« Qu’allez-vous m’apprendre aujourd’hui ? » [Fe.]

Encore et toujours les cours… Ma journée en avait été remplie ! Je n’avais même pas eu le temps de me reposer une petite heure le temps de décompresser un peu, me détendre et surtout, me reposer. Ce matin le réveil fut malheureusement pour moi très dur ; surtout quand on repense à la folle soirée bien arrosée à laquelle j’avais participé la veille en l’honneur des dix-sept ans d’un ami. Un mal de crâne indescriptible s’était alors emparé de moi, et ce pour la journée. Je n’avais cessé de me plaindre, gémir à cause de cette vive douleur ; j’étais insupportable. Lorsque vint dix-huit heure, heure habituelle de la fin des cours pour beaucoup, j’étais très certainement la plus heureuse des femmes. Ma meilleure amie Aurianne était alors venue à ma rencontre pour m’annoncer cette fête prévue ce soir ! Encore une fois je voulais vraiment bien m’amuser, mettre ma sobriété en l’air le temps de quelques heures. C’était comme si d’un seul coup, ma migraine s’était envolée par tout cet enthousiasme. Ce que j’avais hâte d’être ce soir. Dans ma tête tout était déjà prévu : ma tenue, ma coiffure, mon maquillage, et surtout.. mes proies. Un grand sourire aux lèvres, je fis un câlin à Aurianne.

Madison. Je t’adore tu sais ? Toujours là pour me dénicher les meilleures soirées de l’année !

Tout était prévu pour dix-huit heures trente. Qu’allais-je faire pendant cette dernière demi-heure de temps libre qu’il me restait ? Comme d’habitude, j’avais pensé : rester avec Aurianne et critiquer les filles non-serpentardes qui osaient passer devant nous. Disons que c’était un passe-temps que nous adorions toutes les deux, critiquer. Enfin non, bien plus qu’un passe-temps : un don. Nous arrivions toujours à trouver quelque chose à redire chez chacun et ça, ce n’est pas donné à tout le monde d’après moi. L’heure tant attendue arrivait à grand pas ; mais c’est à ce moment que j’eus un flash. Après un petit soubresaut, l’air affolée je me tournai vers Aurianne pour lui annoncer la mauvaise nouvelle. J’avais totalement oublié qu’un professeur m’avait inscrite à des cours particulier parce qu’en ce moment, les notes c’était pas ça hein.. Mais avec toutes ces soirées organisées, aussi ! Je me dois d’être à la hauteur de ma réputation de grande fêtarde ! Je ne pensai plus à rien ; après avoir embrassé la joue de la jolie blonde assise à côté de moi, je me dépêchai de prendre mes affaires et de courir en direction de la bonne salle de cours. Encore fallait-il que je la trouve, cette maudite salle. Je pense bien que je n’avais encore jamais autant couru de toute ma vie, surtout pour une connerie pareille : un cours. Moi qui suis habituée à arriver en retard avec un air de « je-m’en-foutisme » total, ça change ! Mais là j’avais vraiment envie de faire bonne impression face à ce professeur, qui sans mentir était loin d’être repoussant. Le plaisir des yeux, me direz-vous.

Arrivée en face de la salle, les cheveux tout décoiffés, le souffle court, je toquai en tremblant. Cependant je n’attendis aucun signal pour m’autoriser à entrer, & posai mes affaires sur le premier pupitre qui venait à apparaître dans mon champ de vision. Je semblais légèrement énervée, mais quoi de plus normal ? J’étais entrain de louper une fête ; en devant participer à un cours de soutien. Quand je dirais ça aux autres, je serais la risée. Jamais un homme n'en vaudra dix, même si cet homme se révèle être un professeur fort charmant. Bien trop vieux pour moi, gardons un peu de raison. C'est tellement plus marrant de jouer avec des garçons de mon âge.

Madison. Bonjour, enfin bonsoir.

Sur le coup je n'avais même pas pensé à m'excuser de mon retard, et je m'assis directement, n'accordant aucun retard au professeur, qui lui était déjà dans la salle.

Une journée pour l'enseignant d'histoire qui commença sur une dur note avec des millions de copies d'un de ses examens à corriger et donner quatre cour d'histoire. Une fois la soirée arriver, il donna deux court de soutiens. Enfin, le cadran sonna le coup des dix-huit heure sonna et Anthony leva les yeux sur son horaire et remarqua sa première pause de la journée avant un cours de soutiens envers une étudiante dont il avait vraiment insister de voir dans sa classe. La fameuse Serpentard du nom de Miss Sullivan. Une jeune femme aux talents particulier, mais vulgairement refermer sur elle-même et bien que tout les enseignants ne disaient que du mal d'elle, Anthony n'écoutait rien en ne jugeant pas sur les propos des autres, mais bien sur ses propres impressions qu'elle lui présenterait. Doucement il glissa une mains dans ses cheveux en soupirant d'ennui à ne voir personne dans sa classe, évidemment, les étudiants se promenait dans les couloirs, laissant un vague fond sonore. Alors, au lieux de ce prendre la tête à ne sérieusement rien faire, Anthony ouvrit lentement un de ses livres qu'il lisait dans le moment pour lentement commencer la lecture. Plonger dans la fascinations des éléments et théorie de la magie, il ne ressentit même pas le temps passer. Ce fut les bruits de soulier qui claquaient dans le couloirs et qui déambulèrent dans sa classe qui lui fit lever les yeux. Observant la jeune femme un moment, l'enseignant soupira avec un léger sourire en coins, lui rappelant sa jeunesse. De sa mains droite, il claqua doucement son livre avant de lentement se lever et d'avancer d'un pas calme vers l'étudiante.

-Moi qui commençait à croire que vous ne viendriez pas. Vous savez miss Sullivan, je suis content que vous contribuez à cet effort! Après tout, je ne suis pas là pour faire mon vieux grincheux comme les autres enseignants, mais bien pour être votre soutiens!

La fixant toujours dans les yeux, sa mains gauche pointa doucement vers les portes de sa salle de classe, les refermant doucement. Anthony, prit place quand à lui sur le pupitre qui se situait juste à la droite de celui de la jeune étudiante lui haussant un sourcil.

-À entendre ce souffle et à voir cette coiffure, vous aviez soit oublier ce cours ou été retarder, mais peut importe la raison, je ne suis pas là pour faire votre cas. Je veux que trois lois soit respecter dans mon cours de soutiens, premièrement le plaisir est obligatoire. Deuxièmement, aucune gêne au sujet de n'importe quelle question. Et pour finir, si vous avez besoins de quoi que ce soit, je vous l'obtiendrai pour votre réussite personnel à pouvoir vous aider. Je sais que surement vous avez une sombre image des enseignants, mais il faut effacer cette vulgaire image de votre tête. J'ai passer par-là, j'ai détester également et je ne veux pas donner cette image à mes étudiants. Si vous permettez, je vais juste ouvrir une fenêtre pour votre confort!

Il fit tournoyer sa baguette dans sa mains droite, avant de la pointer doucement vers les fenêtres qui doucement relâchèrent un déclic métallique, laissant entrer une douce brise froide pour assoupir l'humidité que la pièce avait prit après tout les cours donner. L'enseignant prit tout de suite une bonne inspirations pour bien commencer son cours. D'un trait, les fichiers poser sur le bureau de marbre à l'avant de la classe, volèrent à lui et il les ouvrit lentement, feuilletant les pages en se raclant la gorge.

-Je vois ici que votre moyenne pour mon cours est quand même haute, mais que sur certains points, vous avez quand même quelques difficulté. Puis-je savoir exactement, en quel point ma matière vous bloque? Je veux dire, c'est peut-être ma manière d'aborder le contenus qui vous empêche de comprendre ce que je tente de vous enseigner! Expliquez-moi ce qui bloque cher enfant et je vous trouverez solution! Tiens, vous avez soif? Pour ma part j'ai une de ses soif...

À ses mots, sur un des pupitres vides non-loin de lui apparut un pichet de bierraubeurre accompagner de deux verres. Anthony remplit les deux verres à moitié, déposant doucement l'un des deux devant Miss Sullivan et pour lui, prit une gorgée sans plus attendre. La soif était la chose qu'il détestait le plus au monde. Un sentiment où la gorge nous piquent juste à y penser. Une fois la savoureuse gorgée prise, l'enseignant porta de nouveau son regard vers son étudiante avec un petit sourire.

-Si je puis me permettre, vous êtes une étudiante avec de l'énorme potentiel, seulement pour une raison que j'ignore, on dirait que vous avez peur de l'utiliser. Je vous rassure, ce potentiel est une source de connaissance si plaisante, parfois c'est si bon de tout savoir!

Il croisa les bras en attendant une réponse de la part de l'étudiante assise devant lui.

[HJ] Désoler c'est court, je ferai plus long la prochaine fois.[/HJ]

Et dire que j’acceptais de rater une soirée qui se promettait excellente pour suivre ces cours d’histoire de la magie… Je devais vraiment être désespérée à la vue de mes notes pour accepter une chose pareille ! Mais c’était vraiment l’échec social si les autres serpentards découvraient cette petite histoire… Comme par hasard, j’avais choisis la table la plus proche de la porte de sortie. Je m’étais en effet dis qu’à huit heures je sortais ; travail fini ou non. Et ça allait être plus simple si je ne situais qu’à quelques malheureux petits mètres de cette fameuse porte. Et oui, ce n’est pas pour rien si on m’a envoyée à Serpentard, maison de la ruse & de l’ambition. C’était dans mes gênes & prévu depuis déjà bien des générations.

Professeur Howlett. À entendre ce souffle et à voir cette coiffure, vous aviez soit oublier ce cours ou été retarder, mais peut importe la raison, je ne suis pas là pour faire votre cas. Je veux que trois lois soit respecter dans mon cours de soutiens, premièrement le plaisir est obligatoire. Deuxièmement, aucune gêne au sujet de n'importe quelle question. Et pour finir, si vous avez besoins de quoi que ce soit, je vous l'obtiendrai pour votre réussite personnel à pouvoir vous aider. Je sais que surement vous avez une sombre image des enseignants, mais il faut effacer cette vulgaire image de votre tête. J'ai passer par-là, j'ai détester également et je ne veux pas donner cette image à mes étudiants. Si vous permettez, je vais juste ouvrir une fenêtre pour votre confort!
Madison. Oui excusez-moi. Un.. imprévu. Pardonnez d’avance mon insolence mais… Je peux vous poser une question quelques peu, bizarre ? Pourquoi êtes-vous si gentil avec moi, alors que je ne suis qu’une Serpentarde pathétique qui n’accorde quasiment aucune attention à votre cours ? Je veux dire.. vous ne devriez pas, c’est absurde.

Il était vrai que cela m’étonnait beaucoup, tout simplement parce que jamais un enseignant avant lui n’avait fait attention à moi, pour tous les autres je n’étais qu’une ignorante, une Serpentarde qui ne valait pas mieux que les autres. J’étais vite rangée dans la catégorie « Indomptable » et donc personne ne faisait vraiment attention à moi. Mais depuis qu’on m’avait proposé ces espèces de cours de soutien, je me sentais plus importante. Certes c’était ringard, je trouvais ça très lourd, mais mon orgueil était bien souvent flatté. Mais trêve de bavardages, j’étais là pour… pour… pour travailler. Le professeur, qui était assis face à moi, du moins sur le pupitre de l’autre côté de l’espace que l’on considérait comme étant un couloir, avait enchanté ses feuilles pour qu’elles viennent jusqu’à lui. Nous pouvions donc commencer. Celui-ci commença à me poser tout plein de question. Il avait beau avoir ouvert la fenêtre quelques minutes auparavant, et laissé la pièce s’emplit d’un doux courant d’air frais qui réveillait la peau, un mal de crâne me gagna bien rapidement. Mais je ne dis rien, je ne voulais en aucun cas déranger. En plus de ça, j’avais pris soin de ne rien laisser traîner comme expression sur mon visage qui pouvait alerter les gens que j’avais mal à la tête. C’était disons comme un réflexe.

Professeur Howlett. Je vois ici que votre moyenne pour mon cours est quand même haute, mais que sur certains points, vous avez quand même quelques difficulté. Puis-je savoir exactement, en quel point ma matière vous bloque? Je veux dire, c'est peut-être ma manière d'aborder le contenus qui vous empêche de comprendre ce que je tente de vous enseigner! Expliquez-moi ce qui bloque cher enfant et je vous trouverez solution! Tiens, vous avez soif? Pour ma part j'ai une de ses soif...
Madison. Soif ? Hmm.. Non non, ça ira, merci quand même. Je n’ai pas soif.

Je savais très bien qu’il était extrêmement malpoli de décliner une invitation de la sorte, mais je ne jugeai pas favorisé ce moment pour boire. D’autant plus que lorsque je vis le pichet de bierraubeurre apparaître, j’en avais des nausées. La bierraubeurre c’était une boisson que je ne pouvais pas supporter. Je ne sais même pas pourquoi, je n’ai jamais aimé. J’esquissais un léger sourire gêné face à mon interlocuteur. Mais mon dieu, ce que j’avais honte de décliner son offre. C’était une chose que je n’aimais pas faire ; je trouvais que ça mettait les gens dans l’embarras, après. Pas très sympa… Cependant, le professeur ne semblait rien entendre, glissant un verre à moitié rempli devant moi. Je regardais le verre avec dégoût, puis je relevai les yeux vers Mr Howlett, que je vis boire. Décidemment, je ne peux pas rêver mieux… Ayant fini, il se remit à me regarder, me souriant.

Professeur Howlett. Si je puis me permettre, vous êtes une étudiante avec de l'énorme potentiel, seulement pour une raison que j'ignore, on dirait que vous avez peur de l'utiliser. Je vous rassure, ce potentiel est une source de connaissance si plaisante, parfois c'est si bon de tout savoir!
Madison. Non je sais que ce n’est pas vrai ; je n’ai aucun potentiel comme vous dîtes. Il y a erreur sur la personne. Je suis Madison Sullivan, la petite Serpentarde naïve de septième année. Je suis persuadée que vous vous trompée. J’en suis sûre & certaine. Excusez-moi je ne sais pas ce que je fais là, je ferrai mieux de regagner mon dortoir.

En prononçant ces mots je m’étais déjà à moitié levée ; prête à courir sur la porte pour m’échapper. Je ne savais pas comment le professeur qui avait accepté de m’aider allait réagir ; bien j’en doutais. J’espérais juste qu’il n’allait pas trop s’énerver & faire une crise, parce que sinon le cours prendrait une tourne bien différente…

Observant la jeune étudiante qui ne semblait sincèrement pas comprendre le message, Anthony observa qu'elle s'était lever, prête à partir presque en courant et pointa la baguette vers la porte de sa classe, la refermant lourdement activant ses serrures magiques, qui ne se déverrouillait malheureusement que du sort dont lui seul connaissait. Il marcha tranquillement en direction de Madison et pointa sa baguette sur elle la poussant à rester assis. Plus elle se débattait pour se lever, plus le sort allait émettre une pression pour la garder coller à sa chaise. L'enseignant soupira en glissant une mains sur son front, puis porta son regard vers la jeune étudiante en croisant de nouveau les bras.

-Si je vous considère comme une étudiante qui à une chance de réussite, chère demoiselle Sullivan, c'est parce que je sais que le potentiel est présent en vous et je ne me trompe jamais sur ma sélections d'étudiant... Mais il semblerait que vous n'ayez pas de confiance envers vous-même! C'est malheureusement le plus choquant pour une étudiante de votre âge! Mais les petits jeux sont terminer! Vous allez m'écouter attentivement et ce même si vous n'en avez pas envie! Depuis que je vous ai dans ma classe j'ai la manie de regarder chacun de mes étudiants grandir à sa manière et avoir un portrait globale sur chacun d'entre eux, mais depuis l'année dernière, je me penche sur votre cas, analysant chaque décisions que vous avez faîtes, je vous ai même vus à l'oeuvre avec votre baguette et vous avez plus de talent que vous ne semblez croire...

Il prit une pause laissant le temps à Madison de digérer le tas de nouvelle qu'il venait de lui dire. Puis lentement il monta le verre qu'il s'était servis entre temps, pour en prendre le contenus dans sa bouche d'un coup. Il secoua légèrement la tête avant d'en revenir sur l'étudiante.

-Je sais que chaque personne est différente, mais je sais voir une cause perdue quand j'en croise une et je sais également voir ce qui contiens du potentiel Madison... Et je tente simplement de vous sortir de cette situations en vous prouvant à vous-même que vous n'êtes pas le genre que vous croyez... Je peux vous aider à reprendre le droit chemins, mais seulement si vous êtes prête à faire ce sacrifice et ce n'es certainement pas en me me disant que j'ai tord sur les décisions que je fais... Je suis tout de même assez grand pour savoir si oui ou non je me trompes sur les gens que je considère talentueux... Donc à partir de ce jour que ce soit bien claire une fois et pour toujours, à mes yeux, vous n'êtes pas le genre d'étudiante talentueuse qui se fou de son enseignant... Sinon vous ne seriez pas venus ce soir... Je veux vous aider Madison et je sais exactement quoi faire pour m'y prendre... La question demeure, êtes-vous prêt à prendre le sacrifice de me laisser ma chance...

Il soupira en observant la jeune étudiante dans les yeux, avant de lentement poser sa baguette sur elle et de la relâcher lui laissant champs libre de se lever. Puis lentement il se retourna vers son bureau en s'avançant et commença à ranger ses choses dans sa valise afin de retourner vers la salle des enseignants. Il tourna la tête au dessus de l'épaule et fixa la jeune femme avant de dire.

-Je sais que vous ne voudrez sans doute pas restez, c'est pourquoi je ne vous oblige pas à rester... La porte est juste...

Il allait terminer sa phrase, lorsqu'une bourrasque de vent glacial s'introduit dans la pièce, lui glaçant le sang. Cette température ne pouvait signifier qu'une seule chose... Lentement d'un pas inquiet, le professeur s'avança vers la fenêtre en pointant sa baguette, prêt à intervenir et attendait ne serai-ce qu'un tout petit signe pour tirer un jet. Il marcha lentement, essayant de ne pas faire de bruit, puis une fois devant la fenêtre, il sortit légèrement la tête observant dehors, c'était si glacial que sa respiration chaude laissa une traînée blanche. Il observa le sol en bas de la tour, remarquant la terre geler et le gazon glacer. Il releva lentement les yeux, avant de voir à quelques centimètres de son visage un détraqueur qui lui amorça un coup de tête. Le coup fut si puissant, que Anthony tomba sur son dos, glissant la moitié d'un mètre. Il récupéra sa baguette et la pointa sur le détraqueur.

-SPERO PATRONUM

Une lueur apparut au bout de sa baguette, laissant place à un phacochère qui fonça à tête baisser droit sur le détraqueur le repoussant plus loin. Il se retourna pour regarder Madi et aperçut qu'un second détraqueur était entrer dans la pièce et qu'il fonçait droit sur elle.

-MADISON ATTENTION!!!

Anthony accourait pour lui donner un coup de mains.