Tu viens de pénétrer dans une zone de quarantaine!! Tout le monde peut entrer, mais sortir d'ici est impossible. Ainsi, tu n'as plus d'autre choix que de t'inscrire mais attention !! Les membres de ce forum sont fou, psychopathe et complètement atteint de la cervelle, fan de ship, bizarre... Le staff de ce forum aime le sang, les morts et le sadisme... Cher visiteur, si tu es un minimum drôle et déluré, alors les personnes composant Deathly Hallows sont tes amis!!
De toute façon tu n'as plus le choix, tu es contaminé, tu es perdu... Tu vas bientôt devenir toi aussi un ADC (Atteint De la Cervelle) et ça ne se guérit pas alors n'attend plus, et inscris-toi."
On est pas obligé d'être fan d'Harry Potter pour s'inscrire sur ce forum. :-) Laissez nous notre chance, vous verrez qu'on est pas méchant. ̿ ̿̿'̿'̵͇̿̿з=(•̪●)=ε/̵͇̿̿/'̿'̿̿̿ ̿ ̿ ̿
Cher visiteur,
Tu viens de pénétrer dans une zone de quarantaine!! Tout le monde peut entrer, mais sortir d'ici est impossible. Ainsi, tu n'as plus d'autre choix que de t'inscrire mais attention !! Les membres de ce forum sont fou, psychopathe et complètement atteint de la cervelle, fan de ship, bizarre... Le staff de ce forum aime le sang, les morts et le sadisme... Cher visiteur, si tu es un minimum drôle et déluré, alors les personnes composant Deathly Hallows sont tes amis!!
De toute façon tu n'as plus le choix, tu es contaminé, tu es perdu... Tu vas bientôt devenir toi aussi un ADC (Atteint De la Cervelle) et ça ne se guérit pas alors n'attend plus, et inscris-toi."
On est pas obligé d'être fan d'Harry Potter pour s'inscrire sur ce forum. :-) Laissez nous notre chance, vous verrez qu'on est pas méchant. ̿ ̿̿'̿'̵͇̿̿з=(•̪●)=ε/̵͇̿̿/'̿'̿̿̿ ̿ ̿ ̿
Sujet: Broken soul and destroyed thoughts ; WITH ABBY. ♥ Ven 22 Avr - 19:29
Lever de rideau; . . . Il ne faut jamais tenter le passé. feat. Ivy Powell & Abbygaëlle Donowitz (c) fleetwoodicons lj
Certaines personnes ne supportent pas la routine, les habituels aléas de la vie étudiante ou ceux d'une existence banale d'ouvrier. Programmer ses journées, de manière presque inconsciente, comme si c'était encré à leur insu. Ne jamais s'attendre au moindre rebondissement, de peur d'être déçu une fois que l'on rentre se coucher, éreinté, fatigué. A force de vivre ainsi, on s'y habitue. On n'espère même plus rencontrer un séduisant inconnu au coin d'une rue, ni se faire aborder par une agence, encore moins gagner au Loto. Quand on se réveille dans son lit en même temps que le soleil se lève, que l'on fixe ce plafond blanc qui nous accompagne depuis des lustres, quand on tourne la tête vers le réveil, que l'on soupire, sachant d'avance que la journée s'annonçant sera ennuyante et banale, quand on se lève en s'étirant, quand on pénètre dans la cuisine en traînant les pieds, évitant le miroir prêt à nous renvoyer notre horrible visage matinal, que l'on se sert un café noir bu d'une traite en regardant par la fenêtre de son appartement, quand on s'imagine les films de New-York et leurs grands immeubles... Quand on se dit qu'on habite Londres. La ville aimée des Parisiennes, avec son Big Ben, ses magasins délirants, ses cabines téléphoniques rouges et son Doctor Who. Est-ce que ça nous fait rêver ? Pas vraiment. On aimerait visiter le monde, sortir de ce lieu qui semble à la fois ici et ailleurs. Quitter la monotonie anglaise au profit de l'aventure mexicaine, pourquoi pas.
L'Homme veut toujours plus que ce qu'il a déjà. Il a l'esprit ouvert, libre, des envies difficiles à combler voir impossibles à réaliser. C'est ce qui le rend différent. Cette curiosité, ce désir de tout connaître, même si parfois il ne le réalise pas. L'Homme est prêt à affronter les indigènes, l'Homme peut communiquer malgré la barrière de la langue, l'Homme peut être ému par un simple enfant africain, l'Homme peut être sidéré par les horreurs des guerres. Il peut affronter cela, tous les actes commis par l'humanité. Mais l'Homme... l'Homme n'acceptera jamais ses propres erreurs. Que ce soit en les reniant ou en les assumant, il porte le poids de la douleur. Sensible, il se suicidera. Responsable, il vivra jusqu'à la fin avec la conscience d'avoir été abominable, sans jamais faillir. Lâche, il effacera ces moments de sa mémoire, fera comme si rien ne s'était jamais passé. L'Histoire est faite de ces Hommes, différents tout en étant proches. Chaque personne que vous croiserez dans une rue cache un secret, avec lequel elle vit ou dont elle espère se séparer un jour. Vis à vis de ces erreurs, personne ne réagit de la même façon. On ne peut pas prédire nos réactions lorsque l'on se retrouve face à ses propres faiblesses. C'est bien là qu'on la regrette, cette bonne vieille routine.
○○○
Je ne suis pas un modèle. Je ne suis pas celle qui mène la danse, celle qui montre le bon chemin à emprunter, parce qu'au fond, il n'y a pas de bon chemin. Seulement nous. Nous et le vide. Nous et la chute. Nous et ... Nous et le reste, en fait. Ce n'est pas si important que ça, ce que ça peut bien être. C'est juste là tout prêt, ça nous accompagne, mais on y fait pas attention. Je pense que les courants d'air, les bruits dont on ignore la source, les lumières apparaissant la nuit, ne sont pas dus à la nature ou à des phénomènes physiques prouvés par les scientifiques. Des calculs, je peux aussi en inventer, en faisant croire que ça marche. Il suffit juste de croire en ce qu'on raconte, pour que les autres finissent par l'accepter et rejoignent notre avis. Alors... Si je vous dis, que tout ça, ça se produit simplement lorsqu'il est nécessaire de nous faire revenir à la réalité ? De nous montrer que, ce monde là, aussi affreux puisse-t-il être, est le seul qu'y puisse nous abriter ? Qu'il n'est pas utile d'être distrait par des contes fantastiques pour assister à l'incroyable... Qu'il suffit de se retourner, de fixer le mur de sa chambre, et l'on verra des milliers et des milliers de particules se former et se croiser entre elles. C'est ça, le fantastique. Le minuscule. Qui s'introduit sous la porte, dans les recoins du bureau, sur les feuilles des arbres... C'est présent, pourtant, on ne le voit pas. On y prête aucun regard, malheureusement sans doute. Si on le faisait, on réaliserait que tout est beaucoup plus magique que ce que l'on croit.
Pourtant, je suis une sorcière. Je connais les sorts et les potions. Alors pourquoi ne puis-je pas affirmer que la magie se résume à quelques petits tours de baguette, à des mots étranges prononcés et surtout à des gènes particulières ? Après tout, c'est tout ce qui fait de moi un être si surnaturel d'après les "moldus". C'est juste ça. Rien de bien exceptionnel en soi. La réponse est simple, je préfère me concentrer sur ce qui vaut vraiment la peine d'être observé, plutôt que sur de simples illusions, telle une gare où l'on peut traverser les murs. Je l'ai vécu, mais ça me paraît maintenant si loin. Peu importe l'Ordre, Poudlard, je sais simplement que je n'étais pas supposée vivre ainsi.
Si la magie était si utile, elle pourrait me guérir, me libérer. J'ai tenté de me lancer à moi-même ces sorts d'oublis si réputés. Ça ne marche pas. Ça ne veut pas marcher. J'ai beau tenter, je... Je ne sais pas. Un blocage sans doute. Une envie de tout effacer qui est écrasée par le désir de souffrir pour ce que j'ai fait. De payer pour mes crimes et mes absurdes raisonnements. C'est pour ça que je me suis résignée, à supporter ce poids, aussi lourd qu'il soit. Malgré tout, je ne serais pas là si je ne me présentais pas à l'hôpital pour mon rendez-vous annuel. Ma culpabilité m'empêche de faire cette remise à zéro, mais elle me détruit aussi à petit feu. J'ai besoin, comme tout humain, d'un soutien quelconque. Je ne suis pas Superman, la dernière de mon espèce, ou je ne sais quoi encore. La magie n'empêche pas la solitude, ni la tristesse. Elle l'amplifie davantage.
○○○
Je viens de quitter Sainte Mangouste il y a quelques minutes. Les mêmes médicaments que l'année précédente m'ont été prescrit, à venir chercher tous les deux mois. Des antidépresseurs, pour la plupart, ou alors des drogues légères censées atténuer la douleur de mon abdomen quand elle se fait trop puissante pour que je la supporte. Les mains dans les poches de mon jean, le regard braqué sur le sol, mes cheveux toujours aussi ondulés rassemblés en une queue de cheval, d'où quelques mèches s'échappent, je maudis celui qui a eu l'idée de placer cet endroit dans un lieu à ce point fréquenté. Je décide d'attendre que la foule se disperse, ce qui ne devrait pas être très long. Nous sommes en milieu de semaine, il est presque 14 heures, les londoniens retournent simplement travailler. Dans une dizaine de minutes je pourrais partir sans risquer de me faire bousculer de tous les côtés, dévisagée, encerclée. Feignant la contemplation excessive de mes converses usées, je tire sur les manches de ma veste, sous laquelle je porte un simple t-shirt à la mode seventies. Je ne pensais pas qu'il ferait aussi froid.
Cependant, les frissons qui me parcourent en ce moment ne sont pas causés par le vent, mais par une main qui vient de se poser sur mon épaule. Je m'écarte directement, sur mes gardes, avec une expression terrifiée et dans une position qui montre bien que je suis prête à partir sans attendre. Je croise enfin le regard de celle qui m'a approchée avec autant de brutalité, car il s'agit bien d'une femme. Brune, souriante, je l'incendie du regard, tandis que je crois reconnaître parmi ses traits une ancienne camarade. Serdaigle. Abbygaëlle. Serdaigle. Je ne me détends pas pour autant. Peu importe qu'elle me connaisse, je ne veux reprendre aucun lien avec ceux qui m'ont accompagné durant mes études. Avec personne. Ni aujourd'hui, ni jamais. Pourquoi donc m'a-t-elle ainsi touchée ? J'ai envie de m'enfuir. A toutes jambes. Pourquoi je ne le fais pas ? Sans doute à cause des médicaments. J'en ai avalé quelques uns avant de quitter le médecin. Leurs effets ne se font pas attendre. J'ai déjà l'impression de ne plus contrôler mes membres. Maudits produits chimiques, je croyais qu'ils étaient censés m'aider, alors que je me retrouve dans une situation plus que déplaisante. Qu'elle ne compte pas sur moi pour lui adresser le moindre mot, c'est elle qui est venue sans que je ne demande rien.
Je hais les retrouvailles. Je les hais.
Abbygaëlle V.Donowitz ◊ Hypogriffe à longue langue ◊
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Qui suis je ? ☞ SPA : Aucun animal ☞ Doubles Comptes :
Sujet: Re: Broken soul and destroyed thoughts ; WITH ABBY. ♥ Jeu 19 Mai - 17:33
Souffrance ,joie ,peine ,colère ,mépris et tout ça dans un seul et même corps ,maudit don d'empathie j'ai l'impression d'être compressé avec toutes ses émotions . Je n'aurais jamais dû venir a Ste-mangouste sans avoir pris de précaution maintenant j'ai l'impression d'être une éponge vivante et c'est très déplaisant . Je déteste tout simplement le fait de devoir tout savoir sur les émotions de tout le monde aux mètres carrés et si sa empire je risque de péter les plombs en poussant des hurlements à vous en briser les tympans .
-J'espère qu'il reste assez de compresse sinon en cas de blessure grave on est dans la misére.
Et voilà que je ressentais maintenant de l'angoisse après ce que venait de sortir l'infirmière devant moi dans l'ascenseur ,elle ne pouvait pas garder ça pour elle et calmer sa stupide angoisse . Je levais les yeux pour observer les chiffres qui s'allumaient au fur et à mesure .
5 ....4....3....2...1
-Rez de chausser .
Je sortis rapidement de l'ascenseur et me dirigea vers la sortie comme je pu ,encore une fois il y avait trop de monde je dus slalomer rapidement entre tous les gens pour éviter de lâcher prise ,mais je sais que sa ne sert a rien .C'est à ce moment-là que je l'aperçois dans la foule immobile ,je l'ai reconnus tout de suite à sa signature émotive ,c'est toujours aussi spécial dans sa tête . Je me dépêche de la rejoindre et tout de suite je sens que c'est retrouvailles ne vont pas être comme je l'espérais. J'affiche un sourire et pose ma main sur son épaule et tout de suite elle se dégage et je regrette déjà d'avoir fait ce geste .Je perd mon sourire et tout de suite je me sens comme sous drogues mais c'est léger ,pourtant je n'ai rien pris à part si c'est elle . Je l'observe attentivement ,elle a changé depuis la dernière fois que je l'ai vu ,les cheveux flamboyant ,quelque centimètre en plus ,mais toujours cet air si paumer .
-Bonjour Ivy.... tu vas bien ? .
J'aurais au moins tenter de lancer la conversation ,mais j'ai l'impression que je vais me prendre un sacré vent .J'observe un instant la foule qui se dissipe peut a peut et ressent enfin mes propres émotions ,je soupire de soulagement . Je regarde de nouveau Ivy et encore une fois je me sens drogués ,je me pose des questions sur le pourquoi de cette sensation tout en attendant une réponse de la jeune femme en face de moi .
Bonheur,trahis,suicidaire,surprise,gène,neutre ...je ressent tout .... maudit don .
Invité Invité
Sujet: Re: Broken soul and destroyed thoughts ; WITH ABBY. ♥ Sam 11 Juin - 21:32
Lever de rideau; . . . Il ne faut jamais tenter le passé. feat. Ivy Powell & Abbygaëlle Donowitz (c) fleetwoodicons lj
Le son de sa voix me dégoûte, sa présence me dégoûte, tout me dégoûte. Elle a l'air si épanouie, tout en étant totalement en dehors de ce monde qui nous entoure. Comme si elle avait le pouvoir de décrypter chacun, comme si elle était supérieure de par cette particularité. Je vois flou, je tangue, je me retiens au mur du bâtiment le plus près. Je n'ai pas envie de lui répondre. Ne le vois-t-elle pas d'elle-même, que je ne vais pas bien ? De quel droit vient-elle se mêler de mes affaires si subitement ? Je suffoque, j'en ai plus qu'assez. Effets secondaires : troubles du sommeil, tremblements, anxiété, flash. Fatigue, courbatures, déséquilibre. Conseils : rester chez soi, attendre que le médicament fasse effet - autrement dit vous faire totalement planter - et reprendre le cours normal de la journée. Puis, reprendre sa dose une fois la paranoïa de retour. Je ne le faisais jamais, je n'étais pas dépendante de ses substances comme d'autres malades. Je m'en empiffrais devant les médecins, puis après, je les jetais. Les boîtes, à la poubelle. Je ne supportais pas les conséquences négatives de ce traitement, sensé m'aide mais qui faisait tant souffrir avant de montrer ses côtés soit disant positifs. De toute manière, il m'était impossible d'envisager vivre éternellement en prenant des pilules colorées pour sembler équilibrée. A vrai dire, je n'attendais qu'une chose : être seule pour me faire vomir dans un coin de rue, rejeter ses produits chimiquement constitués de mon organisme.
Les londonniens autour de nous s'écartent petit à petit, me laissant enfin respirer l'air... pollué de la capitale. Même cette... cette Abbygaëlle, semblait allait mieux. Je l'avais toujours trouvé étrange. Comme si son caractère était trop... instable, changeant selon la situation. C'est moi qui disait cela ? Moi, celle qui jamais n'étais en accord avec elle-même ? Je n'étais pas la mieux placée. Je me souvenais, que lorsqu'elle m'approchait alors que j'étais sur le point de tout casser, elle se montrait sévère et autoritaire... Au contraire, dès qu'elle s'écartait de moi pour discuter avec d'autres filles enjouées à l'autre bout de la pièce, elle retrouvait son enthousiasme. Je m'interrogeais. Jouait-elle un rôle ? Agissait-elle de la sorte en espérant alors que tout le monde l'aimerait ? On avait toujours des ennemis. Partout. J'étais l'une des siennes, bien qu'elle ait toujours essayé de me venir en aide. Je détestais être... prise de pitié. Elle me voyait comme ça non ? Comme un petit être perdu qui avait besoin qu'on l'aide ? Comme un oiseau aux ailes brisées incapable de voler par lui-même ? Qu'elle aille au diable, la gentille brune descendue pour me sauver. Je la regarde un instant, le regard vide, et je vacille.
Grimaçant, je m'adosse à la bâtisse, la tête en arrière, ferme les yeux. Je prends une longue inspiration, passant une main sur mon front. Je crève de chaud, alors que quelques minutes plus tôt j'étais sur le point de geler sur place. Je laisse un gémissement plaintif s'extirper de ma bouche, frappa mon poing contre la façade, tente de passer outre cette rage grondante qui m'envahit, me brouillant l'esprit.
« Si tu es m'abordes pour te moquer de moi, dégage. »
Autres conséquences : l'agressivité. Elle allait en augmentant, les premières heures, avant de disparaître un moment après ingestion des comprimés. En effet, c'était le but, retirer tout ce qu'il y avait de mauvais en moi, même si ce côté "bad girl" ressortait à l'extrême au départ. Les médecins, ces connards de médecins, ils aimaient voir souffrir leurs patients, au fond.
« Tu veux que je te dise quoi ? Que je suis en forme ? Que depuis Poudlard, je suis mariée avec deux magnifiques enfants ? Je pensais même pas que je te recroiserais un jour. Encore moins que tu te souviendrais de quelqu'un comme moi, Abby. »
J'affiche un sourire sarcastique, fronce les sourcils et me mord la lèvre. J'ai mal au crâne. Je déteste ça. Je tourne la tête vers elle, l'observant de haut en bas. Plutôt bien habillée, semblant relativement aisée, elle ne me rends que plus énervée.
« Heureusement, certains s'en sortent mieux que moi, à ce que je vois. »
Je la jalouse. J'aimerais être "normale", moi aussi.
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Sujet: Re: Broken soul and destroyed thoughts ; WITH ABBY. ♥