ROWANN & KATHERINE ▬ Nouvelle... [-18 ans]

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COUTURIERE : « -Oh mademoiselle Von Ehlia, je suis heureuse de vous revoir. »

KATHERINE : « Ce n’est plus Von Ehlia très Chère... Mes parents sont morts, je suis désormais une fille Howlett. »

COUTURTIERE : « Ow comme ce magnifique jeune homme, professeur... Anthony je crois. »

COUTURIERE : « Oh par merlin, Mademoiselle Howlett vous êtes magnifique. J’en ai le souffle coupée, elle vous va à merveille !! »

KATHERINE : « -Rowann... »

Spoiler:

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Je ne fessais pas grand-chose ce jour là, un peu comme tout les jours. Ce n’était pas que je m’ennuyais, mon métier était très intéressant, et je dois quand même m’avouer que cela était devenu débordant. Que m’étais t’il arrivé que de devenir guérisseur ? Ce n’était pas trop mon genre de soigner les gens, de les aider. Mais, la médecine était un atout pour moi. Tout ce que je fessais n’était pas totalement désintéressé. Voir des personnes ensanglantée, ça ne me fessais rien, rien du tout même. Je fessais mon travail, comme tout le monde, sans réelle passion. Je profitais de ma journée de repos pour faire un tour à Prés au Lards, cette cité commerciale des sorciers, un endroit où l’on trouve de tout. Mais je ne pensais pas qu’on y verrait de si belles fleurs… En fais, je passais devant la vitrine d’une couturière au talent fou. Je n’avais jamais fait appel à cette femme là, mais j’en avais entendu parler et j’avais vu beaucoup de filles porter ces créations qui savaient rendre belle n’importe qu’elle fille. Mais la jeune femme que mes yeux bleus apercevaient aux travers de la vitrine n’était pas belle dans cette robe, mais tout simplement magnifique. Un noir comme de l’encre, souligner chacune des formes envoutantes de la jeune femme. Je ne sais pas pourquoi je pensais cela, c’était certes ma fiancée, mais tout de même. Est-ce qu’elle me plaisait tant que ça ?

Je la vis disparaitre, alors j’entrais dans la boutique pour en savoir d’avantage. Je me glisser entre les tringles couvertes de robes bustiers et d’autre fantaisies de ce genre. Je m’approchais d’elle, elle me tournait le dos, mais je la vis se retourner face à moi, elle semblait plutôt surprise de me voir. Et je me surpris également à sourire bêtement. C’était moi là ? Qui souriait comme un crétin ? Je l’entendis dire mon prénom, et je repris mes esprits, cessant de sourire comme ça, je voyais que ces joues étaient devenues rouges et je ne pus m’empêcher d’avoir un sourire en coin. Je la regardais de bas en haut, c’était encore mieux de prés, décidément, j’avais était chanceux de tomber sur une promise aussi ravissante… J’avais un ami qui avait eut beaucoup moins de chance et qui avait épousé une girafe, la demoiselle fessant 20 centimètre de plus que lui et qui n’était pas franchement gracieuse. Katherine, c’était vraiment un bout de femme plaisant.

-Salut…

J’avais bien envie de la complimenter, mais ce n’était pas mon genre, rien à faire les mots ne sortaient pas de ma bouche, j’aurai pu au moins lui dire qu’elle était belle, ou que cette robe lui allait franchement bien… Mais non. Impossible, les mots restaient dans ma gorge. Mais elle souriait, mes yeux semblaient vouloirs dire tout ce que les mots pourraient dire, c’était puérils ce que les mots pourraient exprimer. Je n’étais pas un grand romantique, et d’ailleurs, je ne montrais jamais ce que je ressentais, impassible. Pourtant, ce n’était pas pour cela que je ne ressentais rien. J’étais trop fort pour montrer une faille. La couturière, nous ayant aperçut partie un peu plus loin pour nous laisser tout les deux. Je la regardais et je lui disais d’un ton calme :

-Je suis, désolé pour tes parents.

J’aurai pu lui dire, que si elle voulait, j’étais là pour la soutenir, que je la comprenais que j’avais perdus les miens et mon tuteurs, que je pouvais partager sa peine. Mais tout ça, elle le savait déjà surement à l’avance. Et savais bien, que si elle voulait en parler, j’étais là. Si elle ne le souhaitait pas, je ne la forcerai pas à en parler, je n’avais jamais parlé de cet épisode de ma vie, et je savais qu’elle s’efforçait de montrer qu’elle s’en fichait, alors que c’était le contraire. Je le savais car j’avais vécu ce même passage, et je n’en étais toujours pas sorti.

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KATHERINE : « -Je… Pardon… Je n’aurai jamais dû… Je m’excuse, ce n’ai aucunement digne de moi… »

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Elle était vraiment belle, je ne la connaissais pas beaucoup mais je m'étais bien entendu avec son père, en fait malgré qu'il était mon ainé de 30ans, notre amitié était plutôt celle de deux amis, et c'était bien pour cela qu'il avait pensé à moi pour sa fille. Il me disait qu'il saurait sa fille en sécurité avec moi. Quand j'ai appris sa mort, je n'ai pas réagis. J'aurai pus avoir l'air triste, ou verser une petite larme pour mon ami, mais je n'extériorisai plus mes sentiments. A la mort de mes parents, j'ai appris à souffrir en silence. Je ne sais pas si c'est une bonne chose que de refouler ce que l'on ressent, mais aujourd'hui je ne montre aucune faiblesse. Je me disais désolé, pas vraiment pour ses parents, mais surtout pour elle, car je savais que la négation a la douleur que l'on ressent est un cercle vicieux. Je l'aurai bien prise dans mes bras pour la rassurée, mais je ne savais pas si c'était correct. Je savais qu'elle avait un tuteur, un professeur de Poudlard, je ne savais pas si je m'entendrais avec, j'avais entendu dire que Katherine c'était attachée à lui. Je fus pas mal étonné de la voir pleurer et se jeter dans mes bras, je la serrai contre moi, ne sachant trop comment réagir, je caressai doucement ses longs cheveux bruns et je tentai de la rassurée. Chose, peu évidente, personne ne m’avais jamais consolé de ma vie, en réalité, c’était plutôt moi qui avait refusé toute consolation, et je ne savais pas comment m’y prendre, et pouvais peu être me montrer maladroit. Elle recula soudainement, et je levai mes mains pour la libéré de mon étreinte alors qu’elle s’excuser de pleurer, elle les pleura déjà plus, elle avait honte de pleurer, il la comprenait, lui avait tué un hibou et avec à moitié étranglé un poufsouffle le jour où il apprit la mort de ses parents. J’avais réagis avec violence, elle réagissait comme une fille. J’écrasai du bout du doigt, une larme sur la joue de la belle Serpentard et je lui répondis dans un murmure pour que la couturière à l’affut du scoop de l’année n’entende pas :

- Tu peux pleurer autan que tu voudras; avec moi, tu ne perdras pas ta dignité.

Elle pouvait tout faire en ma présence, n’allons nous pas passer notre vie ensemble ? Elle pouvait se sentir en sécurité auprès de moi, elle pouvait me faire confiance. Je n’étais pas de ceux qui prennent leurs taches de conjoint à la légère. Je devrai à l’avenir, ne plus combattre pour moi seul, mais pour nous. Je devrais protéger ma femme, aux périls de ma vie, tout comme mon père l’a fait avant de tombé en premier. Surtout qu'avec la mort de ses parents l'annonce des fiançailles me revenaient de droit. Et je m'étais résolu à le lui dire. Je ne savais pas si j'étais près à lui dire qu'elle était mienne à son insu, et je ne souhaitais pas le lui dire à cet endroit, je me sentais observé par la couturière de la boutique.

- Tu veux qu’on aille prendre l’air?

Je le lui demandai avec un faible sourire, je la regardai dans sa robe de soirée. Les veinards les gars de poudlard pourrons la contemplé toute la durée du bal... Est-ce que j'étais jaloux? J'étais étonné de mon propre comportement. Sortir prendre l’air, c’était mon prétexte pour sortir de cette boutique où je me sentais espionné, je détester qu’on m’observe sans que je puisse voir l’individu, qui ne ferai que nier si jamais on l’attraper en flagrant délit. La belle Katherine avait séché ses larmes, et je voyais qu’elle avait bien compris pourquoi je voulais sortir. Elle devait se demander ce qu’un homme comme moi, pouvait s’intéresser à une jeune femme encore à Poudlard. Je n’étais pas indifférent à ses charmes et je ne la trouvais pas inintéressante. Ce n’était pas une petite demoiselle qui s’assoit sur les biens de ses parents, je voyais dans ses traits qu’elle avait souffert tout comme moi, et j’avais l’impression d’être proche d’elle d’une certaine manière.

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KATHERINE : « Faite moi la livrée pour demain je vous prie, au château. »

KATHERINE : « Merci... Pour tout à l’heure... Mon père n’aurait pas agis comme tu l’as fait... Ma mère si, mais lui... Enfin... Alors, que voulais-tu me parler ? Car tu ne voulais pas prendre l’air pour rien, si ? A moins que tu veuilles une excuse pour me prendre dans tes bras en prétextant que tu me protège du froid ? »

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Katherine fis demander d’envoyer la robe à Poudlard, je fus écœurer de voir cette couturière, à la limites de faire des courbettes devant nous pour obtenir nos faveurs… Je sortais dehors avec Katherine, il fessait vraiment très froid, elle me remercia pour mon comportement dans la boutique et je me contente de lui sourire, et mon sourire s’agrandissait lors de sa petite plaisanterie. Je pris doucement sa main douce dans la mienne, et je lui répondais calmement tout sourire :

-Il n’y a pas de quoi. Tu peux toujours compter sur moi tu le sais.

Je devais le lui dire, maintenant. J’y avais pensé toute les nuits, et j’avais attrapé des insomnies. Je devais prendre mon temps et mon calme surtout, ce n’était pas tout les jours qu’on demander à une jeune femme d’être sa femme. Je la fis marcher un peu et nous nous arrêtions devant une fontaine, qui d’habitude est magnifique, mais avec ce temps, ce n’était que des glaçons. Je savais que rester dehors c’était courir de risque d’être malade mais au moins, il n’y avait personne dans les rues pour nous déranger, pendant se moment important. Les flocons nous tomber dessus et je passais ma mains dans ses cheveux pour retirer la neige tombée dessus, mais c’était inutile car d’autre prirent la place. Je la fixais dans ses magnifiques yeux et je lui dis tout bas

-J’ai… Quelque chose d’important à te dire… Tu as le droit de refuser… Euh…

Je me giflais mentalement, j’étais pire que maladroit. Elle devait se demander ce qu’il m’arrivait, mes doigts étaient devenus violer et serraient quelque chose dans ma poche, je lui adressai un autre sourire, je secouais ma tête pour faire tomber la neige et je la vis sourire, je serrai doucement sa main encore plus froide que la mienne. Je devais prendre mon courage à deux mains, je n’avais pas peur d’être repoussé, je m’en remettrai avec une ou deux cuites, mais c’était difficile pour moi d’exprimer ces mots.

-Veux-tu être ma femme Katherine Rose Howlett ?

Ma voix était un peu tremblante, je ne métrisais pas très bien la situation, et c’était assez déstabilisant. Je ne me mi spas à genoux face à elle, j’aurai pu lui expliquer que son père m’avait accordé sa main, mais j’avais souhaité, que se soit moi qui lui demande sa main. Je la regardait avec un faible sourire, j’étais un peu fébrile, je me sentais libéré de cette demande, qui pour moi était devenue une obsession.

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KATHERINE « Ro… Rowann… Est-tu sérieux… Je veux dire… on ta obliger ? Mon père… Mon père ta obliger ou tu viens de ton plain gré ? »

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Je crus qu’elle allait s’évanouir, en même temps il fallait comprendre, un type, c'est-à-dire moi, demande une jeune fille de Serpentard de l’épouser après l’avoir rencontré si peu de fois… Et ces dires confirmaient sa surprise que je soupçonnais. C’était une jeune femme intelligente je le savais et elle me le prouva en fessant immédiatement le lien avec son père, je jurai que s’il ne fessait pas si froid, j’aurai rougis, mais là j’étais pâle tellement j’avais froid. Tout cela me mettait mal à l’aise, je me disais que peu être que si je m’étais mis à genoux comme par convention, elle aurait peu être pris d’avantage cette demande au sérieux. Elle ne me prenait pas au sérieux voila tout. C’était une situation assez embarrassante pour moi. Je lui adressai toujours un faible sourire et je lui répondais d’un ton calme

-Ton père? ... Oui… Il est venu me voir… Mais. Il ne m’a pas obligé. J’ai voulu.

Je sentais que je m’enfonçais de plus en plus, je ne m’étais pas sentit la force de lui mentir en lui disant que c’était mon idée. Mon idée à moi ça serai d’attendre. Pas d’y aller tête baissée, mais on m’avait proposé. Il était mort aujourd’hui, je ne voyais pas ça comme obligation. Cela l’aurai été si j’avais à faire à une espèce d’écervelée. Mais Katherine c’était plus que ça. Je voulais bien qu’elle refuse c’était insensé. Je savais que je risquais peut-être de me la mettre à dos. Et je m’en voudrais toujours d’être si maladroit en sentiments mais bon, une demande en mariage, c’était quelque chose d’assez délicat et j’étais un peu trop brutal comme mec pour ce genre de demande. J’ajoutai en serrant ses mains dans les miennes

-Katherine. Il ne m’a pas obligé. J’ai voulu. J’aurai pu refuser. D’accord ?

Je me risquai à poser ma main sur sa joue, c’était la première fois que je touchais plus que ces mains, avant, j’étais tout sauf un gars timide, j’étais plutôt du genre à foncer dans le tas quitte à tout perdre. Mais là, tout était différents, c’était la femme avec qui j’allais vivre jusqu'à la fin, si elle acceptait…

-Je sais que ça te parait étrange. On est jeune, la vie devant nous, les envies à portée de main. Le pas est de dire adieu à tout ça et de s’offrir vraiment à quelqu’un. Et j’ai fais mon choix…

Je voulais savoir son choix. Si elle voulait plus de temps je le lui accorderai. J’attendrais sa réponse, positive ou négative, aussi longtemps qu’elle le voudra. Je glissais ma main dans sa nuque avec l’irrésistible envie de capturer ses lèvres…

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KATHERINE « D’accord… Je te crois Rowann, je te crois… »

KATHERINE « Alors… Tu à mon choix aussi… »

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Je sentis ses lèvres sur les miennes, je fermais mes yeux pour profiter de ce moment, mon cœur avait fait un sacré bon dans mon torse. Elle le voulait, elle me voulait. Alors ma vie était désormais liée à la sienne. Je ne fessais plus cavalier seul. Quand nos lèvres se détachèrent j’ouvris mes yeux et elle m’annonça que j’avais son choix à présent. Je lui adressai un immense sourire, un peu le même que lorsque j’étais entré dans la boutique tout à l’heure, je ne pouvais pas m’empêcher de sourire. Je poser mon autre main sur sa taille finement dessiné et je l’embrasser encore à pleine bouche. Nos langues parties dans une valse endiablée, depuis le temps que je souhaitais l’embrasser… Les flocons tombaient sur nos, et bientôt j’allais mourir de froid mais j’avais à nouveau chaud dans ses bras. Je lui adressai un sourire après avoir rompu notre baisé.

- Tu ne regretteras pas ton choix, je te le promet.

Je comptait vraiment être un bon mari et un bon amant, ne pas la decevoir, c'était quelque chose que je prennais vraiment au sérieu. Je lâchais sa nuque toujours en lui souriant, je plongeai ma main dans ma poche droite et je sortis un écrin refermant une bague que j’avais choisi pour elle. C’était un modeste anneau en argent avec un véritable diamant blanc. Avant tout je déposai un baisé sur sa joue gauche et je lui disais

-Acceptes cette bague ma princesse. Acceptes d’être mienne.

Je lâchai sa taille et je la fixais de mes yeux bleus dans un silence d’hiver. Ce n’était pas très banal comme demande, un lieu assez particulier, mais nous étions seuls, c’était ce qu’il comptait pour moi. J’avais voulu qu’on se retrouve seul, car je ne souhaiter jamais grand-chose de publique. Je la voyais me sourire encore, était-elle heureuse ? J’espérai la rendre heureuse au fil du temps.

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KATHERINE « ôh mon dieu, elle est magnifique… Rowann… Je… Oui… »

KATHERINE « Je suis heureuse… Je dois avoué que… que… J’ai eu un faible pour toi… »

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Elle ouvrit l'écrin et je vis comme des étoiles dans ses yeux bruns. Elle avait les joues rougies et elle s'approchait de moi. Je ne l'avais jamais vu si souriante, je prit l'anneau entre mes doigts et je le glissais a son annulaire droit. Ça me faisait vraiment étrange de passer la bague au doigt d'une jeune femme aussi charmante. Je continuai de lui sourire. Je ne pouvais plus m'en empêcher. Elle m'avoua que je lui plaisais. Je ne pu m'empêcher de sourire amusé, je caressai doucement sa joue en refermant sa main douce sur l'écrin qui fut clos dans un bruit sec. Je voyais bien qu'elle avait froid mais elle faisait comme si rien pour moi, c'était une fille très forte. Je la protègerai comme mon père avait protégé sa femme jusqu'à la mort. Je lui répondis tout bas

- Tu ne m'as pas laissé indifférent tu sais.

Je souris amusé, car même si on se plaisait, un mariage était précipité. J'avais bien l'intention de profiter de cette journée pour mieux la connaitre. Je la prenais dans mes bras je sentais qu'elle avait froid, bien plus froid que moi, je lui murmurai après l'avoir embrassé sur le coin des lèvres.

-Tu veux aller quelque part en particulier?

Je lui adressai un sourire et je fis tomber la neige des cheveux longs de ma fiancée. J'ignorai où elle voudrait aller, si elle était à près au lard c'était surement qu'elle avait des choses à faire peu être à moins que la robe fus la seule préoccupation de sa venue. En tout cas nous n'allions pas rester dehors par un temps pareil. Mes yeux se posèrent sur la cabane hurlante, je repensais aux heures passé là-bas.

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KATHERINE : « Et si on aller ou-tu veux ? »

KATHERINE : « Je… Rowann je … je t’aime… »

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J'emmenai alors Katherine, une modeste maison que j'avais acquéris après avoir vendu le manoir de mes parents et celui de mon tuteur que j'avais eu en héritage. Je ne voulais pas y habiter, trop de souvenir m'y hanté. J'étais jeune et riche. Et pourtant je n'avais acheté que cette petite maison. Grâce a cet argent, j'ai pu payer la bague de ma bien aimée, et je juré dépensé cet argent pour notre union. Je travailler à en crevé, malgré tout cet argent, la raison était simple. Je ne pouvais pas rester sans rien faire.

Je laissé Katherine parcourir les lieux du regard. Puis j'eu une sueur froide lorsqu'elle m'annonça qu'elle m'aimait. Je la fixai de mes yeux bleus tout en lui rendant le doux sourire qu'elle m’offrait, puis je bafouillai.

-Je... J... Je...

Je tremblai légèrement des mains, dire 'je t'aime' c'était dur. Voila maintenant 8ans que je n'avais dis ces trois mots à personne. Il me fallait tout apprendre. J’étais peu être fort au combat, fort dans la manipulation mais faible, très faible dans les sentiments. Est-ce que je pourrai apprendre? Je la regardai, elle était mienne et m'apprendre ce que c'était une vie, de couple. J'avais pris la salle habitude de jouer avec les femmes, seule Katherine pouvait me faire changer. Si elle en aura l'amour et la patience. Et j'étais prêt à faire les efforts nécessaires. Et je commençai maintenant.

-Je t'aime.

Mon sourire était devenu immense. J'avais réussis! J'avais réussis à ouvrir mon cœur, à mettre des mots sur ce que je ressens, et j'étais définitivement heureux. Je pris le doux visage de ma Katherine entre mes mains et je capturai ses lèvres entremêlant nos langues. Je la prenais par la taille et je la collai contre moi, pressant sa poitrine contre mon torse. Nos langues restaient liées et je fis reculer la jeune femme pour l'allonger sur le canapé. Je glissai mes mains vers sa poitrine en détachant nos lèvres, je la regardai, les cheveux en soleil, je lui souriais encore. Je ne voulais pas qu'elle se sente forcée ou ni même la brusquer, mais sur le regard de braise qu'elle lançait je compris qu'elle était plus que consentante. Je l'embrassai à nouveau, mes mains baladeuse sous son chandail atteignaient sa poitrine que je touchais avec une douceur infinie qui m'était rare.

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KATHERINE : « Pa..pardon… C’est la… la première fois… Rowann… Montre-moi…»

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Je sentais ses mains douces sur mon torse, une sensation que j’aimais, mais c’était différent avec Katherine, je lui avais dis des 3 mots les plus durs à dire pour moi, les gens le disaient avec une simplicité étonnante, mais je n’en été pas capable. Et voila que je l’avais dit, je pense que je n’aurai pas pu le dire si elle ne me l’avait pas dit avant et qu’elle ne m’avait pas adressé ce fabuleux sourire. Je perdais mes yeux bleus dans les siens si sombre, elle dégageait un charme particulier, soudain elle s’excusa en me disant qu’elle n’avait jamais fais cela. Où avais-je la tête ? Je m’étais laissé guider par mes pulsions… C’était assez gênant, mais je m’y fessais rapidement. J’imaginai que si moi aussi j’avais été purs, ma vie aurai été différente, je me comporterai différemment avec les femmes, mais la perte de la notion d’amour m’avais fait perdre toute notion d’estime de moi, et j’avais plus ou moins vécu comme un débauché, c’était un peu le mot exact et j’espérai dire adieu à tout ça. Après tout, je devais me marier avec elle, et que serai un mariage si cela sombrai dans la débauche. Je tenais entre les mains, quelque chose de véritable, et même si mon cœur était plutôt fermé à l’amour, et que recevoir c’était assez difficile, je ferai tout le nécessaire pour que tout marche, que pour une fois de plus, je ne perde pas ceux que j’aime, la perdre parce que je suis déraisonnable, je ne le souhaiter pas, je jurai que si je la perdais ça ne serai pas de ma faute.

-Viens….

Je pris ses petite mais douces dans les mienne, je retirai mon chandail et je posais ses mains sur mon torse, et je fessais glisser ses mains vers le bas de mon torse avec un léger sourire sur mes lèvres, je lâchais ses mains et je retirer avec douceur le chandail de la jeune femme, puis je la recoiffé car cela lui avait fait les cheveux électrique, mais elle était toujours aussi belle à mes yeux. Je l'embrassai sur ses lèvres, en posant mes mains sur sa poitrine. Si j'aurai su, je serai resté pur jusqu'à ce que je la rencontre...

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KATHERINE : « Je… Pardon si je t’ai fait mal. »

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Je sentais ses mains dans mon entre jambe, et je frissonnais, je trouver qu’elle apprenait vachement vite. Mes mains posées sur sa poitrine à présent nue sous mes doigts, je mourais de désir pour elle, et si je m’écoutais je lui sauterai littéralement dessus comme un mal propre. Elle retira sa main en s’excusant si elle m’avait fais mal, je souris amusé par Katherine, elle m’attendrissait vraiment. Je l’embrassais sur ses lèvres avant de lui répondre.

-Au contraire…

Je ne me souvenais pas de la première fois que je l’avais fait, mais j’avais été très maladroit cela en était sur. Je lui souris de toutes mes dents et je l’embrassai avec fougue, mes mains quittant ses seins ronds vers sa taille puis ses hanches… Je quittais ses lèvres pour son cou, je me découvrais une douceur avec elle, je sentais son pouls dans son cou sous mes lèvres, son cœur battait fort, envouté de sensations nouvelles, je dois avouer que je me sentais bien dans ses bras, coupé de tout les tourments qui m’emprisonnais. Ma langue sur sa peau blanche, seul dieu pouvait savoir à quel point tout changeait dans mon cœur. Je devenais doux et je lui déclarai ma flamme, est-ce que ma fiancée, allait faire de moi un homme pour de bon ? Me ferait ‘elle retrouver la raison ? Il fallait déjà qu’elle ai la patience de m’ouvrir à elle.

Je glissais mes doigts à l’intérieur de son jeans, je sentais à nouveau ses mains me caresser, elle me fessait tout oublier, je n’avais jamais encore ressentis cette impression d’être coupé du monde avec une femme…

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KATHERINE : « Je … Pardon, c’est tout nouveau pour moi… »

KATHERINE : « Rowann… Je t’aime… Je… Montre-moi se qu’ai l’amour… »

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J’entendis Katherine pousser un petit soupire aigue de plaisir, je souriais amusé quand elle bafouilla des excuses, elle était vraiment incroyable. Je la connaissais à peine, mais je me sentais rattaché à elle, elle savait ce que c’était de perdre ceux qu’on aime, elle me comprenait et je la comprenais. Est-il raisonnable de faire des sentiments alors que les temps sont obscurs et nos vies sont en périls ? Elle détachait mon jeans puis retirait le sien, je l’aidai à se dévêtir en caressant sa peau avec douceur, elle me disait à nouveau qu’elle m’aimait et me demander de lui montrer ce qu’était l’amour, je lui adressai un immense sourire et je lui répondis avec toujours cette difficultés à dire ‘je t’aime’

-Je… Oui. Moi aussi…

Je sentais que j’avais rougis, ce que je pouvais être maladroit avec tout cela. Je posais mes mains sur ses cuisses et je l’allongeai à nouveau me plaçant au dessus de son corps qui m’avait mis dans tout mes états, je l’embrassai langoureusement en me penchant sur elle, sentant ses seins effleurer mon torse j’ajouter ensuite

-Je le ferai avec mon cœur Katherine.

Je lui adressai un sourire puis je caressais doucement ses cuisses puis je retirais son dernier vêtement ; je caressais doucement sa peau et je la voyais tressaillir et je la vis sourire, elle comprenait pourquoi j’avais tressaillit auparavant et que ça ne fessait pas mal du tout, au contraire comme j’avais dis.

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KATHERINE : « Rowann… Prend-moi… Comme si je n’étais qu’une femme parmi tant d’autre »

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Je souris à sa phrase, elle rougissait, j’imaginai bien qu’elle n’avait jamais prononcé de tels morts, et j’étais vraiment amusé, et surtout je la désirais, je la voulais plus que tout, je savais que j’avais fais le bon choix, en acceptant de l’épouser, elle. Son père m’avait dit que c’était une jeune femme très bien. Je lui adressai un doux sourire, elle caressait ma joue et je vis ses yeux pétiller de bonheur. Je lui répondis d’une voix douce

-Pour moi, tu seras toujours plus que les autres, Katherine.

Je l’embrassai encore, et je posai mes deux mains sur ses hanches fines, je m’introduisais en elle, c’étaient un geste doux et délicats, je voulais lui faire cela sans douleur, même si l’espoir était peu être maigre, je l’ignorai je n’étais pas une femme. Je sentais de petits ongles se planter dans ma peau, et je lui adressai une sourire, la douleur physique ne comptait pas dans de moment pareil. Ce ne fut pas long, mais un pareil plaisir, ne se trouve qu’auprès d’une femme aussi belle. Le premier pas été fait, et je répété ce geste plus rapidement, j’avais chaud, je sentais quelque gouttes de sueurs perler sur mon front. Je me laissais porter par le délice des plaisirs à deux, et je poussais quelque soupirs qui s’échapper de ma gorge après avoir parcouru tout mon corps d’une sensation divine.

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Elle poussait des gémissements encourageants, je me sentais bruler d'une passion dévorante, je voyais sa poitrine bouger à chaque coups porté, je poussai un long soupir de bien être. Je la tenais toujours par les hanches, je ne fessai qu'un avec elle, une fusion parfaite de nos corps possédés par le désir. Je continuai de plus en plus vite, le plaisir atteignait des sommets, je la regardai avec amour, du pur amour comme jamais je n'avais regardé une femme. Mon plaisir physique accroissait de plus en plus, je poussai un léger grognement de plaisir, je sentais ce liquide chaud s'écouler en elle. Je la dévorai des yeux. Elle faisait péter mon cœur de bonheur, elle m'épouserait, elle m'aimait, et elle s'offrait à moi. Je voulais lui rendre le bonheur qu'elle me donnait, comme je n'avais jamais reçu. Je l'aimais.

Oui, c’était sur, je l’aimais à tout laisser tomber. Cette femme dans mes bras, était la futur mienne, et je jurai que je ne prendrais plus aucune autre femme, se serai futile, je l’aimais, je ressentais quelque dans mon torse, des sentiments, de véritables sentiments. Je regardais les perles de sueur sur son visage et je sentais mon torse glissé sur elle humidifié de transpiration, elle haletait et ensemble, dans nos émois coupé du monde, je m’y sentais bien.

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KATHERINE: "Tu va bien?"

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