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    Cher visiteur,

    Tu viens de pénétrer dans une zone de quarantaine!! Tout le monde peut entrer, mais sortir d'ici est impossible. Ainsi, tu n'as plus d'autre choix que de t'inscrire mais attention !! Les membres de ce forum sont fou, psychopathe et complètement atteint de la cervelle, fan de ship, bizarre... Le staff de ce forum aime le sang, les morts et le sadisme... Cher visiteur, si tu es un minimum drôle et déluré, alors les personnes composant Deathly Hallows sont tes amis!!

    De toute façon tu n'as plus le choix, tu es contaminé, tu es perdu... Tu vas bientôt devenir toi aussi un ADC (Atteint De la Cervelle) et ça ne se guérit pas alors n'attend plus, et inscris-toi."

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    On est pas obligé d'être fan d'Harry Potter pour s'inscrire sur ce forum. :-) Laissez nous notre chance, vous verrez qu'on est pas méchant. ̿ ̿̿'̿'̵͇̿̿з=(•̪●)=ε/̵͇̿̿/'̿'̿̿̿ ̿ ̿ ̿
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 la chance tournera

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AuteurMessage
caroline TVD
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MessageSujet: la chance tournera   la chance tournera Icon_minitimeSam 14 Juil - 14:52

depuis pas mal de temps, j'écris, et j'ai décidé de faire lire mon prologue. si la plupart des personnes aime, il y aura la suite.
La chance tournera
la quête des rêves

tome 2 : le temps perdu
tome 3 : la foret aux cauchemars



Prologue


Un conseil : ne lisez pas ce livre. À moins bien sûr que vous aimez les histoire qui finissent mal. Au quel cas, vous êtes servi... mais si vous persistez à lire ce livre, sachez qu'il ne raconte pas « les joyeuses aventures de Héléna Mérova et ses amis » ou alors, il faudrait enlever le mot « joyeux ». Bref, je vous aurez prévenus... alors, si au milieu du livre un personnage meurt, ne vous plaignez pas...
Je me réveille en sursaut.
Encore une fois...
Je sent la sueur glacée ruisseler sur mon front et dans mon dos.
Encore une fois...
Je vient de faire un cauchemar.
Encore une fois.
Mais, vous savez, ce n'est pas la première fois, et je sais que ce ne sera sûrement pas la dernière. De plus, je le connais sur le bouts des doigts ce mauvais rêve. Pour cause de l'avoir déjà faits. Et pas qu'une fois...
je sais ce que vous vous dites : oh, encore des cauchemars... Quelle pleureuse, se sont les enfants de quatre ans qui ont peur de leurs rêves...
Mais moi, à quatre ans, je regardais les autres enfants de mon âge faire des colères au près de leurs mères, parce qu'ils ne voulaient pas aller à l'école. Je me demandais pourquoi il n'y avais que moi qui n'avais pas de maman. Peut-être que si j'en avais eu une, j'aurais taper du pied et crier jusqu'à lui faire exploser les timpants. Mais au moins, j'aurais eu une maman.
Malgré mes efforts, j'ai du mal à me ressaisir. Les images et les sons - les hurlements - restent gravés dans ma mémoire.
Inutile de dire «encore une fois...»
Mes cauchemars sont horribles. Tous les mêmes, ou presque.
Avant, ce n'étaient que des simples hurlements lointains, des images flous. Mais depuis que j'ai vu la photographie, ils sont plus terribles que jamais.
Je me souviens que c'était un soir d'hiver. J'étais assise à coté du feux de cheminé avec les deux gouvernantes de l’orphelinat ; Mlle Darren et Mlle Rue. Le seul point en commun qu'avaient les deux dames, c'était que toute deux n'étaient que des simples grand-mères. L'une étant froide et sans aucun tact, tandis que l'autre était la parfaite grand-mère avec ses petits-enfants. Nous regardions l'album photo de la résidence. Et c'est là que je les ais vus.
Ils étaient cinq. Deux petite filles (sûrement des jumelles vus la ressemblance) brunes aux yeux d'océan et aux reflets d'or d'environs deux ans. À coté, un petit garçon blond avec les mêmes yeux que les deux jumelles, ayant a peut près deux ans de plus que ses sœurs. Derrière les enfants, on pouvaient voir une femme brune qui avait des yeux d'or, au propre comme au figuré. Elle était d'une grande beauté et son sourire était tout simplement magnifique. La tenant par la main, un homme affichait un sourire éclatant. Il avait les yeux bleu, et les même cheveux blond qu'avait hériter de lui son fils.
Et c'est là que je les ais reconnus. Ma famille. Mon frère. Ma sœur. Mes parents. Et bien sûr, moi.
Depuis ce jour, mes cauchemars se sont horrifiés. Et depuis ce jour, j'ai vraiment su ce qu'était la solitude. Car avant cet incident, c'était à peine si je pensais à ma famille. Vu que je ne savais même pas si j'en avais une...
Depuis mes huit ans, c'est à dire il y a six ans. Je rêve du petits garçon qui essai de me prendre dans ses bras, pour me sauver. Je l'entend crier. Je l'entend hurler. Ensuite vient le tour de ma sœur, puis de mes parents. Je pleure. Nous pleurons tous.
Maintenant je sais que mes cauchemars et le peu de rêve que je fais sont des souvenirs. Enfin presque. Je ne suis pas si sûre que les grandes lumières et les explosions soient issues de la petite mémoire que j'ai de mon enfance.
J'ai bien sûr essayé de savoir si ils étaient morts ou pas, mais les deux seules réponses que j'ai n'étaient pas très constructive : « y' sont mort. c'est tout... » ou « oh ma pauvre Héléna... tu le sais bien... » bref, rien qui puisse m'aider.
Je parviens enfin a m'arracher ces affreuses et épouvantable images de ma tête.
Jusqu'aux prochains cauchemars.
Je plisse les yeux dans l'obscurité afin de reconnaître la cachette dans laquelle je me suis encore fourré. Mais je suis dans la bibliothèque. Je me lève et tâte le mur à l’aveuglette, attendant de trouver le relief de l’interrupteur. Une fois la lumière allumée, je me crispe en apercevant devant moi une fille au longs cheveux d'ébène, blanche comme un linge, des yeux océan aux reflets d'or, dans lesquels miroite la tristesse, la douleur, la souffrance et la peur. Elle est très mince, de taille normale pour les douze ans qu'elle fait paraître. Des cernes violette se sont logées sous ses yeux à cause des nuits blanches qu'elle a dut passée.
Je mets longtemps avant de reconnaître mon reflet dans la vitrine de l’étagère.
Je suis frappée par mon aspect. J'ai encore maigrie. Il faut dire que je fait de plus en plus de mauvais rêves.
Une fois revenue à la réalité, je sors de la pièce et longe les longs et étroits couloirs de l'orphelinat.
Je hais ces couloirs.
Je cet endroit.
L'atmosphère chargée de poussières y est étouffante. Les vielles tapisseries dégagent une odeur capable d'asphyxier n'importe quelle personne passant à coté et qui n'y est pas habitué.
Je suis enfin arrivée à ma chambre. Je ne prend même pas la pêne de me mettre en pyjama. Mes mains soulèvent les draps afin que mon corps puisse s'y fourré.
Je ferme les yeux.
J’attends.
Mais rien ne viens.
Je suis incapable de m'endormir.
Abandonnant le petit lit étroit aux ressorts grinçant, je m'approche de la fenêtre. Je l'ouvre, et avant même que je m'en rende compte, mes pieds touchent le trottoir de la rue. Je marche quelques minut-es avec pour seule compagnie les grésillement des réverbères sur le point de s’éteindre.
J'aime la rue dans la nuit.
Mais uniquement la nuit. La journée, ça grouille de voitures, et de passants.
Tandis que la nuit, tous est si calme... la plus part d'entre vous prendrez leurs jambes à leur cou et se sauverez en criant. Mais pas moi.
J'arrive enfin à ma destination. Je me baisse pour attraper un cailloux. Je le lance sur le carreaux de la fenêtre du premier étage.
Heureusement, je n'ai pas a attendre longtemps. Devant moi se tient mon seul ami : Liam.
– Bonjour Alice... me fait-il la mine endormit. Ou plutôt devrais-je dire bonsoir.
Oui, je sais, je ne m'appelle pas Alice, mais c'est le surnom que Liam me donne.
Je ris. Cela fait maintenant presque six ans que Liam me fait rire. En somme, depuis le premier jour où nous nous sommes rencontrés. Moi j'avais sept ans, et lui huit. Nous étions dans le cimetière ce jour-ci. Moi parce je n'avais que ça à faire, quand à lui...
– vite, il faut m'aider ! M'avait-il dit entre ses dents serrés.
– pourquoi? ai-je demandé, a la fois surprise et méfiante.
– parce que je me suis enfuis de l'école et qu'ils me cherchent.
Je me souviens que ce jour-là, mon professeur était absent. Je l'ai vite emmener à l'orphelinat. Nous sommes rester cacher dans un placard à balais pendant tous le reste de l’après-midi. Il m'a appris que sa classe devait préparer la fête de son école. Et pour la fête de l'école, les enfant devaient présenter un spectacle de danse.
Avant même qu'il n'ait fini sa phrase, j'avais éclater de rire.
– et bien non, normalement c'est bonjour que tu dois me dire.
Il hausse les sourcils d'un air interrogateur. Je lui colle ma montre sur les yeux.
– il faut te mette à jour, Indiana Jones. Il est minuit et trois minu-tes !
Liam aussi a son surnom. C'est depuis le jour où j'ai blesser un lapin dans le cimetière. Il est tombé dans un trou. Quand j'ai voulu le récupérer, je suis moi aussi tombée dedans. Liam a trouvé ça très drôle et ça lui a fait penser à « Alice au pays des merveille » . Depuis, il m'appelle Alice. Et depuis qu'il s'est casser la cheville en voulant venir me chercher, je l'appelle Indiana Jones.
– tu a apporté ce qu'il faut? Je lui demande.
Pour toute réponse, il sort des couteaux, des flèches et un arc de son sac à dos.
À, là aussi je sais ce que vous penser : « mais ils sont fous ! Pourquoi font-ils cela ? ».
Alors, vrai ou pas ?
Nous commençons à marcher en direction du cimetière. Au moins trois fois par semaine, nous nous y rendons passer nos nerfs contre les arbres, les morts, et quelques fois sur les animaux. Même si c'est rare, nous touchons des petites bestioles. Comme le lapin.
C'est depuis le jour où j'étais tellement énerver contre Liam, pour je ne sais quelle raison encore. Il y avait un couteau juste à coté de moi. Je l'ai pris. Et je l'ai lancée vers Liam. Heureusement, le couteau s'est planté dans la cible que j'avais prévue. Heureusement. Car le couteau s'est loger dans le mur à quelques cheveux de la tête de Liam.
Après cet incident, nous avons décider de nous rendre dans le cimetière régulièrement. Et Liam a décider de ne plus jamais m'énerver. C'est lui qui amène les couteau et l'arc. Les couteau parce que moi je ne peut pas, a moins de me faire prendre. Et l'arc parce que tout simplement seul le père de Liam en a un.
Nous sommes enfin arriver a notre repaire. Liam et moi l'avons emménagés avec des cible, des draps, et toutes sortes de choses nous étant utiles. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point c'est grand un cimetière...
Je lance le couteau. Il se plante pile au cœur de la cible. C'est au tour de Liam. Il prend un flèche. Tends la corde. Puis tire. Sa flèche vient se loger à un mètre de sa cible. Je n'en reviens pas.
– Liam ?! Ça vas bien ? Parvins-je à dire en m'étranglant de surprise. Puis, finalement, je souris.
– hou, la,la... j'en connais un qui a peur du noir... Puis je réfléchis. Non, ce n'est pas ça. Liam et trouillard font deux. Mais avant que je n'ai pus trouvée une autre hypothèse, il me répond :
– mes parents savent. On va devoir arrêter. Sinon ils m'ont menacer de déménager.
Cette déclaration me coupe le souffle. J'ouvre la bouche. Puis je la referme. Je recommence cette action trois fois de suite, tel un poisson rouge dans un aquarium.
– on pourra toujours faire ça en cachette, ça ne nous changera pas beaucoup, je suggère.
– Héléna, tu ne comprends pas?! Me demande t-il, rageur. Si mes parents découvre que nous continuons, on ne pourra plus se voir du tout !
Et sur ces mots, me laissant ses armes, il s'en vas. Je sens des larmes brûlantes couler sur mes joue fraîches. Ça c'est passé si vite... trop vite, beaucoup trop...
Liam est mon seul ami.
Liam était mon seul ami.
Liam est partit et il ne reviendra pas.
Je revois dans ma tête ses cheveux blonds, ses yeux noirs dans lesquels se reflètent la soif d’aventures.
J'entends un bruit derrière moi. Je me retourne et lance un autre couteau que je ne me souvenais même pas d'avoir empoigné.
J’abats un lapin. Je ne prends pas la pêne de vérifier si il est vivant. Je suis sûre que non. Mais je remarque un détail. Sa patte arrière est légèrement tordu. Soudain, la blessure du lapin qui était tombé dans le trou me reviens. Il a la même blessure. Ça ne peut signifier qu'une chose : c'est le même lapin.
Je sais que c'est impossible, mais je suis sûre que c'est lui.
Je ne suis pas douée en métaphore, mais je comprends très clairement celle-ci.
L'amitié qu'il y avait entre Liam et moi est morte.
Tous comme le lapin que je viens de tuer.

à suivre
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