Et il trouvait presque cela sexy… Mais chut, ça il faut le garder pour soi.
Il baissa sa baguette, la rangea dans la poche de sa cape et se recula d’un pas.

Bon au moins, un Mangemort ne m’aurait pas répondu comme ça.

Mais elle avait raison, il ferait bien de trouver une question un peu différente à poser. Mais Remus devait bien avouer qu’il était loin d’être très original et de plus, il avait été pris un peu au dépourvu. Habituellement, les membres de l’Ordre prévenaient d’une manière ou d’une autre avant d’arriver dans leur cachette, parce qu’ils savaient que d’autres pouvaient se trouver là et ils risquaient de les effrayer. Alors justement, pour éviter d’effrayer quiconque, ils se prévenaient. Mais bon, une visite surprise de Dora était toujours quelque chose de très agréable.
Il s’appuya contre le mur et observa la jeune femme. Il eut un petit sourire quand elle lui dit que les Mangemorts auraient pu se renseigner. Mais elle avait évidemment raison. Le seul problème, c’est que les Mangemorts avaient accès à tellement d’informations qu’ils pouvaient intercepter n’importe laquelle d’entre elles. Ils devaient tous se montrer très vigilants, mais ils devaient aussi faire en sorte de se faire confiance les uns les autres, ce qui semblait parfois compliqué.

J’avoue, ça m’ennuierait beaucoup que l’un d’entre eux connaisse ma date de naissance. J’ai pas trop confiance en leurs cadeaux…

Remus lança un clin d’œil à la jeune femme aux cheveux… leur couleur était compliquée aujourd’hui. Rose ou violet ? Il avait l’impression que les cheveux de Dora changeaient tout le temps de couleur. Observant le visage de la jeune femme, il se dit qu’elle avait certainement raison.
Fol Œil avait fait un travail incroyable avec elle : en plus d’être incroyablement intelligente et belle, elle était très douée dans son domaine. Elle était très vigilante et elle avait été formée dans un moule parfait, par un mentor parfait. Maugrey avait été le mentor de la jeune femme et Remus savait qu’il pouvait avoir une confiance aveugle en ces deux-là… Enfin, quand l’identité de Fol Œil n’était pas usurpée évidemment !

En tous cas, je vois que les enseignements de ton cher mentor sont bien ancrés.

Lupin sourit alors que la belle se rapprocha d’un pas d’elle. La sentir si proche avait quelque chose d’enivrant, même s’il ne l’avouerait jamais. Non, il ne pouvait pas avoir de telles pensée, il ne pouvait pas penser à la peau de Nymphadora, il ne pouvait pas penser à son regard posé sur lui, il ne pouvait pas penser à sa bouche qui… Ta gueule Lupin, arrête de penser !
Si elle voulait faire un pas vers lui, tant mieux. Lui ne reculerait pas, jamais… Il sourit à nouveau en entendant la jeune femme s’adresser à lui et lui demander si elle devait lui poser une question. Il n’osait même pas imaginer ce qu’elle pourrait bien lui demander…

Ah ben oui, tu dois suivre à la lettre ce que ton mentor t’as enseigné.


Doucement, il frotta la paume de sa main. Il avait les mains moites. Mais pourquoi avait-il l’impression de se conduire comme un gamin de douze ans amoureux pour la première fois ? Il était parfaitement ridicule ! Et pourtant, il n’avait pas envie de se comporter d’une autre manière. Au milieu de cette guerre, avec tous les morts qui tombaient les uns après les autres, Dora était la seule qui arrivait à le faire sourire.

Demande-moi ce que tu veux…

Plus proches que jamais… Là, Remus était loin d’être dans son état normal mais malgré tout, il restait très calme. Il était le chef de l’Ordre du Phoenix nom de Dieu ! Il était un homme respectable, sérieux et … peu importe !
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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeMar 23 Aoû - 14:15




    … Hm, oui c'est sûr. Il vaudrait mieux éviter qu'un mangemort soit en connaissances de quelque chose d'aussi personnel qu'une date de naissance parce que leur cadeaux avait toujours quelque chose d'assez empoisonné... La jeune femme hocha la tête et esquissa un sourire. Finalement, elle avait bien fait d'être venue. Elle était venue pour parler avec n'importe quel membre – en espérant ne pas rencontrer le silence de la maison à la place – et résultat, … Résultat, c'était Remus qu'elle trouvait là ! Sans le savoir, elle venait de gagner doublement là, et s'être pris une averse n'avait que d'importance au final en comparaison... Elle aurait également pu prévenir de son arrivée avant mais Nymphadora aimait jours le coup des surprises ; tout dépendait des personnes aussi à qui elle les jouait. Maugrey détestait qu'elle lui fasse le coup des surprises ! … Qu'il était d'humeur bougon je vous jure. C'était bien les surprises... Ne pas savoir ce qui était réservé à l'avance. Mais non ! Enfin, on allait pas changer Fol œil hein... Et quand on le connaissait, on finissait par comprendre pourquoi il n'aimait pas tout ce qui était imprévisible... Vigilance constante, vous criait-il aux oreilles chaque fois qu'on se faisait surprendre.... Ah, une fois elle était quand même parvenu à le prendre par surprise, et il n'avait rien vu venir ! … Sauf que toute la journée il n'avait eu de cesse de la regarder avec cet air de méfiance qu'il réservait toujours aux coupables qu'il arrêtait, comme s'il s'attendait à ce qu'elle lui refasse encore un coup par derrière... Tonks n'était pas folle. Demain peut-être retenterait-elle, mais pas aujourd'hui. Pas deux fois dans la même journée alors que sa « vigilance » constante » était enclenchée. Ce n'était plus drôle quand on se préparait psychologiquement. Où était l'effet de surprise ?

    Mais Remus ce n'était pas pareil ; et puis il ne lui avait jamais dit clairement qu'il n'aimait pas les surprises, donc... Et bien quand on ne lui en faisait pas le reproche, la jeune femme ne voyait pas pourquoi arrêter les surprises ! Sans compter que c'était vraiment un hasard qu'elle le trouve ici ce soir. Un beau hasard, certes. Pendant quelques secondes, elle observa attentivement les traits tendus et fatigués de son visage barré de cicatrices... Il semblait toujours en avoir plus de jour en jour … A croire qu'il ne se reposait jamais... Il en faisait trop aussi ! Il se donnait beaucoup trop pour l'Ordre... Mais elle ne pouvait l'en blâmer. Si elle s'inquiétait pour lui ? Evidemment qu'elle s'inquiétait ! Hm... C'était quelque chose qu'elle ne s'était jamais vraiment expliqué mais cela lui avait toujours donné envie de lui faire un gros calin - … Amical on s'entends ! - et lui apporter ne serait-ce un peu de réconfort. Son regard était si profond qu'on perdait totalement pieds en y étant et que tout le reste n'existait plus ; et sa voix... La douceur qui s'en ressentait... Tonks ne se sentait jamais plus en sécurité que lorsqu'il était là.

    L'Auror eut un hochement de tête appréciateur lorsque Remus la congratula sur le fait que les enseignements de Maugrey qui avaient bien porter leurs fruits. Tous les compliments, même détournés,semblaient lui faire éclater un arc-en-ciel en plein cœur et son sourire s'agrandit encore un peu plus. En même temps, elle n'avait pas eu le choix ! Il ne lui aurait jamais donné son diplôme si elle avait assez insouciante pour ne pas écouter son enseignement. Oh, elle avait appris à prendre sa parole comme celle d'un « Saint » quasiment ! Même si elle se moquait de sa « Vigilance constante » quelque fois – c'était affectif ! - et bien elle savait qu'il parlait en connaissances de causes et qu'il savait ce qu'il disait. Elle avait cependant appris beaucoup de choses avec Maugrey comme mentor. D'ailleurs, elle se disait encore vraiment chanceuse de l'avoir eu comme formateur. Parce que son œil avait beau être qualifié de « fou », il était loin d'être fou lui-même... Il avait juste une nette tendance à voir le danger partout même quand il y était pas, mais bon... On ne pouvait pas l'en blâmer après tout. Mieux valait prévenir que guérir...

    « J'ai encore beaucoup à apprendre, mais je suppose que si Maugrey m'a délivré mon diplôme y'a 4 ans, je ne dois pas être si mauvaise que ça, donc je prends le compliment ! » s'écria t-elle en riant.

    Remus lui confirma ensuite ce qu'elle venait de lui dire, à savoir qu'en effet elle devait appliquer ce que son mentor lui avait appris. Une lueur de surprise éclaira quelques secondes son regard. A vrai dire, elle aurait presque parié sur le fait qu'il aurait appréhendé ses questions, mais elle s'était trompée vraisemblablement... Sauf que finalement, elle avait déjà eu sa réponse. Elle avait déjà lu dans ses yeux la réponse qu'elle attendait... Non, elle n'ignorait pas l'état de malaise dans lequel il semblait être quand elle se rapprochait. Et... Oh, la méchante ! Et elle en profitait en plus ! Elle se donnerait des baffes, parfois... Je vous jure ! Mais c'était vraiment trop amusant... Enfin, elle devrait faire attention parfois ; qui sait, il pourrait être lassé au bout d'un moment de la voir jouer ainsi ! Et là, elle aurait tout gagné... Enfin, tout perdu. Mais c'était plus fort qu'elle... Elle n'arrivait même pas à avoir honte de sa conduite ! Cependant, sa proposition la fit réfléchir. « Demande-moi ce que tu veux... » avait-il dit. Il n'avait peur de rien, Remus ! Tout ce qu'elle voulait ? Vraiment ? Son cœur se mit à battre la chamade sans raisons apparentes. Elle pouvait vraiment lui demander tout ce qu'elle voulait ? Un sourire amusé flotta quelques secondes sur ses lèvres. Des centaines de questions lui traversaient l'esprit, toutes plus originales les unes que les autres, toutes plus Tonksienne les unes que les autres ! Puis, elle décida d'adopter une autre ligne de conduite, d'aiguiser sa curiosité...

    « … Oh pas la peine tu sais. Je suis déjà persuadée que c'est bien toi. Pas la peine de questions... » laissa t-elle échapper avant de s'éloigner - à regrets - et de se diriger vers la table. Ecartant une chaise de devant cette dernière, elle se laissa tomber dessus et ses yeux tombèrent sur la glace située un peu près face à elle. Elle fronça les sourcils. Se concentrant sur son reflet, ses cheveux prirent aussitôt leur teinte violette habituelle. Elle avait complètement oublié après ses essais métamorphomiques, qu'elle était restée avec les cheveux violet-rose. Non, sincèrement, elle les préférait soit violet soit rose, mais pas les deux en même temps... Déjà qu'ainsi, cela faisait d'elle quelqu'un de particulier, alors manquerait plus que ses cheveux soient de deux couleurs différentes. Ça faisait encore plus bizarre ! Même si, en fait, elle ne faisait que peu cas du regard d'autrui sur elle... Sauf quand il s'agissait de Remus qui était l'exception qui confirmait la règle. Lorsque ses cheveux eurent reprit leur couleur normale – pour elle – elle reporta son attention sur Remus et ajouta à son adresse en même temps qu'un sourire se dessinait sur ses lèvres.

    « … Mais je note ta proposition pour une prochaine fois. Sauf si tu y tiens vraiment évidemment. » Après tout, elle ne voudrait pas le décevoir...




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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeMar 23 Aoû - 17:46



Cette proximité avait tendance à le rendre complètement fou, et il avait la vague impression que Nymphadora savait parfaitement ce qu’il ressentait lorsqu’elle était si proche de lui. Oh bien sûr, il lui avait souvent dit et répété qu’il ne voulait pas former un couple avec elle, que c’était trop dangereux et il était capable de vous trouver un millier de raisons qui rendaient cette histoire d’amour impossible. Et pourtant, s’il avait existé la plus petite chance de pouvoir être avec elle, il n’aurait certainement pas hésité. Parce qu’elle pouvait le rendre heureux et parce qu’elle était, allez savoir pourquoi, réellement et profondément amoureuse de lui. Oh elle ne le lui avait jamais vraiment avoué, pas dans ces termes en tous cas, mais tout le monde le savait, le sentait. Il sourit quand elle lui avoua prendre le compliment. Elle avait bien raison après tout. Dora était extrêmement douée dans son domaine, et peut-être ne lui disait-il pas assez souvent ce qu’il ressentait à l’égard de son travail. A défaut de lui dire ce qu’il ressentait pour elle en tant que personne… Mais Lupin n’était pas du tout du genre à parler de ses sentiments, quels qu’ils soient…

Tu es bien plus que ça, tu le sais…

Il lui sourit timidement puis partit vers la table pour s’asseoir. Il n’avait pas encore fait de feu mais la jeune femme venait du dehors. Il faisait assez froid et il pleuvait beaucoup depuis quelques minutes. Elle avait dû avoir froid et il n’avait même pas pensé à lui proposer du café ou à allumer un feu dans la cheminée de la cabane. Il partit vers la cheminée et alluma un feu. Il marcha ensuite vers la table et s’installa face à Tonks. Le visage de la jeune femme avait quelque chose d’enivrant à ses yeux. Il se rendit vite compte qu’en y pensant bien, ils ne se connaissaient pas si bien que ça. Même s’il était amené à lui proposer une autre question que celle sur sa date de naissance, il ne saurait pas quoi lui demander, de peur qu’elle ne puisse répondre. Ils n’avaient jamais réellement parlé de leur enfance, de leurs amis, de leur premier amour ou de leurs années d’études. Celles de Remus remontaient à très loin, et il n’en parlait jamais à Tonks de peur d’accentuer encore un peu plus le fait que sa scolarité remontait à une éternité et qu’il était donc bien plus vieux que la jeune femme. Mais il était vrai que ce genre de détails, les événements marquants de sa vie, il aurait voulu pouvoir en parler à la jeune femme.
Ils semblaient se connaître depuis toujours, elle semblait connaître l’âme de Remus et pourtant, elle ne savait pas grand-chose des anecdotes de son existence.

Ca ira. Mais je me demande parfois comment tu peux me reconnaître ainsi…

Mais c’était simple… Lui-même n’avait pas besoin d’une question pour reconnaître la jeune femme. Il la connaissait, c’est tout. Il pourrait sans doute la reconnaître entre mille… Il se leva, alla servir une tasse de café à la jeune femme et l’apporta sur la table, près d’elle. Il arriva derrière elle, déposa délicatement la tasse sur la table et, dans un moment d’hésitation, voulu poser la main sur l’épaule de la jeune femme. Mais il ne pouvait pas, il ne voulait pas lui donner trop d’espoirs… Il ne savait pas encore si un jour, il se sentirait capable d’être avec elle. Alors il s’interdisait toute marque d’affection, même quand il en avait envie, même quand il en avait besoin.
Alors il posa juste la tasse et repartit à sa place. Il observa les yeux de la jeune femme, qui devait probablement se demander ce qui était passé par la tête du chef de l’ordre. Si seulement il le savait lui-même…

T’as déjà remarqué qu’on ne… parle jamais vraiment de nous, de nos vies… On a beau se connaître, j’ai l’impression qu’on ne se connaît pas vraiment…

La preuve la plus flagrante était ce qui s’était produit avec Rogue. Pendant des années, ils avaient fréquentés le Maître des potions, ils l’avaient côtoyés et même si Remus le connaissait bien, il n’aurait jamais imaginé ce qui s’était produit… Comme quoi au final, il fréquentait peut-être d’autres meurtriers et il n’en savait rien du tout.
Mais avec Tonks, c’était autre chose, quelque chose de bien plus spécial. Il voulait apprendre à la connaître, il voulait tout savoir d’elle, juste pour avoir l’impression d’être proche d’elle, juste un peu. Tout ce qu’il savait d’elle, c’était qu’un nombre incalculable de fois il l’avait observée du coin de l’œil alors qu’ils se battaient, pour être sûr de ne pas la perdre. Tout ce qu’il savait, c’était que s’il venait à la perdre, il ne le supporterait pas. Tout ce qu’il savait, c’était que Tonks était sa bouffée d’oxygène et que lorsqu’il la voyait, il n’avait pas l’impression d’être un moins que rien…Elle était son univers et ça, il ne pourrait jamais lui dire. Justement parce qu’il avait l’impression d’être un moins que rien…

Il jeta un coup d’œil par la fenêtre et sourit en remarquant, tournant à nouveau la tête vers elle, que ses cheveux étaient à nouveau violets. Et complètement violets. C’était d’ailleurs beaucoup plus joli. Bien qu’il était persuadé que même avec les cheveux gris, elle serait sublime.
Il passa une main dans ses propres cheveux, pour essayer de se donner un peu de consistance mais son regard fatigué, son visage couvert de cicatrices et ses cheveux gris ne faisaient que de le rendre encore moins attirant…
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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeMar 23 Aoû - 19:50



    … Les coudes posés sur la table, le menton entre les mains, elle se contentait de l'observer – sans réelles discrétions vous en conviendrez, mais Dora n'était pas connue trop pour sa discrétion... - et elle attendait sa réponse, pendue à sa lèvres. Heu, pas trop non plus quand même Dora, sois raisonnable... En tous les cas, elle l'observait tout en songeant de nouveau... « Tu es bien plus que ça, tu le sais. » … Songeait-elle avec un minuscule sourire et un arc-en-ciel au fond du cœur. Bien plus que cela... ? Comme d'habitude, son esprit se mit à divaguer, à voguer vers des sphères inaccessibles… Que voulait-il dire par là ? Elle aurait bien aimé approfondir le sujet là-dessus tiens ! Oui tiens d’ailleurs, elle était très curieuse de savoir ce qu'il voulait précisément dire par ces mots... Avec un amer regret au fond de la gorge elle songea... Tu es bien plus que ça... Elle faillit lui demander « Bien plus que ça pour toi ? » mais ayant ouvert la bouche comme pour parler, elle se mordit la lèvre et referma la bouche sans avoir rien dit. Elle savait qu'elle était beaucoup pour lui, mais à quel point ça, elle l'ignorait...

    Il était très secret sur ses sentiments en plus ! Tout le contraire d'elle qui ne cachait jamais ce qu'elle ressentait... D'ailleurs, même si elle ne le disait pas réellement, il faudrait être aveugle pour ne pas voir que la manière dont elle le regardait n'avait rien à voir avec de la simple Amitié... Mais lui, c'était un mur insondable ! Un mur insondable auquel elle se heurtait. Mais elle finirait par le briser, foi de Tonks, foi de Black ! C'est fou... Chaque phrase qu'il disait, chaque geste qu'il faisait vers elle, elle se mettait à l'analyser pour essayer de savoir ce qu'il pensait, ce qu'il ressentait... Elle apprenait à se complaire de sa simple présence, y piochant le simple réconfort qu'elle y trouvait... Comme si ce qu'elle cherchait, c'était avant tout l'habituer à sa présence... Alors peut-être qu'ensuite, cela viendrait tout seul, naturellement... Nymphadora n'avait jamais été aussi patiente qu'avec lui ! Et ce n'était pas peu dire.

    … Ses arguments, parlons-en... C'était toujours les mêmes, et elle pourrait les démonter les uns après les autres ! Ses arguments, il n'y avait que trois, pas des centaines, mais trois seulement. « Trop vieux, trop pauvre... Trop dangereux. » L'âge, celui-ci, c'était vraiment le dernier de ses soucis... Et puis d'ailleurs, qu'était-ce que treize ans de différence, hein ?! Et puis de toutes façons si elle était attirée par les hommes plus mûr, plus âgé qu'elle, elle, hein ?! C'était encore à elle de choisir il me semble... Son côté encore enfantin qu'elle possédait restait au placard dès lors qu'elle était au ministère ou surtout en mission et elle savait être responsable... Trop pauvre … ? Si cela l'inquiétait vraiment, et bien qu'il se le dise, mais elle avait sa paie d'Auror avec laquelle parvenait à vivre suffisamment à l'aise... Il n'avait pas besoin de s'inquiéter sur le fait de ne pas pouvoir l'entretenir si tel était le cas parce qu'elle était parfaitement capable de le faire elle-même. Elle pouvait le faire pour eux deux... Enfin, c'était peut-être cela qu'il ne voulait pas. Il avait peur de se laisser entretenir ? Tonks n'irait jamais lui reprocher quoique ce soit...

    Et honnêtement, elle n'avait pas forcément besoin de pleins de choses, de vivre dans une grande maison où tout lui était offert ; elle se satisfaisait de ce qu'elle avait, et ce qu'elle pouvait s'offrir... Quant à « trop dangereux », n’en parlons pas... Evidemment qu'elle n'allait pas aller se présenter devant lui lorsqu'il était transformée ! Elle n'était pas... Aussi irresponsable et folle quand même ! Alors il pouvait très bien prendre des précautions suffisantes. Et de trois, il n'était dangereux dangereux qu'un seul jour par mois. Le reste du temps, c'était un agneau... Les soirs de pleine lune, elle ne dormait pas tellement l'inquiétude rongeait son être … Elle laissait exprès les rideaux ouverts et laissait les rayons de la lune pénétrer sa chambre. Elle restait les yeux fixés sur le disque ronds, parcourut d'un frisson en essayant d'imaginer ce qu'il subissait en ce moment... Par la pensée, elle l'accompagnait... Elle se sentait tellement impuissante...

    Bon, le lendemain, elle avait des cernes gros comme des couvercles de poubelles mais elle se disait qu'au moins, elle se rapprochait sur ce détail de Remus qui devait sans aucun doute être pire... Elle n'osait même imaginer jusqu’à quel point... Evidemment, elle évitait de le rencontrer le lendemain de la pleine lune ; non pas parce qu'elle craignait de le voir ainsi, mais pour ne pas qu'il voit ou qu'il se doute qu'elle n'avait pas dormi de la nuit ! … Elle l'évitait juste pour ne pas qu'il lui pose des questions … Il risquerait encore de s'en vouloir de lui créer des insomnies. Le connaissant, cela ne l'étonnerait même pas en plus. Et dernier argument qui pourrait revenir sur le carreau, c'était … Les autres ! Alors là, c'était pile celui auquel elle n'accordait aucune mais réellement aucune importance. Le regard des autres, elle y était habituée depuis toute petite. Déjà à cause de son don les enfants de la primaire la regardait étrangement, presque comme une bête de foire ! Ils lui demandait de lui « montrer des tours » … Pensant s'en faire des amis, elle avait bien vite été désillusionnée. Elle avait appris à ne plus voir que ceux qui en valait la peine ; les autres étaient devenus invisibles... totalement invisibles.

    Elle le suivit des yeux lorsqu'il alla allumer un feux dans la cheminée puis le laisser revenir s'installer devant elle, à la table. Sa réplique la fit sourire... Ah, ben c’était lui qui demandait hein … Et si c'était lui et bien... Sa parole était d'or ! Ce qu'elle avait reconnu ? Ne disait-on pas que le regard était le miroir de l'âme ? Elle était convaincue jusqu'au plus profond d'elle-même que, même quand on prenait du polynectar pour adopter l'identité et l'apparence d'une autre personne, le regard ne mentirait jamais sur son identité... Le regard, c'était qui pouvait nous trahir le plus aisément, c'était ce qui pouvait dévoiler tout ce qu'on ne voulait pas... Le regard ; c'était ce qu'on ne pouvait pas changer, même si on le voulait. Oui... C'était son regard qu'elle avait reconnu... Du moins, il y avait pleins de petites choses qu'elle reconnaîtrait entres mille chez lui, mais c'était la première qu'elle reconnaîtrait... Devait-elle lui répondre ? Oh, et puis après tout Tonks ne voyait pas le mal à répondre la vérité !

    « … J'ai toujours pensé que sous n'importe quel déguisement ou apparence que nous sommes, le regard ne changeait jamais. » répondit-elle en souriant. « … Tiens, simple question, qu'est-ce que tu lis dans mon regard ? », faillit-elle ajouter mais elle se retint de justesse. Ce n'était pas son habitude de se retenir de dire ou de faire quelque chose, mais avec lui, elle avait appris à le faire... Sa question résonna seulement dans sa tête au lieu de résonner dans la cuisine...

    … Et maintenant voilà qu'elle détournait sensiblement les yeux. Pourquoi maintenant son cœur tambourinait fortement dans sa poitrine … ? C'était une étrange machine, le cœur... Très étrange. Déjà, il ne battait pas de la même manière selon les personnes avec qui l'on se trouvait. Il possédait un rythme particulier – et unique – pour telle et telle personne. Et... Enfin, de toutes façons, voilà qu'il s'était levé pour aller préparer du café, donc cela lui permit de se reprendre un peu et de ne laisser rien paraître. Attrapant son reflet de nouveau dans le miroir, son cœur manqua un battement en voyant que cheveux étaient... Rouges. Satané don tiens, il pourrait pas rester sur pause parfois lui ?! Et ben en fait, chez elle, y'avait pas que le regard qui la trahirait, mais également ses cheveux. Elle reconcentra pour les faire reprendre leur couleur violette habituelle. Juste à temps... Puisque Remus venait de revenir avec une tasse de café qu'il posa devant elle. Ah, elle avait bien besoin d'une boisson chaude tiens ! Même si pour l'occasion, elle n'avait pas si froid que cela... Intérieurement, un incendie irradiait de mille feux. Après un temps un peu trop long – ce qui lui fit se demander pourquoi il restait si longtemps dans son dos... Mais elle n'osa pas se retourner – elle le regarda revenir à sa place et posa ses deux mains autour de la tasse qui dispensait une chaleur. Pour l'amener, il avait du toucher la tasse... Ah non ! Non, j'ai dit non Tonks ! Tu n'es quand même pas si désespérer de son contact, si ?!!! Non mais... Non alors là, c'était... Désespérant. Oui, non mais désespérant était bien le mot là quand même... Essayant de dissimuler son trouble, elle décida de lui répondre...

    « … Oh ben moi je suis ouverte à toutes discussions tu sais bien! », laissa t-elle échapper en riant.

    …. Toutes discussions. Sans exceptions aucunes, donc... Non Nymphadora, non ! Je vois dans ta tête, je sais ce que tu penses ! Alors, non, oublie ça... ! Question piège ? Pas du tout voyons, vous vous trompez... Et puis, de toutes façons, c'était clair entre eux hein... Rien, c'était rien et il n'y aurait jamais rien... Elle l'observa un moment se passer une main dans les cheveux et ne put s'empêcher d'esquisser un sourire. Juste ce geste si Remus, elle aimait juste le voir faire. Elle scruta un instant son visage. Son regard semblait plus fatigué que d'habitude... Cela ne faisait qu'accroître son envie de le prendre dans ses bras, juste pour le réconforter... Elle n'osait cependant pas… Pourtant, elle était sûre que cela lui ferait du bien... juste de sentir une présence amie … Et à elle aussi d'ailleurs. Mais elle n'osait pas... Et puis, Tonks était de nature très tactile et elle prenait ses amis très facilement dans les bras, donc cela ne voulait rien dire, absolument rien... Mais, quelque chose la retenait de le faire, avec lui, comme si elle ne voulait pas l'embarrasser... Elle ne se connaissait pas autant de retenue avant de le connaître...

    Connaître... Tiens, justement, son attention fut retenue par ce mot dans sa phrase et elle y accorda un peu plus d'attention. C'était vrai que... Elle semblait personnellement le connaître depuis toujours, mais elle ne connaissait quasiment rien de sa vie non plus... De ses peurs – pas sûr qu'il veuille en parler d'ailleurs – de ses joies, de ses peines... Tiens, avait-il déjà été amoureux ? Par exemple. Ben quoi... C'était une question comme une autre hein ! Enfin bref, elle ne connaissait pas grand-chose de sa vie... Enfin déjà elle avait noté une amélioration dans la situation. Il avait envie d'en apprendre plus sur elle. C'est avec cette pensée qu'un grand sourire éclaira son visage alors qu'elle répondait...

    «  Et sur toi non plus je n'en sais pas beaucoup !  Tu n'es pas vraiment le genre à parler beaucoup de toi tu sais... ! »

    Elle rit un peu avant de se taire. Ce n'était même pas un reproche ; c'était dit d'un ton affectif... C'était lui. Il ne parlait pas beaucoup, cela faisait partie de lui. Cela faisait même partie des choses qu'elle aimait de lui... Même si elle aurait quand même aimé qu'il soit un peu plus communicatif à vrai dire !

    « … Merci pour le café. » ajouta t-elle en esquissant un sourire avant d'approcher le bord de la tasse de ses lèvres pour boire dedans.



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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeMer 24 Aoû - 14:11



Les yeux étaient le reflet de l’âme, Lupin en avait toujours été convaincu. Il lisait toujours beaucoup dans le regard des gens auxquels il tenait, et même dans celui de ses ennemis. Il en prenait ainsi beaucoup sur ce qu’ils ressentaient, ce dont ils avaient peur, leurs joies et leurs malheurs. Et il voyait tellement de choses intenses et différentes dans les yeux de Dora. Comme si elle cachait une panoplie grandissante de sentiments. Oh bien sûr qu’elle en cachait, comme n’importe qui. Comme lui cachait les sentiments qu’il éprouvait pour elle pour mieux la protéger. Mais pourtant, il avait de plus en plus envie d’être… tendre, attentionné avec elle. Il ressentait toujours beaucoup de bien quand il était seul avec elle, parce qu’il savait au fond de lui qu’elle était la seule à ne pas le juger. Elle le soutenait de toutes ses forces, et en particulier depuis qu’il devait assumer le rôle de chef de l’Ordre. Souvent, il se demandait si on pouvait lire l’amour, ou peu importe comment on pouvait appeler ça, que Tonks éprouvait envers lui dans ses yeux. Pouvait-on vraiment lire ce genre d’émotions comme ça ? Il réfléchit un moment, mais il se rendit vite compte qu’il n’avait pas besoin de réfléchir pour répondre à cette question. S’appuyant sur ses coudes, il se rapprocha quelque peu du visage de la jeune femme pour observer son regard. Il était perdu dans ses pensées mais il y avait une chose qui dominait dans les yeux de Dora, c’était évident. Mais peut-être était-ce parce qu’il la connaissait depuis longtemps…

Je pense que tu as raison. On peut tout lire dans les yeux de quelqu’un. C’est intense, profond…

Bien sûr, au plus profond de lui, il ressentait qu’il manquait quelque chose entre eux pour que leur relation soit parfaite et intense. Il manquait cette connaissance, la connaissance de l’autre. Il voyait souvent de jeunes couples, comme Bill et Fleur, qui se connaissaient par cœur alors qu’ils ne se voyaient que depuis quelques mois. Tonks et Lupin se connaissaient depuis plusieurs années et pourtant, elle connaissait peut-être sa date de naissance mais elle ne connaissait rien de sa vie privée, de ses amours passés (même s’il n’y en avait jamais vraiment eu), de sa famille ou de son amour pour elle. Bon évidemment, pour le dernier point, elle devrait attendre encore longtemps, mais il pouvait lui parler du reste. Il n’avait pas la moindre idée de pourquoi ils ne s’étaient jamais attablés pour parler de leur passé. Il leur manquait du temps peut-être, du temps pour apprendre à se connaître, du temps pour être heureux… Mais ce temps ne leur était pas offert, pas encore du moins. Lupin savait à quel point il était facile de se perdre de vue, de perdre des gens auxquels on tenait, et il ne voulait pas que ça arriver avec la jeune Métamorphage.

Tu sais que je ne parle pas beaucoup de moi… De la pudeur sûrement…

Il hésitait. S’il révélait trop d’informations sur lui, ça pouvait aussi se retourner contre lui. Pas avec elle, évidemment, mais il suffisait qu’elle soit malheureusement amenée à être torturée, d’une manière ou d’une autre, et elle l’entraînerait avec elle. A condition qu’il ne s’entraîne pas tout seul. Parce qu’une chose était évidente dans l’esprit du loup-garou : si jamais quelqu’un touchait à un seul des cheveux violets de Tonks, il ferait tout pour la venger, il ne supporterait pas de la perdre, pas elle…

Mais je peux faire un effort…

Il venait de franchir un pas, un pas important avec la jeune femme. Parler de lui, c’était comme livrer une partie de son âme, et il allait la lui livrer.
Il allait lui donner cette partie de lui comme s’il s’agissait d’un trésor. Certains trouveraient ça très présomptueux, mais cela n’était pas l’objectif de Lupin. Non, mais il s’était déjà tellement caché derrière cette barrière qu’il craignait de l’enlever complètement. Il craignait d’en souffrir. Mais s’il devait révéler des informations sur son passé, sur son histoire (oui, à un âge si avancé, on parle d’histoire, comme l’histoire avec un grand « H »), il voulait commencer par quelque chose de plus drôle, pour détendre l’atmosphère qui commençait à devenir… un peu trop chaude à son goût (non, Remus ne s’était pas encore remis complètement du passage « je te touche l’épaule ou pas… »).

Par quoi je pourrais commencer ? Ah oui! Quand j’avais huit ans, j’ai déjà fait entrer un raisin dans ma narine.


Il sourit en regardant dans la direction de la jeune femme. Il avait presque envie d’exploser de rire mais il se retint de le faire, en attendant une réaction de sa part. Avait-il l’impression d’être un parfait crétin ? Oui, mais un gentil crétin, le genre de crétin que tout le monde adore.
Il savait que c’était le genre de petite anecdote que les gens aimaient connaître, et en particulier quelqu’un d’aussi fantasque que Tonks.
Mais pour reprendre sur quelque chose de plus sérieux, Il réfléchit à ce qu’il pourrait bien lui raconter, avant de se dire que de toute façon, il ne savait pas du tout quoi lui dire. Alors autant qu’elle lui demande ce qu’elle voulait savoir, ça serait plus simple.
Il se leva pour aller se resservir une tasse de café, et observer la pluie tomber dehors.
Il s’apprêta à retourner s’asseoir à sa place quand il se dit qu’il valait mieux qu’il s’installe à côté de Tonks. Ainsi, ça serait plus simple pour discuter. Il tira la chaise qui se trouvait à coté de Dora et s’installa face à elle.

Plus simple ainsi…

Il posa sa tasse de café sur la table et lui sourit timidement, comme toujours.

Demande-moi ce que tu veux. Je suis d’humeur à parler de moi aujourd’hui.

Il lui fit un clin d’œil et attendit la première question, qui n’allait sans doute pas tarder à arriver. Il avait envie qu’elle en sache plus sur lui, tout comme il avait envie d’en savoir plus sur elle. Mais il savait que dans le premier sens, ça ferait plaisir à Tonks d’en apprendre plus sur lui puisqu’il n’avait pas pour habitude de se livrer…


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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeMer 24 Aoû - 16:17



    … Les sourcils froncés, les paumes refermées sur le tasse, elle buvait, toujours songeant, toujours pensant tristement. C'est ainsi qu'elle ne se rendit compte qu'une seconde plus tard qu'il s'était rapproché – dangereusement, semblant observer quelque chose... elle comprit qu'il s'agissait de son regard lorsqu'il parla. Dans le même temps, Tonks s'était figée, incapable de faire un mouvement ; même son cœur semblait s'être arrêté ! Enfin, non... Il était repartit mais au galop. Mais... A quoi jouait-il ?! Hey, il n'y avait qu'elle qui pouvait jouer ainsi ! … Ou pas. Et d'abord, elle aurait bien voulu voir ce qu'il y avait lu … Elle était curieuse ! Elle avala sa salive et son cœur redoubla d'allure... mais finalement elle se raisonna. Oh et puis de toutes façons elle s'en fichait ! Qu'il voit ce qu'il veut ! Ce n'était pas un secret hein... Enfin, cela ne l'était plus vraiment... Il n'empêche qu'elle était quand même très gênée. Ah oui, il y avait une chose qui avait tendance à l'embarrasser encore plus... Le fait que toutes ses émotions quel qu'elles s'affichaient si facilement dans son regard alors que lui, elle aurait été bien incapable d'en discerner la plus petite partie... Tellement il les cachait bien. C'était... Frustrant. Elle en avait parfois assez d'être ainsi... Transparente ! Même lorsqu'elle essayait de rester impassible, et de refermer son regard pour qu'on y discerne plus rien, elle n'y parvenait pas... Alors si en plus il se rapprochait ainsi d'elle, heu... bref, non mais vous comprenez quoi ; comment voulez-vous pouvoir rester insensible et le regard impassible ?! C'était impossible... Mais comment faisait-il ?! Tiens, il faudrait qu'elle lui demande peut-être... Quand on se sentait comme un livre devant quelqu'un, c'était... Vraiment très embarrassant, surtout quand la personne en face n'était qu'une forteresse inébranlable. Cela vous donnait l'impression d'être toute faible, impuissante... Vulnérable. Enfin, face à Remus, ce n'était pas si désagréable qu'avec d'autres, mais quand même... !

    Son cœur ne se calma pas tout de suite après qu'il se fut reculé. Elle détourna ensuite les yeux vers sa tasse de café dans laquelle elle perdit son regard. Au moins, lui, il ne lirait pas en elle voilà. L'avantage avec un café. Quoique Sybille Trelawney vous dirait que l'on pouvait lire dans le mare de café. Personnellement, Tonks n'y avait jamais rien cherché à y trouver plus que... Du mare de café. En cours de Divination, elle passait son temps à dormir sur sa table, cachée derrière un livre. En tous les cas, c'était le cours le plus ennuyeux auquel elle ait jamais assisté. A égalité avec l'Histoire de la Magie.... Quoiqu'encore, si on allait par là, l'Histoire de la Magie c'était encore assez intéressant. Le seul ennui c'était le fantôme qui leur servait de professeur qui ne savait pas rendre ses cours intéressants. Quoi qu'il était, les cours de Divination lui avait été d'un ennui ! … Oh, elle se souvenait où, avant l'un des cours, elle était restée devant la classe, à la place où Trelawney prenait place et elle avait pris son apparence. Pendant plusieurs minutes, elle avait joué le rôle de la voyante... En l'imitant assez bien d'ailleurs ! Le seul ennui c’était que ses camarades avaient inconsciemment omis de lui signaler au bout de deux minutes que la vraie professeur était arrivée et l'observait d'un œil furieux... Enfin, elle n'avait pas réellement peur de Sybille ; ce n'était pas comme si c'était avec Rogue... D'ailleurs elle n'aurait jamais fait ce coup-là avec lui ! - elle n'était pas folle...- mais quand même, je ne vous dis pas l'embarras dont elle avait été envahie soudain...

    « Je... Sais. Ce n'était pas un reproche... » murmura t-elle toujours les yeux fixés sur ce café qui lui avait fait se souvenir de l'anecdote relatée plus haut. Par contre, elle releva d'un seul coup les yeux lorsqu'elle l'entendit ajouter qu'il « allait essayer » … C'était déjà une étape, elle le savait. Elle était déjà toutes ouïe. Elle lui était reconnaissant de faire tous ses efforts. Même si elle avait de toutes façons appris à être patiente, avec lui ! Lentement, elle reposa sa tasse de café sur la table devant elle... Et heureusement ! Parce que la suite de ses propos la firent littéralement éclater de rire. Elle n'était pas, comme lui, capable de réfréner son émotion et rien qu'imaginer Remus, jeune – enfin, petit – en train d'essayer de faire rentrer un grain de raisin dans l'une de ses narines, lui paraissait totalement hilarant... Mais totalement... Pendant plus d'une minute, elle fut littéralement incapable d'aligner trois syllabes successives. Rire, ça faisait mal au ventre quand même, elle en eut la preuve... Plaquant finalement une main sur sa bouche pour étouffer son rire, elle se mordit les lèvres et ainsi, parvint à s'arrêter de rire. Même si son regard continuait de rire tout en l'observant en face... Ah mais c'était sa faute aussi ! Il lui avait mis cette image dans la tête, maintenant elle ne pourrait plus s'en débarrasser... Et il disait de lui qu'il ne pouvait pas être drôle ? En tous les cas pour l'occasion, c'était bien à cause de lui qu'elle avait eu une de ces crises de rire ! … Et d'ailleurs, cela faisait bien de rire. Ils étaient bien là à rire. A plaisanter. Du moins de son point de vue. Loin de tout...

    « Sérieux... ?! »

    A présent qu'elle était parvenue à reprendre un semblant de calme, elle se mit à l'observer comme si elle se demandait s'il lui avait raconter n'importe quoi ou si c'était vraiment la vérité. Même elle n'y avait jamais pensé ! Oh... Ce n'était pas normal, pas normal du tout... Elle aurait dû y penser... Ce genre de choses lui était plutôt réservée à dire vrai. Non, vous ne pensez pas ?! … Il fallait avouer qu'elle venait d'apprendre quelque chose de lui qu'elle n'aurait jamais soupçonné...

    « … Trop cool ! » s'exclama t-elle, bien qu'elle ajouta un peu bougon. « Je me demande comment je n'y ais jamais pensé. » Alors qu'il se levait, elle le suivit des yeux jusqu'à la fenêtre. Puis, reprenant la tasse dans ses mains, elle finit ce qu'il restait dedans. Le temps qu'elle repose sa tasse et Remus revenait vers la table. Etait-il allé vraiment voir la pluie tomber au-dehors ? … Remarque, chacun avait ses distractions hein... Et puis, le connaissant, il était certainement aller s'assurer s'il n'y avait personne de suspect au-dehors... C'était inconscient chez lui. Il le faisait sans même y penser. Tiens, comme quoi, elle commençait à le connaître... Remarque, cela faisait quand même trois ans minimum qu'ils se connaissaient et Merlin savait combien de fois elle l'avait observé... Oui, elle commençait à le connaître certes, mais rien du tout de son passé. Pour preuve l'anecdote qu'il venait de lui raconter... Elle émit de nouveau un léger rire à cette pensée alors qu'elle entendait une chaise racler le sol. Tournant la tête légèrement, son cœur rata un battement tandis qu'il la plaçait devant elle en disant que ce serait plus simple pour discuter.

    Plus simple, plus simple... Ça, c'était lui qui le disait ! C'était vite dit. Elle fit un hochement de tête et se contenta d'esquisser un sourire alors qu'il lui demandait ce qu'elle voulait savoir d'autres. Elle se mit à réfléchir. Il était d'humeur à parler de lui aujourd'hui ? Quel était soudain ce revirement de situation ? En tous les cas, elle n'allait certainement pas s'en plaindre, quoique la distance très courte entre eux n'était pas pour la mettre très à l'aise mais bon, elle allait devoir faire avec. Et puis, hors de question de lui demander de retourner de l'autre côté de la table ! Pour une fois qu'il ne restait pas à quinze mètres pour lui parler... Bon, quinze mètres, en exagérant un peu, mais vraiment un peu. Elle n'allait quand même pas se plaindre...

    Ah, tiens, elle avait une idée ! Les yeux brillants d'une curiosité extrême et avec un sourire en coin, elle demanda, avec une expression tellement satisfaite qu'elle en devenait presque provocatrice.

    « Quelle est la plus grosse bêtise que tu ais jamais faîte à Poudlard ? » Après quelques secondes, elle ajouta, amusée... « C'est bon tu peux répondre !... Enfin, sauf si tu ne veux vraiment pas démolir l'idée du Remus-Sage que j'ai de toi ! Mais de toutes façons, tu as déjà commencé à la démolir avec le coup du raisin ! » termina t-elle en riant et en s'éloignant le plus possible de lui (Pas taper Tonks  xD !) c'est-à-dire qu'elle se percha sur le bout extrême de sa chaise... Evidemment, en allant trop au bout, l'inévitable se produisit. Cela ne pouvait pas rater... Elle ne se vit même pas partir et tomba de l'autre côté de la chaise. Par terre. Surprise pendant plusieurs secondes, elle se mit à éclater de rire, les larmes aux yeux. Sautant de nouveau sur ses pieds avec vivacité, elle se racla la gorge, et tenta de reprendre son sérieux...

    « Pas d'mal, y'a pas d'mal, ça va parfaitement bien. » lâcha t-elle en insistant sur le parfaitement. « Il en faut plus pour mettre Tonks hors d'état de nuire !  » s'écria t-elle avant de reprendre place sur la chaise qui lui avait joué un sale tour. « … Et j'ai plus d'un tour dans mon sac... » ajouta t-elle avec un clin d'oeil à son adresse. Alors de quoi parlait-elle donc, ça, mystère ! On parle toujours de la chaise là vous pensez ?


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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeMer 24 Aoû - 17:04



Lupin avait remarqué le malaise de la jeune femme lorsqu’il l’avait observée dans les yeux. Il avait du avoir l’air profondément idiot pas vrai ? Mais il avait eu envie de le faire sur le moment, parce qu’il voulait voir ce que tout le monde lui disait. Depuis des semaines, voire des mois, tout le monde lui répétait que Dora éprouvait bien plus que de l’amitié pour lui. Sirius lui-même lui disait déjà à l’époque où Lupin ne connaissait pas encore vraiment Dora. Il ne la voyait encore que comme une nouvelle recrue fragile et aujourd’hui, son opinion sur la jeune femme avait beaucoup changé. Plus rien n’était impossible. Les seules barrières qui pouvaient exister étaient celles que lui s’imposait, parce qu’il avait trop peur de se faire du mal, et de lui faire du mal à elle aussi. Il ignorait pourquoi mais ça lui semblait évident aujourd’hui : il était amoureux d’elle, plus que jamais. Elle était sa joie de vivre, son rayon de soleil, elle représentait l’amour pur qu’elle n’avait jamais connu auparavant.
Lupin revint à ses esprits quand elle lui dit qu’elle plaisantait et que ce n’était pas un reproche. Disons que c’était un reproche masqué parce qu’elle avait certainement envie d’en apprendre plus sur lui de toute façon. Remus sourit en entendant la réponse de la jeune femme. Il savait que jamais elle ne lui ferait un reproche volontairement.

Je sais que ça n’en était pas un Dora.

L’ambiance était bizarre entre eux, comme s’il y avait un véritable malaise. Il n’imaginait pas que cela soit possible mais après tout, ça semblait évident. Ils étaient tous les deux attirés l’un par l’autre et aucun des deux ne ferait le premier pas. Tout ce qu’ils pouvaient faire, c’était éventuellement de faire un mini-pas, dans l’espoir que l’autre en ferait un autre et que finalement, ensemble, ils puissent faire un véritable pas. Et c’était peut-être ce qui était en train de se passer entre eux. Lorsqu’il lui fit une confidence sur son passé, une anecdote ridicule qui changerait probablement l’image qu’elle avait de lui définitivement, Tonks se mit à rire de toutes ses forces. Et Lupin sourit lui aussi en voyant la joie de vivre de la jeune femme aux cheveux roses qui ne pouvait pas se calmer tellement elle riait. Et Remus était heureux de voir qu’une anecdote aussi anodine pouvait créer une réaction aussi spontanée chez elle.

Et Oui, sérieux. Et je t’interdis de te moquer des conneries que j’ai pu faire gamin.

Il gardait un visage très calme, très sérieux mais il bouillonnait de l’intérieur. Il finit par éclater de rire lui aussi. Il n’avait plus ri de la sorte depuis de très longs mois. Il n’avait plus ressenti autant de joie depuis très longtemps. Depuis la mort de Sirius, plus jamais Remus n’avait réellement ri avec quelqu’un. Et il savait que la présence de Tonks lui était bénéfique. Il savait que c’était parce qu’elle était là qu’il se sentait aussi bien, aussi libéré. Et c’était agréable, autant à voir qu’à ressentir parce que la sensation d’être vivant en elle-même était agréable.
L’anecdote du raisin… Il trouvait cela tellement ridicule mais venant d’un gamin de huit ans, ça n’avait rien de vraiment étonnant, pas vrai ?

C’est vrai, comment tu n’y as jamais pensé ?

Il fit mine de réfléchir, parce que c’était le genre de choses que la jeune maladroite aurait été capable de faire pas vrai ? Vous savez, l’une des caractéristiques les plus marquées de la Métamorphage était d’être maladroite et c’était un côté… adorable de sa personnalité.

Peut-être que tu es plus intelligente que moi finalement. Et si tu prenais mes responsabilités ?

Il sourit mais au fond, il avait vraiment envie de se débarrasser de tout ça. Il rêvait de partir loin de Londres, de quitter l’Angleterre et d’aller s’installer loin pour être à l’abri de tout. Et il l’emmènerait avec lui, parce qu’il voulait la sauver de tout ce qu’ils risquaient de perdre. Donc, rigolait-il vraiment quand il lui proposait de prendre ses responsabilités ? Non, parce que Lupin en avait gros sur le cœur.

Quand il vint s’asseoir auprès d’elle, il vit rapidement que le comportement de Dora changea. Elle avait l’air beaucoup plus nerveux, beaucoup plus mal à l’aise. Lui, au contraire, se sentait parfaitement bien. Mais, même s’il le cachait, il souffrait un peu de voir qu’elle se sentait aussi mal lorsqu’il se rapprochait un peu d’elle. Enfin, il était bien sûr hors de question de laisser transparaître la moindre émotion sur son visage.
Il se contenta de réfléchir à la question qu’elle venait de lui poser. Sa plus grosse bêtise à Poudlard. Ils en avaient commis un certain nombre avec les Maraudeurs, certaines avec des conséquences plus ou moins importantes. Il y pensa mais honnêtement, il n’aurait jamais pu en extraire une en particulier de ses souvenirs. Toutes représentaient des moments incroyables de sa scolarité.

Honnêtement, j’en sais rien…

Mais alors qu’il commençait à répondre à sa question, un bruit sourd retentit et Tonks s’écroula sur le sol, se redressant quelques secondes plus tard, juste le temps que Lupin ne se rende compte qu’elle était par terre. Il n’avait officiellement rien compris. Il observa la jeune femme et écouta ses excuses, ou Dieu seul sait quoi. Il plissa les yeux, se leva et partit en direction de la cheminée. Pourquoi ? Euh oui, pourquoi ? Il partit vers la porte, observa que tout se passait bien dehors, juste pour faire comme si il allait vraiment faire quelque chose puis revint vers la table, se plaça derrière Dora, posa enfin ses mains sur ses épaules et se pencha vers son oreille. Un instant, il ne dit rien puis finalement, il lui glissa doucement un petit :

Calme-toi

À l’oreille. Il espérait que la jeune femme l’écouterait. Il se réinstalla sur sa chaise, but une gorgée de sa tasse de café et continua comme si rien ne s’était passé.

Moi aussi j’en ai plus d’un…

Il lui lança un clin d’œil et revint sur la conversation qui les occupait avant la chute de Tonks.

On a fait pas mal de conneries avec James et Sirius. Mais c’était surtout eux qui s’occupaient de ça. Moi je suivais. J’étais préfet, je n’avais pas le droit de faire des bêtises.

Il eut un petit sourire en pensant à ça. Comme si le fait d’être préfet l’avait empêché de faire des conneries. Il leva les yeux vers Tonks, se demandant comment elle réagirait à cet aveu… à ce demi aveu plutôt…
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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeMer 24 Aoû - 18:16




    Tonks reprenait tout juste son souffle. Finalement, le sol était quand même dur. Elle commençait à en ressentir un peu les effets. Mais jamais elle n'échangerait de moments comme celui-ci – des éclats de rire, l'atmosphère qui semblait s'être légèrement détendue. En tous les cas elle se sentait bien. Particulièrement bien même... Plus bien que bien. Elle fronça les sourcils en le voyant alors se lever puis se diriger vers la cheminée. Pourquoi diable se rendait-il par là-bas... ? La Métamorphomage se lever légèrement comme si elle voulait essayer de voir par-dessus son épaule ce qu'il était partit faire, mais elle ne bougea pas de sa place... Elle le suivit toujours des yeux, incrédule, jusqu’à la porte... Mais que faisait-il donc ?! Avait-il entendu du bruit au-dehors ?! … Dans ce cas pourquoi ne lui disait-il pas... Elle réfléchit quelques secondes à ce qu'il lui avait dit. Elle fronça les sourcils. Par contre, jamais elle n'irait échangé ses responsabilités avec lui en tant que chef de l'Ordre... Du moins, peut-être sur si, si c'était pour le soulager un peu... Elle savait le cœur qu'il mettait dans la tâche d'essayer de suivre la trace de Dumbledore...

    Secouant lentement la tête elle dût fermer les yeux ne serait-ce qu'une seconde. La seconde suivante elle sentit son cœur partir dans une embardée telle qu'elle aurait été bien en peine de le contrôler – comment contrôler son cœur de toutes façons ? Il battait toujours au rythme qu'il voulait ; on ne pouvait pas l'arrêter... Hormis lorsqu'on était mort, ou tué, cela va sans dire ; mais jusque là, jusqu'à la fin, le voilà qui battait toujours à son rythme... Tonks sentit une bouffée de chaleur envahir son visage alors qu'elle se sentait tressaillir... C'était pas normal ! C'était pas juste qu'il ait autant... D'influence sur son être ! Reprends-toi, reprends-toi Tonks... ! Mais tout ce qu'elle sentait c'était ses mains sur ses épaules et elle était bien incapable de pouvoir penser.

    « Mais je suis.... Très calme... » prononça t-elle presque en un murmure. Oui, calme... Sauf son cœur dont la course efrenée ne semblait vouloir ralentir en aucune façons. Il allait finir par lui faire avoir une attaque s'il continuait à se rapprocher, puis s'éloigner, puis se rapprocher encore pour lui murmurer à l'oreille ! Même après qu'il se fut éloigné, elle pouvait encore sentir le souffle chaud près de son oreille et la pression de ses mains sur ses épaules. Son être tout entier s'en était tout ébranlé, et l'était encore. Avec difficultés, elle fit son possible pour se ressaisir... Sauf qu'il avait dit « Calme-toi ». Cela eut l'effet immédiat et elle se calma de suite ; aussitôt son cœur partant d'un rythme effréné, elle se figea pourtant. Extérieurement du moins. Pourquoi lui disait-il de se calmer ? Quelqu'un venait-il d'arriver ?! Elle ne voyait que cette raison-là pour laquelle il s'était levé et était partit voir près de la porte... Cela la refroidit aussitôt. Et d'un coup, comme s'il n'avait en rien conscient du trouble de la jeune femme, il était retourné prendre place... Laissant une Tonks encore touter chamboulée intérieurement.

    De l'air. Il lui fallait de l'air. Ses cheveux devaient assurément être d'un rouge vif ; c'était inutile de le vérifier... Satané don. Ce serait lui le premier qui la trahirait même dans les pires situations ! Elle se leva d'un bond de sa chaise et partit en direction de la fenêtre.... Après tout c'était une habitude ce soir. Elle laissa son regard traverser la vitre, posant l'une de ses paumes contre la vitre. La vitre était froide ; elle avait bien besoin de cela. Posant son autre main sur son cœur, elle attendit que celui-ci se remettre à un rythme plus normal dirons-nous. Elle n'aurait même pas pu compter le nombre de battements de son cœur tellement qu'il allait vite. Elle essaya mais fut perdue à … Trois.

    Remus a raison, calme-toi Dora, il n'y a vraiment pas de quoi s'affoler ainsi. Pas de quoi ?! Mais bien sûr que si ! … Pour un peu, elle aurait presque pensé qu'il faisait exprès de se rapprocher ainsi pour reculer seulement quelques secondes après, comme un aimant qui serait attiré, mais la raison reprenant le dessus la seconde d'après, hop, le voilà qui reculait de nouveau. Non mais son cœur n'allait pas survivre à la soirée, c'était impossible.... Doucement, elle approcha sa tête jusqu'à ce que son front vienne toucher la vitre froide. Les joues en feux depuis plusieurs minutes, cela lui fit beaucoup de bien. Le plus souvent, grâce à son don de métamorphomagie, elle parvenait à réguler assez bien la rougeur qui pouvait colorer ses joues... Chose qu'elle avait réussi à faire le temps qu'elle reste face à lui, alors qu'il avait reprit place sur sa chaise, mais.... Elle savait qu'elle n'aurait pas tenu longtemps.

    … Et il avait aussi raison ; il avait aussi plus d'un tour dans son sac. La preuve sur ce qui venait de se passer! …. Il suffisait d'un geste pour que le cœur de la jeune femme parte en vrille. Elle essuya brièvement ses mains sur son pull. Elles étaient moites. Elle ne se retourna pas avant qu'elle se fut reprise. Une fois certaine que le teint de son visage ne la trahirait pas, ni aucune fébrilité dans ses mains, elle se retourna et afficha un sourire sur ses lèvres avant de dire, histoire de donner le change... « Et bien non, il n'y a personne, ça va. Pas un chat. » De toutes façons, il pleuvait... Donc m'étonnerait que les chats ne sortent. Elle avait néanmoins écouté ce qu'il lui avait répondu, concernant les bêtises... Cela ne l'avait pas empêché de l'entendre.

    «  Hm… Ah, tu suivais... Donc ce serait eux tous les coupables ! Oh, le petit préfet parfait n'aurait jamais fait de bêtises de son propre chef ? » reprit-elle en roulant des yeux tout en revenant vers lui et riant légèrement. « Impressionnant !... Tu sais que ce n'est pas parce qu'on n'a pas le droit de faire une bêtise, qu'on ne peut pas en faire parfois ! Il suffit juste de... Ne pas se faire prendre. » … Elle parle de quoi là, d'après vous … ? « Je sais ce dont je parle... Enfin, pour ma part, je ne me faisais pas prendre souvent... Une fois j'ai même pris l'apparence de MacGonagall pour échapper à Rusard à qui je n'aurais pas eu le temps d'échapper... J'avais essayé d'entrer dans son bureau pour récupérer un objet qu'il m'avait pris..., pendant que Charlie faisait le guet au bout du couloir. Donc je n'ai pas eu le choix, c'était ça ou alors je me faisais prendre ! ... Mais surtout ne vas pas lui dire ! Elle ne l'a jamais su... Du moins, je crois...  » Pas certaine non plus sur ce qu'elle venait de dire, elle fronça les sourcils, réfléchissant à ce sujet. Non, elle ne l'avait jamais su... Comment l'aurait-elle pu... ?


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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeMer 24 Aoû - 19:15


Cet instant, furtif et magique, ce bref instant au cours duquel, pour la première fois, il avait établi un contact physique (bon certes, il y avait encore comme qui dirait un petit problème de vêtements, mais ça pouvait se régler assez facilement) avait rendu Lupin complètement… fébrile. Il avait presque l’impression qu’il allait se transformer tellement il se sentait faible. Parce que s’il avait été fort et qu’il avait suivi sa volonté, il l’aurait embrassé, ou en tous cas il aurait fait quelque chose de plus intense, de moins furtif que de juste lui toucher l’épaule et lui susurrer quelques mots à l’oreille. Sentir la chaleur de sa peau, sentir presque son cœur battre la chamade dans sa poitrine avait fait comprendre à Remus à quel point elle aimait être avec lui, mais surtout à quel point lui aimait être avec elle. Et au fond, malgré tout ce qu’il pouvait dire, il s’en voulait de ne pas la laisser se rapprocher un peu de lui.
Et grâce aux divers gestes qu’elle effectua après ce moment bref et fugace, il se rendit compte à quel point leur relation était tendue. Tonks se leva et se rendit près de la fenêtre. De là où il était installé, il ne voyait pas ce qu’elle était en train de faire. Il ne savait d’ailleurs pas s’il devait en être rassuré ou pas. Elle semblait paniquée, mais il ne vit plus rien sur le visage de la jeune femme. Elle resta un moment éloignée de lui, avant de se retourner et de dire qu’il n’y avait personne dehors. Mais Remus avait la drôle d’impression qu’elle lui mentait, et qu’elle se fichait complètement de savoir s’il y avait quelqu’un dehors ou pas à cet instant. Et à vrai dire, mise à part pour leur sécurité à tous les deux, il finissait par s’en moquer lui aussi.

Tant mieux… Mais tu sais que j’avais vérifié il y a deux minutes ?

Il haussa un sourcil en observant le comportement de Dora. Le contact qui avait été établi entre eux deux l’avait rendue paniquée, mal à l’aise, tout comme Remus sauf que lui était parfaitement capable de ne rien montrer. Pour une fois, il avait l’impression d’être vivant. Vous connaissez cette sensation sûrement, lorsque vous touchez quelque chose de tellement chaud mais que vous ne pouvez pas vous empêcher de laisser la main posée pendant deux secondes, avant de l’enlever brusquement. Lupin avait cette sensation avec elle : Dora était tellement brûlante qu’il ne pouvait s’empêcher de la toucher et puis d’ôter brusquement sa main, de peur qu’elle ne le brûle et le contamine.
Lentement, la jeune femme reprit ses esprits et redevint plus calme. Elle s’était retournée vers lui et il avait donc l’occasion de voir son visage, qui semblait beaucoup plus serein que quelques minutes auparavant.

Mais c’est gentil de vérifier. Et très… Très Maugreysien…

En disant ça, il se rendit compte que lui aussi arborait le même comportement et donc, pouvait lyui aussi être qualifié de « Maugreysien ».
Il rigola quand elle le qualifia de « parfait petit préfet ». N’importe quoi. Parfait, il était loin de l’être. D’ailleurs, la seule raison pour laquelle il était devenu préfet, c’était parce que les professeurs de Poudlard espéraient que les autres Maraudeurs deviendraient calmes en suivant l’exemple de leur ami. N’importe quoi, comme si on pouvait calmer Sirius Black et James Potter…

Bon j’avoue, j’étais un sale gosse, tout autant que James et Sirius. Le seul problème, c’est que maintenant, je suis trop vieux pour me souvenir des bêtises que j’ai pu faire à quinze ans…

Il leva les yeux au ciel et rigola. De bon cœur. En regardant dans la direction de Nymphadora. Oh, sans doute allait-elle encore lui rétorquer qu’il était loin d’être trop vieux, qu’il n’était même pas vieux du tout, ce à quoi il lui répondrait qu’elle n’était pas objective.

Et pour Minerva, navré de te décevoir, mais elle est au courant de tout. Elle est un peu comme…

Le nom… ce nom… Il ne pouvait pas le prononcer, il ne pouvait pas prononcer le nom de son ancien mentor. Et pourtant il devait tourner la page.

Elle est un peu comme Dumbledore, elle voit tout, elle sait tout, mais elle ne dit rien.

Prononcer le nom de Dumbledore était toujours une épreuve assez pénible, parce que ça le ramenait à ses propres erreurs. Albus était son ami et il avait été incapable de voir que son ami se fourvoyait au sujet de celui qu’il considérait comme son allié. Remus le savait, Remus le savait et il n’avait rien fait. Donc, d’une certaine façon, il avait l’impression d’être responsable de la mort de Dumbledore. Mais ça, il se gardait bien de l’avouer à qui que ce soit.

Pour détendre l’atmosphère, il décida de révéler quelques autres petites choses sur lui à Dora.

Je dois t’avouer un truc.

Il prit un air très solennel. Il tentait de garder son calme alors qu’il savait très bien que ce qu’il allait avouer à Dora était d’abord ridicule, et ensuite à mourir de rire.

Mais je te préviens, si tu rigoles, je ne te confierai plus jamais rien.

Il avait presque un regard menaçant, mais c’était pour mieux laisser retomber la pression ensuite.

En fait… J’aime le naturisme. C’est pour ça que finalement, ma condition de loup-garou peut être sympa par moments. La nuit de pleine lune est le seul moment du mois où je ne suis pas obligé de porter des vêtements. Oh bien sûr, être un loup-garou n’est pas marrant tous les jours. Par exemple, j'utilise une crème épilatoire pour me débarrasser des poils. Etre loup-garou a vraiment des désavantages...

Il tenta de garder son calme le plus possible, mais il fut obligé de se lever et de tourner le dos à la jeune femme pour rire. Ses lèvres tremblaient mais il luttait… il luttait vraiment… avant de… Non, il éclata de rire, c’était impossible autrement !
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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeMer 24 Aoû - 20:30



    Oups. Bien sûr qu'elle le savait... Elle l'avait suivi des yeux... Son cerveau réfléchissait à toutes vitesses, avant qu'elle ne réponde finalement... « Ouaip, je sais ! J'ai travaillé trop longtemps avec Maugrey comme mentor ! Mais toi tu n'es pas mieux dans le genre...  » fit-elle avec un clin d'oeil... Avant de reprendre. « Mais on ne sait jamais! Mieux vaut être à deux pour vérifier ! … Et puis on ne sait jamais ce qui peut arriver en l'espace de … Deux minutes. » Esquissant un sourire, quoiqu'embarrassé, elle retourna s'asseoir sur sa chaise, les mains légèrement crispée sur ses genoux. Oh purée, quelles émotions ce soir... Finalement, elle ne savait pas ce qui était le mieux ! Si elle aurait dû rester tranquillement chez elle … ? Ou alors venir … Et si elle avait su que Remus s'était trouvé là ce soir ? Evidemment, cela va de soi, elle serait venue quand même ; elle aurait même accouru... Elle ne commençait que doucement à se remettre de ses émotions mais n'était pas certaine de pouvoir longtemps tenir... Tonks avait ses limites, comme chacun... Remus avait tendance à les lui faire franchir ! C'était lorsqu'il était plus proche que jamais qu'elle se rendait compte vraiment de l'intensité de ce qu'elle ressentait... Cela lui coupait littéralement le souffle, son cœur ne s'en remettait qu'à peine... Que l’instant d'après quelque chose venait d'autres venait lui déclencher une nouvelle monter d'adrénaline... C'était pire que mes mangemorts, pire qu'en plein combat... Totalement incomparable d'ailleurs. Mais elle devait se reprendre. Elle devait se reprendre...

    Elle s'en voulut de ne pas être comme lui, qui pouvait facilement dissimuler ses émotions... Elle se répétais certainement en disant cela, mais vraiment, elle aurait bien aimé être comme lui... Au moins cela éviterait d'être soumise trop facilement aux diverses démonstrations d'émotions qui passaient successivement sur son visage... Enfin, elle décida de se concentrer sur ce qu'il lui répondait lorsqu'elle l'avait qualifié de « parfait petit préfet »... mauvais garçon ? Parfait... C'était bien aussi les mauvais garçons ! … Et puis, que ce soit en bon garçon ou mauvais, il restait Remus, et donc... Elle ne l'en aimerait pas moins... Heu, non Tonks, là arrête, tu vas laisser ton esprit divaguer encore.... Non, mais sincèrement, elle avait du mal à imaginer Remus, en salle gosse... La suite de ses paroles la firent éclater de rire et elle secoua la tête, contournant sa chaise pour rejoindre celle qu'elle avait quitté un peu plus tôt pour y reprendre place, même si elle n'aimait pas rester assise à ne rien faire en fait... Il fallait qu'elle bouge. Ça, elle n'avait pas changé de la Tonks qui avait onze ans... Pour cela d'ailleurs que remplir des tonnes de paperasses au bureau l'ennuyait à mourir. Sans compter que bouger souvent, ne pas rester assis continuellement devant Remus avait ses avantages … Elle pouvait parfois éviter qu'il ne remarque toujours son embarras... Il suffisait de lui tourner le dos, pour parvenir à le lui cacher ! … C'était le seul moyen qu'elle avait trouvé de toutes façons étant donné que son visage donnait trop facilement toutes les informations possibles et inimaginables rien qu'en l'observant... En même temps, cherchait-elle vraiment à le cacher ?

    « … Ah ah ah, trop vieux pour te souvenir ! Ça, c'est la parfaite excuse pour n'avoir à rien raconter du tout ! … Mais ça ne prends pas … Avec moi. »
    , finit-elle avec un sourire entendu tout en insistant particulièrement sur le avec moi... Et comment qu'elle lisait dans ses pensées ? Ou alors c'était lui qui lisait dans ses pensées puisque de toute évidence il n'avait pas du tout l'air surpris qu'elle lui réponde cela... Pffff, Tonks en avait marre parfois d'être si transparente que cela... La prochaine fois, elle allait bouder voilà ! Et ce serait de sa faute... Cependant, son expression se figea et elle l'observa, interloquée, lorsqu'il lui dit que Minerva savait sans doute. Pensant le voir éclater de rire, ce qui indiquerait qu'il plaisantait... Il n'en fut cependant rien. Minerva savait... ? Et elle ne lui avait rien dit... La honte... Elle ne pourrait pas la regarder en face la prochaine fois... Etrangement, elle n'était même pas plus inquiète que cela. Sans doute était-ce à cause de l'électricité – dans les deux sens... – qui régnait dans l'atmosphère mais... Elle trouvait cela amusant. Et puis, qui sait, peut-être Minerva avait-elle rit elle aussi... Elle était sévère comme cela, elle se montrait sévère mais au fond... Au fond, elle était sympa ! Lorsqu'il prononça le nom de Dumbledore, elle fixa son attention sur lui, se doutant de sa tension... cela se lisait dans ses yeux... Elle faillit se rapprocher de lui et poser une main sur son bras, juste pour le rassurer, mais elle ne le fit pas... Du moins,  elle n'en eut pas le temps.

    … Elle reprit un peu de sa contenance lorsqu'il lui dit qu'il devait lui avouer un truc. Il avait un air tellement solennel, que Nymphadora s’inquiéta presque de ce qu'il voulait lui avouer... Comme pour dire qu'elle l'écoutait, elle hocha lentement la tête … Il lui ferait presque peur avec cette expression. Elle tenta de sonder son visage mais il demeurait imperturbable – comme toujours. Et ce qu'il ajouta juste après ne fit qu'augmenter son stress. Que voulait-il lui dire de si important pour adopter cet air si solennel... ?! Elle leva une main qu'elle porta devant sa buche, mimant ainsi le geste de fermer une fermeture éclair... Comme quoi, elle ne dirait rien – ce qui serait très dur – et qu'elle ne se moquerait pas. Sa menace l'effrayait ! Ne plus jamais lui dire quoique ce soir... ? Nooooon ! C'était la pire chose.... Essayant de cesser de stresser pour rien et surtout avant qu'il ait parlé, elle se contenta de l'observer attentivement et toutes oreilles ouvertes, attendant en silence qu'il lui dise ce qu'il avait de si important à dire...

    Hein ? Il aimait quoi ?... Lui, le... naturisme … ? C'est une blague ?! Et bien si elle avait su... La prochaine sortie, ils iront faire du naturisme sur une plage dans les Baléares ! Quoique cela ne serait pas pour lui déplaire... Mine de rien, il lui avait donné des idées ! Il ne payait pas de mine comme ça ! - Non mais sérieux... ? Il rigolait ? - Quelques secondes, Tonks se demanda s'il n'y avait pas un côté caché... Un sous sens... Mais le mieux était de continuer de l'écouter en fait. Chose qu'elle fit.... Les mots crèmes épilatoire... Poils... Loup-garou... Résonnèrent dans son esprit surtout crème épilatoire … C'était totalement... Impossible de ne pas éclater de rire … ! Comment est-ce qu'il voulait qu'elle s'empêche de rire ! Le seul mot crème épilatoire la fit éclater de rire, bien qu'elle se fut mordu la lèvre inférieure pour essayer de s'en empêcher, mais son visage devenait tellement rouge par l'effort qu'elle faisait, qu'elle ne put s'en empêcher... D'un revers de la main, elle essuya ses yeux avant de parvenir à dire, entre deux éclats de rire... « Comment tu veux que je n'éclate pas de rire... ? Je suis incapable de ne pas rire ! Je crois que c'est le mot ' crème épilatoire' qui a fait débordé le vase... », termina t-elle sur un ton sérieux comme si elle parlait de quelque chose d'extrêmement sérieux, telle qu'une mission qu'ils devraient faire bientôt, ou une question essentielle... De survie. Puis, elle fronça les sourcils. Elle venait de penser à quelque chose... Qui lui fut soudainement extrêmement important soudain.

    « … Je ne t'ai jamais vu... Plaisanter... Sur ce sujet... » fit-elle alors, perplexe, les sourcils froncés, alors qu'elle venait de s'en rendre compte... En tous les cas, pas devant elle... Mais elle se garda de l'ajouter. Au fond d'elle un arc-en-ciel s'alluma de l'intérieur, resplendissant dans tout son être. Un sourit fut obligé de se dessiner sur ses lèvres. Satisfaite... ? Un peu... Heureuse en tous les cas. Heureuse d'avoir cette conversation avec lui, de parler de tout et de rien, de rire, … Pour le moment, il n'y avait rien d'autres qui n'aurait pu davantage la combler... Elle avait ce qu'elle voulait – en partie – il se laissait à parler de lui, et mieux encore, avec elle... Et de choses que d'habitude il n'aimait pas forcément parler, de choses qu'il n'aimait pas... L'important était qu'ils étaient ensembles ce soir, qu'ils riaient ensembles...
    Ensembles.

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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 7:11



Remus sourit en observant la réaction rapide de la jeune femme. La situation était pour le moins étrange, la tension était palpable entre eux. Remus savait dorénavant qu’il valait mieux éviter tout geste tendre ou affectueux envers la jeune femme. Mais il ne savait pas comment il allait bien pouvoir se débrouiller. En général, il savait qu’il était loin d’être l’homme le plus tendre ou le plus démonstratif qui soit, mais il avait envie de l’être pour le moment. Ou peut-être n’était-ce pas une envie, peut-être était-ce un besoin. Peut-être que Lupin se rendait compte petit à petit que la guerre prenait le pas sur le reste et qu’il avait l’impression qu’il devait protéger ce qu’il avait, ou ce qu’il pourrait avoir, tant qu’il était encore temps.
En tous cas, Nymphadora avait toujours bien attentivement écouté les conseils de son mentor, c’était évident ! Mais elle avait clairement raison, ils devaient rester sur leurs gardes. N’importe qui pouvait arriver rapidement et ils pouvaient se retrouver tous les deux coincés dans une bagarre et… Non, là il devenait complètement paranoïaque. Il devait se calmer, il devenait exactement comme le mentor de Dora.

Vigilance constante… Oui, tu as raison.

Il jeta un œil à travers la fenêtre depuis sa place. Ben oui, imaginez qu’il se lève à nouveau pour aller auprès de Dora, elle allait finir par sortir de la cabane. Donc il resta bien éloigné d’elle et se contenta de jeter un regard furtif au-dehors.
Le loup-garou observa le manège de Tonks lorsqu’elle revint doucement s’asseoir à sa place, les mains crispées sur les genoux. Elle avait encore l’air légèrement mal à l’aise. S’il avait su qu’un malaise réussirait à s’installer entre eux, il n’y aurait jamais cru. Ils s’entendaient tellement bien, mais parfois, il avait l’impression qu’il valait mieux éviter de se parler. S’ils ne se parlaient pas, il n’y avait pas de malaise.
Il resta silencieux un moment puis, en entendant qu’elle rigolait à nouveau, il eut un petit sourire. Il hésitait à parler mais finalement, il n’avait aucune raison d’hésiter et il le savait très bien. Plaisanter sur son âge n’avait jamais vraiment été son truc. Et Dora savait qu’il se sentait extrêmement mal à l’aise quand il pensait à la différence d’âge qu’il y avait entre lui et les nouveaux membres de l’Ordre, entre lui et elle aussi d’ailleurs. Il avait du mal à supporter ça. Parce qu’il tenait à elle mais que l’âge était réellement un souci : quelle fille de vingt-quatre ans voulait se mettre en couple avec un homme de treize ans son aîné ? Aucune… Bien sûr aucune… Et puis Tonks était tellement magnifique qu’il voyait difficilement comment elle ne pouvait pas trouver quelqu’un d’autre…

T’as raison, je cherche juste des excuses. Mais je ne voudrais pas que l’image que tu as de moi soit plus modifiée qu’elle ne l’est déjà…

Mais alors qu’il s’était promis d’établir des distances supplémentaires pour éviter tout malaise, il ne put s’empêcher de lâcher des vannes débiles sur son statut de loup-garou. Pourquoi sur ce sujet en particulier ? Justement parce qu’il n’en parlait jamais, et ça Dora le savait très bien. Mais il voulait qu’elle comprenne, qu’elle comprenne qu’avec elle, il voulait pouvoir parler de tout, même de ce qui lui faisait le plus mal.
Évidemment, il faudrait un peu de temps avant qu’il ne puisse parler de certains sujets, comme de la mort de Dumbledore, de celle de Sirius ou de la haine qu’il éprouvait envers Rogue. C’étaient trois sujets très difficiles à aborder pour lui. D’ailleurs, depuis le jour de la mort de Sirius, jamais ils n’en avaient parlés. Jamais. Simplement parce que c’était trop dur pour lui de se dire qu’il n’avait rien pu faire pour empêcher la mort de son meilleur ami. Tout comme c’était trop dur de se dire qu’il n’avait rien pu faire pour empêcher la mort de son mentor, Dumbledore.
Rien, il était resté planté là comme un piquet à regarder partir Sirius, tout comme il était resté planté quand on lui avait annoncé la mort de Dumbledore.
Mais ce sujet-là, il faisait partie intégrante de qui il était, il faisait partie de son être, de sa personnalité, il l’avait façonné. Alors, il voulait le partager avec Tonks. Il ne pouvait pas vraiment en parler de manière sérieuse, il fallait qu’il plaisante pour détendre l’atmosphère un peu.
Lui tournant le dos, il était lui aussi complètement mort de rire. Il n’en pouvait plus, c’était impossible de ne pas rire, elle avait raison. Et lorsqu’il entendit le premier éclat de rire de la jeune femme, il comprit qu’elle était elle aussi incapable de se contenir. Il tenta de retrouver son calme et se retourna. Il lui fit face et vit qu’elle n’en pouvait plus, qu’elle était littéralement explosée de rire.

Bon d’accord… C’est impossible !

Lentement, il retourna vers sa place lorsqu’il entendit la réplique suivante de Tonks. Il s’arrêta un moment, avant de finalement se poser sur sa chaise. Il resta silencieux un moment. Il ne plaisantait jamais à ce propos, c’était vrai. Il n’en avait jamais plaisanté, sauf avec Sirius et James, c’était évident. Il en rigolait avec les personnes auxquelles il tenait, tout bêtement. Il ne savait pas trop quoi répondre, bien qu’au fond sa réponse était tout prête. Il leva les yeux vers elle et finit par dire quelque chose, après elle le prenait comme elle voulait.

Je sais. Disons que… J’en plaisante uniquement avec… les gens qui… avec les gens qui comptent pour moi.

Il maintint son regard dans celui de Tonks. Il ne savait pas si elle se rendait compte de l’énorme pas en avant qu’il venait de faire avec elle. Bien sûr que cela ne se ferait pas en un jour, et connaissant la jeune femme qu’il avait en face de lui, elle allait probablement s’enfuir en courant, le planter là et il allait encore se sentir mal.
Mais alors, tant qu’à faire, autant lui dire ce qu’il ressentait, pourquoi il voulait lui parler de sujets qu’il n’abordait habituellement pas du tout.

Et tu sais que c’est le cas avec toi.

Ils étaient passés des éclats de rire à des confidences. Enfin, lui était passé aux confiances, parce qu’il en avait marre de toujours tout caché. Il faisait ça pour la protéger, mais au moins, maintenant, elle savait que ses sentiments étaient réciproques. Au moins un peu…
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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 13:08


    … Tonks continuait de réfléchir, totalement bouleversée par la révélation. Elle se demandait s'il avait fait exprès d'en parler pour lui faire comprendre quelque chose – consciemment – ou si c'était sortit tout seul sans qu'il ne s'en rende compte – donc inconsciemment – et par conséquent peut-être qu'en ce moment il regrettait d'avoir trop parler ! … Allez savoir avec lui, on ne savait jamais ! Elle s'attendait à tout... Puis, elle se mit à penser à ce qu'il avait dit plus tôt. Comment son image pourrait-elle être plus modifiée qu'elle ne l'était déjà... ? Quelque chose lui échappait... Comment se pourrait-il ? Son image ne pourrait jamais être modifiée que dans le bon positif... Au ton de sa voix, cela sonnait davantage comme étant quelque chose de négatif d'ailleurs. De toutes façons, il parlait toujours de lui dans une image négative alors bon... Ce serait étonnant que cela ne change.

    Cependant, sa plaisanterie sur son statut de loup-garou et l'histoire surtout de la crème épilatoire avait semblé détendre d'un seul coup la tension environnante palpable un peu plus tôt et d'ailleurs, elle n'avait pas été la seule à exploser littéralement de rire, même s'il s'était tourné en espérant pouvoir s'empêcher de rire sans doute... Chose qu'il n'avait pu longtemps tenir. D'ailleurs, l'entendre rire lui faisait extrêmement plaisir... On ne pouvait pas dire qu'il riait souvent... Sourire encore, d'accord, mais certainement pas rire. Son rire fut comme une musique dans son cœur... Songeant ses propres mots, Nymphadora s'interrompit subitement de rire, comme pour parvenir à entendre plus clairement son rire et le graver en elle plus facilement. Elle n'avait cependant pas abandonné le léger sourire qui se dessinait sur ses lèvres, lorsqu'elle s'était rendu alors compte de l'étrangeté de la situation concernant l'anecdote qu'il lui avait raconté. D'ailleurs, elle se demandait si c'était vraiment la vérité... Ou s'il avait juste voulu plaisanter... Elle avait du mal à vrai dire à l'imaginer dans a scène qu'il avait dressé dans son esprit. Rien qu'à y penser de nouveau, elle avait envie de rire. Mais la signification l'avait heurté alors de plein fouet... Du moins elle n'était pas certaine que c'était ce qu'il avait voulu lui faire comprendre et elle se prit à observer plus attentivement son visage comme si elle voulait y trouver quelques remords de lui avoir dit cela...

    Il n'aimait pas d'habitude parler de lui. Il lui avait pourtant dit au début qu'il allait faire un effort. Tonks n’en demandait pas davantage et elle reconnaissait ses efforts … Mais là, il venait même de plaisanter sur quelque chose que normalement – du moins pas devant elle – il n'avait parler, en tous cas, quelque chose dont il n'aimait pas parler. Se doutant de cela depuis le début, Tonks n'avait jamais essayé de l'interroger là-dessus. Elle ne voulait pas lui causer de peine... Mais là elle n'avait même rien demandé. Il avait parlé tout seul...
    Pour des efforts, il en faisait de sacrés aujourd'hui... A quoi cela était-il donc dû ? La lune en était à quel quartier ? Moitié ? Peut-être qu'il se sentait davantage prompt aux confidences lorsqu'elle était à sa moitié ? Un sourire s'esquissa sur son visage à cette pensée et elle rit silencieusement. Ou la raison en était-elle toute autre et dans ce cas, quelle était-elle ?

    Enfin, une révélation fut faîte. C'était impossible... Le coup de la crème épilatoire ! Donc il avait plaisanté simplement ! Elle savait bien, au fond, que c'était impossible. Attendez... Non, il voulait dire quoi par là ? Que c'était impossible à se produire, ou alors impossible de ne pas en rire mais que cela était tout à fait possible de se produire... ?? Pendant secondes, la jeune femme se mit à réfléchir, attendant peut-être qu'il vienne contredire sa pensée ou pas... Oulà, sa pensée était e sens-dessus dessous en ce moment. Alors, où était la vérité ?

    … Un nouvel arc-en-ciel éclaira jusqu'au fond de son être alors qu'un grand sourire se dessinait sur ses lèvres. Elle en aurait sauté de joie, si elle ne s'était pas retenue – un peu. Elle n'allait pas davantage le gêner – en voulant par exemple approfondir ses propos – mais en tout cas, elle était importante pour lui ! Là, maintenant, tout de suite, elle pourrait rentrer dormir chez elle, le cœur léger... très léger. Et gare au détraqueur qu'elle rencontrerait (même si c'était peu probable) sur sa route parce qu'elle avait un excellent souvenir tout près, extrêmement fort ! Elle n'avait même pas besoin de savoir autre chose, pour le moment. Elle comptait pour lui ! … Il n'avait même probablement jamais plaisanter de ce sujet qu'avec James et Sirius... D'ailleurs, son regard s'assombrit à ce sujet. Il l'avait connu beaucoup plus. Il l'avait même fréquenté... On ne pouvait pas dire qu'elle avait beaucoup connu son cousin, quand bien même l'aurait-elle voulu. A peine lui avait-il été donné, qu'on le lui enlevait... Elle s'était réveillée à l'hôpital le lendemain de la bataille au ministère ; elle avait vu d'autres lits à côté d'elle... Quand bien même n'était-elle pas en état de se lever, elle s'était levée et avait absolument voulu ouvrir tous les rideaux... Voir quels étaient les blessés. Elle n'avait pas trouvé Sirius... Ni Remus. Parfait. Cela signifiait donc qu'ils étaient indemmes. L'un comme l'autre. A ce moment elle ne mesurait pas encore totalement l'ampleur de ses sentiments pour le lycan, même si le soulagement souleva son cœur de la voir quelques minutes entrer dans la chambre d'hôpital. Son visage... L'expression... Elle avait compris avant qu'il n'ait ouvert la bouche.
    Quelque chose au fond d'elle venait de se briser.
    Elle avait mis quelques temps à se remettre de la perte de ce cousin qu'elle n'avait même pas eu le temps de connaître et elle était persuadée que ce qui l'avait tenir, c'était ses sentiments pour Remus...
    Dans le même temps, elle savait que c'était environ à la même période que ses sentiments pour Remus avait évoluer un peu plus, de façon irrévocable... Sans doute avoir perdu quelque chose qu'elle aurait aimé connaître un peu plus avant de le perdre, avait été le déclenchement. Avant qu'il ne soit trop tard, elle avait pris conscience qu'elle voulait apprendre à le connaître plus... Intimement.

    « Je... Sais... » murmura t-elle simplement avant d'esquisser un sourire et d'avaler sa salive. Les battements de son cœur semblaient résonner jusque dans ses oreilles. Elle ne savait plus quoi dire, ou ce qu'elle devait dire exactement en fait... Pour une fois que Nymphadora perdait les mots, notez ce jour sur votre calendrier et au marquer noir. I,capable de dire autre chose et sentant toujours le sang bourdonner à ses oreilles, elle sauta subitement sur ses pieds – pris soudain d'une impulsion – (et j'ai déjà dit qu'elle ne résistait jamais à ses impulsions subites ! - elle s'approcha de lui pour le serrer dans ses bras – amicalement cela va sans dire – le plus fort qu'elle put. Juste pour le remercier, ou lui faire comprendre que oui, elle savait, qu'elle comprenait...
    Elle serait patiente. Elle ferma les yeux quelques secondes, ne pouvant s'empêcher de laisser son cœur se délecter de cette proximité, puis elle le libéra et s'écarta. Elle se recula peut-être un peu trop précipitamment puisque que, satané maladresse aidant, elle s'emmêla les pieds – sans savoir exactement comment, et elle tomba par terre – de nouveau. Avant même qu'elle puisse s'en rendre compte, elle était par terre. Elle en resta sonnée quelques secondes en ouvrant des yeux ronds, comme si elle était surprise soudain de se retrouver par terre. Comment cela avait-il pu se produire ? Elle reculait juste et... Et boum.

    … Je suis une catastrophe ambulante décidément. Faudrait peut-être qu'elle apprenne à prendre un peu son temps et ne pas aller trop vite ! Non mais sérieusement, elle allait finir par se faire un accident toute seule...

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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 13:50



Pour la première fois de sa vie, Remus avait ressenti le besoin et l’envie de révéler à quelqu’un ses véritables sentiments, et à une femme par-dessus le marché. Parfois, on est incapable de révéler des sentiments amoureux mais on est tout à fait capable de dire à un ami qu’on l’aime, qu’on l’apprécie. Remus n’avait jamais été doué pour ça, ni pour l’un ni pour l’autre. Souvent, il se comportait de telle sorte que l’on pouvait le comprendre mais il n’arrivait jamais à mettre de mots sur ses véritables sentiments. Ici, il venait de révéler à Tonks qu’elle comptait pour lui. Il n’avait pas encore vraiment réussi à lui dire qu’il l’aimait, mais cela ne saurait tarder. Au cours des derniers jours, il avait compris qu’elle était tout pour lui, et que s’il venait à la perdre un jour, il ne s’en remettrait jamais. Et malgré toutes ses tentatives pour rester éloigné de la jeune femme, il n’arrivait plus aujourd’hui à jouer l’indifférence. Il jouait ce rôle depuis bien trop longtemps. Cela faisait près de deux ans maintenant qu’il luttait contre ses sentiments, deux ans qu’il savait que la relation qui s’installait entre lui et Tonks était bien plus qu’une simple relation de travail, et qu’elle était devenue bien plus qu’une relation amicale. Il était persuadé au fond de lui qu’il voulait finir ses jours avec elle.

Remus s’était un peu éloigné, il observait de là où il était la réaction de la jeune femme à sa confidence. Il espérait qu’elle ne fuirait pas mais sa réaction fut surprenante. Elle s’était levée et était venue le serrer dans ses bras. C’était leur premier véritable contact. Il s’agissait davantage d’une étreinte amicale que d’autre chose, mais la sentir contre lui, si proche… Il n’imaginait pas que cela lui ferait autant d’effet. Il sentait son cœur battre dans sa poitrine, il sentait l’odeur des cheveux de la jeune femme, sa peau légèrement humide, peut-être parce qu’elle avait connu un coup de chaleur, voire même plusieurs depuis le début de la conversation.
Mais cet instant ne dura pas longtemps. Il resta furtif, parce que Tonks interrompit l’étreinte, sans doute en pensant que cela gênait Lupin. Dans un sens, peut-être avait-elle raison. S’il ne pouvait l’avoir pour lui que pendant si peu de temps, autant ne pas l’avoir du tout. La rupture de l’étreinte était presque un supplice.
Lorsqu’elle rompit l’étreinte, Remus plongea ses yeux dans les siens avant de rapidement détourner le regard.
Mais un instant suffit pour que la maladresse de la jeune femme ne lui joue encore des tours. Pensant qu’elle allait pouvoir se relever seule, Remus resta assis. Mais il se rendit vite compte qu’elle ne se relevait pas, sans doute surprise par sa chute.
Il se leva précipitamment, prit sa main et l’aida à se relever. Mais cette fois-ci, il était hors de question qu’il la lâche. Elle n’avait qu’à faire attention à l’endroit où elle posait ses pieds.

Le loup-garou aida Dora à se relever, garda sa main emprisonnée dans la sienne et tout en la relevant, plongea à nouveau ses yeux dans les siens. Jamais encore ils n’avaient été aussi proches tous les deux. Il fallait dire que la plupart du temps, ils cherchaient plutôt à se fuit, à rester éloignés l’un de l’autre, sans doute de peur de commettre un impair. Tonks avait peur de mettre Lupin mal à l’aise et Lupin avait peur de créer de faux espoirs dans l’esprit de Dora.
Mais aujourd’hui, des faux espoirs, il n’en existait plus. Il avait envie d’avoir de l’espoir, parce que c’était tout ce qui lui restait.
Cette femme magnifique qui se tenait à quelques centimètres de lui représentait peut-être son avenir, et il l’avait ignorée trop longtemps.
Il caressait délicatement la main de la jeune femme, conscient de tout ce qu’elle pouvait lui apporter, ou plutôt de tout ce qu’elle voulait lui apporter. Et il finissait seulement par comprendre maintenant tout ce que les autres membres de l’Ordre lui répétaient depuis des mois. Que Tonks l’aimait, qu’il serait heureux avec elle, que la différence d’âge n’avait aucune importance, de même que son statut de loup-garou. Parce que Tonks était capable de l’endurer, parce qu’il existait des solutions pour rendre les choses moins pénibles. Parce qu’elle était parfaite pour lui. Il finissait par croire ses amis. Mieux vaut tard que jamais.

Doucement, Lupin caressa le front de Dora de son pouce, serrant toujours sa main dans la sienne. Il hésitait… Avait-elle vraiment envie de ça ? Lui maintenant en était sûr mais elle… Peut-être que ça la gênait, peut-être que cette proximité était trop brusque. Mais Remus ne voulait plus être hésitant, plus maintenant que tout pouvait basculer.

Tu sais… Quand je t’ai dit que j’avais envie de faire des efforts…

Il avait insisté sur le mot envie, pour bien lui faire comprendre que ce n’était pas juste une passade comme ça, que la situation était bien réelle et qu’à ses yeux, elle pouvait se répéter autant qu’elle le désirerait. Maintenant, tout ce qu’il espérait subitement, c’était que les sentiments qu’elle avait pu avoir pour lui n’aient pas complètement disparus depuis le temps. Parce que dans ce cas-là, il devait avoir l’air profondément idiot à lui conter fleurette depuis deux bonnes minutes. Mais au vu du comportement de Dora, il doutait tout de même de la disparition totale de ses sentiments pour lui.

J’en ai vraiment envie…


Il venait de le dire, enfin presque. D’accord, il ne s’agissait pas d’un « je t’aime » clair et précis, mais Nymphadora connaissait suffisamment bien Lupin pour savoir que ça serait extrêmement difficile de lui extirper ces trois mots magiques. Mais elle le connaissait aussi assez bien pour savoir que les deux phrases prononcées précédemment voulaient dire exactement la même chose. Il voulait faire des efforts, il voulait aller plus loin, avancer avec elle. Parce qu’elle était la femme de sa vie, parce qu’il avait déjà trop souvent risqué de la perdre et qu’il voulait passer autant de temps que possible avec elle. Alors elle n’avait pas intérêt à l’envoyer promener. La couleur des cheveux de Dora n’arrêtait pas de varier depuis qu’elle était arrivée. Elle était maintenant passée à un rouge assez vif, preuve que la jeune femme réagissait à sa déclaration. Enfin, déclaration c’est vite dit mais interprétez ça comme vous voulez. Il ne savait pas encore de quelle manière elle allait réagir, mais il devait bien avouer que ça le rendait très nerveux.
Remus se demandait s’il devait lâcher la main de Dora ou pas. Mais il avait attendu ça pendant tellement longtemps qu’il n’avait pas envie de la lâcher. Il n’avait pas lâché les yeux de la jeune femme pendant sa déclaration. Et il ne comptait pas le faire, sauf si elle le lui demandait.
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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 15:22



    … Elle était sonnée oui, et en colère contre elle-même ! Etait-elle à ce point incapable de rester sur ses pieds debout sans qu'elle ne dérape ou ne trébuche de quelques façons que ce soit... ?! Ou alors était-ce dû au fait que pendant une seconde ou deux elle avait senti son s'enfoncer dans le sien... Une seconde durant laquelle elle fut désarçonnée, ce qui surement ne l'aida guère à reprendre contenance avant que finalement elle se rende compte qu'elle venait tomber – encore. Elle ne savait même pas si elle avait envie de rire ou de pleurer de frustration – enfin de colère envers la maladresse dont elle pouvait faire preuve parfois. Elle allait se relever elle-même lorsque Remus fut plus rapide qu'elle... Sa main attrapa la sienne et toute colère ou frustration contre elle-même s'envola aussi vite... Si elle pensait qu'il allait la lâcher aussitôt fut-elle debout, elle se trompait. Apparemment, il n'avait toujours pas l'intention de lui lâcher la main, et elle fronça les sourcils, perplexe. Il avait peut-être oublié...

    Elle ouvrit la bouche pour lui en faire la remarque mais une partie d'elle au fond ne voulait pas qu'il lâche, aussi ses mots ne parvinrent à franchir ses lèvres. Elle tira un peu sur sa main – juste pour un peu pour essayant de la ramener près d'elle mais son regard plongé dans le sien sembla la brûler et ils n'avaient sans doute jamais entretenu aussi étroite distance entre eux... Tonks était aspirée par son regard plongeant au fond du sien et à dire vrai peu lui importait ou non de cacher ses émotions cette fois... Essayer du moins parce qu'il lui était quasiment impossible de pouvoir les dissimuler. Elle pouvait difficilement faire un seul mouvement quand bien même l'aurait-elle voulu. Son cœur s'était soudainement accéléré et elle se demanda pourquoi il restait ainsi, sans bouger, à la fixer... Pourquoi il n'avait pas déjà relâché sa main comme il l'aurait sûrement fait normalement... Pourquoi il la tenait toujours sous l'emprise de son regard duquel elle ne pouvait se détacher. Attends... Son cœur rebondit tellement fort dans sa poitrine lorsqu'il approcha une main lui caresser le front doucement qu'elle crut qu'on allait l'entendre résonner jusqu'au-dehors. Mais non. C'était impossible. Et ici, il n'y avait qu'elle, et lui... Il était le seul qui pourrait l'entendre au pire et à vrai dire, elle s'en fichait complètement qu'il puisse l'entendre. Son souffle se suspendit tandis qu'elle attendait la suite, suspendue simplement au rythme de son propre cœur, à la chaleur de sa main qui tenait toujours la sienne, à la maigre proximité qui les séparait... Elle pensait qu'il allait l'embrasser si proche était-il. Son cœur battait en rythme avec cette espérance. Son espoir n'avait jamais faibli, il s'était juste endormi...

    Son cœur se mit à battre encore plus fort lorsqu'il parla. Suspendue à ses lèvres elle les vit s'entrouvrir pour venir former les mots qui se mirent à résonner dans son esprit les uns après les autres... Il... Elle se contenta d'un léger, furtif, hochement de tête... Presque imperceptible, toujours sans parvenir à quitter son regard. N'ayant pas un miroir face à elle en ce moment, elle ne pouvait pas se rendre compte de la couleur changeante de ses cheveux, et encore moins voir qu'ils avaient pris de nouveau une couleur vive... Quand je disais que s'il y avait quelque chose qui la trahirait, ce serait ses cheveux. Elle savait reconnaître la valeur des efforts qu'il avait développé ce soir et c'était même bien au-delà que ce qu'elle aurait pu imaginer. Pourtant c'était bien en quelques sortes une déclaration qu'il lui faisait.... Et elle ne douta pas un instant de la sincérité de ses mots. Son regard parlait pour lui... Aujourd'hui, elle ne savait pas quel avait été son déclic, mais il avait envie d'avancer... Avec elle. Un fin sourire se dessina sur son visage. Pourtant, il semblait presque... Avoir peur de sa réaction... Au vu de l'hésitation qu'elle semblait lire sur ses traits fatigués. Comme si ses sentiments n'étaient plus les mêmes, qu'ils avaient changé, disparu. C'était vrai, ils avaient changé. Dans le sens positif... Ils n'avaient fait que croître, que prendre de l'ampleur. Le temps à la 'refuser' n'avait fait que nourrir ses sentiments pour les faire grandir...

    « Idiot que tu es... » se mit-elle à rire sans toutefois le lâcher des yeux, un amusement certain dans les yeux et aussi une adoration indicible. Ce n'était pas un reproche... Sa voix était affectueuse et elle exerça une légère pression sur sa main sans chercher toutefois à libérer la sienne... « Il t'en faut du temps pour te rendre compte ! » Mais c'était aussi ce qui faisait que c'était lui...

    Se haussant sur la pointe des pieds, elle rapprocha son visage pour venir l'embrasser, sur la joue, doucement et aussi légèrement que l'effleurement d'un pétale de rose. En fait c'était davantage au coin des lèvres, enfin pas réellement sur la joue... A mi-chemin.... Enfin bref, peut-être que ses lèvres avaient légèrement dérapé après tout, on ne les contrôle pas toujours... Comme pour lui en donner l'autorisation, ou juste un avant-goût. Enfin, qu'il le prenne comme il voulait... Elle se serra ensuite contre lui avant de poser la tête contre son épaule. Cette fois elle ne s'éloignerait pas, sauf si c'était lui qui le lui demandait... De toutes façons elle n'avait pas envie de bouger, pour une fois. Cela lui suffisait-il comme réponse ou fallait-il qu'elle lui fasse une déclaration enflammée... ? Non pas que cela la dérangerait... Mais Tonks préférait encore plus les actes aux mots =D Après tout elle était très tactile de nature...


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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 21:54



Ce moment avait l’air parfait, comme dans un rêve. Dora ne semblait pas vouloir reculer de leur étreinte. Pour la première fois de sa vie, il se montrait assez proche d’une femme que pour pouvoir lui révéler les secrets les plus enfuis de son âme. Il avait été surpris de la facilité avec laquelle il avait pu aborder des thèmes qui pourtant le faisaient beaucoup souffrir depuis l’enfance avec Tonks. Mais aujourd’hui, tout lui semblait beaucoup plus facile. Il avait la sensation que si elle était à ses côtés, rien ne lui serait impossible.
Tonks resta de plus en plus collée à lui, dans l’espoir que ce moment devienne plus intense encore sans doute. Elle n’avait pas lâché son regard d’une seconde. Tonks devait sans doute se demander ce qui était passé par l’esprit du loup-garou pour qu’il se réveille enfin, pour qu’il accepte enfin de se laisser totalement allé à cet amour qui lui semblait pourtant impossible quelques semaines plus tôt. Mais plus il avançait et plus il se rendait compte que les personnes les plus fortes qu’il avait connues dans sa vie l’étaient parce qu’elles n’étaient pas toutes seules. Il pensait notamment à James, qui avait eu Lily auprès de lui, à Molly Weasley qui avait Arthur, à Bill qui avait la délicieuse Fleur. Tous étaient des sorciers très doués, et aussi très amoureux. Alors, peut-être que c’était réellement ça la clé, celle qui protégeait ceux qui se battent contre les forces du mal. Sans doute Dumbledore avait-il toujours eu raison quand il disait à Harry que c’était l’amour de sa mère qui l’avait sauvé. Lupin voulait lui aussi connaître la chance de vivre un amour pur, sincère, comme celui que Dora pouvait lui offrir.

Le loup-garou ne put s’empêcher de sourire légèrement lorsque Dora le traita d’idiot. Mais elle avait parfaitement raison, il avait été idiot de croire qu’il pourrait résister à jamais. Il ne pouvait pas lutter contre ses sentiments, et il avait déjà essayé pendant bien trop longtemps. Il leva les yeux au ciel en soupirant et lui répondit, sur le ton de la plaisanterie :

Je te dis que je veux être avec toi et tu arrives encore à me traiter de crétin…


Mais elle savait qu’elle pouvait se le permettre. Lupin avait commis l’erreur la plus énorme de sa vie en refusant aussi longtemps les avances d’une femme dont il se savait amoureux. Mais il y avait tellement de risques à tomber amoureux de nos jours… Il y avait trop de risques surtout parce que, si un jour l’un d’entre eux était arrêté et torturé par un des hommes de Voldemort, il serait obligé de révéler ses sentiments pour l’autre et ils auraient d’énormes ennuis. Que lui soit arrêté, cela n’avait aucune importance mais il refusait de se voir obligé de révéler l’existence de Tonks et ses sentiments pour elle, parce que le Seigneur des Ténèbres s’en servirait contre lui. Mais pour le moment, il ne voulait pas penser aux risques, il ne voulait plus penser à ce qu’il encourait comme risques s’il venait à être torturé par les Mangemorts.
Non, tout ce à quoi il voulait penser, c’est au bonheur qu’il éprouvait en cet instant, alors qu’il se trouvait tout contre le corps de Nymphadora. Il voulait penser à ce qu’elle venait de lui dire, à sa main dans la sienne, à son pouce caressant son front. Toutes ces petites choses qui avaient l’air anodines mais qui ensemble formaient un tout parfait.

Tu viens de le dire, je ne suis pas très malin. C’est pour ça qu’il m’a fallu du temps.

Trop de temps. Le temps qu’il avait pris pour réfléchir, pour peser le pour et le contre. Il avait souvent eu bien plus de contre que de pour, mais finalement, une chose avait fait pencher la balance du côté des pour : il avait envie d’être avec elle, il l’aimait, tout simplement. Oui, il lui avait fallu beaucoup de temps pour se rendre compte de ça, mais il lui avait fallu encore plus de temps pour se rendre compte qu’il pourrait réussir à la rendre heureuse s’il s’en donnait les moyens.
C’était sa plus grande crainte ; être trop vieux, trop pauvre, pas assez intéressant pour une jeune femme qui pouvait avoir le monde à ses pieds.
Mais alors qu’il pensait à toutes ces choses qu’il avait souvent trouvé comme excuses, Dora s’approcha encore plus de lui et déposa un baiser sur sa joue. Enfin… Il ne s’agissait pas vraiment de la joue mais plutôt du bord des lèvres. Elle était encore hésitante, et il la comprenait bien. Après tout, lui-même était très hésitant sur la bonne marche à suivre. Mais il avait envie de plus, ça il en était certain. Il la laissa agir comme elle le désirait.
Elle déposa ensuite sa tête sur son épaule. Remus passa un bras autour de sa taille et déposa un baiser sur la tête de la jeune femme. Il voulait qu’elle reste ainsi un moment, juste pour pouvoir sentir sa chaleur de plus près.
Il avait l’impression idyllique qu’ils étaient seuls au monde, loin de tout, loin de la société, loin de tout ce qui était en train de se produire au-dehors. Juste dans leur monde.

Tendrement, il prit le menton de la jeune femme et redressa sa tête. Il plongea à nouveau ses yeux dans ce regard qui lui manquait déjà, puis s’approcha doucement et déposa un baiser à la commissure de ses lèvres, puis un autre, plus doux encore sur ses lèvres. Il avait franchi le pas, le dernier qui lui restait afin qu’elle comprenne vraiment ce qu’il voulait.
Enfin remarquez, si elle n’avait toujours pas compris, il se demandait lequel était le plus idiot des deux…
Il rompit le baiser un instant, juste le temps de s’approcher de l’oreille de sa chère et tendre et de lui murmurer quelques mots :

Je crois que je vais y prendre goût…


Il sourit tendrement et s’approcha à nouveau de ses lèvres pour y goûter doucement. Il n’avait pas envie de se montrer trop brusque, de précipiter les choses. Tout ce dont il avait envie, c’était de prendre son temps. Pas autant de temps qu’il n’en avait mis pour se rendre compte de son amour pour elle, mais juste le temps de profiter de chaque étape de cette relation nouvelle qui s’offrait à eux. Comme il était en train de le faire à cet instant. Le fait de la sentir si proche, de pouvoir la toucher, la sentir, la caresser, c’était exaltant.
Il l’embrassa une nouvelle fois, ne lâchant toujours pas la main de Tonks qu’il serrait dans la sienne. Il porta cette main à ses lèvres et y déposa un délicat baiser. C’était enfin le début de quelque chose, de quelque chose de réel et sincère entre eux…
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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeVen 26 Aoû - 9:44



    … Tonks était prête à prendre tous les risques. Elle n'avait jamais eu peur de s'engager dans quelques lorsque du moins elle savait que c'était ce qu'elle voulait. Elle pouvait tout traverser quand elle se sentait plus que jamais prête et ce qu'elle voulait, c'était Remus, du plus profond de son cœur, dès lors que son regard avait croisé le sien pour la première , elle avait su qu'il était différent et aussitôt elle avait senti ce petit quelque chose en elle qui faisait qu'on aimait vraiment... Même s'il lui avait fallu quelques temps pour se rendre compte que ce n'était que de l'amitié. Elle s'était battu... Pour lui, en espérant qu'un jour il reconnaisse la valeur et la sincérité de ses sentiments. Elle avait même cru pendant quelques temps que ses sentiments n'allaient que dans un sens, et qu'il ne ressentait rien de tel pour elle... Mais très vite, elle avait vu que c'était uniquement par peur qu'il la repoussait. Par peur.... Elle avait vu pourtant dans son attitude qu'il l'aimait au moins un peu et elle avait de nouveau continué à espérer. Elle s'était accrochée à ce maigre espoir, tout comme ce soir elle s'accrochait comme s'il allait disparaître d'un instant à l'autre. Elle ne voulait pas qu'il s'en aille …

    D'un seul coup, une frayeur la hanta... Et si tout ceci n'était qu'un erreur et que dans quelques secondes ou minutes elle allait se réveiller et puis elle prendrait conscience qu'elle serait seule dans son lit, dans le noir de sa chambre. Seul... Elle ne voulait pas y penser ; elle ne voulait pas... Pour le moment, il était là, et elle ne voulait même pas rouvrir les yeux. Contre son oreille, elle sentait son cœur battre. Elle raffermit son étreinte, essayant d'oublier le reste, de ne penser qu'aux émotions diverses qui la submergeaient. Ce ne fut pas bien difficile. Elle avait presque d'éclater en sanglots tellement elle ne croyait à la chance qu'elle qui lui était offerte... Elle n'allait pas se réveiller. Elle n'allait pas se réveiller parce que ce n'était pas un rêve. Ce n'était pas un rêve. C'était la réalité. Elle était prêt à prendre tous les risques... Par amour on pouvait tout faire. Prendre des risques ne lui faisait pas peur, oser aimer dans un monde où la guerre, deux forces contradictoires s'opposaient... Cela ne l'effrayait pas. C'était mourir sans amour qui lui faisait le plus peur... Et elle voulait aussi qu'il soit heureux. Son visage – et son corps aussi sans aucun doute – portait les marques de ce qu'il avait souffert... Elle voulait être celle qui puisse les guérir à défaut de pouvoir les effacer.

    Beaucoup de temps oui, il avait mis, mais cela lui avait prouvé d'un côté qu'elle n'avait jamais abandonné vraiment, que ses sentiments n'avaient pas changé et donc... Qu'elle était sincère. Même malgré le temps qu'il avait mis à se rendre compte. C'était le résultat qui importait, le fait qu'ils étaient là ce soir, qu'elle ne voulait pas le lâcher... Et qu'elle savait qu'elle ne voudrait jamais le lâcher, qu'elle serait toujours là, quoiqu'il arrive... Elle espérait communiquer tout ceci dans sa seule étreinte. Elle sentit son bras s'enrouler autour de sa taille et elle sentit un baiser sur le haut de sa tête. Tout dans ces deux simples gestes étaient parfaits. Elle pourrait rester ainsi … A jamais. D'ailleurs, combien de temps cela faisait-il ? Elle n'en savait strictement rien et peu lui importait... Le temps venait de s'arrêter. La guerre pourrait continuer au-dehors, pour le moment elle était loin, elle était très loin. Elle avait les larmes aux yeux, elle en aurait presque pleuré de joie.

    Elle ne craignait plus Voldemort, elle ne craignait plus … Sa 'chère' tante... Cette simple la rassurait sur le fait qu'il serait toujours là pour la protéger, et en échange elle souhaitait tant qu'il soit enfin heureux. Elle espérait qu'elle pourrait être celle qui lui apportera cela, lui faire oublier tout le reste, tout ce qu'il avait déjà perdu... Parce qu'elle l'aimait. De tout son cœur, de toute son âme, de tout son être. Elle se sentait si bien qu'elle ne voulait même plus bouger. Même plus parler ; juste profiter de ce simple moment. Moment simple en lui-même mais qui lui apportait tout ce dont elle avait besoin. Avec lui elle ne craignait plus rien, pas même de mourir... Elle partirait heureuse, elle partirait en sachant qu'elle ne s'était pas battu pour rien et qu'il l'aimait aussi... Même s'il ne l'avait pas dit explicitement. Ce qu'il avait dit était même bien plus important, avait plus de significations et de valeur pour elle qu'un simple « Je t'aime » qui demeurait, en soit banal... Et Remus n'avait rien de banal à ses yeux... Il était l'être le plus exceptionnel qu'elle ait rencontré et celui qui méritait le plus au monde d'être aimé parce qu'il avait donné – et donnait encore, tant de choses déjà aux gens, à ses proches.

    Mais il força doucement à relever la tête, lui soutenant le menton et Tonks rouvrit les yeux. Ses yeux plongèrent de nouveau dans les siens. Définitivement elle ne s'en lasserait jamais. Son cœur se mit à redoubler alors qu'elle voyait son visage se rapprocher, rapprocher et ses yeux se fermèrent instinctivement lorsque ses lèvres goûtèrent les siennes pour la première fois. Elle l'avait rêvé tant de fois que cela aurait pu avoir perdu de sa magie, mais la réalité était encore mieux. Un sourire amusé se fit sur ses lèvres lorsqu'il lui murmura à l'oreille qu'il risquait d'y prendre goût... Elle n'allait pas s'en plaindre ! Même si elle n'eut pas le temps de répondre quoique ce soit puisqu'il revint chercher ses lèvres. Elle n'allait pas non plus s'en plaindre ; ses lèvres brûlaient de son contact et n'attendaient qu'une chose, qu'il vienne de nouveau les chercher.
    Si la première fois elle ne réagit pas et se contenta de le laisser faire, lorsqu'il revint les chercher, elle les pressa sur les siennes presque avec empressement.
    Elle avait tout le temps à présent. Elle n'était plus presser et ne désirait que prendre son temps, y aller doucement, étape par étape. Elle se sentait la patience et surtout la force de dix mille hommes. Leurs visages s'éloignèrent l'un de l'autre, mais apparemment il n'avait guère envie de libérer sa main. Elle n'allait pas s'en plaindre...

    « … C'est peut-être le but, qui sait. » répondit-elle, un petit sourire aux lèvres, alors qu'ils s'éloignèrent de nouveau et qu'il déposait un doux baiser sur sa main. Les yeux brillants, les cheveux d'un rose éclatant, les joues rosies par l'émotion et un sourire éblouissant aux lèvres, voilà ce qu'elle était à cet moment précis, voilà à quoi elle ressemblait. « … Et tu as peut-être mis du temps, mais c'est le résultat qui compte. » ajouta t-elle alors qu'elle blottissait de nouveau contre lui.
    Son idiot adoré. Et entre « idiot » et « mon idiot », il y avait une nette nuance !
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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeVen 26 Aoû - 11:53



Elle avait raison, c’était le résultat qui comptait. Et quel résultat ! Remus était heureux d’avoir enfin prit son courage à deux mains et de lui avoir dit ce qu’il ressentait. Parce que avancer avec elle, ça serait forcément plus facile. Et au moins, s’il devait lui arriver quelque chose, il saurait qu’elle l’aimait et elle saurait qu’il l’aimait, de toutes ses forces. En tous cas, le résultat était à la hauteur de ses espérances, et bien mieux encore. Sentir enfin Tonks contre lui, sentir la douceur des baisers qu’elle déposait sur ses lèvres, il en avait rêvé et d’ailleurs, il avait par moments l’impression qu’il était dans un de ses rêves, un rêve duquel il ne voulait pas se réveiller, parce que ce qu’il ressentait en cet instant, il ne voulait jamais que ça disparaisse. Et pourtant, il faudrait bien rompre l’étreinte et redevenir sérieux. Mais n’avait-il pas été sérieux pendant trop longtemps ? N’avait-il pas tu ses sentiments trop longtemps pour être sûr qu’elle ne souffre pas ? Et finalement, n’avait-il pas fait plus de mal que de bien ?

Tu as raison. Et le résultat est… très agréable.

Il lui sourit tendrement et déposa un nouveau baiser sur ses lèvres, avant de finalement briser leur étreinte. Ça l’ennuyait de devoir lâcher sa main, lâcher leur câlin mais il devait tout de même rester vigilant. Il caressa la joue de la jeune femme du revers de sa main et partit en direction de la fenêtre. Il devait s’assurer qu’il n’y avait toujours aucun mouvement autour de la cabane, parce qu’il savait parfaitement que les Mangemorts épiaient ses moindres faits et gestes. Il était devenu chef de l’Ordre contre sa volonté, mais maintenant il devait assumer ses responsabilités. Et en plus, il voulait aussi protéger la vie de sa belle. Maintenant qu’il était avec elle, maintenant qu’il avait osé tout lui dire, ou presque, il était hors de question qu’il la perde. Il l’avait, il la gardait.
A travers la fenêtre, il ne vit rien de suspect mais on ne sait jamais. Les Mangemorts sont réputés pour… non, certainement pas pour leur discrétion. Mais il partit quand même en direction de la porte. Il l’ouvrit mais, avant de sortir, regarda dans la direction de Tonks et lui dit :

Je reviens. Je vais juste voir si tout est normal.

Il lui lança un clin d’oeil et sortit de la petite cabane. Il pleuvait à verses, le ciel était très couvert mais tout semblait normal. Remus resta cinq bonnes minutes dehors, à observer les alentours de la cabane, à en faire le tour, pour être certain qu’ils étaient en sécurité. C’est vrai que finalement, il prenait les mêmes habitudes que Maugrey. Il était aussi paranoïaque que lui mais ça, il n’y pouvait rien. Il devait faire attention à tout, surtout lui. Lorsqu’il était seul à la cabane, il faisait en sorte de protéger la cabane avec tous les charmes qu’il connaissait, mais ça n’était pas toujours suffisant. C’est ainsi qu’ils avaient perdu leur cachette au Square Grimmaurd, et ensuite à la Chaumière aux coquillages.
Lupin tourna encore et encore autour de la cabane, mais au bout de cinq minutes, il se rendit bien compte qu’il n’y avait personne dans les environs. Alors il rentra, dégoulinant de pluie, dans leur cachette. Il replaça un charme de protection devant la porte d’entrée et la ferma. Il ôta sa cape et la lança devant le feu de cheminée qui crépitait depuis quelques minutes.
Il frissonnait, mais ça n’avait aucune importance. Tonks, quant à elle, était toujours assise dans la cuisine. Lupin s’essuya un peu puis retourna s’asseoir à la table. Il s’installa à côté de la jeune femme et eut un petit sourire, rapidement suivi d’un… éternuement. Je suis d’accord, il y a tout de même plus sexy comme comportement mais que voulez-vous, c’est ce qui arrive quand on veut protéger la femme que l’on aime… et soi-même par la même occasion !
Mais s’il restait assis ainsi, il allait rapidement mourir de froid. Il se leva, se servit une tasse de café et se réinstalla à la table. Il but une gorgée puis dit à Tonks :

Je n’ai rien vu aux alentours. Mais pour plus de sécurité, j’ai lancé un nouveau sort de protection. On ne sait jamais.

Et même avec toutes leurs précautions, Remus savait très bien que les Mangemorts, les Rafleurs ou n’importe qui d’autre pouvaient les retrouver aussi facilement qu’ils le désiraient. Mais peut-être avaient-ils des choses plus intéressantes à régler ce soir. C’était même sûr. Avec la nomination de Rogue au poste de directeur de Poudlard, ils avaient forcément des choses plus importantes dont ils devaient s’occuper.
L’air de Tonks le faisait sourire. Il avait l’impression qu’elle venait de gagner le gros lot et qu’elle ne s’en remettait toujours pas. Pourtant, il n’avait tellement rien d’exceptionnel qu’il avait du mal à comprendre pourquoi elle voulait de cette relation. Oui, comme d’habitude il se sous-estimait, mais il n’avait clairement pas l’habitude qu’une femme veuille de lui à ce point. Mais lui voulait d’elle, donc ça compensait très bien l’incompréhension qui régnait dans son esprit.
Après avoir bu une deuxième longue gorgée de café, pour se réchauffer, il tendit la main vers Dora et s’empara, à nouveau, de la main délicate de la jeune femme. Souvent, James lui racontait que dès qu’il avait rencontré Lily, il n’avait plus pu se passer d’elle. Qu’elle était comme une bouffée d’oxygène, et que lorsqu’il était loin d’elle, il se sentait éteint. Il lui racontait que lorsqu’elle avait enfin voulu de lui, il s’était senti plus vivant que jamais. Il lui disait qu’il espérait que ça lui arriverait un jour.
Et bien James avait raison. Ça venait de lui arriver, et déjà Remus avait l’impression qu’il ne pouvait plus se passer de sa belle aux cheveux roses.
Lupin avait pu voir les prémisses de l’histoire d’amour entre James et Lily, il avait pu voir à quel point ils s’aimaient, à quel point ils ressentaient toujours le besoin d’être ensemble.
Il voulait connaître ce genre d’histoire, il voulait connaître cet amour lui aussi, mais pas leur fin. Non, il ne voulait pas de fin avec Tonks, pas de fin.

Viens là.

Il guida sa main vers lui et entraîna son corps tout entier sur ses genoux. Il passa ses bras autour de la taille de la jeune femme et remit une mèche de cheveux derrière son oreille. Il avait encore du mal à y croire, tellement de mal. Elle était enfin là, auprès de lui, assise sur ses genoux. Et lui se sentait comme un gamin de douze ans… Pire, il se sentait comme James…
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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeVen 26 Aoû - 16:06



    … Un sourire s'afficha sur son visage alors qu'elle ressentit l'envie de la taquiner sur ce qu'il venait de dire... L'envie fut si forte qu'il n'y résista pas longtemps et d'entre ses lèvres elle laissa échapper, tout en observant sa réaction du coin de l'oeil. « Agréable... Oh mais ils ont tous dit ça je t'assure ! » sous-entendant par là que ce n'était pas le premier qu'elle parvenait à faire tomber sous son charme, désirant peut-être aussi faire naître quelque jalousie. Ce serait trop mignon tiens, le voir jaloux.... Savoir qu'il n'était pas le premier... (Heureusement quand même d'un sens...) même si, en fait, c'était un petit mensonge, un tout petit. Son dernier petit copain remontait à sa sixième année – et cela avait été le seul ! En plus elle ne parlait pas vraiment de « petit copain ». Elle n'avait jamais voulu totalement s'attacher ; elle avait toujours voulu être plus ou moins libre. Mais sa rencontre avec Remus avait changé la donne.

    Sous ses airs extravertis, elle n'en était pas moins demeurée timide quand même... Il fallait avoir un minimum de retenue. Et puis s'il y avait un individus avec qui elle aurait pu finir par aller en couple, cela aurait certainement pu être Charlie ou encore Bill. Bill avait aujourd'hui Fleur, mais elle n'avait jamais ressenti pour aucun des deux que de l'Amitié la plus sincère. Elle avait attendu le bon, celui qui lui ferait chavirer le cœur... Elle savait que le véritable amour n'était jamais simple, qu'il rencontrait toujours pleins de contradictions – comme pour les tester – alors quand elle avait fait la connaissance de Remus la première fois...
    Elle avait senti quelque chose... Quelque chose qu'elle n'avait ressenti avec quiconque. Aujourd'hui, il lui semblait encore rêver. Hier lui paraissait tellement loin...

    Elle n'était pas très sérieuse avant de le rencontrer... Elle était devenue sérieuse, constante que dès lors qu'elle l'avait connu. Tant qu'on était pas constants dans ses sentiments, cela signifiait que l'on se cherchait toujours, que l'on ne s'était pas encore trouvés...
    Elle avait même appris la patience et le fait que l'on ne pouvait tout avoir tout de suite. Il l'avait changée sur bien des points... Si jamais elle n'avait tenu compte des apparences, cela avait semblait s'accroître au fur et à mesure qu'elle l'avait observé – d'abord de loin – puis de plus près, lorsqu'ils étaient devenus amis. Un sentiment fort dans son cœur n'avait eu de cesse de s'élever jusqu'à ce qu'elle en comprenne la nature... C'était quelque chose qui ne se commandait pas et qu'on ne pouvait contrôler d'aucunes manières que ce soir... La preuve, même Remus malgré sa bonne volonté... Volonté pas si forte qu'il avait voulu la montrer apparemment, vu qu'il avait finalement cédé pour la plus grande joie de la jeune femme qui se sentait tellement chanceuse. Chanceuse oui ! Elle aimait tout de lui... Même la plus petite cicatrice qu'il pouvait avoir sur son visage ou son corps. Cela faisait partie de ces souffrances passées qu'elle aurait souhaité effacer... Bien qu'il ne devait toujours pas comprendre pourquoi elle, une jeune et jolie métamorphomage s'était attachée à lui... Sans doute n'aurait-elle même pas su expliquer hormis ce qu'elle disait toujours... « Même avec la tête d'un horrible monstre et le corps recouvert d'écailles vertes, tu serais toujours aussi beau pour moi... » Elle aimait tout ce qu'elle était, même si elle haïssait Greyback au plus haut point de lui avoir infligé cela.
    Mais ce n'était pas que le physique qui importait et chez lui, même son âme et tout son être était beaux.... Ce n'était pas de sa faute s'il avait … Quelques cicatrices. Ces cicatrices faisaient partie de lui, faisait partie de ce qu'il était, de ce qu'il avait traversé... Ces cicatrices ne touchaient et n'avaient jamais touchée la partie d'homme qu'il était, et celle-ci était plus belle que toutes. Le vrai Remus était dans son cœur. A côté le reste était dérisoire.

    Perdue toujours dans ses pensées, elle l'avait vu briser leur étreinte pour aller vérifier si la voie dehors était toujours libre. Elle fut légèrement ramenée à la réalité en s souvenant qu'en effet, le danger n'avait pas quitté le monde, bien que depuis quelques minutes elle se sentait comme dans une boule à l'intérieur de laquelle rien ne pouvait l'atteindre. Il fallait cependant rester vigilant. Nos ennemis, à l'extérieur, ne guettait que la moindre de nos erreurs, le moindre de nos manquements d'attention, pour passer à l'attaque, quitte à même nous avoir dans le dos. Ils ne reculaient devant rien. Nymphadora le savait. La voix de Maugrey sembla à cet instant résonner dans son esprit... Ses mots qui le caractérisait le plus... Ce « Vigilance constante ! ». La jeune femme se mit inconsciemment à rire. Elle tourna la tête lorsqu'elle le vit revenir et haussa un sourcil réprobateur.

    Sa cape était trempée « des pieds à la tête » et il s'en débarrassa rapidement en la jetant près du feu qu'il avait allumé. Tonks le suivit des yeux avec une expression très réprobatrice sur le visage et ce qui ne manqua pas d'arriver arriva … Il éternua. Manquerait plus qu'il tombe malade. Mais il était vraiment inconscient décidément... ! Et d'ailleurs, il ne s'était jamais occupé de lui. Il était temps qu'elle arrive pour remédier à cela... Elle l'observa se lever de nouveau et aller se servir une tasse de café. Pas étonnant... Pour se réchauffer sans doute. Guère surprenant... Il devait être frigorifié... Ce n'était pas très sage de sortir dehors, d'en revenir trempé... Qu'il aille se mettre devant le feu de cheminée aussi, avec sa cape. Elle prit une expression ferme et réprobatrice comme si elle réprimandait un gamin de douze ans. Après tout, n'avait-il pas pensé se sentir comme un gamin de douze ans là ? A se demander qui était le plus âgé !

    « Mr Lupin ! Je ne tolèrerais pas que vous fassiez preuve d'autant d'inconscience et revenir trempé comme une soupe ! Je te préviens que si demain tu es malade comme un chien je vais te faire passer l'envie d'aller te prendre une douche froide dehors ! Même si c'est pour vérifier les environs ! » s'écria t-elle, faussement en colère mais dans une posture qu'elle adoptait toujours quand elle n'était pas d'accord avec quelque chose. Non mais. Si cela avait été elle, il l'aurait réprimandée... Non pas qu'elle craignait ses réprimandes ; et de toutes façons elle n'en faisait qu'à sa tête aussi... Mais quand même, il ne pensait jamais à lui. Elle, si !

    Une...
    Deux...
    Trois... Secondes.

    Malheureusement il était tout bonnement impossible qu'elle soit longtemps en colère contre lui et il lui suffit de croiser son regard pour laisser un sourire apparaître sur son visage... Malgré elle. Malgré toute sa volonté qui essayait d'être en colère contre lui. Elle avait pourtant été crédible. Mais plus maintenant...

    … Si en tous cas elle avait été crédible, sa colère passa rapidement, lorsqu'attrapant sa main il l'attira vers lui pour la faire asseoir sur ses genoux et entourer sa taille de ses bras. Ah non mais... Il n'allait certainement pas l'avoir ainsi, si ?! … Pourtant, elle en avait littéralement perdu toute réprobation et elle se laissa faire sans aucune résistance. Sa colère semblait avoir fondue comme neige au soleil. C'était injuste... Trop injuste...

    « …. C'est pas vrai... » marmonna t-elle, comme si elle était plus en colère contre elle à présent. « Pourquoi je peux pas être en colère contre toi plus de trois secondes... » fit-elle en croisant les bras sur sa poitrine et prenant une moue boudeuse.

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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeVen 26 Aoû - 16:52



Et alors que nos deux tourtereaux passaient un moment tout ce qu’il y a de plus romantique et adorable, la jeune femme murmura une petite phrase anodine, prononcée pour le rendre jaloux, sans le moindre doute. Et vous savez quoi ? Ca marchait ! Lupin avait toujours été complexé par son âge, l’âge qu’il avait par rapport à elle, et c’est pour ça qu’il refusait de s’embarquer dans une histoire d’amour avec Dora. Alors, qu’elle lui parle de ses anciennes conquêtes, ça avait quelque chose de terriblement agaçant. Il savait qu’elle avait eu une vie avec lui, avant qu’il ne lui avoue qu’il l’aimait, mais ça le rendait complètement fou de savoir que d’autres hommes avaient pu poser leurs mains sur le corps de Tonks.
Il lui lança un regard noir et pinça les lèvres, mais resta tout de même calme, préférant prendre ça sur le ton de la rigolade. Cependant, il était certain que Tonks verrait tout de suite qu’il était jaloux. D’ailleurs, il n’arrivait même pas à taire sa jalousie.

Ils ont tous dis ça…


Il eut un petit rictus et fit semblant de bouder. Bah oui, elle n’allait tout de même pas s’en sortir si facilement. Mais il était parfaitement incapable de lui faire la tête, pas après ce qu’il venait de se produire entre eux. Alors, Il caressa son front, déposa un baiser sur ses lèvres et demanda, d’un air mi-taquin, mi-inquiet :

Il y en a eu combien exactement ?

Il sourit légèrement puis l’embrassa à nouveau, avant de sortir. Quand il rentra après sa ronde, il savait parfaitement quelle serait la réaction de Tonks, parce qu’il lui avait déjà fait le coup un millier de fois. Elle allait lui en vouloir de rester trempé ainsi, elle allait crier, hurler peut-être et finalement, elle craquerait, comme d’habitude. Parce que si Lupin avait une certitude, c’était que Tonks était incapable de lui faire la tête trop longtemps. Lui était plus taiseux, plus « homme des cavernes », il n’avait pas besoin des gens pour vivre pour la simple et bonne raison qu’il était longtemps resté seul. Il serait capable de lui faire la tête beaucoup plus longtemps, et il devait aussi se battre contre ce coté de sa personnalité. Ils étaient ensemble maintenant, et même si c’était encore irréaliste dans l’esprit du loup-garou, il savait qu’il allait devoir faire beaucoup d’efforts pour réussir à véritablement vivre en couple.
Mais la jalousie qu’il ressentait, c’était déjà une bonne chose.

Et cela ne loupa pas ! Quand il rentra, il avait balancé sa cape devant le feu de cheminée et avait filé en cuisine pour prendre une tasse de café et s’asseoir. Donc évidemment, il était encore trempé mais il s’en fichait. Il avait tellement l’habitude d’être malade qu’au fond, cela ne faisait plus aucune différence.
Mais Tonks ne l’entendait pas de cette oreille et il était évident qu’elle allait lui mener la vie dure s’il ne se montrait pas un petit peu plus prudent. D’ailleurs, venant de sa aprt, ça lui faisait toujours rire puisqu’elle était la personne la plus maladroite qu’il connaisse. Mais cela faisait partie de ce qui plaisait a Remus chez elle. Ca et un tas d’autres choses dont il ne citerait pas les noms.
Lorsqu’elle se mit à lui crier dessus, il lui fit face, juste pour être sûr qu’elle plaisantait. Et effectivement, c’était le cas. Lupin sourit mais l’écouta tout de même. S’il était malade, il lui transmettrait sa maladie parce qu’il ne comptait pas la lâcher de la nuit.

N : « Mr Lupin ! Je ne tolèrerais pas que vous fassiez preuve d'autant d'inconscience et revenir trempé comme une soupe ! Je te préviens que si demain tu es malade comme un chien je vais te faire passer l'envie d'aller te prendre une douche froide dehors ! Même si c'est pour vérifier les environs ! »

Lupin sourit comme s’il était un gamin de douze ans pris en train de faire une bêtise. Il la regarda d’un air coquin et puis, lui demanda sur le même air :

Oh, je peux savoir comment tu vas me faire passer d’idée d’aller prendre une douche froide exactement ? Ca m’intéresse…

Lupin sourit. Il voyait bien qu’elle tentait de lui faire la tête mais elle était incapable de rester sérieuse plus de trois secondes. Et ce fut le cas, comme toujours. Mais il ne lui en voulait pas, parce qu’il était certain que maintenant que les choses sérieuses avaient commencés entre eux, il serait tout aussi incapable de rester éloigné d’elle plus longtemps que cela. Et lorsqu’il attrapa sa main pour l’attirer sur ses genoux, ils se retrouvaient à nouveau comme deux tourtereaux que rien ne pouvait séparer.
Il passa une main sur sa joue, son front, dans ses cheveux et déposa finalement un baiser, plus langoureux que les précédents, sur ses lèvres. Il se demandait d’ailleurs comment il avait fait pour réussir à échapper à l’envie d’embrasser ses lèvres. Tonks était parfaite, tout simplement. Ce qu’un homme recherchait chez une femme, il l’avait trouvé chez elle. Dora était la femme de sa vie, il en était persuadé. Il suffisait de voir comme il se sentait heureux quand elle était là. Jamais il ne l’avait montré auparavant, parce qu’ils souffraient tout les deux de la situation, mais aujourd’hui il voulait que tout le monde le sache… Quoique… Tout le monde c’était dangereux.
Il rigola lorsqu’elle lui avoua être incapable d’être en colère contre lui plus de trois secondes. Ca, c’était une évidence !

Oui, ça je sais…

Il l’embrassa une nouvelle fois, caressant son avant-bras tendrement. Si seulement il pouvait profiter de chaque parcelle de son corps… Mais il était trop tôt, beaucoup trop tôt.

Mais j’en suis incapable aussi.

Il lui fit un clin d’œil et s’empara une dernière fois de ses lèvres avant de lui dire dans le creux de l’oreille :

Je commence à avoir très froid… Si tu m’aidais à me réchauffer ?


Il n’en revenait pas : le parfait petit préfet qui parlait comme… James Potter. Ca aurait été profondément pathétique si ça n’avait pas été aussi bon. Mais ils n’étaient que tous les deux, alors où était le problème ?
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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeVen 26 Aoû - 19:34



    … Et paf ! Tonks ne pouvait s'empêcher d'en rire encore. Il avait marché en plein dedans, il l'avait cru ! Que c'était amusant de le voir jaloux... Pourtant, si elle devait dire la vérité, c'était qu'il n'y en avait pas eu tant que cela en fait, et il n'avait même même pas compter. Mais elle n'allait pas répondre tout de suite ; elle allait le laisser réfléchir, et mijoter un peu... Les hommes, fallait les faire un peu marcher un peu ! En tous les cas, elle se mit à rire sans aucune raisons apparentes mais elle pensait encore à sa réaction. Et puis, au moins, il indiquait par sa réponse combien il tenait à elle... Amusée, elle continuait de sourire, roulant des yeux un peu en faisant mine de regarder au plafond... Signe qu'il y en avait pas mal ? Et si tu savais mon petit ! Tu n'as pas été le seul et le premier ! Elle culpabilisait de le faire marcher ainsi, - au moins un peu – mais c'était trop drôle...

    De toutes façons, elle trouverait bien le moyen de se faire pardonner plus tard... Et puis si cela se trouvait, il était comme elle et ne pourrait lui faire la tête longtemps... Comme en témoignant le petit baiser qu'il lui donna avant de lui demander combien il y en avait eu. Elle se contenta de le regard mystérieusement sans répondre... Et s'empêchant également de rire. Ce qui était relativement difficile pour elle étant donné sa nature impulsive et prompte au rire... Mais elle tint bon. Que c'était trop drôle ! … Confortablement installée sur les genoux du lycan, elle se mit à rire doucement avant qu'il ne la prenne littéralement au dépourvue.

    Heu... Comment... Comment qu'elle comptait s'y prendre pour lui faire passer l'envie d'aller prendre une douche froide dehors ? C'était, à vrai dire, une question... A laquelle elle n'avait pas encore songé d'ailleurs... Ce qui fit mourir momentanément son rire dans sa gorge.

    « Heu, et bien... Je... »

    … C'était tout elle ça. Elle était prompte à la réplique ; elle réagissait au quart de tour, mais avant même qu'elle ne commence à imaginer les conséquences ou ce qu'elle pourrait bien faire pour le punir de s'être exposé ainsi et sortir dehors pour revenir trempée comme je ne sais quoi... Ses cheveux se mirent à rougir de confusion et ne sachant que répondre, elle détourna les yeux et choisit de regarder autour d'elle le temps de chercher quelque chose à dire lorsqu'elle fut interrompue... Pas un baiser. Elle en oublia tout le reste d'un coup et y répondit volontiers … Etait-ce seulement une impression où il semblait plus... Plus osé, plus langoureux... Pas qu'un rapide baiser volé sur les lèvres. Où était l'ancien Remus ? Qu'en avait-on fait ?... Pourtant, c'était bien lui... C'était bien autour de son cou qu'elle avait glissé les bras et c'était bien lui contre qui elle se serrait. Il avait raison, elle ne pouvait vraiment pas se mettre en colère longtemps contre lui et d'un seul baiser en plus elle avait tout oublié ! Elle n'était même fâchée contre elle-même de ne pouvoir se mettre contre lui. Elle en voulait plus, toujours plus et elle rougit elle-même à sa pensée. Il s'écarta ensuite et ils restèrent quelques secondes ainsi alors qu'il avouait que lui aussi ne pouvait rester fâché longtemps avec elle. Le regard de la jeune femme était perdu. Elle avait laissé l'un de ses bras autour du cou du lycan tandis qu'elle l'observait caresser doucement son avant-bras... Il était toujours d'une douceur incroyable. Elle aimait chacun de ses gestes, chacun de ses regards... Tout.

    Et dire qu'au début de la soirée, elle était simplement venue parler à au premier membre de l'Ordre qui se serait trouvée ici, et elle était actuellement sur les genoux du chef de l'Ordre, un bras passé autour de son cou et caressant distraitement sa nuque. Elle se sentait comme.... Elle réfléchit à une comparaison quelques secondes... Ah la première dame d'Angleterre ! Parfaitement. Enfin, même s'il n'avait été chef de l'Ordre de toutes les façons, elle se serait quand même senti la première Dame d'Angleterre et la sensation était... enivrante. Surtout de se sentir simplement aimée. D'ailleurs, ce serait même plus simple s'il n'était pas chef de l'Ordre. Ce serait moins dangereux... Pour tous les deux. Elle serait une cible facile... Si la nouvelle qu'ils étaient ensembles franchissait le seuil de cette maison. Mieux valait peut-être que leur... relation reste... Secrète, pour le reste du monde du moins, songea t-elle le cœur serré. Relation ! Elle pouvait à présent comme tel et oui ! ... Bien qu'elle aurait aimé le crier sur tous les toits afin que tout le monde sache son bonheur, il fallait se rendre à l'évidence. Cela faisait de Remus une cible plus accessible... Pour l'avoir, il suffisait de s'en prendre... A elle. Elle ne voulait pas le mettre en danger... Pour elle. Même si elle n'était pas sans défenses, même si elle savait se défendre, il était indéniable qu'elle n'arrivait pas à son niveau magique... Elle était beaucoup plus jeune et donc beaucoup moins expérimentée. Mais il ne fallait pas y penser... Pas maintenant...
    Elle se demanda néanmoins s'il y pensait également, mais elle ne voulait pas aborder le sujet, et ainsi briser la magie du moment...

    Elle n'était cependant pas au bout de ses surprises. Lorsqu'elle sentit son souffle près de son oreille et qu'elle entendit ce qu'il lui dit, elle ouvrit des yeux ronds et pendant quelques secondes, la tête, se retenant de lui prendre sa température en posant une main sur le front. Il avait certainement dû attraper froid oui, et il devait avoir de la fièvre... Certainement. Elle avait réellement bien entendu … ? Oh, en théorie, elle n'était pas contre le fait d'aider à le réchauffer, mais elle n'allait pas s'avouer vaincue aussi facilement, foi de Tonks ! Fronçant les sourcils, elle approcha une main qu'elle posa sur son front, semblant mesurer sa température. Elle lui demanda ensuite après un instant, avec une véritable lueur amusée au fond des yeux... Mêlé à de l'incrédulité.

    « Mais Mr Lupin, qu'avez-vous donc fait de l'ancien Remus Lupin ?! N'auriez-vous pas attrapé un accès de fièvre en sortant ainsi dehors ? Je vous avais prévenu !  » Remarquez qu'elle n'avait toutefois pas dit « non » ni « oui » à sa question, mais qui ne dit rien, consent... Elle se récria ensuite en faisant mine d'être fâchée, et posant les mains sur ses hanches tout en le regardant d'un air sévère, dans la mesure du possible :

    « Et d'abord tu n'avais pas qu'à aller te tremper ainsi ! Voilà, j'ai trouvé comment te punir, tu vas te sécher tout... Seul !  Et tu l'auras bien mérité ! »

    Non mais, on ne se fichait pas d'une Tonks ! Encore mieux, d'une Tonks avec du sang Black !
    Elle était crédible, n'est-ce pas ? Du moins s'il ne commençait pas à la prendre par les sentiments et à la faire culpabiliser, tout irait bien...
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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeVen 26 Aoû - 20:18



Et elle ça la faisait rire, ça la faisait rire qu’il enrage à propos de sa foutue jalousie. Apparemment, elle n’avait jamais remarqué la jalousie de Remus. Et pourtant, il l’avait déjà souvent été depuis qu’elle appartenait à l’Ordre du Phoenix. Il l’avait été quand Bill n’était pas encore en couple avec Fleur, il l’avait été une fois où Charlie était revenu de Dieu seul sait où… Il l’avait été plusieurs fois, mais il avait toujours caché sa jalousie, tout comme il cachait ses sentiments. Il espérait juste qu’elle soit heureuse, que ce soit avec lui ou avec un autre. Et au fond, il continuait à se dire que ça aurait été beaucoup plus simple que Tonks soit en couple avec Charlie. Au moins, elle l’aurait peut-être suivi et elle serait loin de toute cette guerre. Et surtout, elle ne serait pas devenue le moyen de pression idéal pour quiconque s’approcherait d’un peu trop près de l’ordre. Ils savaient tous les deux qu’à un moment donné, ils devraient parler de leur relation, savoir ce qu’il convenait de faire pour être sûrs que personne ne soit blessé dans cette histoire. Parce que s’ils révélaient au monde entier leur amour, le Seigneur des Ténèbres s’en servirait à coup sûr pour mettre la pression sur le chef de l’Ordre, autrement dit lui-même. Il allait se servir de Tonks pour le faire souffrir, pour le faire parler et pour lui mettre la pression. Et ça marcherait, parce que Remus refusait que le moindre mal soit fait à la jeune femme.

Il sourit en observant la réaction de Tonks. Elle n’avait effectivement rien prévu comme récompense. Dommage, il aurait été ravi de voir de quoi elle était capable. Mais il l’avait prise au dépourvu et ça le faisait mourir de rire. Elle avait l’air penaud, comme si on venait de lui poser une question très difficile et qu’elle ne savait pas quoi répondre. Ce qui était, en fait, un peu le cas. Lupin l’embrassa, juste pour lui faire signe que ce n’était pas bien grave et que cela n’avait aucune importance à ses yeux.
L’important ce soir, c’était d’être avec elle. Elle avait passé ses bras autour de son cou. Elle avait l’air bien, elle semblait heureuse, et rien que pour ça, Lupin était heureux lui aussi d’avoir enfin avoué ses sentiments. Et pourtant, il avait l’impression de ne plus vraiment être lui-même. En l’espace d’un instant, il s’était transformé en quelqu’un de totalement différent. Et si ce n’était pas ce qu’elle voulait ? Et si elle le quittait parce que finalement, il était bien trop différent de ce qu’elle imaginait avant ?
Et si, après tout, elle se rendait compte que Lupin n’avait rien de spécial, qu’il n’était qu’un homme comme les autres, sans grand intérêt.
Et voila les craintes de Remus qui refaisaient leur apparition, plus puissantes que jamais. Il n’avait jamais pensé que leur couple deviendrait réel un jour, parce que les barrières qu’il avait dressés devant eux étaient tellement hautes que rien ne pourrait jamais passer par-dessus. Mais finalement, il avait décidé qu’il voulait passer par-dessus, juste pour voir si l’herbe était plus verte de l’autre côté. Et elle l’était. Mais lui était toujours Remus, le loup-garou, l’ancien professeur de Poudlard, le chef de l’Ordre et l’ennemi numéro un de Lord Voldemort. Il était l’homme à abattre et donc Tonks, la femme à abattre.
Cela n’avait jamais été son objectif. Ce qu’il voulait, c’était qu’elle soit heureuse et finalement, il jouait aux égoïstes et la mettait en danger… Mais il ne voulait plus mentir, c’était ce qui l’avait poussé à lui avouer ce qu’il ressentait. Mentir le fatiguait, donc oui, il se comportait comme un égoïste.
Il espérait juste que Tonks se rendait compte de ce qu’allait entraîner leur relation. Mais pour le moment, il ne voulait plus y penser. Pour le moment, il voulait penser à lui et à elle. A eux…

Il sourit lorsqu’il vit la réaction de la jeune femme lorsqu’il lui demanda de la réchauffer. Ca ne lui ressemblait pas du tout, c’était certain. Mais peut-être qu’il avait envie de se comporter comme un véritable homme amoureux. Peut-être que lui aussi avait envie de ressentir la chaleur de la femme qu’il aimait, juste ce soir.
Il leva les yeux au ciel devant le cirque que Tonks était en train de lui jouer. Elle était incroyable quand même ! Délicatement, il posa les pieds de la jeune femme par terre, la prit dans ses bras pour la poser sur la chaise qu’elle occupait quelques instants auparavant et dit, tout en se levant :

Oui, tu as raison.

Il prit sa tasse, la posa dans l’évier et mis un peu d’eau dedans.

Je vais redevenir comme l’ancien Lupin. Plus de baisers, de mots gentils. Rien. Plus un mot, plus un geste. Et je vais aller me sécher tout seul dans mon coin.

Il prit un air faussement outré et partit en direction du salon, où crépitait toujours un feu de cheminée. Il faisait très agréable. Il s’installa dans le divan, pris la gazette du Sorcier et se coucha de tout son long dans le fauteuil. Il ne prononça plus un mot dans la direction de Tonks. Allait-elle venir vers lui ou allait-elle essayer de lui faire la tête elle aussi ? Oh, Lupin savait très bien qu’il pouvait tenir comme ça très longtemps, parce qu’il n’était pas encore habitué à une vie de couple. Il ne savait pas ce que ça faisait d’être en couple, il était encore incapable de tout dire à la femme qu’il aimait alors franchement, il n’éprouverait aucune difficulté à feindre la dispute.
Il ne s’agissait évidemment pas d’une dispute, mais il trouvait ça plutôt drôle de lancer des petites œillades dans la direction de Tonks pour voir comme elle réagissait.
Doucement, il se redressa, posa la gazette quelques instants par terre et ôta son gilet. Il était trempé et de plus, il faisait particulièrement bon juste devant le feu de cheminée comme ça. Il devait bien avouer qu’il avait vraiment pris froid dehors, et recommença à éternuer une fois, puis deux. Décidément, peut-être que Dora avait raison finalement… Il allait vraiment être malade. Il tenta d’étouffer les éternuements, mais ça resta très peu discret.
Il reprit la gazette des sorciers dans ses mains et poursuivit sa lecture. Secrètement, il osait espérer que Tonks allait venir le rejoindre, parce qu’après avoir passé un moment aussi agréable, il ne voulait pas que ça s’arrête, pas comme ça.
Alors il lançait des coups d’œil par-dessus le divan, en espérant qu’elle arriverait. Mais lui ne céderait pas : elle avait voulu jouer ? Il voulait lui montrer qu’il était aussi capable de jouer. Et qu’au jeu de « je te fais la tête », il gagnerait. Même si tout ce qu’il voulait, c’était la serrer à nouveau contre lui et lui dire qu’il l’aimait, tout simplement.
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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeSam 27 Aoû - 1:52



    … Mais... Mais... Mais... Il faisait quoi là ? Et ben elle qui avait voulu joué à ce jeu, elle était servie. Nymphadora n'avait rien compris de ce qui lui arrivait lorsqu'il lui dit qu'elle avait raison. Hein ? Raison de quoi... ? Et comment cela qu'elle avait raison... ? Mais non, elle avait tord... ! Elle avait espéré qu'il la contredise, ou du moins qu'il entre dans son jeu, mais certainement pas de cette manière. La jeune femme demeura perplexe lorsqu'il la fit se lever, qu'il la fit se rasseoir à la place, sur la place. Elle le suivit des yeux ensuite alors qu'il allait mettre sa tasse dans l'évier. Toujours sans rien comprendre du tout... Comment qu'il allait redevenir l'ancien Lupin ?! … Plus de bisous ? Plus... Rien ? C'était une blague … ? Elle sauta sur ses pieds, la bouche grande ouverte, semblant rien comprendre de ce qui se passait. Puis elle se mit à réfléchir...

    Elle pensait qu'il allait revenir, après lui avoir fait croire qu'il était fâché par ses mots... De toute évidence, il était bien décidé à faire la tête. Et après c'était elle la plus jeune !!! Et ben. Mais elle eut beau attendre, plantée comme un piquet au beau milieu de la cuisine, entre la table et la chaise, les yeux fixés sur le canapé où elle voyait la tête de Remus dépasser, il ne revint pas. En tous cas, soit il avait l'air vraiment de bouder... A son âge ! Soit il avait trouvé un moyen – et un bon – de la faire marcher. Elle était prise à son propre piège. Elle ne pensait pas du tout qu'il réagirait ainsi... D'une autre manière mais pas du tout de cette manière. Elle en était interloquée.

    Très bien. Dans ce cas, on verrait bien qui gagnerait. Elle allait rester là ? Qu'il reste dans le salon s'il en avait envie ! Elle pouvait très bien rester seule après seule. Elle n'avait pas besoin de lui... Et puis, elle pouvait se passer de lui quelques temps, de son étreinte, se ses baisers... De sa main qui remettait derrière son oreille l'une de ses mèches de ses cheveux, de la chaleur de sa paume contre sa joue...

    Stop ! Hey oh, elle était parfaitement capable de se passer de lui. Guère convaincue cependant par ses pensées, elle croisa les bras sur sa poitrine, décidée à tenir le plus longtemps possible. Après tout pourquoi ne le pourrait-elle ? Elle avait passé mois et des mois à le poursuivre de ses avances et il l'avait toujours repoussée. Il n'empêche qu'elle avait été seule pendant des mois ; elle avait appris à être patiente, donc elle ne voyait vraiment pourquoi elle ne pourrait pas se contenter de la solitude. Elle allait tenir. Elle n'allait pas aller dans le salon, même si ses jambes mourraient d'envie de bouger pour accourir dans le salon, même si ses bras voulaient s'entourer autour de lui... J'ai dit stop. Elle se rassit sur la chaise, droite, et croisa les bras sur sa poitrine. Il fallait déjà qu'elle trouve un moyen de s'occuper... Sinon ce serait dur de tenir. Très dur... Elle devait s'occuper l'esprit. Se levant de nouveau, incapable de rester assise, elle retourna vers la fenêtre pour regarder au travers de la vitre attentivement. Et oui... Ce réflexe était toujours omniprésent. Elle demeura quelques minutes devant la fenêtre, avant de se tourner de nouveau vers le reste de la cuisine … Son regard se tourna, inconsciemment, vers la direction du salon et en particulier le canapé... En fait, cela l'ennuyait plutôt qu'autre chose. Il avait vraiment l'air de tenir. Mais vraiment. Alors que déjà, de son côté... l'entendre lui parler, lui sourire, sentir son regard dans le sien et être tout simplement à côté de lui, lui manquaient déjà atrocement...

    Mais elle tiendrait. Il le fallait. Elle allait lui montrer tiens... Elle était parfaitement capable de tenir loin de lui,... Elle jeta un coup d'oeil à l'horloge de la cuisine. Trois minutes.... C'est tout ?! QUE trois minutes ?! Par Merlin, le temps ne passait guère vite... Soupirant, elle retourna vers la table à laquelle elle s'assit et attrapant le journal qui traînait sur la table à quelques distance, elle l'ouvrit pour le lire. Les mots se mirent à défiler devant ses yeux sans même qu'elle puisse mettre une signification dessus. Elle releva la tête soudainement alors qu'elle entendait un éternuement en provenance du salon et secoua la tête. Quelle inconscience de sortir ainsi! Ce n'était pas parce qu'il était habituée à être fatiguée et malade, qu'il fallait sortir sous la pluie et attraper froid ! … Il n'empêche qu'elle commençait à culpabiliser...

    Décidant d'arrêter de lire quelque chose dont elle ne comprenait pas un traître mot, elle posa la tête sur la table, enfin, sur ses bras. Elle ferma les yeux, comptant silencieusement les secondes, mais attentives aux moindres mouvements dans la pièce d'à-côté qui viendrait rompre le silence. Elle ne pouvait s'empêcher de jeter des coups d'oeils vers lui... Il semblait plutôt bien prendre leur distanciation, ne pouvait-elle s'empêcher de constater à chaque fois. Une ou deux fois, elle sembla le surprendre à jeter un bref coup d'oeil vers ici, mais était-ce elle qui l'imaginait parce que c'était ce qu'elle désirait le plus au monde en cet instant… ? Elle se mit ensuite en colère contre elle-même. Elle était incompréhensible. Elle avait passé des mois et des mois à supporter sa distance – du moins à le supporter assez bien – et maintenant, voilà qu'elle avait l'impression qui lui manquait … Quelque chose. Elle avait bien tenu jusque là, mais voilà, à présent qu'elle avait goûté à l'immense bonheur dont elle était envahie quand elle avec lui, elle ne pouvait plus s'en imaginer loin. Même à s'il n'y avait qu'une dizaine de mètres entre eux. Inconsciemment, quelques mèches de ses cheveux avaient un peu pâli...

    Oh, ils ne s'étaient pas disputes, loin de là... On va dire que c'était un test. Le regard de la jeune femme fut attiré de nouveau par l'horloge et elle soupira. Cinq minutes... Seulement. Tant pis, elle avait perdu. Il serait enchanté sans doute d'avoir gagné mais elle ne pouvait supporter ce silence. Il lui avait même dit qu'il ne parlerait plus ! C'en était trop pour elle ! Elle voulait lui parler... Et juste être près de lui. C'en était encore plus dur en sachant qu'en plus il était juste à côté... Encore si elle ne le voyait pas du coin de l'oeil, sans doute aurait-elle tenu davantage, mais là, elle le voyait... Et elle ne pensait qu'à le rejoindre. Ce silence et cette distance étaient bien trop insoutenable.

    Elle se leva de sa chaise et s'écartant de la table, se dirigeant lentement vers... Le canapé dans lequel Remus s'était réfugié. Il ne semblait toujours pas bouger, et d'ici elle ne pouvait voir l'expression de son visage, s'il l'entendait approcher ou s'il l'avait vu se lever et venir voir vers ici. En tous les cas, elle avait l'air toute penaude lorsqu'elle arriva à hauteur du canapé devant lequel elle s'arrêta. Elle en fit le tour et se glissa à ses côtés avant de se blottir contre lui, en silence et sans rien dire encore, retrouvant de nouveau les sensations agréables qu'elle ressentait chaque fois qu'elle se blottissait contre lui.

    « Tu es content je suppose... Tu as gagné... » fit-elle en faisant mine de bouder sans pour autant s'éloigner de lui. Elle ramena ses jambes sous elle avant d’envelopper un bras autour de lui. « Il n'empêche que j'avais quand même raison ! Tu n'aurais pas dû sortir dehors sous la pluie !... » puis elle ajouta avec un sourire mi-amusé... « Je te croyais plus résistant aux intempéries. Finalement tu es une petite nature ! » … Sans attendre qu'il lui réplique quelque chose cependant, elle étouffa sa réponse sans nul doute naissante en venant couvrir ses lèvres des siennes... Elle avait trouvé le seul moyen pour qu'il ne puisse rien trouver à dire ! Au moins cela l'empêchait de dire des bêtises, et puis elle en avait juste envie ! Elle recula ensuite quelques secondes plus tard et tout en restant calée contre lui, elle ajouta avec un sourire... « Je suis sûre que je ne t'ai même pas manqué en plus gros méchant ! ».
    … Cette fois, elle espérait quand même qu'il la contredise...

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MessageSujet: Re: A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks]   A toi mon amour, mon immense, ma goutte d'absynthe [Tonks] Icon_minitimeSam 27 Aoû - 7:40



Remus souriait intérieurement en voyant Tonks, plantée au milieu de la cuisine, sans même savoir ce qui était en train de se passer. Elle était là, elle n’avait absolument rien compris et Lupin essayait de s’empêcher de rire. Il devait garder son sérieux à tout prix. Il allait lui prouver qu’il était le plus fort à ce petit jeu-là et qu’elle était incapable de rivaliser avec lui.
Il restait allongé dans le canapé à lire la Gazette du Sorcier alors qu’elle était à la fenêtre. Il lançait des œillades toutes les deux secondes parce qu’il n’arrivait clairement pas à s’en passer. Le feu crépitait dans la cheminée et il faisait de plus en plus chaud là où il était. Mais il résisterait, il était hors de question qu’il craque. Faisait fît de lire la gazette, il devait bien avouer qu’en vérité, il n’avait absolument rien compris de la page qu’il venait de tourner pour faire croire à Tonks qu’il était bien absorbé par sa lecture.
La jeune femme finit par quitter la fenêtre au bout de quelques minutes pour retourner s’asseoir à table et prendre, elle aussi, le journal. Elle commença à lire une page mais elle abandonna vite sa lecture.
Elle était complètement paniquée, elle semblait ailleurs et Lupin comprit rapidement qu’elle n’allait pas tenir très longtemps comme ça.
Tonks avait mis la Gazette sur le côté de la table et avait maintenant la tête posée sur ses bras. Elle s’ennuyait fermement, elle allait craquer, il le sentait.
Il eut finalement un petit sourire qui s’afficha sur son visage et replongea dans sa lecture, en attendant qu’elle vienne le rejoindre, ce qu’elle ne tarderait pas à faire.

Mais alors qu’il tentait de se concentrer sur un article très intéressant sur… il ne savait même pas sur quoi portait l’article, il entendit des bruits de pas qui arrivaient dans sa direction. Il leva doucement les yeux, sans relever la tête. Lupin finit par relever la tête lorsqu’il vit qu’elle s’arrêtait derrière le canapé. Il prit un air interrogatif, tenta de cacher le sourire qui pointait sur son visage et replongea dans sa lecture.
Mais, comme Remus s’en doutait, Dora vint se blottir tout contre lui. Il eut un regard vers elle, faussement surpris, et finit par fermer son journal et à le jeter par terre.
Remus caressa les cheveux de Tonks avant de déposer un baiser sur son front. Et oui, il avait gagné. Il avait gagné et il se sentait très content de voir que la jeune femme était incapable de se tenir loin de lui plus de quelques minutes.

Et oui, je sais que j’ai gagné.

Mais la jeune femme ne put s’empêcher de lui balancer quelques piques sur sa petite sortie sous la pluie. Alors qu’il s’apprêtait à répliquer à nouveau, il fut interrompu par un long baiser tendre. Elle était incroyable. Elle pouvait faire ce qu’elle voulait de lui, il n’y avait aucun doute sur la question. Mais lui avait encore envie de s’amuser un peu. Après tout, ce petit jeu lui plaisait beaucoup parce qu’il voyait parfaitement que cela énervait au plus haut point Tonks d’être séparée de lui maintenant.
Et il la comprenait. Au fond, il l’avait fait patienter pendant tellement longtemps, elle avait dû attendre pendant des années pour qu’il essaie enfin de se rapprocher d’elle. Il comprenait sa réaction. Elle avait dû se sentir heureuse quand il lui avait enfin annoncé à quel point elle comptait à ses yeux.
Alors maintenant, la perspective d’être séparés, même s’ils étaient encore dans la même pièce, devait l’énerver un peu et Lupin s’en amusait.
Lorsqu’elle se recula et lui répliqua qu’elle était certaine qu’elle ne lui avait pas manqué, il leva les yeux au ciel. Si seulement elle s’imaginait ce qui était passé par la tête du loup-garou, elle serait bien surprise.

Oh tu as raison, tu ne m’as pas manqué.

Il eut un petit sourire mesquin puis reprit son journal et l’ouvrit à la page « étranger ». Il allait la rendre complètement folle s’il continuait à agir de la sorte, mais ça l’amusait beaucoup.
Finalement, en lançant un regard vers Tonks, il lui sourit et l’embrassa à nouveau. Il balança le journal à l’autre bout de la pièce et serra sa belle un peu plus contre lui.

Bien sûr que si tu m’as manqué.

Lupin embrassa à nouveau les douces lèvres de Tonks. Il n’arrivait toujours pas à mettre des mots précis sur ce qu’il ressentait pour elle. Longtemps, Lupin avait essayé de se battre contre ses sentiments, de les définir, de savoir exactement ce qu’il éprouvait pour la jolie Métamorphage. Il avait peur de savoir ce qu’il ressentait parce que dès qu’il le saurait, cela ne ferait que rendre les choses plus réelles encore. Mais aujourd’hui qu’il savait, aujourd’hui que les choses étaient claires dans son esprit, il savait qu’il voulait passer le plus de temps possible avec elle. Il savait que dès qu’il serait possible pour eux de se voir, ils essaieraient. Et il savait aussi que la séparation serait incroyablement difficile. Avant déjà, il avait toujours beaucoup de mal à être séparé d’elle, mais il n’arrivait simplement pas à y croire.
Il avait l’impression que tout serait plus simple, et en même temps plus compliqué maintenant que leurs sentiments étaient réels. Ils s’étaient dis les choses. Et maintenant, soit ils allaient devoir se cacher et vivre leur amour dans le secret le plus complet, soit ils allaient pouvoir dire aux autres, ou au moins aux membres de l’Ordre, ce qu’ils vivaient enfin.

En fait, ça fait des années que tu me manques…


Ces mots, il les pensait plus que tout. Pendant toutes ces années au cours desquelles Tonks avait couru après Remus, lui avait refusé ses avances, même si tout de suite il aurait voulu lui dire que lui aussi l’aimait. Mais il se l’était interdit et c’était ça qu’il voulait lui dire à travers ces mots. Il voulait lui dire qu’elle lui manquait pour qu’il soit enfin lui-même, pour que son être soit enfin complet.
Mais maintenant elle était là et il avait enfin l’impression de vivre pleinement. Il avait trouvé la moitié qu’il manquait à sa vie. Et quelle délicieuse moitié n’est-ce pas ?
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