L'art de se faire pardonner (pv)
    Cher visiteur,

    Tu viens de pénétrer dans une zone de quarantaine!! Tout le monde peut entrer, mais sortir d'ici est impossible. Ainsi, tu n'as plus d'autre choix que de t'inscrire mais attention !! Les membres de ce forum sont fou, psychopathe et complètement atteint de la cervelle, fan de ship, bizarre... Le staff de ce forum aime le sang, les morts et le sadisme... Cher visiteur, si tu es un minimum drôle et déluré, alors les personnes composant Deathly Hallows sont tes amis!!

    De toute façon tu n'as plus le choix, tu es contaminé, tu es perdu... Tu vas bientôt devenir toi aussi un ADC (Atteint De la Cervelle) et ça ne se guérit pas alors n'attend plus, et inscris-toi."

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    On est pas obligé d'être fan d'Harry Potter pour s'inscrire sur ce forum. :-) Laissez nous notre chance, vous verrez qu'on est pas méchant. ̿ ̿̿'̿'̵͇̿̿з=(•̪●)=ε/̵͇̿̿/'̿'̿̿̿ ̿ ̿ ̿
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 L'art de se faire pardonner (pv)

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MessageSujet: L'art de se faire pardonner (pv)   L'art de se faire pardonner (pv) Icon_minitimeJeu 27 Jan - 16:32


••• L'artde se faire pardonner




Muzicons.com


Le temps on le remonte, l'été, il faisait beau, rien ne c'était passé, j'avais 19 ans depuis peu, je paraissais 25 ans, le visage dur, qui contrôle tout, qui a tout ce qu'il veut, sur de lui, sur de ses choix et de ses actions, persuadé que le mal et le bien n'existe que dans les livres pour enfants, les femmes se retournaient après mon passage ce faisait des films dans leur tête et vu leur regard, cela ne me semblait pas très catholique. Et lorsque je me retournais et que je croisais leur yeux je voyais leurs joues rougir et je leur adressai un de mes sourire ravageur et parfois, je les abordais, juste par envie... L’allée des embrumes, un endroit assez lugubre, assez mal fréquenté (d’ailleurs j’y été), ce n’était pas un endroit pour les enfants, d’ailleurs, c’était un endroit pour personne, si on t’apercevait dans les environs, on te suivait à la trace, jusqu'à ce qu’on découvre ton but diabolique… Si y’en a pas, ils finiront bien par abandonné un jour, pas de panique. Je me rendais à cet endroit justement, un achat important à faire, ce n’était pas vraiment un achat vu que je n’avais pas l’intention de payer cet objet qui me revenais de droit. Cet objet, c'était la montre de mon père, une très belle montre emmené ici en réparation, et je souhaitai la récupérer, je n'avais pas grand choses de ce qui furent mes parents. Je ne savais pas pourquoi je voulais récupérer cet objet, moi qui disais que je n'étais pas affecté par leur mort, voila que je souhaitai récupérer mon dus. J'entrais dans la boutique et le vendeur me fit des courbettes puis me présenta la montre, et me proposa un prix, je plongeai mes yeux bleus dans les siens, puis il la déposa dans ma main et s'en alla derrière son comptoir et me demanda si je souhaitai autre chose. Je ne pris même pas la peine de lui répondre et je sortais de cette boutique nauséabonde. Il faut dire que toutes ces vieilleries ca dégageait une odeur épouvantable, je glissai la montre dans ma poche avant qu'un clochard ne la voit et tente de m'agresser. Je levai mes yeux vers le ciel, il faisait beau en ce jour de juin, le soleil régnait comme seul roi du ciel, une chaleur étouffante, d'ailleurs, je me sentais étouffé sous ma chemise. Et un temps pareil, permettais, de faire pousser des fleurs vraiment magnifique dans l'allée des embrumes. La plante qui se présentait à moi, c'était une jeune femme, au milieu de la rue, encombrée par un vendeur ambulant qui vendait des objets digne d'une déchèterie...

-Hum hum…

L’homme tourna la tête en ma direction, j’étais à cet instant là, appuyé contre le mur, les bras croisé, un léger sourire en coin, il me fixa et se dégagea de la jeune femme est s’exclama sur un ton faussement amicale

–Ohhh ! Monsieur Gahleris ! Quel plaisir de vous voir! Je n’embêtais absolument pas cette jeune femme non… C’est elle qui est venue me voir, je vous le conjure d’ailleurs je vais partir tout de suite pour affaire ! Et oui !

Si je pouvait décrire cet homme je dirai tout simplement le mot : pitoyable… Et je me trouvais franchement gentil, je le fixais alors qu’il me faisait une petit salutation de la tête, soudain je lui déclarant en riant

–Toi un jour… Je vais te tuer.

Et vu que je rirai, il se mit à rire également, comme s’il croyait que je plaisanter, je cessai de rire et je le fixais dans les yeux puis il transplana rapidement devant mon air sérieux, pauvre homme, cela serai bénéfique pour tous que je le tue songeai-je… Je soupirai… Tout cela me laissait et ce n’était pas peu de le dire, de la vermine…

Je regardais la jeune femme, la très intéressante jeune femme, très belle, je m’approchais d’elle gardant les mains dans mes poches et je me plaçai exactement en face d’elle, je la dévisageai et je songeai bien l’avoir vu quelque part… Mais où ? C’était une très bonne question, il n’y avait vraiment pas moyen de me souvenir du où, du comment, du pourquoi… Elle n’avait pas l’air très ravie de ma voir, apparemment, nous nous connaissions, j’avais pour habitude de sourire quand l’ont me regardait de travers et ce fut exactement ce que je fis, je souriais, comme un imbécile attendant la suite des événements….


Dernière édition par Rowann A. Gahleris le Ven 4 Fév - 21:00, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: L'art de se faire pardonner (pv)   L'art de se faire pardonner (pv) Icon_minitimeVen 4 Fév - 7:53

    Fin juin, la fin d’une année scolaire, le début d’une autre. Que demander de plus ?! Liliabeth n’avait qu’ne hate, terminer ses études à Poudlard et entammer sa formation supérieure qui lui permettra d’être une espionne infiltrée pour celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom sans pour autant en être marquée à vie. Non pas que notre Lilia doutait de sa fidélité pour le Mage Noir, loin de là mais elle préférait quand même rester un minimum maitresse de son destin et de ses décisions ce qui devenait tout simplement impossible une fois porteuse de cette marque pour la vie. Lili était trop indépendante et habituée à faire ce qu’elle avait envie quand elle en avait envie ... Et oui, c’est ça la vie de petite princesse ! Soit, revenons en à nos moutons ... Nous étions donc dans une magnifique journée de juin où le soleil brillait, les oiseaux chantaient et surtout où notre Liliabeth eut une folle envie de sortir se promener. Notre belle brune était donc parie en début d’après-midi de la villa familiale après avoir déjeuné en compagnie de son père, de repos ce jour-là. Elle l’embrassa et l’informa qu’elle allait passer à la boutique de sa mère, lui faire un petit coucou avant de flâner dans les rues du chemin de traverse. D’ailleurs, son père lui avait remis une bourse bien remplie afin qu’elle puisse passer une agréable après-midi. La jeune demoiselle lui avait littéralement sauté dans les bras, avait déposer un baiser sonore sur la joue de son papounet et était sortie pour transplaner, vêtue d’une magnifique petite robe couleur de Lilias, ses escarpins en satin assortit, un sac à main griffé où était rangée sa baguette en bois de rose. La jeune femme avait noué ses cheveux sur le coté à l’aide d’un petit ruban lilas comme sa robe. Elle avait alors transplané sur le chemin de traverse.

    Liliabeth était passée à la boutique de vêtements que tenait sa mère et où elle avait trouvé son bonheur comme à chaque fois, à croire que sa maman chérie savait ce qui ferait plaisir à sa fille unique. Après les essayages, la jeuen demoiselle quitta la boutique et continua sa petite balade, entrant dans certaines boutiques, en dédaignant d’autres si bien que les pas de la belle brune la menèrent dans un endroit qu’elle n’avait pas du tout l’habitude de fréquenté. Bien entendu, elle y était déjà venue à de nombreuses reprises en compagnie de son père ou de son grand-père pour diverses affaires mais elle n’y avait jamais mis les pieds seules et ne savaient donc pas à quoi s’attendre. Une si jolie petite demoiselle au visage plus qu’angélique lâchée seule dans l’allée des embrumes, je ne vous explique même pas la situation .... Soit, Liliabeth ne tourna cependant pas les talons, c’était une grande fille après tout et très douée en sortilèges et en mtamorphose, certaine de pouvoir se débrouiller seule dans cette partie de la ville. Liliabeth n’eut pas avancé de trois pas qu’elle se faisait déjà accoster par une femme dépenaillée qui voulait à tout prix lui lire les lignes de la main contre quelques pièces. Lilia s’écarta de la femme en lui demandant de son ton froid et hautain de ne surtout pas la toucher. Devant la réaction de notre jeune aristocrate, la femme s’en alla sans demander son reste. C’est donc avec un petit sourire satisfait au coin des lèvres que notre Lili continua sa visite solitaire de l’allée des embrumes. Elle passa devant plusieurs boutiques, s’arrêta pour observer certaines vitrines sans jamais pénétrer dans aucune de ces boutiques. Il n’y avait rien de bien intéressant pour une jeune femme de son élégance et de sa distinction si bien qu’elle décida qu’il était plus que temps de regagner le chemin de traverse où elle pourrait pleinement profiter de son argent. Pourtant, son retour ne devait pas se passer aussi sereinement que son arrivée.

    En effet, un homme lui barra le passage. Un homme dans le genre plutôt miteux et sans vergogne. Notre belle brune s’adressa à lui de son ton froid et hautain habituel qui en disuadait généralement plus d’un de poursuivre la discution sauf que celui-là ne semblait pas de ceux qu’on impressionne qu’au son de sa voix. Mais ce dernier commença à lui déballer sa marchandise, laquelle n’intéressait aucunement notre Liliabeth et surtout, les prix étaient honteusement élevés ! Liliabeth le lui fit remarqué sans se départir de sa froideur et lui conseilla de ranger tout son fourbi et surtout, de la laisser passer. L’homme tenta alors de la saisir par le bras, ce que notre belle blonde évita de justesse. En une fraction de seconde, Liliabeth avait sa baguette serrée dans sa main gauche, prête à s’en servir mais une ombre vint surplomber les rayons du soleil filtrant dans cette petite ruelle et le visage de l’homme changea du tout au tout. Il s’adressa alors au nouvel arrivant avec déférence et s’enfuit aussi vite qu’il était apparut. Liliabeth était on ne peut plus énervée que lorsqu’elle se retourna, elle reconnu Rowann, un jeune homme qui s’était montré on ne peut plus grossier envers elle dans le passé, grossièreté qu’elle n’avait pas digéré et qu’elle ne digèrerait jamais. En effet, elle avait rencontré le jeune homme peu de temps auparavent alors qu’elle s’était rendue à Sainte Mangouste et il l’avait malmenée, ce que notre Liliabeth n’avait pas du tout apprécié comme vous pouvez vous en douter. Le jeune homme se plaça alors juste en face d’elle tandis que Liliabeth lui lançait un regard noire. Lui, se contenta de lui sourire comme un bennet ce qui ne fit qu’amplifier la colère de notre belle brune. Elle croisa ses bras sur sa poitrine et se décida à parler.

    - Si vous vous attendez à un quelconque remerciement de ma part, et bien vous vous fourrez le doigt dans l’oeil, vous n’en aurez pas ! Je m’en serais très bien sortie seule, je sais me servir d’une baguette ! Et puis, votre impolitesse lors de mon passage à Sainte Mangouste ne me donne nulle envie de vous adresser une quelconque gratitude. Et arrêtez de me regarder avec ce petit sourire en coin ! Ca m’exaspère encore plus !

    Liliabeth se tut, elle avait parfaitement contrôler son ton sansque sa voix ne tremble de la colère qu’elle ressentait en elle. Pour celà, elle avait été élevée comme une comédienne. La jeune demoiselle savait à merveille cacher ses sentiments lorsqu’elle ne voulait pas qu’on détecte son humeur. Cependant, elle ne s’était pas non lus gênée pour rapeller le jeune homme à ses bons souvenirs et surtout, lui demander de lui ficher la paix même si c’était de manière totalement détournée. Elle ne désirait nullement lui parler et encore moins le remercier de son intervention ...
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MessageSujet: Re: L'art de se faire pardonner (pv)   L'art de se faire pardonner (pv) Icon_minitimeSam 5 Fév - 14:51




Je fixais la jeune femme avec un faible sourire en coin, qui m’annonça qu’elle ne souhaitait pas me remercier surtout qu’elle contrôlait la situation, je levais les yeux au ciel, je songeai qu’elle avait une drôle de manière de gérer la situation, mais c’était son point de vue. Les femmes… C’étaient de drôles de créatures, je me demandais parfois ce qu’il y avait de rationnel chez elles ? Enfaite, je n’y pouvais rien, dés que je voyais une belle jeune femme, je ne pouvais m’empêcher de la croire fragile… Et c’était limite un reflex que de venir à leur secours, bien que je sois très individualiste… Je me contenté de sourire, je n’avais jamais demandais à ce que l’ont me remercie, si j’avais attendus que chaque patients de St Mangouste me remercie je n’aurai pas fini. En parlant de St mangouste, elle me rappela que je l’avais charcuté une fois… Je me disais bien que je l’avais déjà vu une fois, c’était ce fameux soir où j’étais revenu pas très clair à l’hôpital, et j’avais dans les veines pas que du sang… Puis elle me fit une remarque sur mon sourire en coin, et là une fois qu’elle eut fini, je ne pus m’empêcher d’éclater de rire… Je voyais bien que ça ne la fessait pas rire du tout, mais j’étais prit d’une crise de fou rire, je crus un instant que j’étais en plein rêves avec une jeune femme très joliment éduqué… Moi j’avais été éduqué un peu plus durement si l’ont puis dire… Je cessais rapidement de rire, ce fut un rire assez bref et discret, mais cela m’avais énormément amusé. Je lui répondais d’une voix amusée

–Mais c’est qu’elle mordrait la vilaine…

Je consentais qu’elle puisse prendre cela comme une moquerie, car c’était un peu ça. Je n’étais pas vraiment quelqu’un de grossier, je savais parfois avoir l’allure d’un noble, mais la vérité c’était que devant une telle prétention, je ne pouvais m’empêcher d’agir en personne plus ou moins banale, et lui montrer que rien ne sert d’être trop au dessus des autres, surtout lorsqu’on est bien inferieur… Mais je doutais fortement qu’elle croit que je sois tout simplement monsieur tout le monde. Je me souvenais parfaitement d’elle à présent. Je n’avais pas songé à lui faire mal, mais disons que même ivre, un excellent guérisseur comme moi, perdait ses facultés, même pour faire dix points de suture de complexité zéro. Je comprenais qu’elle fut froide, car en plus de la malmenée j’avais été assez grossier et insensible à ses murmure de douleur et je l’avais limite violentée lorsqu’elle avait voulu partir. Mais que voulait-elle ? Que je m’excuse de son comportement indigne, elle était bien trop prétentieuse pour que je lui présente des excuses, et moi, je ne m’étais jamais vraiment excusé ou cela avait sonné très faux et cela m’avait valut plus d’une gifle, alors je préférai éviter de l’humilié avec des excuses qui sonnerai comme une messe dite par la bouche d’une prostituée.

Elle était très belle, et je ne pus m’empêcher de la regardait de haut en bas, apprécier les bonnes choses, c’était comme ça que je voyais la vie, je n’étais pas du genre à perdre mon temps avec les politesses, j’étais bien trop intrépide pour passer ma vie à regarder les gens de hauts et dire des phrases sanglantes aux gens qui me regardaient de travers, j’étais plus un homme d’action que de paroles, et parfois d’actions irrationnelles, manipuler les gens, c’était l’une de mes diversion préférée, et je referai me garder pour des choses utiles, et oublier rapidement les choses qui me contrarie. Selon mon avis personnel, rien ne donne la peine que l’on se tue à vivre. Je la regardais avec un regard posé, mon visage était parfaitement neutre, un peu comme ses soldats qui garde les grilles du palais de la reine d’Angleterre. La jeune femme avait l’air d’attendre, et je lui pris la main et baisa le dessus de celle-ci dans un plie de genoux assez distingué et je lui disais en relâchant sa main avec un sourire de toutes mes dents.

-Comment est-ce qu’un homme mal éduqué de la sorte peut-il se racheter auprès de vous ?

Je la vouvoyais, c’était au combien rare, mais elle me plaisait bien sous ses grands airs de madame. Elle attisé ma curiosité la plus totale, je me demandais surtout si elle croyait sérieusement avoir le droit de se montrer hautaine envers moi ? C’était des plus amusants. Je n’étais pas prétentieux, bien que je le pouvais, ma famille était l’une des plus vielle et de plus j’étais le dernier en vie. J’étais puissant, doué en médecine, sortilège, métamorphose, j’étais même un animagus, mais pourtant je n’avais pas une once de prétention, et surtout je ne me vanté jamais. Bien que j’avais l’air sur de moi, je ne ressentais jamais le besoin de montrer à tout le monde mes capacité, je n’avais rien à prouver. Mais certaines personnes avaient un égaux surdimensionné, et ressentais le besoin d’être admiré, et moi je la caressais dans le sens du poil avec une hypocrisie moqueuse, et à moins d’être complètement stupide, on se rendait vite compte que je me payais sa tête… J’étais un peu arrogant pour être aussi distinguer, il fallait dire que lorsque l’ont grandis sans ses parents, on tourne un peu mal, dire qu’a la base j’étais sensé être un terrible mangemort, ce qui était fait, mais surtout un jeune homme très bien élevé qui sauve les apparence, mais j’avais rapidement sombré dans la délinquance bien que je le niais, je ne parlais jamais du passé. Jamais de mes parents, je n’éprouvais plus d’autres sentiments que l’ennui… Plus même de haine, la haine avait fini par m’ennuyer à son tour… J’étais probablement le type qui se laissait le plus vite d’Angleterre.

Je levais mes yeux bleus azurs sur un demi géant qui passait derrière en me fixant, je le fixais sans craintes, j’avais déjà entendus parler de ce type, absolument pathétique à mes yeux, c’était le gaillard qui venait dans l’allée de embrumes pour comment dire… Ce donner l’air intéressant. C’était le genre de personne qui n’attirait jamais mon attention. Peu de chose retenais mon intention, mais elle… Je ne la connaissais pas, mais elle avait quelque chose qui me plaisait bien… Je me demandais alors quel prénom elle portait, ce serai dommage que son prénom trahisse un peu cet air pompeux et emphatique. En général, les personnes sentencieuses étaient issues de famille étant d’elle-même fat. J’avais beau venir de ses nobles familles, j’avais un comportement modeste. Mais j’avais développé une facette de ma personnalité un peu moins chastes : machiavélique, satanique et méphistophélique… Je reportais mes yeux dans ceux de la jeune femme, seulement quelque seconde c’étaient écoulé depuis ma dernière phrase… J’avais l’impression que le temps ne passait pas…
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MessageSujet: Re: L'art de se faire pardonner (pv)   L'art de se faire pardonner (pv) Icon_minitimeMer 16 Fév - 18:51

    Le jeune homme fixa le minois énervé mais non moins magnifique de la jeune demoiselle. Il avait ce petit sourire en coin que Liliabeth dtestait voir s’afficher sur le visage d’une personne placée en face d’elle et surtout, lorsque c’était à ses dépends. Et puis, c’était son truc à elle le petit sourire en coin ! Et oui, ce qu’on peut être puéril dans ses propres pensées par moment ! C’était le cas de Lilia en ce moment-même ... D’ailleurs, la belle brune ne se gêna pas pour lui faire remarquer qu’elle ne voulait pas voir ce sourire sur les lèvres du jeune homme. Et comble de tout, il se mit à rire ! Oui, il se mit à lui rire au nez ! Non mais quel toupet tout de même ! L’exaspération se faisait de plus en plus sentir à l’intérieur de la jeune demoiselle en même temps qu’une colère froide et furieuse. Non mais comment cet homme pouvait-il se permettre de se moquer aussi ouvertement d’elle ?! C’était pour l’humilier encore une fois ? C’était ça la véritable raison de son intervention quelques instants auparavant ?! Non mais Liliabeth n’en revenait pas ! Si elle avait été plus maligne, elle aurait tourné les talons, laissé le jeune homme sur place et serait rentrée immédiatement chez elle pour se défouler à l’abri des regards indiscrets ... C’était son intention première mais elle fut contre carrée par une réflexion assez mal placée du jeune homme envers elle, c’était limite s’il ne la prenait pas pour un chien ! Et puis quoi encore ?!

    –Mais c’est qu’elle mordrait la vilaine…

    La jeune femme émit un petit sifflement dangereusement méprisant. Elle détestait qu’on se permette de se moquer aussi ouvertement d’elle mais le regard que le jeune homme posa sur elle attira son attention temporairement, lui permettant de reprendre le dessus sur sa colère et de se calmer un minimum. Liliabeth s’exhorta au calme sans grand succès d’ailleurs. Le regard du jeune homme se posa sur elle comme si la jeune brune n’était qu’un simple morceau de viande. Il parcourut des yeux son corps de haut en bas, la toisant comme pour évaluer une bonne jument. C’était on ne peut plus malsain et humiliant pour une jeune demoiselle de son rang ! Elle n’était pas une chose à acheter. Lilia sentit le rouge lui monter aux joues et s’obligea à respirer pronfondemment et calmement pour ne pas perdre le contrôle d’elle-même, ce qui était on ne peut plus hardu. Le jeune homme lui attrapa alors la main et la baisa avec une petite révérence qui sonnait on ne peut plus faux aux yeux de la jeune demoiselle qui resta d’ailleurs de marbre. Elle fut soulagée lorsqu’il la relâcha quelques instants plus tard. Il lui adressait d’ailleurs un sourire éclatant mais totalement faux mais liliabeth préféra en faire abstraction. Il n’en resta cependant pas là, il ne put s’empêcher de s’adresser à la jeune demoiselle de sa voix grave et profonde.

    -Comment est-ce qu’un homme mal éduqué de la sorte peut-il se racheter auprès de vous ?

    Non mais pour qui il se prenait celui-là ?! Je vous le demande ! Déjà, il l’avait martyrisée à Sainte-Mangouste alors qu’il sentait l’alcool à 15 km et en plus, il venait se meler de ses affaires alors qu’il n’y avait pas été invité. Pour couronner le tout, il se permettait de se moquer ouvertement d’elle. Non mais c’était quoi cette éducation ?! Le jeune homme détourna ses prunelles azur durant quelques courtes secondes de Liliabeth, il porta son regard par delà la jeune femme qui ne fit même pas mine de se retourner pour voir ce qui captait ainsi le regard du jeune homme. Elle était bien trop occupée à essayer de se calmer. Ce fut plus fort que Liliabeth, elle ne s’en rendit d’ailleurs compte que bien trop tard pour arrêter son geste. En effet, sous l’effet de la colère, la jeune demoiselle s’était emportée plus que de raison et sa main couleur d’albâtre avait directement attérit sur la joue du jeune homme avec un joli bruit bien sonore. Et oui, elle venait de gifler l’impertinent jeune homme. Certes, Lilia ne regrettait en aucun cas son geste, il le méritait selon elle mais elle ne put tout de même pas s’empêcher de porter ses mains à sa bouche d’un air totalement horrifié ! Elle n’était aucunement honteuse de son geste mais plutôt de son manque de sang froid. C’était très rare d’arriver à déstabiliser à ce point notre jeune demoiselle mais il fallait bien avouer que ce jeune homme avait le chic pour lui mettre les nerfs en pelotte. Soit, cette intermède ne dura que quelques courtes secondes avant que Liliabeth ne reprenne une parfaite contenance. Sa colère était retombée comme un flanc pas assez cuit mais elle ne s’excuserait de toute façon en aucun cas ! Il l’avait bien méritée celle-là ! Liliabeth appartenait à une noble famille de sang pur on ne peut plus respectée dnas le monde magique et elle n’était pas prête à accepter des remarques déplacées de la part d’un parfait inconnu qu’elle ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam et à qui elle n’avait rien demandé.

    - Je ne vous ai rien demandé ! Si vous comptez continuer à vous moquer aussi ouvertement de moi alors que nous ne nous connaissons aucunement, je vous demanderai de me laisser tranquille et de poursuivre votre route sans vous retourner. Je n’accepterai pas qu’on me prenne pour un animal ni qu’on m’humile comme cela. Personne n’a un tel droit sur moi et ne l’aura jamais !

    La jeune femme reporta ses bras le long de son corps, lissant sa robe trois quart couleur Lilas sans pour autant quitter le jeune homme des yeux. Lili n’avait même pas remarqué à quel point le jeune homme était séduisant physiquement tellement il l’avait mise en rogne dès ses premières paroles. Elle lui adressa un regard noir emprint de défi. Est-ce que le jeune homme se permettrait encore de l’humilier et de se moquer d’elle ou revindrait-il à des manières plus avenentes ?! L’avenir nous le dira.
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MessageSujet: Re: L'art de se faire pardonner (pv)   L'art de se faire pardonner (pv) Icon_minitimeVen 25 Fév - 14:01

Je sentais sa main claqué sur ma joue, une sensation à laquelle j’étais habitué, ma tête avait soudainement tourné sur le coté, elle avait un peu de force la petite, même si la douleur m’étais pas mal indifférente, je tournais à nouveau mon regard vers elle sans porter une main à la zone un peu douloureuse, je penchais la tête sur le coté avec un faible sourire en l’écoutant parler… Elle me demandait tout simplement de la laisser tranquille, je l’observais d’un œil calme, ce n’était pas rare qu’une femme me flanque une gifle de la sorte, j’étais un peu brutal, je voulais toujours tout rapidement, pourtant je n’avais pas été pourris gâté pour agir de la sorte, j’étais lassé de la vie, et je cherchais les embrouilles pour sortir de l’ennui. A force de trop jouer avec le feu, j’allais bien finir par en avoir des séquelles. Mais je m’en fichais un peu, la vie pour moi, ce n’étais guère important, je me disais pourquoi vivre, plus rien ne m’enchanté, ni amour, ni joie, ni but à ma vie. J’aurai pu en finir tout de suite, mais je n’étais pas un lâche, j’étais prés à souffrir encore, je ne pouvais partir de la sorte, ce n’était pas ce que mes parents auraient voulus, ils voulaient me voir servir le maitre des ténèbres, et c’était ce que je faisais avec exactitude. Je ne leurs en voulaient pas de m’avoir destiné à cela, je n’avais ma place nulle part, ici où la bas, je m’en fichais… Tout ce que je savais, c’était que j’étais empli de haine et de sentiments enfouis, mais que jamais ils ne pourront s’expulser en dehors de mon cœur, c’était fini, j’étais mort en moi-même. Qui rêve donc d’une vie ainsi ? Je n’en rêvais pas, mais j’ai sus me contenter que quelque joie, de quelque ivresse, de quelque plaisir… J’étais devenu un trop grand coureur de jupon pour pouvoir me marier un jour, à moins que l’on ne m’espionne et que cette femme soit vraiment parfaite, mais je doutais qu’elle puisse s’intéresser réellement à moi, c’était bien l’un de mes problèmes, je n’aimais pas, alors je m’étais mis en tête que personne ne m’aimait. Je m’étais enfermé dans ma bulle, une bulle ou j’étais seul. Je revenais à moi-même, je regardais la jeune femme qui plaçait ses bras si fins le long de son corps si svelte, elle me fixait droit dans les yeux, c’était une jeune femme très bien éduqué, normalement, nous devrions bien nous entendre étant moi-même descendant d’une famille de noble sang purs, mais moi, j’avais plutôt mal tourné, j’étais un petit délinquant en quelque sorte, je ne me tenais pas très bien même si je le devais. Soudain son regard fut encore plus sombre, je songeais que si elle n’était pas si facile à cuire, je la regardais avec un faible sourire puis je lui répondais d’une voix calme.

-Te laisser tranquille ? Ce serait dommage de laisser une si jolie rose me glisser entre les doigts après m’avoir giflé… C’étais justifié j’imagine…. Un verre ?

Moi et l’alcool… Une longue, une très très longue histoire d’amour. Je lui avais dit cela sur un ton tout à fait naturel, comme si en quelque sorte, du moment où j’avais fait dégager ce pouilleux jusqu'à cette gifle, à mes yeux ce fus tout simplement faire connaissance. Certes j’avais une drôle de manière d’apprendre plus ou moins à connaitre les gens, à cibler leur personnalité, mais c’était moi… Et puis, il fallait bien avouer qu’elle me plaisait beaucoup, la vie de célibataire sans fin, un avantage… Bien que certaines conquête c’étaient mise en tête de former un couple avec moi, il ne fallait pas rêver non plus. Des chaines, j’en avais assez… Oui, c’était ainsi que je voyais les choses à cette époque. Je me sentais mal dés que l’on me parlait d’amour, je ne voulais que m’amuser, et pourtant, on voulait me posséder, je ne supportais pas cette sensation, je glissais mes yeux vers l’horizon une nouvelle fois, je plongeais le bleu de mes yeux dans cet azur du ciel d’été. J’avais l’air très songeur bien que je réfutais toujours ce fait, je plongeais mes mains dans mes poches, je sentais le regard de la jeune femme me regarder, je ne bronchais pas, je reportais mon intention sur elle et je la surprenais en trains de me regarder de haut à bas à son tour, je souris amusé et je lui disais avec un sourire en coin, qui n’étais plus moqueur cette fois ci, ce n’étais rien d’autre qu’un sourire qui exprimait seulement de l’amusement, je regardais la jeune femme, qui était peut-être un peu moins prude que je ne le songeais. Je croisais son regard à nouveau et je lui disais d’un ton calme

-Je prends cela pour un oui…

Et ce fus sans guère lui demander son avis que je prenais son bras et que je l’escortais jusqu’au bar, le silence, c’était quelque chose qui me plaisais dans une conversation, j’aimais que parfois on ne dise rien, que parfois on laisse juste nos cinq sens parler à notre place, j’entremêler nos doigts durant ce voyage qui dura trois rues plus loin, comme si nous étions deux amant depuis une éternité, on me voyais dans le rue et certaines femme me jetaient des regard noirs tendis que certains homme se mettaient à rire bruyamment à ma vue… Etrangement j’étais aveugle à leur regard, je fixais l’horizon, j’avais un air hautain et noble sans le vouloir, c’était naturel, ce qui était assez amusant quand l’on entendait ce que j’étais capable de dire. J’étais devenu sourds à ses rires, je n’écoutais que le bruit de nos pas à l’unisson. J’étais devenus insensible au parfum de l’été des fleurs qui explosent au soleil, je ne sentais que son odeur à elle, un parfum très délicat sur une femme délicate, c’était certes une très belle femme, et je sentais sa peau dans ma main, je la sentais douce et très soignée, des vraies mains de fée. Je me complaisais à marcher de la sorte avec elle, ma journée dans l’allée de embrumes semblait ce montrer soudainement plus intéressante que prévue, je ne m’étais pas attendu à rencontrer une si belle jeune femme dans un endroit si sinistre, bien que je n’étais pas spécialement laid, je collais avec les décors tout de même, cet air d’homme martyrisé qui ne partais jamais de mon visage, une peine qui se lisait dans mes yeux bleus sans que même moi ne puisse la chasser… Cet air d’homme dur, qui inspire un respect sans fin, j’étais cet homme, mais moi, je ne me voyais pas, j’avais l’impression d’être appart…. Nous nous arrêtions une dizaine de mètre devant ce pub, j’ignorai si elle était majeur ou non, mais je me fichais bien, je n’étais pas à un risque prés, je détachais mes doigts de sa peau et je m’écartais un peu d’elle, je l’observais calmement, je me demandais pourquoi elle n’avait rien dit, même si j’avais appréciais ce silence de cristal, je me demandais pourquoi elle n’avait pas bronché, après tout je m’étais comporter comme un mal élevé. Je la fixais silencieusement attendant qu’elle rompe le silence. Les rue de l’allée des embrume en plein mois de Juin et en plein jour était assez dépeuplé, ce n’était pas un endroit où l’on aimé être vu, mais moi je m’en fichais, et elle aussi apparemment, cet endroit était mal vue, pourtant cela ne l’empêchais pas de marcher, je jetais mon regard à travers la vitre du bar ou j’apercevais très peu de monde, ce fus une assez mauvaise idée que de venir s’installer dans un endroit pareil pour faire affaire, l’intérieur était propre c’était de là une chose qui me plaisait, je détestais ce cliché comme quoi tout les gens du cote sombre était des crasseux, je me lavais tout le jour, même parfois plusieurs fois par jour à cause de mon travail, même si certains manquaient évidement d’hygiène ce n’était pas le cas de tous.
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MessageSujet: Re: L'art de se faire pardonner (pv)   L'art de se faire pardonner (pv) Icon_minitimeMar 1 Mar - 16:26

    Liliabeth l’avait gifler, elle l’avait réellement fait ! C’était de loin une première pur notre belle brune, elle qui gardait généralement son sang froid dans les pire situations s’étaient laissée emporter dans l’instant présent. Il l’avait tellement mis hors d’elle, il l’avait tellement humiliée en l’espace de quelques minutes que notre jeune femme n’avait pu su résister à l’envie de lui coller sa douce main dans on visage d’apparence si angélique. Il fallait bien avouer que le jeune homme était plutôt attirant, il était même carrément mignon s’il se taisait d’ailleurs mais il n’avait pas pu s’y résoudre devant notre Liliabeth qui avait alors laissé déborder ses émotions. Ses grands parents auraient été bine peiner de voir leur petite fille adorée, leur joyaux réagir de la sorte. Mais Lilia ne s’ne voulait pas le moins du monde et ne regrettait en rien son geste. Après tout, le jeune homme qui se trouvait en face d’elle l’avait bien mérité cette baffe. D’ailleurs, la tête du jeune homme avait légerement tourné sur le coté lors de l’impact mais il n’avait même pas porter la main à sa joue, signe que notre belle verte et argent ne lui avait pas encore fait assez mal ! Il se contenta de reporter son regard sur la jeune demoiselle alors qu’elle s’adressait de nouveau à lui. Il pencha la tête légèrement de coté alors que, pleine de dignité, elle lui demandait tout simplement de la laisser tranquille. Avec une dignité on ne peut plus royale, Liliabeth fixait le jeune homme droit dans les yeux, ses prunelles émeraude dures et froides attrapant au passage le regard azur du jeune homme. Il l’observa quelques secondes, un faible sourire se dessinant sur les lèvres du médicomage. Il s’adressa alors directement à Lilia d’une voix calme.

    -Te laisser tranquille ? Ce serait dommage de laisser une si jolie rose me glisser entre les doigts après m’avoir giflé… C’étais justifié j’imagine…. Un verre ?

    Et comment que c’était justifié ! Et elle ne l’avait même pas encore fait assez souffrir à son gout au final. Liliabeth préféra ne pas répondre au jeune homme, elle avait bien trop peur que le venin qu’elle retenait encore ne se déverse en un flot de paroles insultantes si elle ouvrait la bouche. La belle brune pensait clairement avoir assez fait honte à sa famille pour la journée avec cette gifle sans encore aggraver son cas pour aujourd”hui. Le jeune homme s’était adressé à elle le plus naturellement du monde, comme s’il ne s’était jamais rien passé depuis leur première rencontre. Si Lilia en fut étonnée, elle ne le montra nullement. Elle resta figée sur place, ne bougeant pas d’un iota. Le regard du médicomage se perdit de nouveau dans le lointain et la belle brune en profita pour l’observer. Cette observation ne passa pas inaperçue car le jeune homme homme s’en rendit compte. Il lui adressa un simple sourire amusé n’ayant aucune nuance de moquerie ce qui étonna franchement Liliabeth. Comment pouvait-on changer de personnalité aussi vite à moins d’être schizophrène ?! C’était tout simplement fascinant mais elle ne lui en fit pas la remarque, c’aurait était tout simplement déplacé et ça ne la regardait en aucun cas.

    -Je prends cela pour un oui…

    Liliabeth se rnedit alors compte qu’elle ne lui avait pas répondu. Sa fureur s’était un peu calmée. Sans lui demander son avis, le jeune homme s’approcha d’elle et lui prit le bras, histoire de l’escorter jusqu’au bar. Notre Liliabeth resta muette. Elle essayait de rélféchir à ce qu’elle était entrain de faire, elle était totalement inconsciente et pourtant, ce jeune homme l’attirait et la fascinait autant qu’il la répugnait. C’était une sensation bizarre et nouvelle pour notre belle jeune femme qui n’arrivait pas à se décider sur ce qu’elle devait faire et ce qu’elle voulait faire réellement. Le silence règnait entre les deux jeunes gens. Le jeune médicomage entremêla alors leurs doigts sans que Lilia n’y trouve irne à redire. Elle marchait la tête haute, son port de reine s’accomodant parfaitement du port hautain qu’avait retrouvé le jeune homme. Malgré ses paroles blessantes, son éducation de sang pur reprenait inexorablement le dessus dans sa façon d’être et de se déplacer. Notre belle verte et agent vit clairement le regard de certaines femmes envieuses se poser sur elle et notre jeune demoiselle ne se gêna pas le moins du monde pour soutenir leurs regards méprisants et les mettre au défi de lui adresser la parole. Certains hommes ne se gênaient pas pour rire devant les deux jeunes gens, rire que Lilia ignora superbement. Elle garda la tête haute et le regard froid et dur comme de la glace comme à son habitude. Le jeune homme qui se trouvait à ses cotés ne semblait même pas avoir remarqué ce qu’il se passait autour d’eux. Liliabeth ne se donna même pas la peine de le lui faire remarquer. Elle préférait clairement qu’il se taise, il en était moins insupportable à ses yeux. Non mais franchement, si elle le trouvait tellement insupportable, pourquoi bon dieu se trouvait-elle à ses cotés dans cette rue et main dans la main, doigts entrelacés qui plus est ?! Non mais elle devait avoir vraiment perdu l’esprit ! Cette simple pensée la fit doucement sourire et lever les yeux au ciel.

    Le jeune homme s’arrêta à quelques mètre du pub. La rue était très peu fréquentée en cette journée mais il fallait bien avouer que peu de gens aimait être vu dans l’allée des embrumes. Personellement, Liliabeth s’en fichait royalement. Elle n’en avait toujours fait qu’à sa tête et ce n’était apparemment pas prêt de changer. La jeune femme observa durant une fraction de seconde l’intérieur de la taverne. Elle n’avait rien dit durant tout le trajet, le silence est d’or dit-on et ca avait été bien le cas pour notre jeune demoiselle qui lui avait dès lors permis de se calmer et de reprendre totalement son rôle habituel de jeune demoiselle de bonne famille extrêmement bien élevée. L’intérieur de la salle était propre et peu peuplée en cette heure. Elle n’avait pas envie de parler directement au jeune homme en plein milieu de la rue. Il devait se demander pourquoi elle n’avait pas piper mot sur le trajet, pourquoi elle n’avait pas refusé son invitation mais elle ne lui donnerait aucune explication tant qu’il ne le lui demanderait pas clairement. Alors que le jeune médicomage s’attendait certainement à ce qu’elle prenne la parole, la jeune demoiselle se contenta de se diriger de son pas léger, aérien vers l’entrée du pub. Elle n’eut même pas l’occasion de poser ses doigts d’albâtre sur la poignée que le battant s’ouvrait devant elle pour la laisser pénétrer à l’intérieur. Liliabeth était certaine que le jeune homme la suivrait et si ce n’était pas le cas, ça lui serait bine égal après tout. Elle n’avait besoin de personne pour aller boire un verre au final. Lilia vit lcairement certains regards se poser sur elle et elle les fusilla du regard, les mettant au défi d’oser l’approcher. Sans perdre une seconde, la jeune demoiselle se dirigea vers une table un peu à l’écart et s’y installa calmement. Le serveur ne tarda pas à arriver.

    “Bienvenue Mademoiselle, puis-je prendre votre commande ?!”

    Liliabeth lui adressa un petit sourire agrémenté d’un hochement de tête.

    “Bien entendu. Je prendrais une bierreaubeurre s’il vous plait. Et vous ?!”

    Liliabeth s’était directement adressé au jeune homme qui l’accompagnait. C’était la première fois depuis la gifle qu’elle se sentait capable d’avoir une parole pour lui sans exploser de rage la seconde suivante. Après tout, elle avait toujours été douée pour maitriser ses émotions et les enfuir au fond d’elle même afin de garder son sang froid en toute circonstance, pourquo serait-ce différent cette fois-ci ?!

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MessageSujet: Re: L'art de se faire pardonner (pv)   L'art de se faire pardonner (pv) Icon_minitimeLun 21 Mar - 17:41

Alors que je mettais arrêté un peu avant le bar, probablement pour voir si elle avait quelque chose à me dire, j’avais été pas mal étonnée qu’elle se laisse conduire de la sorte par un homme qu’elle venait de giflé, mais en toute femme du monde, elle avait été resté très sage… Alors je me m’attendais à quelque mot de sa part, elle se désintéressait complètement de moi, je dessinais un sourire, les femmes qui me résiste, je ne savais pas exactement pourquoi, mais ça avait un charme fou à mes yeux… Je l’observais entrer dans le bar avec un déhanché de rêve qui avait eut le don de captiver mon regard jusqu'à ce qu’elle entre dans le bar, d’ailleurs pas uniquement mon regard mais personne n’osa s’ne approché, elle avait été en ma compagnie quelque instants auparavant et je n’étais pas bien loin, valait mieux éviter de trop se frotter à un Gahleris. Je me demandais d’où elle pouvait bien sortir cette jeune demoiselle avec ces airs de femme prétentieuse et pimbêches qui lui donnait un charme fou, et oui, j’aimais les petite filles rebelles, que peut-on y faire ? Chacun à ses gouts. J’étais assez spécial dans mon genre, et des gouts de femmes très diversifié, je me plaisais à les voir lutter contre mes charmes, mon arrogance agaçante et combien captivante, un mystère… J’étais un mystère pour toutes ses femmes, qu’est ce qui me poussait à leur faire la cour de façon si grossière ? Telle était la question. Elle était tout à fait appétissante, mais je n’étais plus au stade que les femmes ne soit qu’un bout de viandes, cela datait de mon adolescence, non, désormais, je les voyais comme des créatures de rêve qui valent la peine de se plier en quatre pour les avoir, ne serai-ce qu’une fois dans son lit. Une vision bien différente que celle de beaucoup d’homme, faire la cour à une femme, un terrain de jeu immense et qui ne manque jamais d’originalité. C’était une chose qui me plaisait, à conditions que la fille m’intéresse, pourquoi se donner la peine de se faire pardonner ses indélicatesses pour une jeune femme sans le moindre intérêt ? J’étais plutôt du genre à donner avec toujours une idée de retour dans l’esprit. Pas très honnête tout ça. Je la regardais pousser la porte du bar sans même prêté attention à moi, ce qui aurait pu être vexant, mais dans l’idée qu’elle venait de me gifler, non, cela ne me vexais pas le moins du monde. J’avais bien compris son petit jeu du : fuis moi je te suis elle était chanceuse car j’étais d’humeur assez joueuse en ce jour et j’étais prés à faire n’importe quelle folie. J’aimais beaucoup le caractère hautain de la jeune femme, ce qui me rendait curieux à son égard et me poussais à entrer dans ce pub pour en savoir d’avantage sur cette demoiselle. Je rejoignais la jeune femme au bar, alors qu’on lui demandait ce qu’elle voulait, elle lui répondait qu’elle voulait une bierreaubeurre, elle se tournait vers moi et me demanda ce que je voulais, je dessiner un sourire amusé sur mes lèvres, c’était bien la première fois qu’elle accepter de m’adresser à nouveau la parole, je prenais ça comme… Comme rien à vrai dire, je trouver ça normal puisque c’était moi qui payer la boisson. Je m’adressai directement au serveur qui me présenter une chope pour la remplir de bierreaubeurre je souriais puis je lui disais d’un ton amusé

- Sers moi donc, du Scotch. Ce n’est pas parce que je suis en bonne compagnie que je dois changer mes habitudes…

Et oui, habituer des bars, c’était un secrets connu de tous, alors ce n’était plus vraiment un secret… Je l’observais servir la jeune femme, j’avais encore était assez, impolie en insinuant que ce n’était pas parce que j’étais en sa compagnie que j’allais mieux me comporter… J’étais au plus naturel de moi-même, du Rowann à 100%. C’était décidément plus fort que moi. Je n’étais rien d’autre qu’un arrogant intenable, je l’observais ne rien dire, je lui adressais un sourire amusé et je levais mon verre à son intention avant de le vider cul sec. Je reposais mon verre sur le comptoir puis je jetais un regard sur l’ensemble des personnes présente, alors que le barman me réservais automatiquement un verre avant de repartir faire sa vaisselle, j’apercevais deux homme discuter à propos de la jeune femme à coté de moi, je souriais amusé et si seulement il n’y avait que ses deux hommes, il semblait que tout ce qui était constitué d’organe génitaux masculins dans ce bar ait les yeux rivé droit sur la jeune femme, les pauvres, il ne devait pas avoir vus une jeune femme aussi bien faite depuis… Fort bien longtemps… Ah ça, cela ne m’étonnais pas, de la chère fraiche dans un bar c’était un peu risqué, j’étais prés à parié que si je n’étais pas venus ils lui auraient probablement sauté dessus… Cela aurait mieux un peu d’ambiance dans le rad c’était sur !

Je reportais mon attention sur la jeune femme qui avait reportait le sien vers moi en même temps, je lui adressais un faible sourire, j’aurais pus plaisanté sur quelque chose à cet instant là, mais je restais calme, et je me contentais de lui sourire. Etrangement, mes sourires sonnaient toujours faux, du moins souvent ils sonnaient faux, comme si je me forçais en permanence, un air de petit cabotin avec tout ça, je ne savais pas vraiment mettre autre traits sur mon visage, tout le monde avait prit l’habitude de me voir sourire, même si le cœur n’y étais pas, je souriais, en fait les gens se demandais souvent si je ne me moquais pas d’eux en souriant de la sorte, c’était un peu ça en général, dés que quelqu’un venait à mon encontre, je lui souriais, c’est toujours plu agréable que quelqu’un qui vous fait une tronche jusque par terre n’est ce pas ? J’avoue que c’est quand même agaçant de ma part, mais tout de même, j’ai un sourire à faire tomber toute les filles, je finis par rompre le silence qui c’était à nouveau installé entre nous en lui demandant d’un ton tout à fait naturel :

-Dis moi douce princesse… Est-ce que je pourrais connaitre ton nom ou se serait une injure venant de ma bouche ?

Ce n’était ni agressif, ni ironique, comme un demande du temps qu’il ferai demain, ou si elle avait reçut le journal ce matin. Je lui adressais un faible sourire puis je buvais quelque gorgée de mon verre qu’on m’avait si gentiment re-remplit… Enfin, ça les arranger que ma consommation soit assez… Excessive puis que je faisais parti de ceux qui font bien tourné le commerce. Je reportais mes yeux bleus sur la jeune femme dans l’attente d’une réponse.
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