La vie, un jeu futile... [Katherine; Embry & Rowann]

Il était 21h50, mon cœur fit un bond quand je me rendais compte de l'heure. Katherine... Comment j’avais pu me laisser aller à ce point, sa vie était en danger ! Je devais agir, personne ne prendra la vie de celle qui aime, ce type un peux autiste que j’étais avait ouvert son cœur à l’amour et il n’était pas près d’y renoncer. Mon être tout entier tremblait d'émotions auxquels je ne trouvais pas leur nom. Une douleur à l'abdomen me tiraillé... Je ne m'étais jusque là, pas sentis en danger, le contrôle de la situation m'apaisait, et se retard me mettait mal à l'aise, j'espérai qu'Embry n'allait pas me lâcher... Si elle fessait ça, je le lui ferais payer c’était clair. Mais j’avais confiance, et je devais y aller quelque soit le prix de mes actes, il était trop tard pour renoncer… N’aie pas peur Katherine… Je serai toujours là pour te protéger… Je transplanai à la lisère inverse du château et je l'aperçus. La blondinette, soulagée de me voir, comme si elle avait craint un piège de ma part durant les 20 minutes de mon retard, il fallait dire que j’étais également soulagé de l’apercevoir également, il était tard, il fallait ce dépêché. Je n'avais pas le temps de lui expliquer que ma journée avait été un désastre, que je n'avais pas mangé à midi car à hôpital il y avait eut une invasion de blessés. Une fois rentré chez moi je m'étais assoupi et ça se voyait, avec mes cheveux en bataille sur la tête, la chemise à moitié déboutonnée, mais je n'avais pas le temps de me faire d'avantage présentable. Je pris le bras de la jeune femme et je transplanai sur l'autre lisère avec Embry après lui avoir donné une enveloppe et lui dire :

- Emmènes là vite… Et donne-lui ça pour la calmer… Protège là je te pris…


Flash Back :
Je me plaçais sur la table de la cuisine, un parchemin étalé sur la table, mes yeux bleus fixait l’encrier d’un regard vide… La plume entre les doigts je relisais les mots que j’avais écris…

*Katherine,
Ce soir, plus que jamais je te donne mon âme.
N’aie pas peur, je n’aie jamais eus peur de partir.
Assures-toi, je reviendrais. Je ne te céderai pas.
N’aie pas peur, je reviendrais te consoler, je
Reviendrais t’épouser, et faire de toi la princesse
De toute mon existence, je reviendrais voler tes
Douleurs et tes cauchemars…
A tout de suite.*

Je n’avais jamais été très doué pour les discourt encore moins les discourt sentimentaux… Je fixais ma plume et j’ajouter à la suite de ses mots d’une main tremblante

*Je t’aime.

--

Nous arrivions au point de rendez vous dans un crac sonore et j’abandonnai la jeune femme devant un arbre et j’aperçu Katherine, qui semblait attendre depuis un moment, je la connaissais pas encore assez, mais je savais qu’elle serait venue à l’avance au rendez vous et je ne m’étais pas trompé. Je n’ai jamais su pourquoi, moi qui était toujours en retard et elle toujours à l’avance très ponctuelle. Qu’est-ce qu’elle était belle, si l’heure n’était pas si grave je me tenterai de lui lancer un ou deux compliments. Je la vis sourire en me voyant arrivé, je me demandais d’un coup à quoi je pouvais bien ressembler avec mes cheveux ébouriffé et ma chemise ouverte et toute débrailler, mais je vis son sourire disparaitre en voyant l’inquiétude sur mon visage, une chose assez rare, je m’approcher d’elle au pas de course et je pris ses mains dans les miennes et je jetai un regard circulaire autour de moi et je lui disais d’un ton qui se voulait calme

-Katherine, sauve-toi vite… Tu n’es pas…

Je n’eus pas le temps de finir ma phrase alors que tu doigt je lui montrer Embry prés de l’arbre, je l’avais chargé de protéger ma belle. Je voyais que Katherine n’était pas spécialement d’avis à me laisser tout seul, sans oublier que dans sa tête, à la basse on avait rencart tout les deux, mais cela tourné un peu comme dans un des films moldu… Je tenais la main de Katherine et je lui lançai un regard sombre, qui traduisait ‘Obéis Katherine et vas t-en tout de suite… » Mais il y eut un crac et apparut devant nous le fameux mangemort… Isaac Spark. La face sombre, un large sourire aux lèvres, apparemment étonné de me voir à l’heure du rendez vous, mais cela ne lui fit pas d’avantage peur. Comme s’il c’était déjà préparer à cette éventualité, mais il devait pourtant bien savoir que face à moi, il ne tiendrait pas la minute… Je pris Katherine par la taille et la plaçai derrière mon dos, et je sortais ma baguette quand soudain l’homme me prit de cours, probablement la peur de ne pas agir pour ma propre vie qui m’avait déconcentré… C’était bien la première fois que je livrai un combat en me fichant de ma propre survie…

« Experlliarmus ! Rowann, Rowann… Tu es tout aussi insignifiant que ceux qui ont tué ton père ! Avada Kedavra ! »

J’avais été projeté dans les airs, mon corps effectua un léger tour sur lui même mais je n’avais pas lâché ma baguette, sans songer à me protéger de la chute, j’atterris dans un buisson d’épines qui transperça ma peau en plusieurs point mais la douleur était insignifiante à mes yeux, j’avais déjà eut pire, et il fallait avouer que ce n’était pas mon état physique qui compter vraiment pour moi à cet instant même, avec ce sort j’avais laisser Katherine à découvert qui pointé sa baguette, folie pure et simple… Bien que ce mangemort ne soit pas un des meilleurs, il surpassait tout de même une élève de 16 ans… Katherine ne fait pas l’imbécile ! Je vis Embry la mine inquiété d’un renversement de situation, et je vis Isaac lancer le sortilège de la mort sur Katherine, probablement une réaction soudaine de la voir pointer sa baguette sur lui et sans réfléchir d’avantage je hurlais à mon tour à en perdre haleine :

-Expélliarmus!!

J’envoyais Katherine dans les airs avec ce sort ; elle n’eut ^probablement pas eut le temps de se rendre compte que c’était seulement mon sort qui l’avait touché… Elle ne criait même pas, probablement se croyant toucher par l’Avada, dont le faisceau vert émergeant de la baguette du mangemort éclata sur un arbre qui sous le choc bascula en arrière, le vieux chêne s’écroula… J’étais vert de rage, je me relevais et je n’entendis même pas le choc du corps de Katherine contre celui d’Embry, j’avais déployé tellement de puissance, que je leur avais probablement fait du mal, mais je n’avais pas voulu leur faire de mal au contraire, mais la colère avait fait que je n’avais pas du tout dosé ma force... Le sang qui coulait dans mon cerveau bourdonnait dans mes oreilles, toute la haine que je portais au monde entier, était porté à présent sur lui, c’était lui, qui allait devoir payer ! Mangemort ou pas mangemort, ma survie, sa vie à elle, je trahirais n’importe qui pour qu’elle vive. Je tuerai n’importe qui pour elle, et je sacrifierai mon existence pour la sienne. Aucun mot ne calmera ma colère, et je m’approchai dangereusement de l’homme, je vis dans ses yeux de la peur, et il avait raison d’avoir peur… Je ne fixais en m’approchant de lui, je le vis reculer d’un pas, il avait pensé m’affaiblir en tuant Katherine, probablement aurait-il réussis son coup, il aurait pu m’abattre dans ma douleur, il était bien plus intelligent que je le pensais… Je criais à l’égard d’Embry

-Emmène-la! Tout de suite!

Les craintes d’Embry avaient été fondées, mais c’était mon affaire, et je refusais qu’elle s’y mêle, qu’elle l’emmène, qu’elle aille au bout du pacte ! Qu’elle protège Katherine comme convenu. Qu’elle n’oubliait pas, que peut-être ce soir, elle sera la nouvelle tutrice de Katherine, qu’elle devra l’enlever et la cacher jusqu'à sa majorité et plus si elle le souhaite… Oui, elle deviendrait mangemort si je mourrai ce soir, je le lui laisserai pas le choix, mais au moins, elle sera en vie. Mais je ne songeais pas à cela pour le moment, et d’ailleurs si je m’en sortais, je songeai bien à garder quelque temps Katherine auprès de moi. Même si je devais m’attirer les foudres de son tuteur, je préférai la savoir avec moi plutôt qu’avec quelqu’un, qui serai si mal renseigné…

J'étais devant la porte de mon petit appartement, la main posée sur la poignée. Le doute m'interdisait de faire un pas de plus. Et si tout ceci n'était qu'un traquenard ? Je regardai ma montre. Plus qu'une heure avant le rendez-vous fatidique. Je soufflai un bon coup et ouvrait la porte à la volée. Si Rowann m'avait tournée en bourrique, j'étais bien décidée à le lui faire payer. Même si je ne savais pas où il habitait, j'irais jusqu'au bout, quoi qu'il arrive !
Je marchai jusqu'à la forêt, non sans avoir jeté un regard haineux à Poudlard qui dressait d'un air hautain ses horribles tours. Rowann n'était pas là et je faisais les cents pas. Plus que vingt minutes. Il n'allait pas venir. Je n'étais qu'une pauvre naïve, c'était désespérant. Soudain, une grand crac me fit sursauter et je vis Rowann apparaître les cheveux en bataille et la chemise quasi défaite... Sur le coup, je me dit que le combat avait déjà eu lieu. Mais ce n'était pas le cas, surement une dure journée de boulot...
Il me donna une enveloppe déstinée à sa fiancée. Pour une fois, l'envie de la lire ne me démangea pas. Nous transplanâmes de l'autre côté de la forêt interdite.
Katherine attendait là. Elle était assez jolie, je le reconnaissais et vue sa tenue, elle devait plutôt s'attendre à un rendez-vous galant qu'à un combat pour sa survie ! Elle me lança un regard noir ce que je comprenais tout à fait. Mais désolée, je n'allais pas me laisser faire par une gamine de 17 ans !
Un grand crac précéda l'arrivée du mangemort. Isaac Spark... Je ne l'avais rencontré que très peu de fois mais je ne l'aimais guère. De toute façon, au sein des mangemorts, je ne me faisais pas de grands amis...
Rowann mit la jeune fille dérrière lui et par réflèxe, je sortais ma baguette. Un expelliarmus projeta Rowann dans les airs, laissant katherine à découvert. J'aurais pu lui venir en aide mais le moindre mouvement de ma part m'aurait fait de suite descendre aux enfers...
Rowann lança un expelliarmus sur la jeune femme juste au moment où Isaac fit jaillir de sa baguette le plus puissant des sortilèges impardonnables qui alla s'écraser sur le tronc d'un arbre. Tout ceci se passa très vite. J'eus à peine le temps de cligner des yeux que Katherine s'écrasa contre moi, m'envoyant son bras droit en plein visage et me projetant violemment contre le chêne. Cela eut pour effet de me mettre complètement chaos et je ne pus répondre au petit "pardon" qu'elle me lança. Elle non plus ne devait pas être dans un état formidable mais elle eut quand même la force de se jeter sur Isaac. Je l'attrapai juste à temps, me servant de mon peu de lucidité pour la maintenir fermement tandais qu'elle de débattait.

« -On dirait sa mère quand elle hurle comme sa, dit moi Katherine, tu te souviens le jour ou on t’a annoncé la mort de ta mère ? Moi je t’annonce autre chose, elle était encore vivant quand ton père est mort mais cette petite garce ne mérité pas de vivre ! »

Cette phrase eut pour effet de la calmer, j'en profitai pour resserer ma prise du mieux que je pouvais.

« -Je vais… je vais… »

« -Pardon ? Je n’entends pas. »

« -JE VAIS TE TUER !!!! »

Elle se débattit plus violemment et, vue le peu de force qu'il me restait, je sentis que j'allais très vite lâcher. Alors, pour surmonter ses hurlements, je lui criai dans l'oreille, quitte à la rendre sourde :

"Katherine ! écoute moi ! c'est un piège ! viens avec moi, tout de suite !"

Mais comme elle s'obstinnait et que je ne pouvais demander l'aide de Rowann, occupé à combattre le mangemort, je lui soufflais d'un ton implorant :

"Pour Rowann..."

Je regardais la situation d’un œil vif, de quel coté était ce type ? J’avais un sérieux doute, un agent double ? Cela était probable, cela expliquerait bien des choses, comment se résoudre à croire qu’un mangemort depuis quinze ans puisse n’être qu’un sale traitre ? Je vis Katherine tomber sur son arrière train et Embry l’étreindre en lui murmurant quelque chose, et tout en ayant observé la scène d’un œil vigilant, je m’étais relevais et approchais dans le dos de cet imbécile, crétin même, tourner le dos à la personne la plus dangereuse pour soit, c’était d’une inconscience grave, j’aurai pu le tuer ici, lui briser la nuque, lui lancer un sort sans qu’il me voit, mais je n’étais pas un lâche et je comptais bien lui faire payer ce qu’il disait et ce qu’il faisait, je n’étais pas du genre à faire des cadeaux et une mort propre et rapide c’était bien trop pour lui, je tapais sur son épaule, et il se retourna vivement vers moi et je lui présentais mon poing déjà levé en pleine face lui brisant chaque osselets de son nez. Il porta ses mains directement à son visage, je le fixais d’un regard méprisant, puis je portais mes yeux bleus vers les deux jeunes femmes, est-ce que Katherine allait se laisser faire ? Suivrait-elle ma volonté de la protéger, j’étais peut-être un peu trop protecteur… C’était une femme forte, bien plus qu’étonnante bien que trop fragile dans son âme… Je regardais Isaac reprendre ses esprits le visage en sang… Pourquoi étions nous arrivé là ? Entre confrère, on ne peut décidément faire confiance à personne… On ne peut même plus se fier à nos semblables… Il n’y a que ceux que l’ont connais auxquels ont pouvait faire confiance… Et encore… On été parfois bien déçu… C’était digne d’un lâche de s’en prendre à Katherine, mais c’était bien joué tout de même, car même si c’était lâche, cela avait été un excellent stratagème pour une victoire assurée… Je regardais mon ennemis et je pointé ma baguette droit sur lui, je ne le lâchais pas des yeux, il me fit une petite remarque du fait que je mes yeux bleus, étaient bien celui de ma mère qui avait été une femme vraiment très séduisante, décidément il n’avait que ses arguments là, ma mère avait toujours méprisé la famille de cet homme, et je souriais en me souvenant de ma mère qui rentrait le soir en vociférant que ces Spark n’était qu’une bande de singes. Je me tirai des pensées qui me torturé de la sorte et je me laissais absorbé par ma colère, cet homme allait mourir ce soir, j’avais encore des choses à vivre, la flamme de la vie était à nouveau allumée. Katherine, ton destin et le mien étroitement liées. Embry, tous posent sur tes épaules… Je sentais la haine me parcourir de frisson et d’une voix forte de lançais :

-La ferme espèce de moins que rien !
-Tu frappes comme un moldu… Les femmes ça rend faible tu sais...
-La seule personne faible ici, c’est toi.

Il fronçât les sourcils, son visage brisé, je lisais en lui une peine sans fins, et il se troubla quelque instants, comme s’il pensait à quelque chose de grave dans sa vie, je le regardais de mes yeux bleus vides de toute compassion, puis je les portais en toute précaution vers Les deux femmes, qui étaient encore là ? Je ne fus pas vraiment étonné, Katherine était d’un tempérament de feu, têtue, et qui n’abandonné pas aussi facilement, je ne l’avais jamais considéré comme une fille qui n’hésiterai pas à se cacher derrière quelqu’un pour se protéger, j’avais parfois l’impression, que c’était moi qu’elle protégeait… Mais je songeai que c’était la haine qui l’empêcher de partir, je la regardais quelque dixième de seconde, il fallait qu’Embry l’emmène de force et l’enferme dans la pièce secrète, il fallait qu’elle le fasse car dans sa colère noire, Katherine perdrait tout ses moyens, je voyais en elle un flot de sentiments, des sentiments que je lui enviais, elle si belle, si sensible. J’avais l’air si impassible à ses côtés, je me demandais ce qui faisait que deux être décident de s’aimer, et j’avais embarqué la jeune Embry dans des histoires qui la dépassé, j’avais confiance en elle, peut-être un peu trop, mais je ne la croyais pas capable d’une trahison, j’avais vu en son cœur, une fidélité qu’elle devait tenir de famille et si elle m’avait dit qu’elle viendrait, qu’elle serait à mes cotés, elle le sera. Je jetai un regard à Isaac qui menaçait les jeunes femmes de la baguette à présent ne se sentant pas de taille à m’affronter, je lui flanquais mon poing dans le ventre au point que celui-ci recracha du sang, je ne regardais même plus Katherine et Embry, je disais d’une voix calme à Katherine pour qu’elle daigne de partir, ou du moins de ne pas casser la figure d’Embry pour l’avoir emmené loin d’ici.

-Katherine… Je refuse que tu te salisses les mains pour un fumier pareil ! Pars maintenant. N’aie pas peur…

Comment ne pas avoir peur ? La peur était partout, la mort, la tristesse, mai sil ne fallait pas avoir peur de subir la tristesse ou la mort, c’était ça, la vie. Je m’étais fait à l’idée des mes 11 ans, et je le vivais bien… Mon devoir, était de protéger cette femme du pétrin dans lequel je l’avais moi-même fourré. Quelqu’un allait mourir ce soir, je refusais que ce soit Katherine… Aussi incompétent qu’il soit, cet homme, contrôler les sortilèges impardonnables, il était bien plus fort qu’elle…

Katherine été têtue, vraiment trop têtue, et je ne pouvais vraiment lutter contre cela, je regardais la femme qui avait volé mon cœur perdre son sang froid et torturer cet imbécile, je l’observais sans rien dire, je ne regardais même plus cet homme se tortiller de douleur en criant faiblement, je fixais Katherine, rageuse, je n’avais jamais vu cette jeune femme en colère à se point… Il avait tué sa mère… Je comprenais mieux que personne ce qu’étais que de perdre ses parents, la douleur que l’on ressentait, cette impression d’être seul au monde, incompris de tous, je comprenais mieux que n’importe qui ce qu’elle avait au fond d’elle, cette douleur que l’on renait au point d’en étouffer… Je n’avais pas besoin de lui dire un mot, elle savait que je la comprenais, et c’était bien pour cette raison que je la laisser martyriser cet homme, moi aussi, j’aurai voulu faire payer ceux qui avait détruit ainsi ma famille, mais ils sont mort depuis maintenant 5 ans, ces trois crétins d’aurors, je leur aurais fait bouffer la poussière jusqu’à ce qu’ils en pleurent. Je n’aurai pas eue la moindre pitié pour leur âme, et je leurs aurais brisé un à un chaque membre, je les aurais écouté hurler de souffrance au point que moi-même j’en perde la raison…

Je fixais cet homme qui se tortillais depuis environs deux minutes sous nos yeux… Je vs la jeune femme transpirer légèrement sur le front, je voyais bien qu’elle peiné à tenir le sort, bien qu’elle le faisait à la perfection, les sentiments tels que la haine venait à troubler sa force, elle était douée, je l’avais toujours su, jamais vu de mes propre yeux, mais je le savais car cela se voyait, elle n’avait pas peur, je l’avais vu en ses yeux, elle m’aimait, pour moi c’était la plus grande preuve de courage… *Katherine… Je fais cela pour toi…*. Je saisissais la jeune femme par ses épaules frêles la forçant à abaissé sa baguette et rompre ainsi le lien avec Isaac je plongeais mes yeux dans les siens et je lui disais d’un ton calme la serrant avec force et presque avec brutalité pour qu’elle se calme et revienne à elle… La folie… Elle voulait m’aider… Alors je lui disais d’un ton assez calme étant donné des circonstances

- Arrêtes ! Tu te fais du mal… Il ne mérite pas que tu souffre autant… Vas-y… Tue-le. Il est temps que tu apprennes.

Je me plaçai alors derrière son dos, comme si je voulais lui apprendre une chose futile simple et banale tel que jouer de la guitare ou autre, prenant son bras qui tenait fermement cette baguette, sans lui demander si elle se sentait prête à ôter la vie d’un homme. Sans lui demander si elle voulait faire cela… Je lever son bras cet Isaac qui essayer de se relevais mais qui avait plutôt l’air de se rouler dans la terre, je murmurai à Katherine comme si j’étais son professeur

-Respire… Fixe-le… Ne penses plus à rien… Il n’est rien… Sa vie est complètement inutile… Il mérite de mourir. Respire… Il est faible… Tu vas le tuer… Tu n’as pas peur… … … Dis-le maintenant…

J’ignorai si elle allait le faire, si elle allait attendre encore, mais s’il tentait quelque chose, je le ferai regretter, je lui proposer de mourir rapidement après cette torture infâme, je lui proposer de servir de cobaye à ma fiancé, ce serai un honneur pour une vermine comme lui… Je voyais sa poitrine se vider et se gonfler rapidement, je me répétais dans la tête qu’elle était prête… Que nos destins étaient liés, elle était comme moi… Les mêmes souffrances… J’étais là, je le serais toujours… J’en oubliais la présence d’Embry, qui probablement avait été sonné par la chute, j’allais m’occuper d’elle tout à l’heure… Je glissais une main autour de sa taille et je lui murmurai d’une voix calme

-Il le mérite…

Isaac croisa alors mon regard et je vis une larme dans ses yeux… Etait-ce cela ? Il aimait Katherine ? Il aimait la mère de Katherine, mais avait voulu sa fille à défaut de n’avoir la mère… Je le regardais sans émotions, j’éprouvais la même chose que lui envers Katherine, et pourtant je restais insensible…

Plus têtue qu'elle, ça n'existe pas ! Elle continuait à se débattre sans relâche, hurlant comme pas possible. Je comprenais bien que, quand on voit celui qui a tué sa mère, on ait envie de le tuer, de lui arracher la tête et autres tortures du genre mais tout de même ! Sans doute aurais-je réagis pareil si je me trouvai dans la même situation mais là n'était pas la question. Il fallait que je l'emmène dans la planque des Gahleris pour la mettre en sécurité, quitte à l'assomer pour qu'elle se laisse faire, bien que je ne pense pas que ça aurait beaucoup plu à elle et à Rowann !

-La ferme espèce de moins que rien !
-Tu frappes comme un moldu… Les femmes ça rend faible tu sais...
-La seule personne faible ici, c’est toi.

Je tentai de profiter de cet instant d'innatention de la part de Isaac pour transplaner vers l'usine désaffectée mais sa baguette pointée vers nous deux m'en empêcha. Si il lançait son sort, c'en serait fini de nous deux ( et en particulier de katherine vu qu'elle était placée devant moi ).
Katherine reprit la parole et je ne savais pas si elle s'adressait à moi, à Isaac ou au mangemort mais peu importait pour elle, elle criait toujours qu'elle resterait ici quoiqu'il arrive. Quelle tête de mule bon sang cette fille ! A côté d'elle, je suis la zénitude incarnée !
Elle s'adressa ensuite à Rowann pour ensuite revenir à Isaac en lui lançant une Endoloris en pleine poire. Si je n'avais pas les mains prises, j'aurai applaudi ! Elle peinait légèrement mais ne lachait pas prise et Isaac fut bientôt obligé de se coucher au sol, impuissant et hurlant de douleur. Je lâchai enfin Katherine, elle avait eu ce qu'elle voulait et je n'avais plus besoin de l'emmener dans la planque. Enfin je l'éspèrais ! Au cas où, je gardai solidement ma baguette en main. J'étais désormais remise d'applomb et la chute n'était qu'un très vieux souvenir...
Rowann s'approcha de Katherine, je reculai un peu, ce n'était plus mon affaire maintenant. Il lui dit de le tuer et lui donna quelques indications. Surtout ne met pas ton grain de sel maintenant, Embry, ça ne servirait à rien du tout !
Une larme perla sur le visage de Isaac. Depuis quand un mangemort pleure devant la mort ? j'en restai quasi bouche-bée. Alors que Rowann intimait à la jeune fille de poursuivre dans cette voie, je m'avançai vers eux et leur dit :

"Il mourra de toute façon, de ta main sans doute katherine ou d'une autre, peu importe, mais j'ai quelques doutes sur sa situation... Ne vaudrait-il pas mieux l'interroger avant de l'envoyer en enfer ?"