Crise sous la neige. [PV]

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••• Crise sous la neige.

J'avais prit une journée de congé que j'estimai bien mériter, la veille j'avais sauvé une jambe et une vie. Des brulures grave à la jambe d'un dragon-logue, métier d'enragé pensai-je. Puis j'avais sauvé la vie d'un jeune homme avec l'abdomen ouvert suite à une bataille entre deux ennemis. Ensuite je fis quelques interventions anodines. Sur mon lieu de travail on me respectait, j'étais l'un des meilleurs malgré mon jeune âge. On pouvait dire que je réalisai ma pyramide de Maslow. Ce cher Maslow qui avait répertorié les éléments pour être en état de bien être social sous forme de pyramide. Je n'étais pas passionné de médecine, mais j'avais toujours été doué un peu en tout, mais ça n'avait rien d'un don du ciel, j'avais travaillé dur pour arriver a ce niveau aussi jeune. Etre mangemort n'avait pas été mon objectif de vie. Mais quand mon tuteur allait quitter ce monde, je lui ai promis de devenir mangemort. C'était pour cette tâche que mon père et mon tuteur c'étaient donné la peine de m'apprendre à devenir plus fort.

J'étais à près au lard quand l'incident arriva. J'avais prévu d'aller boire un verre avec quelque amis et collègue. L'hiver avait prit ses aises et les décorations de noël fessait scintiller les rues, nos pas sur la neige, immédiatement recouvert par les flocons tombant. J’avais froid, il fallait dire que par un temps pareil, sortir avec une simple veste, c’était un peu de masochiste. A chaque pas, j’avais froid. Alors que j’allais entrer dans un bar de l’allée, j’entendais un appel au secours dans la ruelle d’à coté, j’assai des épaules, et puis quoi encore ? Je ne suis pas superman ? Je ne vais pas m’amuser à sauver tout les gens qui ont un problème, c’était mon jour de congé ! Je n’avais pas du tout l’envie d’empoissonner la journée avec un problème quelconque. Je posai ma main sur la poignée et j’entendis une voix féminine appeler un médecin ou n’importe qui… Je soupirai, pourquoi il fallait toujours qu’on ait besoin de personne se sa qualification ? Les gens ne peuvent pas faire attention des fois ? Mais j’avais quand même la curiosité de savoir ce qu’il se passait… Je passai discrètement devant la ruelle, je vis deux jeunes femmes, une au sol en train de respirai avec difficultés et l’autre à ses cotés. Je voulais tracer ma route, mai sil fallut que mes yeux bleus croisèrent ceux de la jeune femme, blonde. De Serdaigle. Des élèves de Poudlard ? Il fallait toujours qu’il y ait un problème à chaque sortie à prés au lard avec les élèves, je pensai cela, en connaissance de cause. Elle soutenait mon regard, j’espérai qu’elle baisserait les yeux mais rien à faire, puis elle me lança qu’au lieu de regardait je devrais aller chercher quelqu’un.

Je m’approcher d’elle, une chance que ce soit une fille, car elle se serait prit une baigne dans la tronche pour m’avoir manqué de respect. Mais je mettais ça sur le compte de la panique avec son amie… Je me contentai de ravaler un peu ma fierté, ce qui était assez rare chez moi, et je lui disais d’un ton calme

-Je suis guérisseur. Et ton amie… Elle nous fait une crise de Tachycardie.

Je m’agenouillais à sa droite et je prenais le pouls de la jeune femme, je jeter un regard vers la blonde à ma droite, plutôt pas mal. Je me gifler mentalement d’avoir des pensée obscène alors que j’étais fiancé, et que je n’avais pas l’intention de rendre Katherine malheureuse. Elle souffrait assez comme ça. Je déclarai à la jeune femme qu’il fallait l’emmener à l’hôpital. Je me relevai prés à repartir, mais elle ne partait pas elle… Je me doutais qu’elle n’avait pas encore son permis de transplanage. Maudit soit cette curiosité ! A quoi ça sert de prendre une journée de repos ? Hein ? Enfin bon, une crise de se genre c’était exceptionnel non ? Je saisis la main de la feuille tremblante qu’était la jeune femme au sol et je saisissais le bras de la jeune femme un peu brutalement et nous nous retrouvions à Saint-Mangouste.

Je porter la jeune femme dans mes bras et nous gravissions les marches en marbres de l’hôpital, la tachycardie, c’était quelque chose d’assez grave, c’était une accélération du cœur, jusqu'à l’épuisement. A moins de le traiter au plus vite. Mais ce n’était pas ce qui me préoccuper, je m’en ficher un peu… Et je n’avais pas du tout l’intention d’y aller, m’occuper d’elle, je voulais une journée, normal. Sans malade, sans mangemorts, sans rien. Je confier la demoiselle à un collègue très surpris de me voir et j’allais partir à nouveau. Je voyais bien qu’il était trop tard pour ce rendez vous… Je pris un café, et j’aperçus la jeune femme de Serdaigle qui attendait, je pris un chocolat chaud et je viens m’assoir à coté d’elle en le lui offrant. Je ne savais pas ce que je fessais ici, avec elle. Je ne la connaissais même, je voyais qu’elle commencer à ouvrir la bouche je l’arrêtai net.

-Pas la peine de me remercier ça ne sert à rien.

J’avais horreur qu’on me remercier pour quoi que se soit. Je n’étais pas, un super héros ou une autre connerie dans ce genre, les gens ont parfois du mal à le comprendre. J’étais pétrifié de froid à vrai dire. Je lui adressa un faible sourire et je regardais les infirmière allaient dans tout les sens, une ambiance insoutenable, l’ambiance de ma vie.

Aujourd'hui avait lieu une sortie a Pré-au-lard, Darcy, une jeune femme blonde, gentille et pétillante avait décidé d'y aller avec une amie a elle. Toutes deux passèrent donc l'après-midi a faire le tour des magasins, puis elles prirent un café au bar des Trois-Balais. A ce moment là, Darcy vit que son amie devenait de plus en plus pâle, elle lui en demanda la raison, mais celle-ci lui dit qu'elle allait très bien. Une fois le café prit, elles sortirent sur la place, les décorations de noël étaient déjà posé, une brise fraîche rosirent les joues de Darcy, celle-ci rajusta sa cape autours du cou et regarda autours d'elle pour admirer toutes ses décorations. La tête levé en l'air, elle commença a parler :

- Regarde moi ça, comme c'est beau, Dit-elle admirative.

Sans réponse, elle baissa la tête et vit son amie tombée a terre, parcourue de spasmes. La scène suivante se passa très vite, son amie respirait très faiblement, Darcy s'agenouilla a sa hauteur, regarda autours d'elle, et cria a l'aide. Personne n'était présent dans la rue, elle ne savait plus quoi faire. Elle enleva rapidement sa cape et la mit sur son amie, de sorte a la réchauffer quelque peu. Elle lui prit la main, elle était gelée. Prise de panique, elle leva la tête et vit soudain un homme, debout dans l'allée en face. Celui-ci resta immobile. Il fixait les deux jeunes filles. Darcy était hors d'elle, elle soutint le regard de l'homme, une regard froid. Celui-ci hésita mais prit finalement le choix de venir a leur rencontre, en quelque foulées, il fut parmi elles. Il avait des gestes méthodique, gracieux, comme si c'était habituel pour lui. Darcy ne comprenait plus rien a ce qu'il se passait. Il lui dit :

-Je suis guérisseur. Et ton amie… Elle nous fait une crise de Tachycardie.

Une crise de Tachycardie ? C'est pour cela qu'elle était si pâle dans le bar, tout à l'heure ? L'homme regardait la jeune fille, perdu dans ses pensées. Puis finalement, il lui déclara qu'il fallait emmené la jeune souffrante a l'hôpital. Malheureusement Darcy ne possédait pas encore son permis de transplanage. L'homme se leva, puis fit un geste pour partir, Darcy leva la tête, il n'allait quand même pas la laisser comme ça ? Darcy n'avait pas la moindre idée de se qu'il fallait faire dans des cas comme ceux là. L'homme venait sûrement de comprendre car il revint sur ses pas, prit la main de la fille malade, et saisi le poignet de Darcy puis transplana. Ils se retrouvèrent tous a Sainte Mangouste, l'hôpital pour les blessures magiques. Il prit dans ses bras la Serdaigle et monta les marches, puis des médecins prirent en charge la jeune fille. Elle disparut en compagnie des médecins. Darcy se retrouva seule, elle s'assit sur un siège de la salle d'attente, pâle de toutes ses émotions. Elle vit l'homme qui avait sauvé son amie, il prenait un café, elle ne voulu pas le déranger plus que ça, mais il l'a vit et lui prit un café. Il vint a sa rencontre. Je voulu lui dire quelque chose, mais il intervint en premier.

-Pas la peine de me remercier ça ne sert à rien.

Pour la première fois depuis leur rencontre dans la rue, Darcy arrivait enfin a regarder cet homme. Ses yeux bleus perçant semblait transpercé la jeune fille de tout son corps. Il avait une bouche charnue et un visage qui semblait avoir connue des souvenirs difficiles. Il avait l'air fatigué. Elle but une gorgée de son chocolat chaud.

- Comment vous appelez vous ? Lui demanda t-elle, de ses yeux vert-brun.

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La jeune femme semblait assez secouée, je lui déconseiller de faire un métier en médecine car vraiment, elle n’était pas faites pour. Elle avait le teint pâle, un visage doux, elle était franchement belle, je ne savais pas ce que j’avais aujourd’hui, peut-être le stresse de bientôt devoir demander en mariage Katherine mais voila que je me mettais à regarder un peu de trop les jeunes femmes en ce moment. Mais je me ressoudais bien à me clamer sur le champ, c’était quoi ces nouvelles manière ? J’étais revenu dans mon adolescence ou quoi ? Elle accepta le café bien que je ne paraissais pas très sociable et je me contentais de sourire. Elle me demanda alors comment je m’appelais, je lui adressai un faible sourire et je lui répondais d’un ton calme

-Rowann… Et tu peux me tutoyer tu sais.

Oui, j’avais beau être un personnage assez étrange, je ne fessais pas vraiment de manière. J’avais beau venir d’une famille assez connue, j’en tenais aucun mérite, mon mérite, je le tirai de ce que j’avais traversé moi-même. Je l’observais du coin de l’œil. Je savais que son amie s’en était sortie, mais je n’étais pas payer pour diffuser les dernières nouvelles ? Bon, c’étais vrai qu’elle était un peu inquiète… Voir beaucoup. Mais quand même. Enfin bon, de toute façon vu son état elle n’allait pas sortir de là avant 21h, alors bon, on avait tout le temps de discuter, car oui, j’avais bien décidé de la scoiter car elle m’avait prit ma journée. Ce n’était pas que j’étais rancunier, enfin si, mais bon, si elle n’avait pas affronté mon regard je serai reparti. Donc, je passerai ma ajourner de congé, avec une inconnue. Ce n’était pas pire que ceux qui travaillaient. J’aurais bien été voir Katherine, mais je dois avouer que cette histoire de fiançailles me perturbais plutôt. Comment je pouvais demander la main d’une femme que je ne connaissais pas beaucoup et qu’elle me prenne au sérieux. C’était assez mélangé dans ma tête, et j’avais vraiment besoin de souffler un peu.

Par politesse, je lui retournais la question, mais il fallait avouer que je préférais savoir le prénom de la personne avec qui j’allais passer une journée entière. On allait avoir la joie de manger le repas de l’hôpital, cela m’emplit d’un dégout intense. Je donnerai ma ration à cette jeune femme de Serdaigle. J’imagine que ça la changera un peu des repas plutôt copieux servis à Poudlard.

-Et toi ? C’est quoi ton petit nom ?

Je lui adressai un sourire amusé, au premiers abord, on ne penserait pas vraiment que je sois mangemort, j’avais l’air d’un type un peu étrange c’était vrai et que j’avais l’air d’en avoir bavé dans ma vie ; mais j’avais l’air sociable et cet air de vécu, fessais que les gens m’offrais une certaine sympathie que je ne pouvais expliquer.

Toujours dans cette salle d'attente, une sale pleine de gens bizarres, des personnes ayant un problème particulier, un homme assis au bout de la salle avait des fleurs qui lui sortait des oreilles et du nez, quel sortilège avait-il voulu expérimenté ? L'homme assis a côté d'elle, ce guerrisseur, lui dit de ne jamais travailler ici, étant donné sa réaction pour une simple crise de tachycardie... Le verre de chocolat chaud réchauffait les mains de la jeune fille, elle avait a présent plus de couleurs dans la figure. L'homme qui avait sauvé l'ami de Darcy était plongé dans ses pensées, il souriait vaguement, puis il se mit a la regarder doucement, comme si il voulait la rassuré. Son sourire, bien que bienveillant, avait quelque chose de triste. Darcy ne savait pas quoi penser. Qui était cet homme, il ne devait pas être méchant, étant donné qu'il avait sauvé son amie. En plus il était guérisseur, que peut-il bien cacher ? Il revint a la réalité.

-Rowann… Et tu peux me tutoyer tu sais.

Rowann, cet homme s'appelle Rowann, enfin, elle en savait plus. Darcy scruté attentivement en quête de quelque chose a voir chez lui. Elle essaya de capter son regard en vain. Dommage, car Darcy avait cette particularité de voir dans les yeux de quelqu'un ce qu'il pouvait ressentir. Darcy pensa a sa copine, elle n'allait pas sortir de l'hôpital maintenant, tant pis, la jeune Serdaigle était bien décidée a rester là le temps qu'il faudrait. Elle se demandait combien de temps Rowann allait rester lui aussi. Puis elle se dit, qu'une présence avec elle ne lui ferait pas de mal.

-Et toi ? C’est quoi ton petit nom ?

Cela répondait a sa question intérieure, il était décidé, lui aussi, a rester. Tant mieux, elle allait en savoir plus sur lui.

- Darcy Spencer. Lui répondit-elle doucement. Merci pour le chocolat, au fait. Ajouta t-elle avec un sourire sincère.

Il fallait qu'elle lui pose une question. Elle voulait en savoir plus sur lui, non pas en cause de curiosité, mais parce que cela l'intriguait. Une heure plus tôt, elle venait de sortir de ce bar en compagnie de son amie, et maintenant, la voilà ici, en compagnie de cet homme, non pas qu'il ne soit pas charmant, mais cette situation était assez spéciale.Darcy prit ses cheveux et les ramena sur son épaule, car ses boucles l'a gênée, laissant sa nuque nue. Elle regarda l'homme dans les yeux, puis lui dit :

- Pourquoi... Pourquoi cette hésitation lorsque tu m'a vue dans cette rue tout à l'heure ? Lui demanda t-elle les yeux brillants.

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Darcy alors… Je ne lui avais pas donné mon nom de famille, tout simplement parce que si elle lisait les journées elle aurait vu la semaine dernière qu’un jeune guérisseur âgé d’à peine 19 ans avait sauvé la vie deux jeunes femmes d’un feu provoquer par la magie, ses deux jeunes femmes étant de Serpentard. Et que le jeune homme en question, s’appelle Rowann Gahleris et c’est enfuis avant même que les jeunes femmes ne puisse le remercier et celui-ci à refuser de répondre à nos questions mais par connaissance, on ne savait qu’il était un orphelin depuis l’âge de 11 ans et que ces parents étaient mangemort, et cet article souligné par une question amusante : Est-ce que le fils serai le contraire de ses parents ? Hors, si j’avais sauvé ces jeunes filles, c’était bien parce que leurs ainés étaient mangemort. Voila tout. Mais je ne penser pas qu’elle eut fait le lien, bien qu’elle porte le blason des Serdaigle qui sont en principe. Des personnes plus qu’honorable, et plutôt incollable. Mais personne ne peut jamais tout savoir. La jeune femme se recoiffa, je m’abstenais de la regarder faire alors qu’elle me remerciait pour le chocolat chaud. Je ne répondais pas, j’avais horreur que l’on me remercie.

Quand je tournais la tête vers elle après avoir retenu un rire quand je vis un homme avec des fleurs qui lui sortais des trous de nez, il faut dire qu’on en voit des sacré perles dans se métier là, et qu’on ne s’ennuyer pas toujours. Voir jamais. Elle me fixait encore droit dans les yeux, c’était assez déstabilisant, j’e n’aimais pas qu’on essais de voir en moi comme ça. Elle me posa la question qui fâche. Elle me demanda pourquoi. J’avais hésité tout à l’heure dans la ruelle. J’aurai bien tiré ma carte joker mais avec ces yeux là, qui m’affronter toujours, ils étaient verts pâles, voir translucides, je ne me rendais pas compte que je fessais les mêmes effets avec mes yeux, car je ne me voyais pas. Je lui répondis tout simplement :

-Je ne sais pas.

C’est tout ce que je pouvais répondre, je n’allais quand même pas lui dire que je n’avais pas eu l’envie de jouer les super héros car ce n’était pas ce qui me collait à la peau ; pour reprendre une chanson. Personne ne m’avait jamais aidé dans la vie, alors pourquoi je me donnerai la peine de le faire moi aussi ? Il faut toujours que quelqu’un fasse le premier pas, mais c’était souvent moi, et j’avais perdu l’habitude d’espérer un retour de mes actes. Je soigner des gens à longueur d’année, pas un merci, pas un sourire, pas une joie, non le guérisseur il fessait son métier pourquoi se donner la peine de le remercier, c’était comme ça que j’avais connu le dégout des remerciements. Je ne disais plus merci moi non plus, c’est peu être impolie, mais c’était comme ça.

-Je me suis juste méfié.

L'homme restait perplexe, il ne devait pas avoir l'habitude qu'on le fixe droit dans les yeux. Il n'y a rien de mieux que des yeux pour savoir a qui l'on avait a faire, hors cet homme avait quelque a cacher, Darcy l'avait bien compris. Il n'avait donné que son prénom, pourquoi cacher t-il son nom de famille ? Rowann regarda la jeune fille droit dans les yeux et lui dit d'un ton détaché, presque naturel.

-Je ne sais pas.

Rowann était décidément un homme très mystérieux. Il poursuivit, en hésitant quelque peu cependant :

-Je me suis juste méfié.

Pourquoi donc ? Pourquoi se méfié de deux jeunes filles, dont une a terre et l'autre en train d'appelé a l'aide, pensait-il que la jeune Serdaigle lui tendait un piège ? Tant de questions sans réponses. Darcy espérait qu'il en dirait un peu plus sur lui, elle quitta son regard pour regarder une secrétaire derrière un comptoir. Elle n'était pas là tout à l'heure, Darcy s'excusa auprès de l'homme et lui dit de patienter quelques minutes, juste le temps de demander un renseignement. Elle le laissa sur place, se leva gracieusement et se dirigea vers le comptoir, une fois devant, elle patienta. La secrétaire était une petite dame, ses lunettes sur le nez, elle regardait des dossiers. En patientant, la Serdaigle observa derrière le bureau, des dossiers qui s'empilaient tout seul, elle fut surprise. Sa rêverie fut de courte durée, la petite femme lui demanda ce qu'elle voulait. Elle lui si elle avait des renseignement sur la jeune fille qui était entrer il y a environs une heure. La secrétaire lui dit qu'elle ne sortirait pas avant quelques heures. Elle retourna donc avec Rowann, elle s'assit et lui dit, d'un ton découragé :

- Mon amie ne sort pas encore, il l'a garde encore quelques heures, je vais rester là, je ne veux pas qu'elle soit seule en sortant. J'ai demandais a la secrétaire d'envoyer un hibou a Poudlard pour les prévenir. Ajouta t-elle.

Elle se demandait si l'homme allait rester là. N'avait-il pas de famille qui s'inquiétait a cette heure ? Elle laissa ses questions en suspend. La jeune fille enleva sa cape qui lui tenait trop chaud, aujourd'hui, Darcy était habillé d'un Jean's et d'un corset bleu nuit qui allait très bien avec ses yeux. Elle regarda l'heure, bientôt l'heure du dîner, Poudlard devra sûrement se passé d'elle ce soir, un dîner a la cantine de l'hôpital ne la réjouissait guère.

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Je la vis un peu surprise du fait que je m’étais méfier de personne dans la rue dont une au sol, mais je me méfier d’être piégé, en particulier par cette aurore, Sélène qui avait juré avoir ma peau. Bien sur les probabilités qu’elle m’attrape un jour étaient faible car franchement, elle n’était pas à la hauteur et n’avais aucune preuve. Et elle n’était pas prête de me coincer, trop faible. Pourtant, je ne la méprisais pas, car je savais que c’était une fille intelligente et qu’elle ne manquerait pas d’idée pour me traquer jusqu’à la mort. Sauf que moi, je la tuerai si elle devient trop encombrante. Ou peu être je pourrais trouver une astuce, tout comme elle le fait pour me faire tourner en bourrique. Je vis la jeune femme partir vers l’accueil, je détournai mes yeux pour saluer d’un signe de main une infirmière qui m’adressa un grand sourire. C’était une jeune femme admirable avec une force physique et mentale d’acier, elle pourrait faire bien plus qu’infirmière si elle se donner vraiment la peine. Mais je n’étais pas conseillé d’orientation. La blondinette, revint à mes côtés et me déclara que son amie ne sortira pas avant quelque heure… Je le savais déjà. Mais bon. Elle retira sa cape, et je vis une poitrine serré dans un corset, je posai ma main sur mon front pour détourner mon regard sans que se soit trop voyant. Voila que maintenant, je me sentais coupable de regarder une autre. Si seulement les autres femmes voulaient montrer un peu moins leurs atouts intéressants à mes yeux d’homme, et comme tous les hommes, je ne pouvais pas m’empêcher de porter mon intention à ça. Elle me regardait encore, il fallait peut-être que je réponde quelque chose… Je me disais que c’était l’angoisse de l’approche de ma demande qui me perturba comme ça. Surtout face à une jeune femme de Poudlard, tout de même !

-Oui, d’accord…

Je fis signe à une jeune femme avec un carnet, elle s’approcher de nous et je lui demander si elle ne pouvait pas s’arranger pour avoir deux plateau, et je la suppliais de faire salé nos assiettes. Elle accepta et je lui adressai un large sourire qu’elle prit pour un merci. Je reportai mon attention sur Darcy, en prenant grand soin de ne pas jeter un coup d’œil dans son corset et je lui ajoutai un sourire. On pouvait quand même dire que j’étais pas mal souriant quand même, pleurer, ça m’avait passé depuis l’âge de mes onze ans, quand j’avais perdu mes parents j’ai pleuré et j’ai eu tellement la haine, que depuis plus one larmes n’était tombé de mes yeux clairs. Je voyais qu’elle était curieuse à mon sujet et je comprenais parfaitement.

-Le mieux, ça serai que tu te pince le nez en même temps que tu manges.

Plaisantai-je. Bien sur, je me doutais qu’elle n’avait jamais prit de repas à l’hôpital, mais c’était quand même un conseil important. Je pense que je ne mangerai que le pain, et encore si avec un peu de chance celui-ci n’est pas imprégner de l’odeur du plat cuisiner… Du plat essayer, un semblant de purée, un semblant de patte, mais tout avait le même gout : le carton.

Rowann semblait perturbé par quelque chose, il parut perplexe, puis en hésitant, il lui dit :

-Oui, d’accord…

Darcy eut un petit rire rayonnant. Le stress peut-être. Elle se reprit. L'homme interpella soudain une infirmière, il avait l'air de la connaître. La scène était comique, la jeune femme fut toute surprise d'être interpellée comme cela, elle vint a sa rencontre, les joues rosies, en même temps, qui comme jeune femme normale ne resterai pas perplexe devant le charme du jeune homme ? Il lui dit d'un ton naturel de nous avoir deux plateaux pour le dîner. Deux plateaux, ce qui voulait dire qu'il allait rester dîner avec la jeune fille. Ce sera une bonne chose, une bonne occasion de discuter. Darcy ne se voyait pas manger toute seul dans cet hôpital Magique.

-Le mieux, ça serai que tu te pince le nez en même temps que tu manges.

Elle ria. Elle connaissait plus que trop bien ces repas de l'hôpital. L'année précédente, elle était arrivé ici d'urgence, lors d'une sortie a Pré-Au-Lard, il y avait eu une rafale de Mangemorts qui était arrivés dans le village, dévastant tout sur leur passage, la jeune fille s'était caché dans une maison inhabitée, les mangemorts avaient réussit a pénétré dans la maison lui faisant subir des sortilèges Doloris et toutes choses horribles. Son camarade Henri Marcus, était arrivé a temps, et l'avait ramené ici, a moitié morte. Elle pâlit a l'image de ce souvenirs douloureux et une ombre inquiète passa dans ses yeux clairs. Elle baissa la tête a moitié, regardant sur son avant-bras la cicatrice faite pas un de ces Mangemort. Elle était resté un mois entier dans cet hôpital, alors les repas ici, elle savait ce que c'était. Ravalant ses craintes, elle lui dit d'un ton qui essaya de passé naturel, un léger sourire aux lèvres.

- De toute manière, je n'ai pas très faim, donc la qualité de la nourriture ne me dérange pas... Tu sais que tu n'es pas obligé de rester, mais c'est sympa' de le faire,ajouta t-elle.

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Je l’entendais rire, cela fessais vraiment plaisir d’entendre quelqu’un rire dans cet hôpital. Dans lequel d’habitude, on ne voit que des tronches jusqu'à par terre et des larmes de crocodile ou des fois des vrais larmes mais difficile de faire la différence vu le bruit que les gens peuvent faire pour avoir une belle chambre et les meilleurs soins et les infirmiers à leur disposition en faisant la comédie. Comme ce mec qui brayait au bout du couloir en pleurant que s’il perd sa jambe il étai foutu, sa vie serai finie, et que les guérisseurs se bousculer pour le calmer à coup d’anti douleur. Je souriais en voyant un collègue repoussé tombé sur le postérieur… Le pauvre tout de même… Je revenais à la petite blonde à mes côté avec une sourire amusé en lui répondant d’une voix calme

-Je ne me sens pas obligé. J’n’ai pas trop envie de rentrer chez moi…

Et pour cause, j’y étais tout seul. J’avais beau appréciais d’être seul par moment, mais c’était assez frustrant de rentrer chez moi tout les soirs, de devoir me faire à manger et de dormir, dans mon grand lit froid. C’était une situation qui parfois était difficiles à supporter, je n’étais pas du genre dépressif alors je sortais. Il m’arrivait de rentrer chez moi à 6heure du matin pour me doucher et repartir aussitôt au travail. Je vis à son bras une cicatrice assez imposante. J’eus un flash. Une invasion à prés au lard. Des cris des habitants, beaucoup de victimes. Je j’ai du moi-même soigné, et ce genre de cicatrice apparaissant sur toutes les victimes de ces jours sinistres. Et j’avais fais parti des auteurs de ses crimes immondes… J’avalai avec difficulté ma salive, qui avait attaqué cette jeune femme ? Nous, mangemort on attaqué quelqu’un et on l’oublie le lendemain, mais pour les victimes, c’était des souvenirs sans cesse ressassé. Je la fixais à mon tour droit dans les yeux.

-Qui t’as fais ça ?

Les ordres avaient été clairs ce jour là. Pas d’élève. Cette embuscade avait été donnée dans le but de détourner l’intention d’un meurtre bien ailleurs, découvert deux mois plus tard grâce à cette diversion. Une diversion qui avait marqué cette jeune femme. Parfois je me demandais ce que je fessais mangemort, car je n’étais pas toujours en accord avec ce qui était dit et que je détester recevoir des ordres… Père, j’espère que tu es fier de moi de la haut malgré mes hésitations…

Rowann regardait une scène au bout du couloir. Une meute d'infirmiers étaient en train de calmé un patient qui hurler qu'il n'était plus rien sans sa jambe. Un infirmier avait valsé deux mètres en arrière, tombant sur son postérieur, cette vie d'hôpital ne devait pas être toujours facile... L'homme détourna son attention de la scène, revenant a la discussion entre la jeune fille et lui. Le sourire aux lèvres, il lui dit :

-Je ne me sens pas obligé. J’n’ai pas trop envie de rentrer chez moi…

Cela voulait dire qu'il n'avait pas de famille... Darcy le comprenait, étant était élevé avec des parents sans cesse absent, elle savait que rentrer chez soi quand il n'y a personne, ce n'est pas marrant, elle savait ce que c'était de manger seule, de dormir seule et tout ce qui s'en suis... Décidément, cette sortie a Pré-Au-Lard s'était vraiment pas déroulée comme elle le pensait, mais bon, une chose en amène a une autre, et se retrouver a discuter de choses et d'autres avec cet ce bel homme n'était pas une chose désagréable non plus. Soudain, les yeux de Rowann se posèrent sur le bras de la jeune fille. Celle-ci baissa automatique les yeux, il allait sûrement lui poser la question qui lui avait était posé beaucoup de fois depuis l'attaque.

-Qui t’as fais ça ?

Elle avait raison. Mais la jeune femme n'était pas décidé a se dévoilé pour autant, elle ne voulait vraiment pas se lancer dans des explications qui seraient confuses, car les sortilèges Doloris qui avaient étaient pratiqués sur elle lui avait fait perdre la moitié de ce qu'il c'était passé. Elle ne comprenait même pas la raison de cette descente de Mangemorts dans ce village, pourquoi ce carnage, qui étaient ces mangemorts ? En tout, elle doit la vie a son camarade, si il n'était pas arrivé, Darcy ne serait pas ici, en train de discuter tranquillement avec un homme... Affichant un sourire quelle fit paraître pour naturel, elle lui dit :

- Oh ça, c'est .. Une chute dans un escalier de Poudlard, ils bougent tout le temps ces escaliers, c'est énervant.

Elle fit un petit rire, il n'y avait que ça qui lui était venu a l'esprit comme mensonge. Hors Darcy ne savait pas mentir, cela se voyait sur son visage, premièrement ses joues devenaient légèrement rose et elle baissait les yeux.. Espérant qu'il n'y verrai que du feu, elle ajouta :

- En plus, je suis très maladroite. Dit-elle en regardant Rowann.

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La jeune femme me raconta une excuse pitoyable à propos de cette marque, avec une histoire d'escalier... Je dois avouer que j'étais déçu d'une excuse aussi peut vraisemblable d'une jeune femme de Serdaigle, qui s'enfonçait d'avantage en ajoutant qu'elle était maladroite. Je lui adressai un grand sourire amusé et j'ajoutai avec un petit rire.

-Maladroite et une effroyable menteuse...

Je riais doucement, un chariot chargé de médicament passa à proximité et j'attrapai trois pots différents. Je fis un petit signe à l'aide soignante qui me fit une grimace amusante. C’était une jeune femme attachante bien qu’un peu trop puérile à mon goût, je savais qu’il fallait savoir s’amuser de temps en temps, mais rien n’empêche d’voir un peu de sérieux de temps à autre. Et du sérieux, il lui en manquait évidement beaucoup. Je me tournai à nouveau vers elle et je lui dis avec un air de défi.

-Si tu me dis la vérité beauté fatale je te fais disparaitre cette marque.

Je riais à nouveau, j'étais doué un peu en tout, et si je m'étais donné la peine de découvrir ce mélange c'était pour un ami brulé au 1er degré dans tout le dos par des flammes magiques d'un aurore. Je lui adressai un sourire amusé en attendant qu'elle me disse tout. Je retournerai bien élève à Poudlard si toutes les jeunes femmes mettent leurs atouts en avance, enfin je n’étais pas à plaindre, à l’hôpital, j’étais l’un des rares hommes y travaillant et j’était bien entouré. Mais désormais, je devais faire une croix sur ses jeux. J’appartenais à Katherine, j’avais fais mon choix, aussi dur soit-il.

Malheureusement la jeune femme fut déçue, elle n'avait pas réussit a faire croire a son mensonge.. Cela se voyait sur son visage, Rowann regarda la jeune femme, un grand sourire aux lèvres, il eut un petit rire. Darcy baissa la tête, et regarda le carrelage, un peu confuse.

-Maladroite et une effroyable menteuse...

Après ces mots, une infirmière passa devant nous, en poussant un lourd chariot chargé de médicament, Rowann l'arrêta, il lui adressa un petit sourire, lui dit quelque chose et prit trois pots de médicaments différents, Darcy se demandait ce qu'il voulait faire avec ces médicaments. Il revint a la discussion, les pots toujours en mains. Pourquoi Darcy avait elle enlevé sa cape ? Si elle ne l'avait pas fait, il n'aurait pas vu cette horrible marque. Elle regarda le jeune homme qui lui dit :

-Si tu me dis la vérité beauté fatale je te fais disparaitre cette marque.

Tout lui dire ? C'était impossible, dût a sa légère perte de mémoire... Elle le regarda droit dans les yeux, les yeux du jeune homme étaient plaisant a voir, il avait un très beau visage. Mais un visage qui avait déjà vu des choses horrible...

- Ok. C'est vrai, je ne suis ... pas tombée dans ces escaliers...

Elle hésita, ne sachant pas quoi dire. Puis elle continua.

- L'année dernière, lors d'une sortie a Pré-Au-lard, il y a eu une descente de Mangemorts, et je me suis réfugiée dans une maison vide, sauf que ces Mangemorts m'ont retrouvé, et m'ont presque tuée a coup de sortilèges Impardonnable. Je suis arrivée ici a demie-morte grâce a un ami qui m'a sauvé. J'en ai gardé cette marque, malheureusement. Je préfère avec une cicatrice qu'être morte. je suis désolé de ne pas t'en dire plus, je ne me souviens plus des détails.

Elle se tourna vers le jeune homme, en attendant sa réponse. C'était la première fois qu'elle en parlé a quelqu'un, c'était un peu dure, c'est un souvenir qu'elle aurait préféré oublié, malheureusement, ce n'est pas possible.

Invité

Allons donc ? Je le savais tout ça ! Enfin bon, je n’allais pas le lui dire. Je l’observai, elle avait l’air bien triste de tout ça, mais il ne fallait plus qu’elle y pense, les criminels n’y pensaient plus, et je parlais en connaissance de cause… Elle ne se souvenait de rien ? En même temps si elle avait du subir des endoloris c’était un peu normal et elle aurait pu finir comme les Londubat. Je l’observais avec un léger sourire, de compréhension. Moi aussi j’avais déjà subi les endoloris et les Imperio. Je savais que c’était une douleur sans pareil, mais je pensais que perdre ses parents avait été ma pire douleur et que le mal physique n’était rien. Je lui demandai sans montrer ne once d’espoir dans ma question

-Tu ne te souviens de rien ? Pas une voix ? Pas un nom ? Rien ?

Je ne souhaiter pas la brusqué, je ne voulais pas paraitre trop suspect et si elle me disait que non, je n’insisterai pas. Après tout, si elle ne voulait pas en parler, je n’avais aucune raison de la forcer. Elle en parler tout de même avec simplicité, ou c’était peu être une impression que je me fessais. En tout cas je ne vis pas vraiment de tristesse dans son regard, mais plutôt de la colère. Elle était vraiment en haine contre les mangemorts je le voyais dans ses yeux. Et probablement si elle me démasqué, elle essayera probablement de se venger sur moi… Je dis bien essayer car il n’y avait pas vraiment de chance pour qu’elle puisse me torturer. J’ouvris les trois pots et je sortais de ma poche un petit flacon vert, qu’elle regarda de façon suspecte, je lui adressai un sourire amusé tout en attendant sa réponse je préparer ce fabuleux mélange de guérissons. Un secret que je garder pour moi. Je ne voulais pas qu’on sauve des victimes que nous aurions fais grâce à moi. Non, je soigner qui me chanter avec, c’était un peu pour ça qu’on me trouvait doué, on m’avait demandé comment j’avais soigné le dos de cet homme, et j’avais simplement répondu que je l’ignorais. On pensait que j’avais un don, mais ce n’était seulement un talent que de toujours chercher à accroitre dans tous les domaines.

Cette obsession de toujours devenir plus fort m’était venu avec mon père, je voulais être aussi fort que lui, ensuite je voulais être plus fort que lui, ensuite je voulais être aussi fort que le maitre. Pourquoi je ne savais pas vraiment. Est-ce que si un jour je le surpassai je le défierai ? L’idée me fit frissonner, je ne voulais me retrouver à la tête de rien, je n’étais même pas sur de la voie que je prenais et dans laquelle je m’enfonçais jours après jours.

-Je ne veux que tu disse à persone, que c'est moi qui t'ai fais partir cette marque d'accords?

Rowann regardait bizarrement la jeune femme, comme si il comprenait ce qu'elle ressentait, mais en même temps, il y avait cette dureté dans ces yeux, cette dureté qu'il ne quitté pas. Il baissa doucement la tête, puis réfléchit.

-Tu ne te souviens de rien ? Pas une voix ? Pas un nom ? Rien ?

Pourquoi cette question ? Darcy se demandait d'où venait cette curiosité pour cette histoire.. Mais bon, pour cette question elle replongea dans ces pensée, dans ce souvenir douloureux, essayant tant bien que mal de se rappelé. Elle s'était réfugié dans cette maison, elle était seule, elle s'était cachée...

" - On fouille toute la maison ! J'ai vu cette gamine entré dedans ! " Cria sauvagement un des Mangemorts.

Darcy était dans l'armoire, la porte pas totalement fermé, la main sur la bouche, de peur. Le Mangemort passa devant l'armoire, s'arrêta, puis ouvrit la porte d'un geste brusque. Elle prit la jeune fille par la nuque et la jeta par terre. Elle vit la scène, 3 Mangemorts devant elle, plus celui qui l'avait trouvé. Leur visage... Un blond, grand et musclé, un homme au cheveux noir, une cicatrice a l'arcade, et un homme, grand, mal rasé, les yeux d'un bleu.... Un bleu qu'elle connaissait... Comme.. Non non non, elle eut un rire intérieur, ce n'était pas possible, il était guérisseur. Toujours dans ces pensée, elle fut interrompue par Rowann, qui lui parlait. Extrêmement troublée, elle le dévisagea.

-Je ne veux que tu disse à persone, que c'est moi qui t'ai fais partir cette marque d'accords ?

Il fallait qu'elle sorte cette idée absurde de sa tête, ce n'était pas possible, on ne peut pas avoir la vocation d'être guérisseur, d'aider les autres en étant Mangemort, c'était tout simplement impossible. Mais quand même, ce fut une idée très troublante. Et puis, pourquoi voulait-il savoir tout ça ? Elle répondit a Rowann.

- Non non, bien sûr que non, je ne le dirai a personne. Dit-elle.

Invité

J’étais un peu déçu qu’elle ne se souvienne pas, en même temps c’était un peu temps mieux car elle n’aurait jamais du survivre si son ami était là, et les auteurs risquaient gros. Je ne me rappelais pas vraiment de cette journée non plus, j’avais oublié, comme j’oubliais les horreurs que j’avais faites dans ma courte vie. Je regardais la jeune femme puis je me remis à la préparation de la crème. J’eus fini et je rajoutais ce flacon verdâtre, seulement deux gouttes. La crème fit un bruit comme de l’acide et quelque bulle, je pris la main de la jeune femme, qui me fessais confiance, étrange, je pourrais bien faire en sorte qu’elle attrapa un cancer de la peau ou n’importe quoi, mais elle le fessait confiance. J’étalé la crème sur sa marque, puis je massais son bras.

-Tu dois te demander pourquoi je refuse que tout le monde sache qu’un tel mélange existe… Et surtout si je tiens à le garder secret, pourquoi je te guéris toi ? J’aimerai bien tout t’expliquer mais ça serai trop long… Bien trop long.

Je lui adressai un sourire amusé, et pour l’embêter un peu quand j’eus fini de faire pénétré la crème dans sa peau blanche je montais mes mains en hauts de son bras et je le vis frissonner, ce qui me fis pouffer de rire. Je ne savais pas ce qui me poussait vraiment à provoquer. Je sentais que quelque chose se préparer, que les mangemorts allaient en prendre pleins la tête, et la vie était trop courte, mes parents, n’étaient plus là pour voir comme je suis devenus fort… C’était pour eux tout ça… Je souris à la jeune femme et j’ajoutai

-Tu devrais oublier cette histoire de descente de mangemort. Tu as souffert, mais tu en verras d’autre, il y aura toujours des… Méchants… Des méchants... On ne change pas le monde.

Le mot méchants ne signifié rien pour moi. J’étais méchant ? Pour beaucoup de monde oui, mais n’était-ce pas eux qui avait tué mes parents ? Alors quoi ? Je suivrais ma route, parce qu’il n’y a pas vraiment de bons ou de gentils, car des deux côté il y a eu des meurtriers, mes parents ne seraient pas tombé sans ces soit disant « gentil » et « bienfaiteurs »

La jeune fille se demandait ce qu'elle était en train de faire, jamais, elle n'aurait laissé un inconnu la touché, et surtout touché cette partie de son corps, une partie pleine de souvenirs, mais si cet homme était capable de faire partir cette marque, alors elle le laisserait faire. Rowann regardait la jeune fille, puis continua sa préparation, quelques gouttes d'un médicament, deux gouttes violette, ce qui fit une substance crémeuse bizarre. Il remua le tout, et en prit un peu. Le jeune homme prit le bras de la jeune fille, et étala doucement la crème sur sa peau diaphane.

-Tu dois te demander pourquoi je refuse que tout le monde sache qu’un tel mélange existe… Et surtout si je tiens à le garder secret, pourquoi je te guéris toi ? J’aimerai bien tout t’expliquer mais ça serai trop long… Bien trop long.

Une fois la crème étalée, Rowann fit monté ses mains de plus en plus haut sur le bras de la jeune femme. Celle-ci eut un frisson. Le jeune homme pouffa silencieusement, Darcy aussi. A quoi joué t-il ? Un si beau jeune homme devait déjà être en couple, Darcy s'en douté, alors, pourquoi faisait-il cela ? Il baissa les yeux tout doucement, il réfléchissait a quelque chose, puis, d'une voix douce, il lui dit :

-Tu devrais oublier cette histoire de descente de mangemort. Tu as souffert, mais tu en verras d’autre, il y aura toujours des… Méchants… Des méchants... On ne change pas le monde.

Elle baissa la tête, elle eut soudain un genre de souvenir, elle venait dans se revoir dans cette pièce de la maison inhabitée. Elle scruta silencieusement l'homme qui se tenait, devant elle, le troisième des Mangemorts, essayant en vain de se rappelé, elle était par terre, les yeux mi-ouverts, un des Mangemorts c'était penché sur elle, l'avait regardé dans les yeux, et lui avait susurré a l'oreille, " A tout à l'heure ". Pourquoi cette phrase ? Soudain elle n'était plus dans la pièce a Pré-Au-lard, mais dans une chambre d'hôpital, une perfusion au bras. Puis un médecin était rentré, Darcy était encore un peu endormie, elle n'avait pas fait le rapprochement.. Mais maintenant, ses yeux bleu, cette voix, cette phrase, elle se leva soudain de sa chaise, dos a Rowann, elle se prit la tête dans les mains.

Invité

Je vis la jeune femme se relever dos à moi. Tout cela avait assez duré, j'étais lassé de prendre des pincettes avec elle. Je jetai un regard aux alentours, rien de suspect. Je m'approchai de la jeune femme, j'enlaçai sa taille de mes bras en bloquant ses bras maigres et impuissant le long du corps de la jeune femme, et mes deux mains étaient posées sur sa poitrine et cette fois elle eu un sursaut. Je souriais et j'embrassai sa joue avant de murmurer.

- Assez joué maintenant...

Je regardai un peu partout, personne en vue, je transplanai. Je me retrouvai dans un parc appartenant à l’hôpital mais qui ce trouvai en retrait. Je relâchais la jeune femme en la poussant au sol, j'en profitais pour reculer de deux mètres et de sortir ma baguette, je la fixai alors qu'elle se relevait à peine.

- Ne bouge pas Darcy Spencer.

Je la fixai de mes yeux bleus ma baguette pointée droit sur son cœur. Je ne la quittai pas des yeux, si elle bougeait, même pour prendre sa baguette, je la tuais. J'aurai pu le faire il y a un an. J'aurai largement eu le temps de la tuer, mais je ne l'ai pas fait. C'était bien pour cela que j'étais instable, je me laissai de trop porté par mes sensations j'avais beau être très fort, j'étais trop instable, j'avançai sur un fils craquelés. Je lançai à la jeune femme.

- C'est moi. C'était moi. Je peux tout te faire oublier. La marque va commencer à partir... Tu vas avoir très mal... Comme si de l'acide était sur ton bras et ronger ta peau... Pourquoi tu m'as fais confiance Darcy Spencer?

Je ne l'avais pas trompé, mais je ne lui avais pas dit pour la douleur, le mangemort auquel j'avais appliqué cette crème avait hurlé de douleur puis c'était évanoui. Que fera la jeune femme? J'attendais avec curiosité. Tout comme j’avais été surpris qu'elle me fasse confiance.

Darcy était dos au jeune homme, se prenant la tête dans les mains, pour avoir les idées claires. Soudain des bras d'homme, ceux de Rowann la saisirent doucement, l'a faisant sursauter, ils l'emprisonnèrent. La jeune femme fut comme électrisée, elle ne savait plus quoi dire, de peur, ses soupçons se révélèrent juste, il était le Mangemort de Pré-Au-Lard.
Le Mangemort regarda autours deux, puis, d'une voix basse, il lui dit a l'oreille.

- Assez joué maintenant...

Ils transplanèrent. Toujours cette même sensation d'envol, de suffocation, puis ils arrivèrent dans un parc, vide, il n'y avait pas un hiboux, il poussa a terre la jeune femme, celle-ci ne mit pas beaucoup de temps a se relever, tremblant de peur, revivant les même sensations que l'année précédente, son coeur battait a tout rompre, la laissant pâle.

- Ne bouge pas Darcy Spencer.

A peine c'était-elle levée que le jeune homme pointa sa baguette sur elle, droit sur le coeur, elle savait qu'il était capable de ressentir le moindre battements de coeur avec cette baguette qui l'a touché. Si elle bougée ne serait-ce qu'un peu, il l'a tuerait, sans aucuns témoins alentours. Il s'approcha d'elle silencieusement, l'a regardant dans les yeux, de ses yeux bleus, ravivés d'une cruauté sans pareils.

- C'est moi. C'était moi. Je peux tout te faire oublier. La marque va commencer à partir... Tu vas avoir très mal... Comme si de l'acide était sur ton bras et ronger ta peau... Pourquoi tu m'as fais confiance Darcy Spencer ?

Pourquoi l'avait-elle laissé l'a touché avec cette crème bizarre, elle aurait du se douter de quelque chose, pourquoi un inconnu serait rester a côté d'elle, à l'aider comme cela. Elle commençait a ressentir les effet du médicament, se touchant le bras, elle pâlit, respirant difficilement. Elle ne méritait pas cela, pourquoi elle. Elle regarda le Mangemort.

- Pourquoi t'acharner sur moi ? Lui demanda t-elle. Je..

Elle fut interrompu, tombant sur les genoux, en se tenant le bras, elle gémit.

- Je n'ai rien fais, pour mérité cela.. Elle hurla de douleur, comme si des centaines d'aiguilles lui rentrées dans la peau.

Invité

La jeune femme tomba à genoux se tenant le bras, je restai méfiant tout de même, je me doutais bien qu’elle avait mal, et que là, elle devait me haïr, probablement comme personne ne m’avais jamais haï. Je voyais dans ses yeux des larmes mélangé à la colère avec beaucoup d’incompréhension. Je la voyais souffrir, et pourtant je n’étais pas capable de compatir à sa douleur qui devait être affreuse. Je m’agenouiller devant elle et je toucher le bout de son nez avec ma baguette alors qu’elle demander pourquoi je m’acharnai contre elle. Je posai ma main sur son épaule et je lui répondais d’une voix douce

-C’est ainsi que tu me remercie de guérir ce que j’ai fais ? Combien de gens font ce que je fais pour toi ?

Elle se mit à hurler de douleur, je saisis son bras, la marque commençait déjà a partir, il n’y en aurait pas pour longtemps pour qu’elle tombe dans les vapes. Je la fixer droit dans ses yeux, alors qu’elle essayer de les éviter, elle avait peur, que je fasse quoi ? Me croyait ‘elle aussi lâche pour profiter de la faiblesse d’une de mes victimes ? Je caressai ses boucles dorées et je lui dis avec un sourire carnacié

-Arrêtes de lutter, tu te fais plus de mal qu’il n’en faut…

Je me mis à rire. La peur la poussait à lutter contre l’impossible, tout comme j’avais lutté le jour où l’on m’avait donné la marque maudite, et que j’avais perdu connaissance une heure après l’avoir eu, bien trop épuisé, mais bien plus fort que l’on se qu’on aurait pu croire. Je regardais la jeune femme défaillit doucement en tombant vers moi, je passer mon bras autour d’elle et je volais sa baguette magique dans sa poche et j’ajouter

-Darcy Spencer… Dors. Dors ou je t’y oblige !

La jeune fille était a terre, la faiblesse incarnée en cet instant, il aurait pu faire ce qu'il voulait d'elle, pourtant, il s'agenouilla devant elle, mis sa baguette juste devant son nez, la main sur l'épaule il lui dit d'une voix mielleuse.

-C’est ainsi que tu me remercie de guérir ce que j’ai fais ? Combien de gens font ce que je fais pour toi ?

Il n'aurait jamais rien eut a soigner quoi que ce soit si il ne l'avait pas agresser l'année précédente. Elle souffrait a en mourir, souffrance qu'elle avait déjà connue, souffrance infligée par le même homme, c'était le comble. Quel genre d'humain peut prendre du plaisir a torturer quelqu'un ? Comme si rien ne ce passé, il caressa les boucles blondes de la jeune femme et lui dit avec sourire cruel :

-Arrêtes de lutter, tu te fais plus de mal qu’il n’en faut…

Alors là, jamais. Elle avait apprit a ne pas succomber une deuxième fois a cette torture, elle pouvait le faire, se tenant le bras de toute ses forces, puisant dans les méandres de son esprit, elle cherché un moyen de résisté, elle n'allait pas lâché prise, pas devant cet homme, pas devant la source de cette cruauté. La jeune femme bascula légèrement en avant, elle n'osait pas ouvrir les yeux, de peur de rencontré les yeux du Mangemort, comme si le regardé allait encore plus lui faire du mal. Le jeune homme la rattrapa, l'enlaçant de ses bras, elle sentit quelque chose disparaître de sa poche, elle ne savait pas qu'est-ce que cela pouvait être, son cerveau se pensait pas a cela. L'homme se pencha sur elle, et lui murmura :

-Darcy Spencer… Dors. Dors ou je t’y oblige !

Non, il ne fallait pas. Elle arrivait a rester consciente, ce qui énervait sûrement le Mangemort, elle avait pourtant les yeux fermé, ne voulant pas dévoilé encore plus sa détresse. La scène avait quelque chose d'inhabituel, la jeune femme, dans les bras de celui qui lui avait infligé cela. Prenant sur elle, elle lui dit d'une voix basse.

- Laissez moi... Laissez moi ... Je ne dormirais pas...

Invité

J'excellais dans la manipulation, elle souffrait dans mes bras je caressais toujours ses boucles dorée, la pauvre malheureuse qui se lamentait de sa douleur, est-ce que au moins elle savait ce qu'était la douleur d'être seul, de se retrouver sans personne à seulement 11 ans. Bien sur que non, alors je la laissais supporter la douleur. Elle bascula contre moi, elle c'était évanouie. Je fus étonné d'entendre sa voix me dire qu'elle ne céder0ita pas. Je dessinai un sourire amusé… J’étais assez surpris, moi qui pensais qu’elle avait abandonné, mais elle lutter toujours.

-Tu es plus forte que je ne pensais Darcy Spencer.

Je la pris par les épaules et je l'allongeai sur le dos alors qu'elle se tortillait de douleur, je pris son bras où la marque était à l'état de trace, cette histoire de la faire dormir n'avait été qu'une parade pour la désarmer sans violence. Je me relevai la laissant se tortiller sur le sol, je distinguais de la sueur sur son front, je n'avais pas pitié. Je repris la parole.

-C'est bientôt fini. Le plus dur est fait.

Je me détournai d'elle, une baguette dans chaque main, je levai mes yeux au ciel, les étoiles y brillaient. Mes yeux bleus se pendirent dans cette obscurité. Je n'entendais plus gémir, ce parc était immense, je mettais peu être de trop éloigné. Je devais aller voir si c'était fini, je revenais sur mes pas elle n'était plus là mais je sentais sa présence, était-elle partie à ma recherche ou essayait-elle de me fuir?

-Darcy Spencer! Darcy où es-tu? Darcy... Reviens...

La jeune femme était toujours dans les bras du Mangemort, celui-ci lui caressait ses boucles, sûrement très fier de lui, d'avoir aussi bien manipulé une vulgaire élève, celle-ci était consciente mais plongée dans ses pensée, tentant de trouver un moyen de ne plus pensé a cette douleur, mais elle se posé des questions, si le jeune homme lui voulait tant de mal que ça, pourquoi ne l'avait t-il pas tué, ou du moins, achevé ? Il voulait peut-être le faire quand elle serait complètement consciente...

- Tu es plus forte que je ne pensais Darcy Spencer.

Intérieurement, elle sourit, il savait donc qu'elle n'était pas inconsciente. Il m'allongea sur le dos, la jeune femme tremblé de tout son corps frêle, l'herbe était fraîche et apaisée quelque peu la chaleur qui l'a brûlait tant, peu à peu, la douleur quitté la jeune femme, celle-ci se mit a moins tremblée, elle était contente d'elle, elle n'avait pas céder, elle était resté consciente...

-C'est bientôt fini. Le plus dur est fait.

Oui, c'était bientôt fini, et la jeune femme le sentait, à présent, elle savait très bien ce qui se passé, elle était allongée dans l'herbe, sa conscience avait reprit le dessus, elle ouvrit lentement les yeux, agitée maintenant que par quelques spasmes secondaires. Elle respira plus posément. Elle leva lentement la tête, une brise fraîche agitée ses boucles, l'homme avait disparu, elle se leva maladroitement, encore un peu secouée, il était assez loin d'elle, elle réfléchit quelques instant, puis d'un pas vif elle s'éloigna, le laissant seul, elle se mit dans l'obscurité totale de cet immense parc, adossé a un arbre, elle n'avait pas sa cape, elle avait donc assez froid. Elle regardait le jeune homme faire demi-tour.

-Darcy Spencer! Darcy où es-tu? Darcy... Reviens...

Il fouilla l'endroit de ses yeux bleu, il ne l'a vit pas tout de suite, la jeune femme remarqua alors qu'il tenait en main deux baguette, vivement, elle regarda dans ses poches, sa baguette avait disparue, elle eut un sourire, il avait réussit a lui prendre quand elle n'était presque plus consciente, voila pourquoi il l'avait prise dans les bras. Toujours contre le mur, un léger sourire aux lèvres, elle se fit entendre, elle ne pouvait pas se permettre de repartir sans cette baguette.

- Ici.. Dit-elle doucement.

Invité

J’entendis un faible, ici… Mais je ne la voyais pas, elle se cachait donc ? Elle voulait jouer ? Elle me plaisait de plus en plus cette petite. Elle avait lutté et de plus, elle voulait jouer avec moi. J’étais bon joueur, mais tous les avantages étaient pour moi dans cette situation. Je rangeai les deux baguettes dans ma poche puis je disparu à mon tour dans l’obscurité. Et je lançais d’une voix ténébreuse quelque chose qui allait énormément l’effrayer. Je prenais plaisir à lui faire peur et la torturer psychologiquement, j’étais maître en manipulation et elle allait le savoir

-Tu ne veux pas te montrer Darcy ? Et bien je vais te pourchasser, je suis très bon chasseur tu verra j’ai… L’instinct ! Crois moi, il y a pire que la mort !

Je torturais son esprit, je disparus dans l’obscurité sans un bruit. Je fis des cercles dans le parc, mes quatre pattes ne fessant aucun bruit, le lynx du Canada, un animal effrayant, et tout particulièrement dangereux. Il cessait de marcher, et mes oreilles fines d’animal perçurent la respiration haletante de la jeune femme qui me cherchait, ou qui cherchait un abri qui sais-je. Je la localisai, je me tapi dans un buisson tout prés d’elle, elle s’approchait de moi sans me voir, soudain dans un silence je vis son visage se troubler en me fixant droit dans les yeux, dans cette obscurité, mes yeux persans bleus elle les avait reconnu et je bondissais sur elle je la mordis avec une joie sans pareil à la cheville, je sentit le gout du sang dans ma bouche, ma forme animal lui en fit ouvrir l’appétit, je sortais les griffe et je la porter au dessus du visage de la jeune femme, qui serai défiguré à jamais dans un violent coup de patte. Mais je m’en allai. L’abandonnant ainsi, cheville ensanglanté, puis je revenais à deux pieds, les deux baguettes dans la main et je lui lançai avec un sourire criminel

-Bah ça alors… Tu t’es fait attaquer ? Humm… Imprudents de se promener sans baguette n’est ce pas ?

Je m’asseyais en tailleur à un mètre plus loin qu’elle, je voyais bien qu’elle avait mal, elle devait se demander pourquoi je prenais ce plaisir à la torturer, c’était simple pourtant. C’était ma proie. Je n’avais pas la moindre intention de la tuer. J’avais de meilleurs projets pour elle. Je sortis de ma poche une longue bande blanche et je lui fis signe de se trainer jusqu’à moi pour la guérir. Elle était à nouveau forcée de venir à moi. Cela m’amusait.

Le Mangemort pourchassait la jeune femme, celle-ci était tapie dans l'ombre d'un arbre, il faisait très sombre maintenant, elle le regardait faire des rondes, se tourner, appelé, mais Darcy avait décidé de ne pas répondre, elle resterait là où elle était. De son coin, elle pouvait tout observé, ainsi elle voyait si Rowann s'approché d'elle ou non. Soudain il s'exclama.

-Tu ne veux pas te montrer Darcy ? Et bien je vais te pourchasser, je suis très bon chasseur tu verra j’ai… L’instinct ! Crois moi, il y a pire que la mort !

Un très bon chasseur ? Pire que la mort ? Darcy ne faisait pas le rapprochement, elle ferma les yeux quelques instants, pour se laisser le temps de réfléchir a ce qui pouvait être pire que la mort, elle ouvrit les yeux, sans réponses sa question muette. Le mangemort avait disparu, elle fut paniqué tout à coup, où était-il ? Elle le chercha des yeux, priant pour qu'il ne l'ai pas vu. Elle changea de place, se mit derrière un petit arbre, elle tourna la tête et soudain, elle vit un animal a côté d'elle, animal effroyable, au dent carnassières, et aux yeux bleus, bleus comme celui d'un Mangemort connu... Elle n'eut pas le temps d'esquiver un mouvement de défense, qui aurait était inutile sans baguette d'ailleurs, l'animal bondit sur elle, la gueule ouverte, elle bascula en arrière, sous le poids de la bête, celle-ci l'a mordit violemment a la cheville, la jeune femme hurla, trop de douleurs en une soirée. L'animal s'avança, la patte au dessus de son visage, griffes dehors. Darcy ferma les yeux, tourna la tête, l'animal allait la tuée. Mais par miracle, il s'arrêta et partit a toute allure vers les buisson, la jeune femme resta là un moment, la douleur dans la cheville, couchée sur l'herbe fraîche, les yeux clos. Un homme qu'elle connaissait venait a sa rencontre, Rowann. Celui-ci parut amusé par la scène, il se mit en tailleur par terre, le sourire aux lèvres et lui dit :

-Bah ça alors… Tu t’es fait attaquer ? Humm… Imprudents de se promener sans baguette n’est ce pas ?

Darcy c'était redressée, se tenant la cheville, elle paraissait pâle, elle regardait le jeune homme qui avait sortit une bande médicale, il lui fit signe de venir, elle refusa.

- Je préfère encore resté ici, je ne veux plus de ton aide, d'ailleurs, je n'aurai jamais besoin de ton aide si tu ne m'attaquais pas sans cesse. Trouve toi une autre victime.

Sur cette phrase, elle se recoucha dans l'herbe, essayant d'oublier la douleur, contemplant les étoiles de cette nuit noire.

Invité

Elle refusait ? Alors là, je ne pus m’en empêcher, je me mis à rire aux éclats de joie, franchement, on n’avait pas l’occasion de rire comme ça tout les jours quand on était mangemort. Je contemplé la jeune femme s’allongeai dans l’herbe, je regardais le sang s’écoulé de la cheville de la jeune femme, j’avais eu un sacré coup de dent tout de même, cela me fis sourire. Je levai à mon tour la tête vers le ciel, puis je reportais mes yeux bleus sur Darcy, une fille très intelligente, mais son hurlement de tout à l’heure m’avait empli d’une joie terrible. Je m’allongeai à mon tour, sur le ventre, je posai mes coudes au sol et je posai ma tête entre mes mains, j’étais tout proche de son visage et je lui parlais d’une voix calme

-Darcy Spencer… La mort c’est trop simple tu sais. Tout le monde peut mourir, mais tout le monde ne peut pas lutter. Pire que la mort, il y en a des tas de choses. Souffrir, souffrir et souffrir. As-tu déjà perdu quelqu’un dans ta vie ?

Je fixai la jeune femme de mes yeux bleus, elle me regardait presque avec de la peine, je fronçais les sourcils et je ne voulais pas de sa pitié et je me relevai brusquement et je lui disais d’une voix forte et un peu relevée par la colère

-Ne me regarde pas comme ça Darcy ! Je te l’interdit !

Je voyais bien qu’elle savait pour mes parents, et mon tuteur, elle avait du se renseigner sur le mangemort qui lui avait fait endurer tout ça ! Je ne laisserai pas le vent tourner, je ne laisserai personne me dire qu’il a de la peine pour moi, et je ne laisserai personne croire qu’il peut compatir ce que j’ai pu ressentir, toute cette haine et cette douleur ! Je ne laisserai personne s’approcher d’aussi prés de ma vie.