Fascination (Fe)

Erwan & Rakel

Un prototype personnel de dieu jamais conçu pour la production en série. Trop bizarre pour vivre mais trop rare pour mourir.

L'avantage d'être en dernière année, c'était de n'avoir personne sur notre dos, je n'avais pas à demander l'autorisation à qui que se soit mais sincèrement je savais que j'étais probablement surveillée de tout les côtés mais ça je m'en fichais, la seule chose qui m'importait c'était ma liberté relative, j'en profitais tant que l'on ne m'offrait pas une laisse dorée pour supporter ma mise en cage, mais il fallait que ma famille se réveille, on ne peut contraindre un animal sauvage. J'en avais plus que marre de voir que tous voulaient contrôler ma vie, je voudrais tenter ma chance, de changer d'air. Dès la fin des cours terminés, je pris la sortie de Poudlard pour rejoindre le Pré au lard histoire de profiter un peu du changement d'air avant de devoir retourner dans ma prison dorée lors du couvre feu. Je profitais avant tout du calme relatif de l'Angleterre, je savais très bien que ça ne durerait pas, et qu'un jour les élèves de Poudlard seraient condamnés à rester dans l'enceinte du collège pour y être en sécurité, comme si le seigneur des ténèbres avait du temps à perdre à chasser des enfants, particulièrement avec Harry Potter qui ne se trouvait plus ici.

Les regards se tournèrent sur moi, il faut dire que je n'avais pas pris la peine de me changer et donc que je portais toujours mon uniforme, et il ne faisait pas très chaud, mais je marchais vite, mon sac sur le dos. Je connaissais très bien ce petit village, et je pris aussitôt la direction de la Tête de Sanglier, personne ne viendrait me chercher ici logiquement. Ne prêtant pas vraiment attention aux autres clients après avoir poussé la porte du rade, je m'installais à une table vide près des fenêtres crasseuses avant de commander une bièraubeurre. Ce n'était pas la première fois que je venais ici, et généralement j'étais bien reçu, aussi je me sentais assez bien. Sortant un parchemin et une plume je commençais mes devoirs pour la soirée, il n'était pas question de négliger mes études, malgré la souffrance que je pouvais ressentir au fond de mon coeur. J'évitais de lever le regard pour observer les clients, il faut dire que les regards étaient tournés vers moi, les alcooliques du coin n'étaient pas réellement habitué de voir une écolière envahir leur espace, généralement les élèves de Poudlard préféraient se terrer aux Trois Balais mais c'était trop bruyant à mon goût et surtout j'y connaissais trop de monde.

Invité

Au petit matin, j'eu une envi subite d'aller à la tête de sanglier, a la fin de la journée. Pour commençé je réglais mes affaire personnelle, inspectais le domaine et autres occupation habituel. Enfin, par ma cheminé, je me rendis a la tête de sanglier.

Je sortis du feu et tous les regard se tournèrent vers moi, saufe celui d'une jeune fille qui me semblait famillière... concentré dans ses devoirs...

Je pris place à une table libre non loin :

Erwan-"Un Wisky pur feu, tavernier !

Erwan & Rakel

Un prototype personnel de dieu jamais conçu pour la production en série. Trop bizarre pour vivre mais trop rare pour mourir.

Quel ennuie ces devoirs, il fallait les faire, particulièrement si je souhaitais profiter de ma soirée, être ici me permettait aussi de ne pas trop me faire distraire, du moins en principe. Ici comme ailleurs, l'imprévu était monnaie courante, mais ce n'était pas pour me déplaire, surtout si c'était pour me sortir de mon parchemin de soin aux créatures magiques. Je n'avais jamais été une grande fan de ce genre de chose, ce n'était pas mon truc de soigner des bestioles telque les Scroutts à pétard, je trouvais ces bestioles immondes et inutiles. Après avoir baillé et pris une longue gorgée de ma boisson, je me replongeais dans mon parchemin, pressée d'en finir. Je connaissais ce cours par coeur malgré son désintérêt. Il me fallut entendre une voix familière pour que je lève enfin le nez de mon papier, et que j'observe ce qui se passait autour de moi. Je finis par froncer les sourcils en reconnaissant Erwan, je n'imaginais pas le trouver là, il était connu que la Tête du Sanglier n'était pas le repère préféré des membres de l'ordre.

Je l'observais quelques secondes, sourire aux lèvres en repensant à la lettre incendiaire que mon père m'avait envoyé après le hiboux provocateur que je lui avais envoyé. Je le méritais sans doute, mais ça me faisait rire, rien d'autre. Après tout Erwan était plutôt mignon et je ne le considérais pas réellement comme une personne de ma famille, aussi mes écrits n'étaient pas réellement dégoûtant, et puis j'avais été mesurée, mais malgré ça, je n'avais jamais vu mon père dans une telle colère. Je pliais mon parchemin, ainsi que le reste, avant de pousser un soupire, coïncidence ou non? Difficile de le dire, simplement parce qu'on m'avait bien trop mentit.

"Dis moi, tu es mon âme soeur, on a les idées au même moment ou simplement un pervers qui me suit jour et nuit?"

J'arborais un sourire amusé, même si en soit j'aurais aimé savoir si il s'agissait d'une coïncidence ou non, quoi que la réponse ne me satisferait sans doute pas.

Invité

De ma table je regardais l'impétueuse fille qui m'avais grossièrement adressé la parole. Je mis un temps à reconnaitre Rakel. Cette fois elle réussis a m'énerver rapidement :

Erwan-""Comment aurais-je pus savoir que tu étais là, Rakel ? Je ne suis pas omniscient! Je viens souvent içi !

En fait, c'étais le fruit du hasard, qu'elle ne me croie ou non. La dernière fois que je l'avait vu, de colère je l'ai ramené à Pré au Lard, puis je suis parti sans rien dire de plus. J'ai passé mes nerfs sur les Mangemort prisonniers, en particulier sur le dernier arrivé, encor un. J'ajoutais toujours furieux :

Erwan-"Crois moi pour une fois, c'est le hasard, rien que le hasard ]Plus doucement, dans un murmur,, As tu consulté la documentation que je t'est confié ?!

Erwan & Rakel

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La colère d'Erwan m'amusait beaucoup, c'était dingue la facilité avec laquelle je mettais la plus part des adultes qui m'entouraient dans une rage en quelques minutes. J'affichais toujours le même sourire, narguant ouvertement Erwan, mais il faut dire qu'avec les paroles de mon père, difficile de savoir si j'étais où non sous surveillance. Enfin c'était sans doute le cas, au moins de la part de l'un de mes parents, mais tant que ce n'était que ça, je m'en fichais pas mal.

"Tu aurais pu avoir tes sources, mais remarque que je ne t'accuse de rien, c'est juste un constat, ce n'est pas de ma faute si tu es de mauvaise humeur. Tu veux que je t'achète un sens de l'humour pour Noël?"

J'affichais un sourire amusé, j'avais proposé la même chose à mon père qui ne m'avait pas répondu, visiblement bien trop énervé, rare étaient les fois où agissait sous le coup de la colère, il préférait être posé, chose que nous n'avions pas en commun. Je le laissais s'approcher de moi, pour me murmurer une question que je ne compris par sur le coup. De quelle documentation parlait-il? Je restais quelques secondes perplexe avant de me rappeler de ce bocal qu'il m'avait donné, et qui se trouvait actuellement je ne savais pas trop où.

"Bah tu vas sans doute pas le croire, mais je suis surbookée, et je n'ai pas eu une minute à moi depuis... En faite non j'ai juste oublié, et je trouve ça franchement impersonnel de consulter ça, j'aurais l'impression de te violer, mais dans le sens désagréable du terme..."

Oh oui pour moi il y aurait un sens agréable, mais cette vision n'était peut être pas partagée par Erwan, mais peu importe, je ne tenais pas à me laisser aller à ce genre de comportement déplacé, ce n'était pas pour une personne de ma classe, et puis il fallait l'avouer, je n'avais pas besoin de ça pour coucher avec un homme.

"Je peux te les rendre si tu veux, disons que je te crois, c'est mieux pour tout le monde, et au pire, un mensonge de plus ou de moins, je ne suis plus à ça prêt ça ne me tuera pas."

J'étais visiblement de meilleure humeur que lui.

Invité

Ah, cette fille me surprendra toujours, jamais jusqu'a présent elle n'avait réussis a m'énervé. c'étais chose faite. Le faite qu'elle avais simplement "oublié" me mis dans une colère noir. Et non pas a cause de ma journée mes parce qu'elle a fait preuve de néligence inconsidéré. Imaginez un peu que mes souvenir soit tombé entre les mains de Drago Malefoy. Son père les aurais eu entre les mains dan sla semaine.

Malgrès cela, je pense toujous avoir eu raison de lui faire confiance. Mais cela n'arrangeait rien. Breton, je suis breton ! C'est une seconde natur chez moi de dire la vérité, mais cela, Rakel ne le compre,drais pas. En fait, du dernier Mangemort arreter, j'ai appris certaine chose qui mon interressé au plus au point, c'est peut-être cela qui m'a fait venir içi, mais je ne pensait pas trouver Rakel, assise sur une chaise a faire ces devoir. je chuchotais rageusement :

Erwan-"Non, garde mes souvenirs. mais arrete de remettre ma parole en doute, jamais j'ai mentis sauf pour protéger quelqu'un. Jamais ! Consulte les, c'est important, il faut que tu comprenne, le tous n'est pas de me croir ou non. Il faut que tu comprennent.

J'espérais avoir été convainquant. Mais ma colère ne désenplis pas, et je me sentais prêt a lancé un sortilèe "stupefix" si elle me narguait encor une fois.

Erwan-"Promet le moi, en tant qu'héritière de mon domaine !"

Erwan & Rakel

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Comme si cette petite discussion allait gâcher ma journée, hors de question pour moi de le laisser avoir une telle influence sur moi, lui, mon père, ou n'importe qui d'autre. Il faut dire que je ne m'en faisais jamais réellement, il faut dire que mon père et ma mère faisaient leur possible pour me protéger chacun à leur manière, chacun pour leur propre intérêt. Et puis lever la baguette sur moi était une très bonne façon pour s'attirer mes foudres, du genre très rancunière, je ne pouvais pas pardonner une attaque personnelle. La fierté était sans doute le plus gros défaut des gens de ma maison, et je ne faisais pas exception, il faut dire que nous n'étions pas n'importe qui en général, et je me considérais comme quelqu'un de douée, sans doute l'une des meilleures de Poudlard, alors pourquoi ne pas agir comme tel?

Je levais les yeux au ciel face à la petite notion de morale d'Erwan, tout le monde avait toujours une très bonne raison de mentir, pour protéger quelqu'un, pour préserver un secret plus important que la moyenne, ou une autre connerie de ce genre. En soit je me fichais pas mal de sa présence ici, ça ne changeait rien pour moi, ou plutôt si, ça me distrayais de mes devoirs, ce n'était pas compliqué d'accord, et ça m'arrangeais bien, du moins pour le moment. Même si je m'étais promis de ne pas m'énerver, ce fut chose difficile lorsqu'il me parla d'héritage. Nerveusement, je frappais du poing sur la table, un peu trop fort d'ailleurs. Mais même si je souffrais, la rage m'empêchait de quitter Erwan des yeux, d'ailleurs la plus part des regards du bar étaient tournés vers nous, certain de ces poivrots étaient sans doute prêt à jouer les preux chevaliers dans l'espoir d'obtenir des choses que je ne souhaitais pas imaginer de peur d'être malade. Fixant dans les yeux Erwan, j'articulais chaque mot avec lenteur.

"Je ne suis pas ton héritière, je ne suis pas une de Rosnarho ! Ne viens pas me parler de lien du sang, ça n'a pas la moindre importance, il aurait été plus judicieux de rien me cacher enfant pour espérer que j'ai une attache avec cette famille."

Je passais mes mains froide sur mon visage pour me calmer un peu.

"Je n'ai rien à comprendre, je sais qui je suis, je sais ce que je vaux, c'est déjà bien je ne veux pas connaitre ta vie dans le moindre détail, pas même si ce passage me concerne, si tu veux expliquer quelque chose fait le avec des mots, et je voudrais savoir où je suis sensée trouver une pensine à Poudlard !"

Je croisais les bras, la mine boudeuse, énervée de devoir subir tout ça, comme si c'était nécessaire de me faire la moral à chaque fois que l'on me voyait.

Invité

Ahah, Rakel touchais juste, mais qu'elle le veuille ou non, elle est, pour l'instant, mon héritière. Je lui ai tous expliqué par les mots, elle ne m'a pas crus. Comme je le lui est dit, sa ne fait que quelques mois que je suis au courent... SWi elle savaient qui étaient le 5e Mangemort prisonnier, il est claire qu'elle piquerais une crise.

Je dus néammoins me retenir de la frapper sur le coup. Si j'avais voulus réellement l'espionné, est-elle assez idiote pour croire qu'un espion se montre et révèle sa mission a sa cible ? Enfin, là n'est pas la question. Ce qu'elle ignore, c'est se qu'implique le lien de sang avec moi. Etant de sang, même d'une branche "bâtarde", les Korrigans l'attraperons tôt ou tard.

En effet, je tiens à la protéger, si les Korrigans ne l'on pas encore enlevé, depuis qu'il connaissent la vérité, l'un d'eux était présent quand son père me l'a révélée, je dus faire des pied et des mains pour calmer leurs ardeurs. je dit de sorte que seule elle m'entende :

Erwan-"Décidément, c'est pour te convaincre que je t'ai donné ses quelques souvenir, le bocal est assez grand pour être une pensine. Rakel regarde moi dans les yeux, et dit moi si je ment où non. je sait ce que tu est et tu a entre les mains des preuves qui me mettraient en dangé si elle tonbait entre de mauvaises mains."

Décidément, rien ne peut la convaincre. J'ai de l'affection pour elle, j(ajoutois, toujours dans un murmur :

Erwan-"Peut importe que tu devienne Mangemort ou membre de l'Ordre. Les Korrigans t'enlèverons tôt ou tard et cela me chagrine. Ta mère n'est pas aussi noir que tu ne le pense et qu'elle le montre. Sache qu'elle est actuellement à Coët Candec, pour y chercher asile... Elle a eut une mission dernièrement, une mission iréalisable pour une mère."

Puis je regardais ses devoirs et donnant un coup de baguette vers sa plume, je répondi au questions de Hagrid.

Erwan-"Voilà les réponse au questions du professeurs Hagrid.

Erwan & Rakel

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HRP : Désolé pour le retard, difficile avec le début du boulot. Juste, la mère de Rakel déteste sa fille, la seule chose qui peut la pousser à l'apprécier c'est le fait qu'elle est douée en magie et qu'elle pourrait devenir une bonne mangemorte, ça c'est dans mon histoire attention à pas trop dénaturer, si elle avait eu l'ordre de tuer sa fille, elle l'aurait fait, elle est pas du tout du genre à refuser un ordre du maitre.

Les réflexions d'Erwan m'énervaient beaucoup, comme si j'avais quoi que se soit à voir avec lui, je ne le connaissais que depuis quelques mois, je n'étais pas son héritière la plus proche, alors pourquoi moi? Il y avait son frère, et si mon père n'avais pas était enlevé par les Korrigans, pourquoi je le serais? Je n'avais pas tant de sang breton que ça dans les veines c'était vraiment pour me faire chier, je crois... Vraiment déprimant, je ne comprenais pas ce qui les poussaient à agir ainsi, lui et mon père, au lieu de tout me dire une fois pour toute, ils préféraient me dire tout au compte goutte au fur et à mesure que j'apprenais des choses par moi même, ou du moins que je m'approchais de la vérité.

"Qu'ils m'enlèvent si bon leur chante, mais je n'apprendrais rien je peux être aussi nul que douée en magie si je le souhaite, il suffit d'y mettre beaucoup de mauvaise volonté, et je dois t'avouer que j'en ai à revendre. Et explique moi, pourquoi moi et pas mon père ou même ton frère tient, il est bien plus proche de toi que je ne le serais jamais. Tes korrigans préfèrent les filles ? Histoire de changer un peu c'est ça?"

Il était clair que je n'étais pas prête à me soumettre de cette façon à des choses qui me dépassaient et ne m'intéressaient pas le moins du monde, ce n'était pas comme si je me considérais comme membre de cette famille, c'était plutôt l'inverse, ils étaient des étrangers pour moi.

"Et puis c'est toi qui m'a donné tes souvenirs, j'ai rien demandé je te signale, je ne veux rien comprendre, je ne veux pas avoir à faire à ce genre de chose sans avoir le choix. Pourquoi devrais je apprendre de créatures françaises, oh ça va ne mords pas, Bretonne, même si pour moi c'est du pareil au même. Rends toi juste compte, ils n'ont pas intérêt à me laisser une baguette à porter de mains, parce que ce n'est pas parce que je suis jeune que je suis totalement incapable de me défendre, mourir au combat me parait être une belle mort."

Je jouais la fière bien sûr, l'idée de mourir ne me plaisait pas réellement, mais une vie en cage n'était pas pour moi. De toute façon ma vie était à l'envers, rien n'allait et ce depuis bien longtemps alors à quoi bon? Lorsqu'il évoqua ma mère par contre, pendant quelques secondes, une lueur de panique passa dans mon regard.

"Tu ne sais pas de quoi tu parles, crois moi, si elle est là bas c'est pour Lui, pas pour qui que se soit d'autre, elle n'aime que lui. Je suis plutôt bien placée pour le savoir, elle donnerait sa vie pour Lui."

Mon visage se ferma à nouveau lorsqu'Erwan fit apparaitre les réponses sur ma feuille. Je n'aimais pas du tout cette matière mais ce n'était pas une raison pour tricher d'une façon si absurde, quel intérêt si ça ne permettait pas de prendre des risques, autant ne rien faire. Vexée je demandais dans une moue :

"Tu insinue que je suis une tricheuse ou juste pas assez douée pour trouver ça toute seule?"

Invité

Ah, elle touchait juste. Le pont faible de mon argumentation. Sa mère n'est pas vraiment en asile chez moi... elle est prisonnière comme quatre autres Mangemorts, dans les galerie secrète du domaine.

Erwan-"En effet, ta mère t'aurais bien tué, mais ce que tu ne sait pas, c'est que s'il n'y avait pas eu des hommes a moi dan le coin, se serais chose faite. Elle est prisonnière. Rakel je vois que tu désire toute la vérité, mais tu sait déjà tous... a non, tu ne sait pas pourquoi toi ?

Cette fois je lui dirait tous.

Erwan-"Rakel, ton père est plus vieux que le mien ! Il aurait du hériter, mais il a renoncer à ses droit en ma faveur, a la condition que se serait toi mon héritière, mon frère et ma sœur son au courent."

Erwan & Rakel

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Ah ça oui je connaissais ma mère, il faut dire qu'elle n'était pas du genre à faire de gentil compliment à sa petite fifille, je n'étais qu'un objet de décoration avec trop de caractère pour elle, mais elle ne me l'avait jamais caché ça, alors pourquoi être étonnée? Non je ne fis même pas semblant une seule seconde d'être étonnée, je me contentais de hausser les épaules :

"Bah elle ne fera souffrir personne là bas, quoi que je la connais, elle ne reste jamais bien longtemps impuissante, je pense que c'est d'elle que je tiens mon caractère."

Oui c'était en partit de la provocation, je lui montrais que je ne tenais au final pas grand chose de sa famille à lui, ni à celle de mon père d'ailleurs, sauf peut être le talent pour la magie. Je manquais de m'étouffer avec ma bièraubeurre à l'annonce d'Erwan, alors comme ça mon géniteur ne voulait pas de cette malédiction mais il me la collait sur le dos, vive la famille quoi.

"Attends tu rigole là? Pourquoi mon père à eut le droit de passer son tour et que moi je n'ai pas d'autre choix que d'accepter mon sort sans protester? C'est quoi ces règles à la con? En plus je suis la dernière au courant comme toujours dans ce genre d'affaire, vlà l'héritage empoisonné quoi. Si tu es de mon côté alors dis moi comment éviter ça? Je ne suis pas d'accord..."

Invité

Je n'eu même pas le temps de répondre qu'une silhouëtte familière entra dans la taverne. Kor Mecthar, le Roi des Korrigans du Porhoët est donc au courant de ma présence içi, avec Rakel, qu'il a lui même appelé l'héritière. Mon trouble fut certainnement visible et pris pour de l'etonnement. Quoi qu'il en soit, le Korrigans vint me dire, en Korrigamis :

Mecthar-"Erwan de Rosnarho, vous avez toujours une dette envers moi, ne l'oublier pas.

Je répondis dans la même langue :

Erwan-"Je le sait bien Kor Mecthar, je le sait bien. Mais je doute qu'un si "Grand" Roi soit venu içi pour me le rappeller."

En Anglais :

Mecthar-"Non, en effet, je suis venu pour l'héritière"

Erwan-"NON, elle n'est pas prête, pas encore, il se peut qu'elle ne le soit jamais ! Elle n'est pas convaincu, Mecthar, souvennez vous de notre marché !"

Je n'eut pas le temps de dire un mot de plus, je me sentis projeté de l'autre coté, de la tavern. Aussitôt je sortis ma baguette,... je fixais le Korrigan dans les yeux...

Erwan & Rakel

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Décidément rien ne se passait comme je le voulais, je voulais un peu de tranquillité et à la place le me retrouvais avec des problèmes familiaux qui ne me plaisait pas du tout, ce n'était pas comme si je considérais Erwan comme un membre de ma famille, je continuais à leur en vouloir, et je ne voulais pas être une héritière de quoi que se soit, j'avais appris seule tout ce que je savais et ça n'allait pas changer quoi que se soit, je ne devais rien à personne. Je jetais un regard noir à cette petite chose, particulièrement lorsqu'il parlait d'une héritière à la noix.

Lorsqu'Erwan fut projeté de l'autre côté de la pièce, je sortis ma baguette, et sans quitter des yeux la créature, je m'approchais de lui, attrapant sa main prête à transplaner si il s'approchait de trop.

"Ce qu'oublie un Gryffondor c'est que la fuite n'est pas toujours une preuve de lâcheté, juste d'intelligence."

Je ne tenais pas à me battre avec un Korrigan, je ne tenais pas à combattre un ennemi que je n'avais jamais réellement vu utiliser la magie, mais je savais que quoi qu'il arrive j'aurais le temps de réagir, j'étais douée en magie, même si on me sous estimait souvent.

Invité

Décidément, les Korrigans ne s'allierais jamais a des mage noirs, mais mon dieu qu'il était difficile de les unirs sous un même pouvoir. Certe ceux qui vivent sur le domaine sont mes alliés, mais dès que l'on passe les limite, nombreux son ceux qui sont tout a fait neutre... d'autre son mes ennemis, c'est le cas de Mecthar. Celui ci dis en Korriganis :

Mecthar-"La magie des sorciers ne me fait pas peur."

Je répondit fermement en anglais :

Erwan-"Je connais vos forces et vos faiblesses ! Mais n'oubliez pas les anciens accord,Tous bas à Rakel j'ajoutais, Oh, je sait bien que la fuite contre un adversaire supèrieur n'est pas une lacheté, mais nous sommes entouré de sorciers"

Mais d'un autre coté, je savais que dix sorciers ne feraient pas le poids contre le plus puissant des Korrigans du Porhoët.v Mais il ne faut pas oublié que les Korrigans ont pris par a mon éducation magique, comme à mon éducation général. Je me relevais, la baguette pointé pret a jeté un sort protecteur. Je me mis devant Rakel. Mais il semblerais que mon impertinace a fait trop d'effet. Heureusement, j'eut le temps de lancer un contre-sort effgicace pour la seconde attaque. Je dit en anglais :

Erwan-"Un duel ne résoudrais rien, Mecthar. Tant que je n'aurais pas convaicus Rakel, elle ne suivras pas la formation habituel ! Même alors, se serais les Korrigans de Coët Candec qui en auront la charge !

Alors Mecthar se rua vers moi, mais d'un coup je me retrouvais devant un paysage qui ne m'étais pas famillier.

Erwan & Rakel

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Je ne côtoyais pas ces bestioles depuis bien longtemps, mais je devais avouer qu'elles commençaient sincèrement à me courir sur le système, je ne comprenais toujours pas pourquoi elles en avaient après moi, je ne voyais pas ce que je pouvais leur apporter. Et puis si elles pensaient m'impressionner, ou encore que la menace et la pression me ferais craquer, ils se mettaient le doigt dans l'oeil et ce jusqu'au coude. Je n'étais pas le genre de personne qui agissait pour s'assurer une sécurité quelconque, je savais que ma coopération ne suffirait pas forcément à m'assurer la survie, je préférais de loin m'éloigner de ce genre de personne. Tenant toujours la main d'Erwan je ne comprenais pas tout à fait ce que les autres sorciers venaient faire là, oui ils nous observaient étrangement, et alors? Surtout qu'il ne fallait pas rêver aucun d'eux ne viendraient nous aider.

Erwan se mit devant moi, pour me protéger sans aucun doute, mais je n'avais pas besoin de ça, même si les Korrigans étaient forts, ils n'étaient pas invincible, loin de là même, aussi je ne m'inquiétais pas, une bagarre tournerait vite au règlement de compte général ici. Alors que la bestiole se rua vers nous, je ne perdis pas une seule seconde, et transplanais vers l'endroit qui me semblait le plus sûr, mis à par Poudlard. Il s'agissait d'un grand jardin, ou plutôt d'une sorte de parc, au loin on y voyait un manoir, la bâtisse semblait inhabitée, les volets étaient fermés, mais elle était encore bien entretenu, tout comme le jardin. Le calme régnait, il faut dire que le domaine était assez grand, et éloigné du monde des moldus. Les mains sur les hanches, je me tournais vers Erwan.

"Si si ne dis pas le contraire, les Gryffondors n'arrivent à pas concevoir la fuite, mon père est pareil, c'est dans votre petite tête. Enfin ici nous sommes en sécurité, rare son les gens à connaitre cet endroit."

Je m'arrêtais observant les environs, un regard triste.

"Bienvenue chez moi, c'est le domaine que mes grands parents m'ont laissés, je ne suis pas venu ici depuis leurs enterrements... Je m'étais longtemps demandé pourquoi ne pas le laisser à mon père, mais si il n'était pas leur vrai enfant, c'est sans doute plus évident."

L'air dépitée, je me tournais vers Erwan.

"Tu vois, c'est ça mon héritage, je n'ai rien contre toi, mais je veux que tu comprenne que je ne peux pas accepter quoi que se soit venant de ta famille, ça serait trahir ceux qui m'ont élevé. Et puis sincèrement tu n'es pas dans ma tête sinon tu comprendrais ce que signifierait pour moi d'accepter cette situation..."

Invité

Je mis un temps a me remettre de se transplanage forcé, le paysage était beau, sans aucun doute. Mais le danger était toujours présnet, je le sentais. S'il ne sont pas invincible, les Korrigans utilise une ancienne magie, une ancienne magis que nous les sorciers avons perdus.

Erwan- "Je ne sais si je te comprends, Rakel, mais s'il y a une chose en laquelle j'ai fois, c'est que les Korrigans ont des exigeance pour nous aider. Je ne sais pourquoi ils t'on choisis, mais il l'on fait. Je sais que ta formation par Mecthar m'apporterais son aide, mais je ne veux surtous pas t'y obliger.De rage j'ajoutais,, Mecthar ma berné, je vois claire en sont jeux maintenant !"

Rakel a choisis la meilleur solution : transolaner. Encore une fois je me résolus à lui dire la vérité. Je reconnaissait bien, là, son père. Il ma encore utilisé a ses fins. D'abord il refuse mon héritage et ensuite force sa fille a y prendre part. Adams devait svoir la position de Mechtar !

Erwan-"Ton père c'est encore servie de moi, comme un simple pion. et de toi, par la même occasion. En fait de te proteger, il te mettais en danger. Je te promet que je vais mener ma petites enquète. Il est vrais que les Gryffondor son courageux, peut-être, mais trouve moi un Serpentard qui a déjà attaqué un élève de sa taille ?"

Soudain, j'eu l'impression de retournée dans le passé... Lundi, Mardi, et Mercredi,...... La fameuse chanson des Korigan retentis soudain de maintsd vois... Je saisis Rakel par le bras, je serrais peut être un peut fort, puis je transplanais,... dans le parc du Thabor à Rennes...

Erwan-"Tu vois, un Gryffondor peut fuir le danger, içi nous sommes sécurité, plus qu'ailleur."

Erwan & Rakel

Un prototype personnel de dieu jamais conçu pour la production en série. Trop bizarre pour vivre mais trop rare pour mourir.

J'observais cet endroit avec nostalgie, ce manoir était tellement grand que lorsque j'étais enfant, mon père y habitait, nous avions une aile entière pour nous, et je passais mon temps sur mon mini balais à faire le tour du parc. J'avais passé d'excellent moment ici, et d'ailleurs j'en avais beaucoup voulu à mon père d'avoir prit un appartement après la mort de mes grands parents, cet endroit était de loin le plus sûr que je connaissais, mis à part peut être Poudlard, et encore je n'en n'étais pas réellement sûre, cet endroit était protégé par de nombreux sorts élaborés par mon grand père lui même, et il fallait la présence de l'un des membres de la famille pour que les sorts ne se mettent pas à place pour piéger l'intrus. J'avais toujours admiré son habilité à la magie, et ce depuis ma plus tendre enfance, d'après mes souvenirs, il avait quelque chose de Dumbledore, c'était peut être pour cette raison que j'aimais tant ce vieux professeur et que sa mort m'avait tant affectée.

Il était encore question de devoir, d'honneur, d'aide, je détestais ce genre de parole, celle qui me faisaient sentir que ma vie ne m'appartenait pas réellement je ne supportais pas ça, après tout personne n'avait de droit sur ma personne et ma vie, que se soit mes parents ou Erwan. Je ne supportais pas cette façon qu'ils avaient de vouloir m'effrayer, me diminuer, pour que j'accepte, allant même jusqu'à me faire culpabiliser. Les Korrigans n'étaient pour moi qu'un cours ennuyant d'un professeur quelconque, je ne voyais pas pourquoi j'accepterais quoi que soit. Il fallait se rendre à l'évidence ils avaient plus besoin de moi que moi d'eux, j'avais très bien vécu jusqu'à présent sans supporter leur présence ce n'était pas maintenant que ça allait changer. Une moue sur le visage, j'écoutais les paroles d'Erwan sans jamais être réellement convaincue.

"De toute façon personne ne peut me forcer à faire ce que je ne veux pas, demande donc à ce bon vieux Rusard."

Oh oui c'était sans doute la personne qui avait le plus supporté ma mauvaise humeur, et il ne pouvait que confirmer que j'étais une véritable tête de mule quand je le voulais. En fait presque tout le temps d'ailleurs. Encore une fois Erwan changeait d'un coup de position, accusant soudain mon père de vouloir me mettre en danger, je fronçais les sourcils sans pour autant dire le moindre mot. Je connaissais mon père et je savais qu'il ne me mettrait jamais de manière volontaire en danger, pas lui, il m'aimait trop pour ça, c'était d'ailleurs pour ça qu'il ne voulait pas que je devienne mangemorte et qu'il se montrait un peu trop pressant envers moi, même si ça ne m'attendrissais pas le moins du monde. Par contre mon visage se décomposa sur la réflexion sur les Serpentards, mais je n'eus pas le temps de réagir qu'Erwan se mit à transplaner, je détestais ça, ce n'était pas comme si il y avait une urgence, je grinçais des dents, et lorsqu'il me lâcha enfin je lui envoyais une énorme claque.

"Tu me traite de lâche? Je te signale que j'ai attaqué des personnes plus vieilles que moi, ce n'est pas ton petit Korrigan qui va me foutre la trouille. Tu me juge sans connaitre, pire tu juge ma maison entière sur des préjugés de gamins et après vous nous accusez de ne pas être tolérant, et puis quoi encore, je ne veux pas de ton aide, laisse moi !"

Vexée, je me mis à marcher, cherchant où me rendre à présent, j'allais sans doute retourner à Poudlard, pour ça le plus simple était encore de rejoindre Pré-au-lard en transplanant.

Invité

Le jardin du Thabor... un très bel endroit. Cette fois, je me détournait de mon but,... définitivement peut-être... Rakel eput être vraiment insurportable quand elle s'y met. Pour commençer, je lançais un sort anti-transplanage. Un détails à dus m'échapper... il semblerait qu'elle ne comprennent pas le danger que représente les Korrigans de Mecthar, pour elle.

Erwan-"Je ne te traite pas de lâche, Rakel. Tu ne l'ai pas, je le sais. Il est vrais que James Potter, attaquais Severus Rogue par derrière et jamais seul. reconnais que beaucoup de Serpentard son orgueilleux, beaucoup ont rejoint les Mangemeorts. Regulus Black, étais pas un lâche. Tu as raison, sur ce point, mais vous aussi à Serpentard, vos jugement sur les Gryffondor sont faussé de la même manière."

Là est la question,... pourquoi ais-je choisis le Thabor ? Et bien c'est simple... les Korrigans du Thabor on tissé a travers les siècles des sortilèges contre les ennemie de ceux qui s'y promène.

Erwan-"Je tiens a te présenter quelqu'un, avant de quitter ce lieu."

rakel ne semblais pas comprendre pourquoi j'avais transplané hors de chez elle... J'avous que sa a été impulsif... un vieux souvenir sans doute... un vieux conte... une vielle réalité... je me décidait donc a dire cela en Korrigami :

Erwan-"Anmûril, montre toi, j'ai besoin de ton conseil."

Il se passant un petit moment avant qu'Anmûril apparaisse. C'était un très vieux Korrigan, bleu de peaus et grande barbe blanche. C'étais le plus vieux et le plus sage des Korrigans. Je lui dit en Anglais :

Erwan-"Sage Anmûnil, pourquoi Mecthar, veut cette jeune fille."

Anmûnil-"Laise moi la regarder. Qui est tu jeune fille ?"

Erwan & Rakel

Un prototype personnel de dieu jamais conçu pour la production en série. Trop bizarre pour vivre mais trop rare pour mourir.

Le lieu était peut être magnifique mais je n'y prêtais pas la moindre attention, la colère avait prit le dessus sur ma raison, chose qui arrivait relativement souvent, chez moi, j'étais une personne un peu trop impulsive, il fallait se l'avouer. Je soufflais lorsque je remarquais que je ne pouvais pas transplaner, Erwan ne comprenait pas que depuis toujours je vivais avec une épée de Damocles au dessus de la tête et que ça ne m'avait jamais réellement effrayée, une de plus ou de moins ça ne changeait pas grand chose à mes yeux. Et puis à Poudlard je ne risquais rien, c'était sans doute la chose dont j'étais le plus sûre au monde. Ce monde c'était le sien , pas le mien, je n'avais rien à voir avec tout ça, et il ne voulait pas le comprendre, mon sang n'y faisait rien, je n'avais pas élevée avec ces histoires, pour moi ce n'était qu'un détail bien peu important.

L'histoire du père de Potter et de mon professeur préféré me tira une grimace, si il ne m'en avait jamais parlé c'était qu'il ne le souhaitait pas, ce n'était pas réellement à Erwan de le faire, mais maintenant c'était trop tard pour faire comme si je n'avais rien entendu. Je me contentais d'hausser les épaules à sa remarque sur les Serpentards :

"J'ai des amis à Gryffondor, et je ne me base que sur ce que j'ai vu d'eux, ils préfèrent affronter le danger que le fuir, même quand il s'agit de suicide, il s'agit de bêtises pour moi voilà tout, mais si ça leur fait plaisir, je ne peux pas gérer leur vie à leur place, comme tu ne peux pas le faire avec moi, ni même les Korrigans."

Visiblement il n'en avait pas finir avec moi, encore et toujours, je ne verrais jamais la fin de ce bourrage de crâne... Même si je n'étais pas franchement d'humeur, je me prêtais une fois de plus à son petit jeu, même si c'était de moins en moins avec bonne humeur. Je m'approchais doucement de lui, attendant la suite des événements. Lorsque la créature apparu, on pu lire la méfiance dans mes yeux, même si je ne touchais pas ma baguette, je n'étais pas spécialement ravie d'avoir encore une fois à faire à une créature de son espèce. La créature s'adressa à moi, me demandant qui j'étais, et ce fut d'une voix assurée que je lui répondis :

"Je suis Rakel Peleonor."

Invité

Pour la première, j'entrevu un moyen de raisonner Rakel. Le sage Anmûnil est le plus vieux des Korrigans et le dernier Korrigan "Gallo". Je ne sais pas son âge, mais je sais qu'il est très vieux et très sage. Je pense que lui serais capable de convaincre Rakel de changer de voie sans pour cela perdre ses amis de Serpentards.

Lorsque Rakel eu répondus a la question du Korrigan, celui-ci lui attrapa le bras, le redant agréable au touché. Puis, il fixa la jeune fille dans les yeux et lui montra une part de ses souvenirs tous en fouillant imperceptiblement dans se tête. Moi, je m'assis dans l'herbe en les regardant tous les deux.

Un certain temps après, le Korrigan lacha et me dit :

Anmûnil-Erwan de Rosnarho, cette fille a le même sang que vous. Elle est animagus louve, voilà pourquoi Mecthar la veux, il déteste les sorciers et les loups.

Erwan-"Il veut l'apprivoiser ? Il déteste les sorciers, c'est un fait, il a été très contrarié quand je lui ai échappé.

Anmûnil-"Il veut plus que l'apprivoiser, il veut son corps. Comme le Mage Noir, prend posséssion de corps étranger, lui veut le faire définitivement."

Cette révélation me fit horreur, je me décidait donc de combattre Mecthar juste qu'a sa mort, seul je ne peux rien contre lui. Mais avec une animagus louve, cela simplifierait les chose, il ne la tueras pas puisqu'il la veux pour lui.

Erwan-"Je suppose que vous ne nous aiderez pas ?"

Anmûnil-"Mon temps est bientôt venu, et ce lieux cesseras d'être un refuge. Je viendrais chez vous pour le peu d'années qu'il me reste a vivre. Contre Mecthar, vous aurez de meilleur chance avec une épée, avec l'Epée.

Erwan-"Rakel, est tu prête a m'aider a tuer Mechar. Seul avec l'Epée, je ne fait pas le poid. Mais avec toi, ou devrai-je dire, une animagus Louve, nos chance serais multiplié par 10, puisqu'il ne te tueras pas."

Erwan & Rakel

Un prototype personnel de dieu jamais conçu pour la production en série. Trop bizarre pour vivre mais trop rare pour mourir.

J'étais réellement perplexe de voir tout ce qui se passait. Cette créature ne m'inspirait pas franchement confiance, ou plutôt personne ne m'inspirait confiance à cet instant, j'étais prostrée dans ma méfiance pour être sûre de ne pas être poignardée dans le dos une fois de plus. En tout cas la créature était très vieille, et j'eus un mouvement de recul lorsqu'il m'attrapait le bras, je détestais que l'on me touche de cette manière, généralement je n'acceptais ce genre de comportement que des personnes dont j'étais très proche, mais je fis l'effort de ne pas chercher à me débattre même si mon regard se porta longuement sur la main de la créature. Je ne comprenais pas cet acharnement qu'Erwan avait à vouloir me faire changer, j'étais si bien comme j'étais. Le regard inquiet pendant le petit instant de silence, je jetais un coup d'oeil à Erwan, assit dans l'herbe, nous regardant tout en attendant la suite.

Mon silence était gêné, je ne savais pas quoi faire ni quoi dire, je me contentais de regarder la créature, me demandant ce qui allait se passer, essayant de faire comprendre à Erwan que j'étais plutôt mal à l'aise, mais ça ne semblait pas le déranger. Finalement le Korrigan finit par prendre la parole après un temps qui me paru une éternité. Et sincèrement, ce n'était pas une bonne chose pour moi, mon regard se fit noir, je n'aimais pas qu'on révèle ainsi tous mes secrets, même si j'étais plutôt fière d'être animagus, rares étaient les personnes qui parvenaient à un tel résultat. Sans un mot j'écoutais la petite conversation, et ce jusqu'à ce qu'Erwan parle de m'apprivoiser, et puis quoi encore?

"M'apprivoiser? Il rêve ou quoi?"

La suite fut bien pire, je n'en croyais pas mes oreilles et je manquais de m'étouffer face à cette nouvelle, il voulait mon corps? Mais c'était quoi ce gros pervers? Comme si j'allais me laisser faire, je préférais encore me donner la mort, c'était moins terrible à mon avis. J'étais parfaitement horrifiée, et une chose était certaine, il ne parviendrait jamais à ses fins. Mains sur les hanches, j'observais les deux êtres qui me semblaient tout droit sortit d'un manuscrit qui contait des histoires pour enfants, quoi d'autre, pouvais-je vraiment croire tout ça? Lorsqu'il s'adressa à moi, je l'observais comme si il venait de m'avouer qu'il savait voler et qu'il était le fils légitime de Voldemort.

"Combattre avec une épée? Combattre un Korrigan? Tu veux que je fasse quoi que je le mange? Je ne vois pas en quoi je pourrais t'aider et surtout si il ne veut pas me tuer je ne risque pas grand chose, non? Je veux dire tant que tu me demande de manier la magie ok, mais je ne vois pas comment combattre quoi que se soit sous ma forme animal."

Invité

dans ma tête, je refléchissait a un plan. J'avoue ne pas avoir trop écouté les dernière phrase de Rakel jusqu'au moment où elle parla de combattre sous sa forme de louve. Je ne pensait pas vraiment a sa, a vrais dire.

Anmûnil-"Rakel Péléonor, il y a autre chose, qui te déisgne comme "apte" a recevoir l'instruction des Korrigans."

Erwan-"Autre chose ? Quel autres chose ?"

Anmûnil-"Ah, erwan de Rosnarho, c'est la même chose qui nous a fait choisir toi, plutôt qu'Adams Péléonor. De grandes capacité magique et des dons rare.""

Décidément, je venais d'apprendre quelque chose. Rakel a été choisis comme "apte", pour ses dons et ses capacité magique et mental. je pense avoir eu l'air suppris, sur le coup. Enfin, j'exposait mon plan :

Erwan-"Oh, Rakel, qui te dis que tu combattras sur ta forme de louve ? C'est moi qui combatterais Mecthar, avec l'unique &p& forgé par Anmûnil, "Excalibure"... je lancerais un défis a Mecthar, il accepteras j'en suis sur,... si tu es là. Je te promet Rakel, de ne plus jamais te parler de Korrigans de cette façon. Enfin voici le plan :

Je lancerais un défis à Mecthar, un défis en quatre manche selon la traddition :

Enigme, force, agilité et magie

Anmûnil sera, avec moi, ton témoin L'épe amadouras Mecthar, qui la convoite depuis longtemps. S'il perd, il te laisseras tranquil, s'il gagne, il récupère l'épe.

Je sais que tu es fortes en énigmes, agile et douée en magie. S'il y a égalité, la traddition exige une cinquième épreuve : la course." Si Mecthar gagne contre toi, je lui lancerais un défis a titre personnelle, Avec l'épée qu'il lui même forgé il y a longtemps et te laisser tranquille."

Erwan & Rakel

Un prototype personnel de dieu jamais conçu pour la production en série. Trop bizarre pour vivre mais trop rare pour mourir.

Tout ceci me paraissait surréaliste et pourtant, personne ne répondait à mes interrogations, ça avait quelque chose de perturbant. Déjà j'aimais avoir des preuves de ce que l'on me disait alors que là je devais faire purement confiance à Erwan et son pote bleu. Décidément quelle mauvaise idée j'avais eu de faire mes devoirs au Pré-au-lard, je m'étais mis dans de sales draps et en plus j'allais clairement devoir bosser toute la soirée pour combler mon retard, le rêve quoi.... Les mains toujours sur les hanches, j'attendais que quelqu'un daigne m'expliquer les choses, et finalement se fut Erwan, chose qui m'étonnait guère, le Korrigan n'avait pas l'air spécialement bavard, mais bon ce n'était pas un réel problème pour moi, j'aimais autant m'adresser à mon cousin, même si décidément ça me faisait toujours aussi bizarre de dire une chose pareille. Le Korrigan avait avant tout ajouté d'autre chose, certes en s'adressant à moi, mais c'était plutôt pour répondre à Erwan, moi je me fichais pas mal de savoir pourquoi j'étais "apte".

A voir la tête d'Erwan face à cette remarque je fus un peu vexée, osait-il douter de mes talents? Merde il n'y avait pas beaucoup d'élèves qui réussissait un tel exploit que celui d'être animagus. Enfin lorsqu'il reprit la parole, je tentais de me concentrer, pour une fois qu'il m'expliquait les choses, mais je fus une fois de plus déçue. Ne pas combattre... Un défi... Mais dans quel monde vivait ce type? Visiblement il avait passé trop de temps à fumer des substances illicites avec son ami bleu, ou c'était peut être simplement que les français n'étaient pas des gens normaux, allez savoir. Incrédule à ses mots, je le regardais comme si il était totalement fou, répétant le mot Excalibure pour savoir si il se moquait de moi ou si il était vraiment sérieux, mais ce qui me faisait le plus peur, c'était que visiblement, il était parfaitement sérieux, mais la suite ne m'arrangeait pas mieux, courageuse oui mais pas téméraire et encore moins suicidaire.

"Attends, tu mets au défi ce Korrigan mais c'est moi qui doit passer les épreuves? Je te rappelle que je ne suis qu'en dernière année, je suis peut être douée, mais je reste une élève... Et genre tu peux pas juste échanger l'épée contre ma personne? Ca serait quand même vachement plus simple pourquoi il faut toujours que les vieux cherchent à se compliquer la vie? Avoue vous aimez ça..."

Je poussais un soupire, totalement dépité mais sans pour autant me fermer.

"Ca fait un peu devoir tout ça, courir ça ne me gêne pas, mais franchement jouer ma propre peau, j'aime pas trop ça... Je peux pas faire que la course?"

Invité

Encore une fois, je dus faire de gros effort pour ne pas montrer mes sentiments. Je savais que c'étais en partis de ma faute, en partie du hasard si Mecthar est au courent de l'existance de Rakel. je ne savais trop comment lui expliquer, et je n'en ai pas eu le temps :

Anmûnil-"Rakel Péléonor, tu oublis que nous sommes des Korrigans, a vrais dire le defis viens de moi même, mais je suis trop vieux pour lutter contre Mecthar, alors j'ai demandé à Erwan ce service."

Erwan-"Rakel, ce qui t'arrive est en partie ma faute, je le sais, je n'aurais jamais du t'amener sur le Domaine. L'autre cause est le hasard, la question que je me pose, pourquoi Mecthar était précisément là ?"

J'avous que je n'en savais rien, que j'aurais dus attendre, de voir pour qui Rakel prendrais partie. Mais encore une fois, son père ma pressé, "pour la proteger". Anmûnil disparut un instant et revint avec un gros livre, certainnement le "Chronique d'en dessous".

Anmûnil-"Je doute que ceci t'interressa, Rakel Péléonor, il s'agit de l'histoire des Korrigans... ... ... tu y trouverais nos forces et nos faiblesses... mais je vais t'expliquer ceci :

Quand une vie est dans le defis, c'est à elle de défier une première, ensuite, s'il y a défaite, il y a une seconde chance, en cas de victoire, il y a troisième manche. Tu dois gagner et Erwan gagner ensuite, si vous perdez, la vie en jeux seras perdus, si l'un de vous perd, il y auras égalité et vous devrez trouver une troisième personne pour le défis,... sinon vous perdez. N'oublie pas que Mecthar est un Korrigan et que les Korrigans ont d'honneur. Mecthar trichera, a vous de le déjouer."

Erwan & Rakel

Un prototype personnel de dieu jamais conçu pour la production en série. Trop bizarre pour vivre mais trop rare pour mourir.

Encore une fois j'étais totalement incrédule, il faut dire que cette situation était plutôt particulière, comment je pourrais m'imaginer une chose pareille? J'avais sérieusement l'impression que l'on se moquait de moi, mais on ne pouvait pas réellement dire que les personnes en face de moi ne semblaient pas être très doué niveau humour. Anmûnil prit la parole, mais j'avais du mal à comprendre, selon lui c'était Erwan qui devrait relever le défi, alors qu'est ce que je venais faire ici? Je commençais sérieusement à en avoir marre, le jour décroissait, je voulais rentrer à Poudlard, mais sans râler, je me contentais de poser mes mains sur mes hanches attendant avec une certaine impatience la fin de cette mascarade, un peu comme dans un mauvais rêve qui ne voulait jamais réellement prendre fin. Au final, je meublais plus qu'autre chose, la discussion avait lieu entre le Korrigan et Erwan, je ne servais que de sujet principal, mais je ne doutais pas que si ça n'avait pas été le cas, ils auraient trouvé autre chose pour occuper leur temps libre.

Toujours en spectatrice, j'observais le Korrigan apporter un énorme livre, sincèrement j'en avais mal à la tête de toutes leurs histoires, ça ne me concernait pas réellement, surtout que je ne devrais même pas être ici actuellement. Comme quoi des fois respecter le règlement ne me ferait pas de mal, c'était une chose à méditer ce soir, mais que j'aurais sans doute oublier demain matin. Ce ne fut que lorsque je compris réellement ce qui se jouait que je pointais mon regard noir vers Erwan, visiblement en colère.

"Mais je ne vous permet pas de jouer ainsi avec MA vie. Si je comprends bien je ne suis héritière que de votre foutue malédiction, mais allez vous faire voir, toi et tes amis les Korrigans, je n'appartiens à personne et nul ne peut jouer ainsi avec ma vie, qu'il essaye une seule seconde de venir me chercher et il sera bien accueillit, crois moi je préfère encore me tuer que de me laisser faire. Surtout je ne traite pas avec des gens sans honneur, je viens d'une prestigieuse famille, pas des bas fond de l'Angleterre, je n'ai pas à subir ce genre d'affront, qu'il trouve une autre personne pour faire ces saloperies, je mérite bien mieux que ça. Si pour qu'il me laisse tranquille il faut que je rejoigne les rangs du seigneur noir, je n'hésiterais pas une seule seconde, et je ferais en sorte que sa vie ne soit qu'un sinistre enfer jusqu'à ce que la mort accepte en fait de le libérer de ses souffrances."

La haine de mon regard faisait peur à voir, à ce instant la colère était telle que j'aurais sans doute sauté au cou de ma mère avant de rejoindre les rangs du seigneur noir à cet instant précis. Généralement la colère finissait par retomber relativement rapidement, mais rares étaient les fois où j'étais aussi en colère. Mais après tout ma vie n'était pas une vulgaire montre que l'on mettait en jeux à une partie de carte.