Partie de Mathie Geterds

JAYNA : L'Extermination. Les Purificateurs et leur fidèles furent condamné par ceux qu'ils croyaient être leurs amis. Leur naïveté les a perdu.

Effectivement, un peu de déjà vu dans son récit. D'un autre côté, votre instinct vous dit que si le Monde était beau et en paix, vous n'auriez pas atterrit ici.

● Ils ont tous été tué ?
● Et vous, dans quel camp étiez-vous ?
●

Elle vous regarde les yeux exorbités, surprise par votre question.

JAYNA : Je n'étais dans aucun camp ! Fin de la discussion.

Elle se repli alors sur elle-même et disparait dans la pénombre de la cage. Elle n'a pas eu l'air d'aimer... En tout cas, ce qu'elle vous a dit est intéressant. Des informations qui vous sont précieuses. Voilà donc le mystère de ces terres : un affrontement sans relâche entre la Magie Blanche et la Magie Noire ? Au milieu de races qui se sont rebellé ou plié aux lois des sorciers ? Vous avez le sentiment que ça va très vite se compliquer tout ça.

En attendant, vous vous retournez. Que faire ?

● Partir dormir.
● Partir vers la tente bleue.
●

En vous approchant de plus près de la tente singulièrement bleutée, vous pouvez apercevoir une affiche. Arrivant près du parchemin, vous observez attentivement chaque mot.

● Partir dormir.
● Essayer d'entrer dans la tente.
●

Vous essayez vainement et timidement de forcer la toile, mais elle est bien plus solide qu'il n'y parait. Après quelques minutes, vous abandonnez l'idée d'user de vos petits bras pour entrer. Ça a l'air tout bonnement scellé.

● Partir dormir.
● Forcer l'entrer avec votre épée.
●

Choisissant la voie de la détermination, vous tentez d'ouvrir la toile à coup d'épée. Mais même avec ça, la tente ne vous laisse pas entrer. Pire, elle se défend : vous voilà propulsé à quelques mètres de l'entrée. Tant pis, pour la peine, vous repartez vers votre tente personnelle. Le feu de camp est totalement éteint, si bien que vous avez un peu de mal à trouver votre demeure.

Vous finissez tout de même par la trouver. En entrant, vous voyez disposés un matelas dans le fond. Un coffre est placé sur le côté gauche. Sur le côté droite, une armoire. Une armoire là-dedans ? Pourquoi pas. C'est un décor original, au moins.

● Fouiller le coffre.
● Fouiller l'armoire.
● Dormir.

Dans votre coffre, vous ne trouvez que vos affaires : le médaillon, la boussole, la gourde, mais cette fois remplie. Et même votre arme, entreposé dans un coin spécialement fait pour elle. Comme c'est pratique.

Bref, rien de plus, rien de moins. Pas très intéressant, au final.

● Fouiller l'armoire.
● Dormir.
●

Vous ouvrez grand l'armoire et y trouvez, à votre grande surprise, des vêtements. Ils ont tout l'air d'être à votre taille. Et vos habits miteux n'iront pas bien loin. Vous scrutez un peu plus en détail chaque costume : il y a plusieurs robes, et notamment un manteau comme celui que porte Jayna.

■ Mettre la robe noire.
■ Mettre la robe blanche.
■ Mettre la bure argentée.
■ Mettre le manteau brun.
■ Ne rien mettre.

Vous enfilez la mystérieuse robe noire, qui vous va à ravir. Les choses sont bien faites, de temps à autres. Mais désormais, il est peut-être enfin temps de dormir... Vous vous dirigez de façon lente vers votre couchette. Espérons que ce soit une bonne nuit...

● Pas vraiment, en réalité.
● Oui, merci.
● Ça fait combien de temps que vous me regardez dormir comme ça ?!

MAREK NYROS : Je vous ai pas regardé dormir, je vous ai regardé vous éveiller.

Il... a un sens de la reparti bien étrange. Mais il faut avouer que là, il vous a cloué le bec.

● Je n'ai pas vraiment bien dormi, en réalité.
● Alors oui, j'ai bien dormi. Merci.
●

MAREK NYROS : Oui. On m'a raconté que vous aviez fait une petite promenade nocturne. Somnambulisme ?

Allons, pourquoi serait-ce interdit de visiter ? De plus, vous avez appris beaucoup de choses... Et puis il se mêle un peu de tout !

● Exact. J'ai rencontré Jayna.
● Exact. Mais vos créatures ne semblent pas m'apprécier.
● Exact. J'étais fasciné par la tente bleue...
● Ça doit être ça, oui. [MENTIR]
● Je ne vois pas de quoi vous parlez. [MENTIR]

Il acquiesce et secoue l'épée qui est fièrement accroché à sa taille.

MAREK NYROS : Les nargoles ne ressentent guère de sympathie face aux humains, même vous concernant. De plus, ils ne parlent même pas votre langue.

Ceci explique cela. Non seulement ils ne vous apprécient pas, mais en plus, ils ne comprennent rien. Pauvre nargoles... Vous y aviez tellement cru pendant votre enfance. Si vous aviez pu discuter, au moins une fois...

● J'ai aussi rencontré Jayna.
● Quelle langue parlent-ils au juste ?
● J'étais fasciné par la tente bleue...

MAREK NYROS : Les nargoles de cette région parlent le hazar oriental. Une langue antique qui date depuis bien des siècles.

Jamais entendu parler. Excepté par les drôles de créatures qui peuplent le campement, évidemment.

● J'ai aussi rencontré Jayna.
● Il existe donc un hazar occidental ?
● J'étais fasciné par la tente bleue...

Il ricane un peu. Puis se reprend en main.

MAREK NYROS : D'après mes connaissances, il existe un hazar nordique, unique en son genre. Mais là n'est pas la question.

Marek marque un point. Vous parlerez de langues plus tard.

● J'ai aussi rencontré Jayna.
● J'étais fasciné par la tente bleue...
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